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Alice Lilith Renfield

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Message par Invité Lun 25 Oct - 22:18

    Alice Lilith Renfield
    .



    Qui êtes-vous ?
    .


    On nait avec un nom, avec une identité. Les noms, ils sont beaux ou ils sont laids. Mais qu'importe qu'on aime ou pas, les noms, c'est comme des visages, ça sert à rien. Beaux ou laids, on pourrait vivre sans. Qu'est-ce que quelques lettres collées les unes aux autres? Rien. C'est inutile, futile. Mais on dit que sans nom, sans identité, on est rien. Parfois, vaut mieux être rien qu'être un simple nom. Le mien, c'est Renfield. Ridicule, futile. Y'a aussi les prénoms, encore une fois, beaux ou laids, mais encore inutile. On m'attribua ceux d'Alice et de Lilith. Banal, mais à quoi bon? Et comme les noms, il y a les âges. On naît petit, un meurt vieux. Ça fonctionne comme ça. Personne ne comprend, mais personne ne pose de question. C'est ainsi, ne pose pas de question Alice! Moi, j'ai 19 ans. C'est vieux, c'est jeune, ça dépens. Pour moi, c'est trop. Trop de mois, trop de jours, trop d'heures, trop de minutes. Juste trop. Y'a beaucoup de chose qui sont "trop". Il y a trop de tout. Trop de noms, trop de prénoms, trop d'âge, trop de visage... La seule chose important c'est qu'on naît, on meurt. Je suis née un 7 mai. Et puis quoi encore? 7 mai, 8 mai, 9 mai...juste des jours, tous pareil en fait. C'est ma septième année à Poudlard. Sept années, déjà trop d'années. C'est long, ça ne finit plus, et plus qu'on souhaite la fin, moins elle arrive. C'est comme le sang. Plus on veut qu'il cesse de couler, plus il coule. Sang pur, sang mêlé, sang impure...quel différence? Du sang, c'est du sang. C'est rouge, c'est poisseux...ça coule. Moi, mon sang, il est rouge, il est mêlé, parce que le sang rouge de mon père était impur, mais il était rouge quand même...


    Eléments de sorcellerie
    .


    Les moldus ont des voitures. Des voitures rapides. Des voitures lentes. Des berlines immenses, des boîtes à savon rouillées. Les voitures rouges, blanches, bleus, vertes. Les voitures, ces laids, ça pue...Les sorciers n'ont pas de voitures, mais ils ont des baguettes. Les baguettes, c'est utile, comme les voitures. Mais elles sont uniques, pas les voitures. La mienne, c'est du bois de figuier et en son coeur, du sang de Sinistros. Elle est belle, lisse, plaisante. Toute travaillée, loin des voitures des moldus. Parfois, elle me rappel mon patronus. Les patronus sont toujours beaux, jamais laids, tout brillants, tout blancs... Ma baguette me le rappel, je ne sais pas pourquoi. Mon phoque blanc et lumineux est loin du chien noir . Le bien et le mal. Moi, je suis ni bien, ni mal, je suis rien. Parce qu'être rien, c'est le mieux. Ne pas choisir, jamais. Jouer entre les deux, comme ça, on est méchant et on est gentil. On ne pose pas de question, on ne se demande pas si c'est correcte d'agir comme ceci ou comme cela, parce que tout est correcte. On se fiche d'être bien ou mal.

    QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Dans 18 ans, Alice sera mort. Après avoir passer sa vie à jouer entre le bien et le mal, à jouer avec sa vie, a sombrer chaque jour un peu plus dans son délire, elle finira pas se suicider. Elle se pendra sans aucune regret.


    Hors-Jeu
    .

    PSEUDO - Alice Lilith Renfield  409318
    AGE - 19 ans et trois quart
    AVATAR - Hayden Panettiere
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Mystère et boule de gomme
    PRESENCE - TRèèèèèès souvent
    COMMENTAIRES ? Votre texte.


