TURN OUT THE LIGHT - brandy.
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The Time-Turner :: Tome VII : Les reliques de la Mort :: Armoire à Disparaître :: Saison 1 :: Fiches présentations/liens
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TURN OUT THE LIGHT - brandy.
« Bon. Je me représente tous ces petits mômes qui jouent à je ne sais quoi dans le grand champ de seigle et tout. Des milliers de petits mômes et personne avec eux je veux dire pas de grandes personnes – rien que moi. Et moi je suis planté au bord d'une saleté de falaise. Ce que j'ai à faire c'est attraper les mômes s'ils s'approchent trop près du bord. Je veux dire s'ils courent sans regarder où ils vont, moi je rapplique et je les attrape. C'est ce que je ferais toute la journée. Je serais juste l'attrape-cœurs et tout. D'accord, c'est dingue, mais c'est vraiment ce que je voudrais être. Seulement ça. D'accord, c'est dingue. » JD Salinger
Dernière édition par Nicholas Gin Berlioz le Dim 2 Mai - 15:06, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: TURN OUT THE LIGHT - brandy.
la divine comédie ;
C’est l’histoire de l’égarement. L’histoire de la recherche. L’histoire d’une vaste forêt, de feuilles virevoltant par la puissance du vent. L’histoire de ce même vent qui murmure aux oreilles des arbres la puissance des hommes, la puissance destructrice des hommes. Il leur murmure des guerres, des catastrophes. Il leur murmure des révoltes, de la vie qui passe. Il leur murmure tant, que ces arbres acquièrent une sagesse sans limite. Ces arbres dominent le monde, et ses histoires. Ils sont les spectateurs de la vie qui s’écoule, comme un ruisseau suit son cours. Ils sont ce quatrième mur. Ce public averti mais silencieux. Celui qui connaît tout. Celui qui saisit chaque détail, mais n’en dévoilera rien. Celui qui n’interviendra jamais dans la scène, dans la pièce, pour ne pas briser l’histoire. Ou simplement, car il n’en est pas capable. Ils capturent chaque instant, et l’enfouissent au fond de leurs racines. Racines rampantes, naissantes, grandissantes. Un, jour, lorsque la vie sera éteinte, les arbres continueront d’exister. Leurs racines envahiront la terre. Elles auront tout vu, tout appris, tout caché. Alors, le monde ne sera qu’une immense forêt où le vent cessera de murmurer, car les hommes se seront éteints et, avec eux, les caresses des morts.
les feuilles mortes ;
Les brindilles craquaient sous ses pieds, le souffle haletant le garçon fuyait. Il n’avait jamais couru aussi vite, il n’avait jamais vécu une telle situation, à vrai dire. Aveuglé, oui, il était aveuglé. Son cœur ne battait plus. Son corps, lui, ne répondait plus qu’aux pulsions. C’était loin d’être une pulsion d’adrénaline, loin d’être une démonstration de force. C’était simplement un fait. Léa était morte. Un fait. Un simple et terrible fait.
Une branche, toujours cette lumière aveuglante, une chute. L’adolescent se retrouva face contre la terre humide, les cheveux collés au front par la transpiration, le corps douloureux. Son cœur, finalement il le sentait. Il lui transperçait le corps, son torse allait éclater, ses poumons brûler. Nicholas n’avait jamais ressenti telle douleur. Paumes contre la terre, ses bras tremblant lui permirent simplement de soulever le haut du corps, ce haut du corps qui lui semblait si lourd, à l’instant. C’est alors qu’il sentit cette brûlure remonter le long de sa gorge et son corps éclater en spasmes. La toux ne cessait plus, incontrôlable, violente. Il cracha du sang. Il vomit, tripes et boyaux, d’avoir trop couru. Des larmes coulaient le long de son visage sale et bruni par la terre et les feuilles mortes. Des larmes sombres longeaient son visage pâle.
Léa était morte et lui n’avait plus qu’à s’écrouler et attendre.
Dernière édition par Nicholas S. Berlioz le Dim 2 Mai - 12:40, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: TURN OUT THE LIGHT - brandy.
portraits - l'idéal ?
Nicholas, c’est avant tout un sang chaud. Avec de telles origines du Sud il ne peut qu’avoir hérité d’un tempérament explosif. A croire que le calme anglais de son père ne l’a jamais atteint. Berlioz, c’est un fils du jour, comme de la nuit. Il s’est vite habitué aux voyages entre les deux mondes, son âme n’appartient à nulle dimension. Impossible de le suivre, impossible de le cerner. Avant d’être à vous, il est au monde, à l’existence, à la vie. C’est un esprit fugitif, qui rêve de soleil, de douceur, de fruits exotiques ; un esprit comblé, par ses idées, ses idéaux, ses envies, ses pulsions.