Dernière édition par Alice L. Renfield le Ven 5 Nov - 14:11, édité 4 fois

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Message par Invité Mar 26 Oct - 1:25

Présentation libre
.

On ne demande pas à naître. Naître c'est devenir impur, naître c'est être influencé par le bien et le mal. Naître, c'est mourir déjà. À chaque seconde qui passe, on meurt un peu plus, on s'éteint à petit feu, sans que personne ne le remarque. Les parents sont sadiques, ils aiment voir leur enfant mourir. C'est pour ça qu'ils aiment tellement les anniversaires. Les miens, ne mon jamais vraiment aimer. Ou au contraire, je ne les ai jamais aimés. Ils se sont battus pour moi, parce qu'aucun d'eux n'avait envie de me partager. " Non Mr Renfield! Alice est à moi! " " Vous vous trompez Mme Renfield, Alice m'appartient!" Alors, j'ai décidé de n’être à personne. Je ne suis à mes parents que ce que mes parents sont pour moi. Ils ne font partie que des décors. J'ai appris à les détester, à m'amuser lorsqu'ils se détestent eux-mêmes. Et bien entendu, ils se sont rejeter la faute l'un sur l'autre. " C'est de ta faute si notre fille nous déteste tant!" " Ne rêve pas, c'est toi qu'elle haït!" Allez-y haïssez-vous, bande d'idiot! Lancez-vous de la haine au visage comme on lance de l'acide. Détestez-vous jusqu'à ce que votre peau fonde, jusqu'à ce que votre cœur devienne noir de haine. J'aime quand vous vous détestez, c'est divertissant, C'est amusant. J'écoute par les serrures des portes, je ris de leur malheur. Ma vie se résume à ça, haïr ceux qui mon mise au monde, ceux qui se plaît à me regarder mourir à petit feu. Ils me disent que ce n'est pas ça, que je me trompe, mais je sais que je ne me trompe pas. Sinon pourquoi fêteraient-ils mes anniversaires avec tant de plaisir? Félicitation Alice! Un an de plus! Un an de moins à vivre, félicitation!

J'avais près de 8 mois, quand on m'arracha cruellement à ma mère. Elle ne mourut pas, elle ne disparut pas, loin de là. Elle était toujours dans la maison, toujours dans les parages, mais elle était morte à mes yeux. On m'arracha à elle dans le sens ou mon père ne voulait pas que je l'approche. Et lui, je le détestais. Comme on déteste le bouton immonde qui nous défigure. Et puis, après tout, qu'est-ce que ça change? Ils m'ont mit au monde, rien de plus rien de moins. Quand j'étais petite, J'aimais me pendre aux jupes de ma mère, même si ça attirait les foudres de mon père. Alors elle m'ignorait. Elle me disait qu'elle avait assez joué avec moi, qu'elle était fatiguée, qu'elle avait plein d'autre chose à faire. Je ne comprenais pas. Alors je l'ai détesté. C'est facile de détester ce qu'on ne comprend pas, parce qu'on ne comprend pas comment l'aimer, comment ça fonctionne, alors on haït, on mord dedans à pleines dents, jusqu'à ce que ça saigne, jusqu'à ce que ça brise, que ça disparaisse pour de bon. Meurt Mme Renfield! Meurt M. Renfield! Bon débarras! Je n'ai pas envie de les aimer, parce que les aimer, c'est aimer ce que je hais. D'haïr ce que j'aime. On attendait de moi que je sois la plus parfaite des enfants. Que je sois adorable, belle, attachante, affectueuse, mais ce n'était pas le cas. Mon père ne voulant pas que je sois comme ma mère, une sorcière, je n'avais pas le droit de l'approcher. Ma mère, ne voulant pas que je devienne aussi aigre que mon père ne voulait pas que je le côtois. Résultat, je les ai toujours fuit comme la peste. À moins que se soit la peste qui nous fuit.

Je n'ai jamais voulu être une princesse. Je n'ai jamais voulu être astronaute. Je n'ai jamais voulu avoir un destin. Pas un destin comme tout le monde. Le mien, c'est la destruction. Parce que dans ce monde, on n'a que deux choix : détruire ou être détruit. On se fait détruire par tous, on se fait manger par n'importe quoi ; L'air, l'eau, la terre, l'argent, le pouvoir, les lois...et pour ne pas se faire manger, on doit manger. On doit détruire. Alors je détruirai, avec plaisir, le monde qui m'entour. Je mourrai une bombe à la main, et emporterai avec moi dans la mort douce et lente des centaines de personnes. Mais ça, je ne l'ai pas voulu quand j'étais petite. Il y avait une part de moi, gamine et innocente, qui espérait être une reine, gouverner le monde qui l'entour. Parce que je le pouvais. Qu'étaient-ils, ces minables sans-pouvoir qui ne font rien de leur vie sinon passer leur journées derrière un bureau luisant. Je suis une sorcière. Je suis plus qu'eux. Plus que ce qu'ils croient être. Je suis reine, je suis maître, je suis l'absolue. Ou du moins...je le crus. Jouer, petites poupées. Jouer pour moi, amusez-vous à vous entretuez pour moi. Et puis, plus le temps passait, plus je devenais instable. Combien de chat avais-je enterré vivant dans le jardin? Combien de petits copains avais-je martyrisé jusqu'à la folie dans les cours de récréation? Mais on me protégeait, comme toujours.

« Voyons, Miss Woods! Alice ne peut avoir fait cela à votre fils! Regardez-là, la petite. On ne fait pas plus angélique. N'est-ce pas que tu n'as rien fait, Alice?»
« Bien sûr, maman»
« N'avez-vous pas honte, Mr. Stowe d'accuser ainsi ma pauvre petite fille d'avoir pendu votre chat dans l'arbre! N'est-ce pas que tu ne ferais jamais ça, Alice?»
« Bien sûr, Papa»

Et ce fut ainsi pendant longtemps. Au point que jamais on ne réussit à me faire porter le chapeau de quoi que ce soit. Ce n'était pas moi qui martyrisais les enfants des voisins, ce n'était que des mensonges. Ce n'était pas moi qui enterrais les chats des voisines, c'était un homme mystérieux et cinglé qui rôdait dans les parages. Et qui pourrait accuser la jolie petite Alice? Cette enfant si sage qui ne parle à personne? Cette enfant calme et renfermée sur elle-même qui n'ose pas dire trois mots sans rougir et bafouiller. À force de se faire dire qu'on est normal, on finit par agir comme si on était normal. Souris, rie, et surtout, ne fait rien de dérangeant. Et puis, j'étais une enfant facile. Malgré mes comportements étranges, malgré que je fasse tout en mon pouvoir pour faire exploser la tension entre mes parents, jamais on n'aurait pu dire que j'étais une enfant dérangeante et gênante. Je ne parlais pas, je ne disais pas un mot en dehors des moments où je cherchais à ce qu'ils se sautent à la gorge comme deux lions en cage qui se battent pour un vulgaire morceau de viande. J'aime les animaux...ils sont tellement plus civilisé que les humains. Si vous voulez voir un vrai zoo, regarder les hommes. Ce sont des vrais animaux sans pitié et sauvages qui s'amusent à s'autodétruire, avec violence et force. Les tigres n'ont pas d'armes à feu, les lions n'ont pas de bombe, les singes n'ont pas de char d'assaut, les vaches n'ont pas de gaz mortellement toxique. Il n'y a que les hommes qui les ont.