Gin revendique son existence. Sa grande hantise est certainement celle de n’être qu’un pantin du Monde. Il ne veut pas être un homme parmi des autres, mais Gin, seulement Gin, simplement Gin, totalement Gin. Aussi, vous ne le verrez jamais s’écraser face à la fatalité. On pourra le traiter de grande gueule, de têtu, d’explosif. Oui, il est explosif. Oui, il est têtu, déterminé. Oui, il hait par-dessus tout se laisser abattre, surtout par les autres. On ne pourra jamais le faire taire, Nicholas. On ne pourra l’empêcher de s’exprimer, parce que s’il y a bien une chose qu’il revendique au monde, c’est bien cela, sa parole, sa pensée.
Il n’est ni méchant, ni gentil. C’est déjà bien difficile de classer vulgairement n’importe qui dans une catégorie, un groupe, mais je vous assure, vous n’êtes pas au bout de vos peines. Gin refuse les étiquettes, les stéréotypes, les idées préconçues, et il fera tout pour les détruire. Une personne ne naît pas dans un paquet, avec un code barre déterminé, un prix déterminé, une fonction déterminée. Une personne naît, grandit, s’affirme, et continue de s’affirmer, de s’épanouir tout au long de sa vie. Comment peut-on prétendre à treize ans placer un enfant dans une maison alors que son évolution n’a fait que commencer ? Instaurer des limites et des étiquettes c’est pousser quelqu’un à grandir influencé par celles-ci. Ainsi, vous ne le rendrez jamais fidèle à un groupe, mais à des personnes, autant soient-elles, d’origines différentes, de milieux différents. Il ne prête guère attention aux titres, aux rangs et aux autres ribambelles d’images que chacun cherche à se donner. Il prête attention aux personnes, à leurs visages, les respecte, et continue son chemin.
Mais trop impulsif les conflits avec lui se terminent en dispute, en énorme dispute. Il est loin de ces manipulations silencieuses, loin de ces regards glacés. Gin est victime de sa spontanéité, son impulsivité, et même de son inconscience. Le défier, c’est défier toute sa vie, ce qu’il est devenu, et ce qu’il veut devenir ; or je vous assure, s’il tient bien à une chose, c’est à la vie, à l’épanouissement, à son épanouissement. Il fera tout pour préserver ce monde dans lequel il s’affirme, et avec, les personnes qui avancent à ses côtés. Berlioz, c’est un grand cœur, un fou, une bombe à retardement, un sentimental aussi. Il s’attache vite, et se détache difficilement. Le voilà peut-être ce point faible qui le détruit. Sa sensibilité. Vous me direz, c’est une qualité. Mais lorsqu’elle devient débordante, trop importante, elle vous consume la vie. Ainsi, frivole, il se laisse à ses pulsions et à ses envies, à ses rêves et ses idéaux, il se laisse aller, tout simplement, à ce qu’il est.
zoom in ;
défauts : impulsif ; inconscient ; hyperactif ; désordonné ; sarcastique ; orgueilleux ; têtu ; instable ; imprévisible ; lunatique ; agressif ; émotif ; possessif ; bordélique ; cynique ; râleur ; curieux ; jaloux ; borné ; fier ; susceptible ; flemmard ; impatient ; fumeur ; franc.
qualités : attentionné ; à l’écoute ; idéaliste ; sensible ; rêveur ; curieux ; sincère ; appliqué ; déterminé ; passionné ; jovial ; souriant ; assidu ; fidèle ; rusé ; direct ; courageux ; téméraire ; cultivé ; impliqué ; fougueux ; indépendant ; observateur ; confiant ; optimiste ; compréhensif ; extraverti ; généreux ; spontané.