Je suis une sorcière. Je suis ce que mon père ne voulait pas que je sois. Un monstre, une chose immorale...Je m'en félicite. Si j'étais comme toutes ces filles qui ont passé des années avec moi à l'école élémentaire, je serais morte. Je me serais pendu dans le garage. C'est mieux ainsi. Elles devraient toute faire ça. Je n'ai jamais eu d'amis, je n'ai jamais voulu avoir d'amis. Quand j'en avais, quand je ramenais des fillettes à la maison, c'était parce que je leur faisais du chantage, parce que je m'amusais à les torturer jusqu'à ce qu'elles cèdent. Je les achetais, les menaçais. Et ça me plaisait. Il ne faut pas avoir de cœur pour torturer, il ne faut pas avoir d'âme pour se laisser torturer. Ces fillettes sans âme qui se laissaient faire par moi, la sans cœur. Je me souviens surtout d'Evelyne. Une gamine gracile et rousse. Rousse à rendre jaloux les carottes. Ses mèches rouges, ses tâches des rousseurs sur sa peau pâle comme neige...une vrai conne. Elle était si manipulable, si facilement cassable...tellement amusante.... J'ai longtemps joué avec elle....et heureusement, je ne lui ressemblais pas...

« Regarde-toi, Alice... comme tu es belle.»

Je me regardais dans le miroir, avec une moue dubitative. Belle? Je fis un pas en avant, m'approchant de la glace, comme on s'approche de l'intérieur d'un volcan à la recherche de la mort. Mes cheveux blonds encadrant ce minois rond, mes yeux verts mornes, ou brillait parfois une flamme destructrice, mes dents blanches et parfaitement droites... Belle? Je ne trouvais pas. J'avais souvent regardé Evelyne comme si elle était stupide. Elle disait toujours ce qu'il fallait pour me plaire, elle a toujours voulu me faire plaisir, entrer dans mes bonnes grâces...bravo petite Evelyne... Bravo Princesse! Viens-là que je t'assassine à petit feu, ma jolie petite poupée de porcelaine. Mais ce que j'ignorais en fait, c'est que j'aimais Evelyne. Je l'aimais tellement, que je l'aurais tué pour l'empêcher de devenir femme. Pour l'empêcher de devenir forte. Pour l'empêcher de devenir folle. J'avais neuf ans, elle en avait huit. J'étais pourtant tellement plus vieille qu'elle dans ma tête. Elle était tellement plus fragile, tellement plus naïve, trop enfantine. Vieillit, Evelyne! Grandit Evelyne! Vite! Vite! Vite! Avant de te faire avalée par le monde trop grand, trop vieux! Non! Ne vieillit pas! Reste petite petite petite! Oh et puis, je m'en fichais tant elle restait avec moi.

Mais elle ne resta pas. Non. Elle partie. Il paraît que parfois, les parents ne s'aiment plus. Parfois, ils se séparent. Je ne comprends pas trop. C'est quoi ça, l'amour? Mes parents ne se sont jamais aimer, je ne les ai jamais aimé, je n'ai jamais aimé. J'ai maintenant dix ans, et je ne connais pas l'amour. Mais, les parents d'Evelyne eux, ils s'aimaient, avant. Puis, ils ne s'aimaient plus. Ce sont des trucs de vieux. Des trucs de grandes personnes. Et moi, je ne serai jamais grande. Je ne veux pas être grande. Je refuse de l'être, comme les gens qui refusent de prendre l'avion. M'enfin. Evelyne partie pour New-York. Je me suis convaincu qu'Evelyne était partie parce que j'avais voulu qu'elle parte. Parce que je ne voulais pas qu'elle reste près de moi, que je ne voulais pas qu'elle devienne femme, folle, forte. Alors, je l'ai fais partir. Loin. loin. loin. Mais je ne suis pas sotte. En fait, je sais qu'elle est partie vivre avec sa maman, je sais que je n'y suis pour rien, je sais que je n'ai rien décidé, rien choisit, rien voulut. On ne choisit pas ces choses-là. On les subit. Tant pis. Devenir grand, c'est devenir fou. Ma mère est folle de m'aimer, elle est folle de s'être mariée, elle est folle d'avoir eu un enfant. Moi, je ne voulais pas grandir. Mon corps décida autre chose. J'avais douze ans. Douze années de vie. Déjà trop d'années de vie. Et mon corps décida d'être femme. Il y a une période obligatoire dans la vie de chaque fille, de chaque être humain. Je devins femme sans le vouloir. Je devins femme sans le décider. Je haïssais mon corps. Je haïssais ces seins qui apparaissaient malgré ma volonté, je haïssais ces hanches qui s'élargissaient malgré moi. Je me détestais tellement. Et maintenant qu'Evelyne était partie très loin, maintenant que j'étais devenue femme, forte et folle, j'entrai dans le monde des sorciers. Poudlard. Poudlard et ses quatre maisons, Poudlard et ses foules, Poudlard et sa magie. Ma mère était fière, mon père, dégoûté. Tant mieux, tant pis. Je m'en fichais. Comme on se fiche d'une goûte de sang sur le sol lustré de la cuisine, comme on se fiche de la saleté incruster dans les carreaux. Qu'ils meurent, qu'ils disparaissent! Gardez-là, votre fierté! Garder-le, votre dégoût! Mourrez, bande de singes!

Je n'aimais pas l'école. Je n'aimais pas les gens qui m’entouraient. Je ne suis pas sociable, je n'aime pas les gens, je n'aime pas les approcher, je les hais. Ils sont si peu intéressants. Ils sont si peu plaisants. Les aimais-je, aujourd'hui, des années plus tard? Non. Jamais. Mais à l'époque des mes quatorze étés, j'essayais de me faire des amis. Je n'en avais pas. J'étais une enfant prometteuse, avec une logique froide, ambitieuse et surtout, détestable. Si j'avais de bonnes notes, je n'étais pas pour le moins une mauvaise élève qui n'écoutait pas les enseignants qui racontaient des âneries devant la classe remplis d'idiot, je n'étais pas une élève assidue qui faisait ses travaux avec ardeur. Non. Je me moque de l'autorité. Je me ris des enseignants. Je me fou de leur travaux et de leur devoir. Je suis meilleure qu'eux, je suis plus douée qu'eux. Qu'ils meurent! Qu'ils disparaissent! Laissez-moi être votre maître, laissez-moi être votre gouvernante! A genoux, petits vermisseaux! À genoux devant la grande Alice! Folie des grandeurs? Peut-être bien. Et après tout, qu'est-ce que ça change? Qu'est-ce que ça fait? Rien. Je suis meilleure qu'eux, et je le sais. Parce que je ne cherche pas à avoir l'air intelligent, je le suis. Parce que je ne cherche pas à avoir le dernier mot, je l'ai. Je suis ce que je suis. Brillante, vicieuse, logique et ambitieuse.

J'aime la mort. Parce que la mort est douce. Parce que la mort est partout. Parce que la mort est froide et surprenante. Je l'ai entendu longtemps. Elle n'est pas venue. Elle ne veut pas de moi. Alors, je continue à vieillir, à grandir. Beurk! Grandir, vieillir, c'est répugnant! C'est affreux, c'est terrible, c'est mortellement ennuyeux. Elle n'a pas voulut des autres non plus. Celles qui partagent mon dortoir, celles qui m'agacent, qui m'irritent, qui m'exaspèrent, que j'aime malgré tout. Parce que la haine vient de concert avec l'amour. On ne peut haïr si on n'aime pas. On ne peut aimer si on ne haït pas. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai aimé Emryck. Emryck est l'archétype même de garçpn trop intelligent, du sportif trop musclé, du brun trop brun et du garçon mignon trop mignon. Mais il n'étais pas très futé. Il m'a laisser l'approcher, comme si je n'étais qu'un chien qui voulait simplement faire connaissance. Mais je ne suis pas un chien. Je suis une vipère qui attend que sa proie est tournée de dos pour lui sauter dessus et lui cracher mon venin à la vigure. L'injecter dans ses veines jusqu'à ce qu'il meurt. Jusqu'à ce que ses organes fondent comme neige au soleil. Mais je l'aimais. Je l'aimais tellement que je lui aurais trancher la tête pour la garder pour toujours. Je l'aime tellement que je l'aurais empaillé et accroché au dessus de la cheminé. Je l'aimais tellement, que j'aurais pu le serrer contre moi jusqu'a l'étouffer. Lui. Il ne m'a jamais regarde comme autre chose que comme une bonne copine...

« Tu sais que tu es étrange, Alice?»
« Étrange? Il n'y a rien d'étrange dans l'étrangeté ou dans la folie. C'est la banalité et les gens saint d'esprit qui ont tout d'étrange»
« Tu sors ça d'où toi?»

Voilà ce qui résume assez bien notre relation. Tant pis pour lui. Il manque beaucoup. Il me trouvait étrange et m'a toujours trouver étrange. J'ignore pourquoi. Je ne veux pas savoir pourquoi. C'est son cerveau qui ne fonctionnait pas normalement. Et c'est quoi, la normalité? Un mot, comme cent mille autres mots. Des lettres, comme pleins d'autres lettres. Les lettres et les mots, ça importe peu, c'est pas important. C'est pas utile. Ma scolarité se passa avec lui. Longtemps. Je l'aimais, je le détestais, il se laissait faire. Comme on laisse faire un enfant qui explore son univers. Je ne le comprenais pas, il ne me comprenais pas, mais nous étions amis. Emryck n'était pas comme les autres. Plus pur, plus blanc. Blanc comme le chlore, blanc comme la neige, blanc, blanc et encore blanc!! Puis, comme tout le monde, Emryck partie. Il fini l'école, moi je demeurais. Encore et toujours. Puis, cette année, tout est étrange. Étrange comme un poisson étrange! Cet attaque à Noël, ces élèves bizarres venus du soit disant futur...et la tour qui explose! Je compte bien savoir qui se cache derrière cette attaque en fait... et je trouverais bien.


Dernière édition par Alice L. Renfield le Ven 5 Nov - 3:32, édité 11 fois

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Message par Samaël E. Wilson Mar 26 Oct - 2:23

Welcome cherry Bon courage pour la suite de ta fiche!


Dernière édition par Samaël E. Wilson le Mar 26 Oct - 3:03, édité 1 fois
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Message par Invité Mar 26 Oct - 2:25

Merci! ^^

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Message par Gemma Langley Mar 26 Oct - 9:57

Bienvenue et bon courage pour ta fiche!
HS: J'suis la seule à penser "Candiiiice" là? Neutral
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Objectif Raven !
(Plan 1 : dégager Leslie la pétasse)

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Message par Samaël E. Wilson Mar 26 Oct - 14:36

Du tout Laughing
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Message par Zane Montgomery Mar 26 Oct - 15:24

Il ne faut pas y penser voyons, pensez positifs (a)

Bienvenue sinon Razz
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Gay, lui ?
Bonnie va prouver le contraire !


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Message par Samaël E. Wilson Mar 26 Oct - 15:42

Ah mais moi je l'ai fait! J'ai mis un cherry Si c'est pas une preuve de bonne foi.. (a')
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Message par Invité Mer 27 Oct - 1:09

C,est qui Candice??? o.O
M'enfin merciii han!

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Message par Adam Meyer Mer 27 Oct - 8:20

Une joueuse sur un forum qui avait pris cet avatar là. Elle était assez exceptionnelle donc c'est dur de ne pas penser à elle en voyant ton ava' (a)
Mais on va faire un effort, vraiment parce que c'est toi Basketball
Adam Meyer
Adam Meyer
Good boy get bad
Garden, cruel love.

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Message par Invité Ven 29 Oct - 2:23

jocolor
Vous allez voir...vous ne pourrez résister à ma douce folie!

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Message par Invité Ven 5 Nov - 3:32

Désolée, DP.

Je crois avoir terminé Razz

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Message par Invité Ven 5 Nov - 9:45

well, je pense qu'on est bons pour Serpentard Very Happy ça te convient ?

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Message par Invité Ven 5 Nov - 14:02

Parfaitement!

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Message par Montana D. Jones Sam 6 Nov - 18:18

alors te voilà validée et répartie à Serp', bon rp ! cyclops
Montana D. Jones
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and I DON'T GIVE A DAMN ;
'bout my bad reputation

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