zoom out ;
Une série de clichés en noir et blanc. On y voit, de loin, d'abord, une figure imposante. Un homme, un jeune homme sûrement, vu comme il se tient droit, comme sa démarche semble décontractée, ses épaules relâchées. On est à contre-jour, si bien qu'on ne peut apercevoir aucun trait de son visage, mais à priori il est grand. Un mètre quatre-vingt dix peut-être, de fortes épaules, celles d'un nageur, sur un corps mince, élancé. Un corps de sportif, peut-être, ou de quelqu'un marqué par les années, par la vie active, en perpétuelle agitation, en mouvement continu. Puis un second cliché. La forme se rapproche. Elle passe de l'ombre noire imposante surplombant un chemin, à une silhouette distincte. Il tient quelque chose à la main. Main refermée, serrée sur l'objet. Le poing est fort, imposant, résistant. C'est le poing d'un combattant, de quelqu'un de déterminé. On pourrait presque imaginer les veines ressortir, épaisses, sur ce membre tendu. Il porte un simple pantalon blanc, un ample pantalon blanc, de toile, sans doute. Il vient donc des pays chauds. On voit la finesse du tissu, peut-être du lin, non, c'est sûrement plus épais. On sent le vent s'y infiltrer aisément, comme lorsqu'il soulève une feuille déchue à terre. Une chemise aux manches retroussées. Un besoin d'évasion, sans doute. De liberté. Il ne supporte pas l'enfermement, l'étouffement, aussi il se libère de la manière la plus évidente qu'il soit. Ainsi, il se balade pieds nus, avance pieds nus, progresse pieds nus. On sent la chaleur s'abattre sur son corps, pas excessivement, sans doute y a-t-il ce peu de vent qui l'aide à enfreindre les règles de l'enfermement. Mais il fait chaud, oui, il fait chaud. Enfin, un troisième cliché.
Il doit avoir aux alentours de vingt ans. Des cheveux cours, en bataille, une barbe de quelques jours. Les premiers boutons de la chemise délivrés, un teint hâlé. Un visage taillé, comme le reste du corps. L'harmonie. Il sourit. Merlin, que l'on se sent léger face à tant de spontanéité. Ses yeux clairs brillent d'une certaine malice. On dirait que son expression est dessinée de la main d'un expert, d'un enfant aussi. Son regard est là, partout et nulle part à la fois, et quand il sourit, son nez fin se rehausse en une expression enfantine. Oui, on dirait un gamin pris sur le fait, saisi par l'instant de la photographie. C'est qu'il est gêné d'être harcelé, lui qui d'habitude se trouve de l'autre côte de l'appareil. Il n'est pas à l'aise, mais pourtant il reste si imposant. C'est une présence, plus qu'une beauté, un charme, un regard, plus qu'une carrure. On pourra le regarder éternellement, saisir éternellement l'expression de son visage, mais jamais on ne la saisira comme lui le fait avec vous.
Gin relève son bras jusqu'alors tendu et révèle alors son vieil appareil. Instinctivement il le place collé à son oeil. On pourrait presque sentir son coeur battre fort derrière ce simple objet. Il sifflote un air de bossa nova, puis, de sa voix rauque et mélodieuse à la fois vous appelle. Clac. Le vent s'arrête, le souffle reprend. Encore quelques clichés et ils iront se jeter à la mer.
Dernière édition par Nicholas Gin Berlioz le Dim 2 Mai - 14:43, édité 5 fois
Invité- Invité
Re: TURN OUT THE LIGHT - brandy.
portraits - lui-même.
J'ai grandi entre le Soleil et la Grisaille. C'est peut-être ça, qui m'a forgé. Je suis né de l'autre côté de l'Océan, je suis né sous une journée brûlante d'été. Je suis né entre deux saisons, entre l'hiver anglais et l'été brésilien. Je suis né chez des sangs-purs. On m'a aimé, on m'a délaissé, comme on le fait souvent, chez les familles pseudo-aisées. Je suis né d'un fils de Lord, et d'une artiste. Entre peintures, danses, et déjeuner familiaux chic et choc so british. Entre la veste de tweed et les short sur la plage. C'est un paradoxe. Je ne sais pas où me placer.
Je ne suis pas méchant. Je ne suis pas gentil. Je ne sais pas réellement qui je suis. Je sais juste que j'ai été aveuglé, pendant si longtemps, par la mort de Léa. Mon coeur s'est arrêté, et je me suis arrêté de vivre. C'est drôle. J'étais ce Serpentard explosif, ce médiateur entre la froideur des miens, et... et les autres. On m'a souvent demandé ce que je fichais dans cette maison. A vrai dire je n'sais pas trop. Je suis là, c'est tout. Et je m'y sens bien. Je me sens à ma place. Au fond, j'ai toujours eu un penchant pour la noirceur. J'aime tout ce qui torture l'esprit, ce qui me chamboule l'âme. Oui, j'aime sentir tout mon être tiraillé par les sentiments. Contraste.
Je peux haïr facilement. C'est con, mais c'est ainsi, je ne peux m'en empêcher. Il y a ces idées, ces fondements qui me portent, et lorsque l'on s'oppose à moi, tout mon être se déchaine. Je juge vite, c'est vrai. Mais j'm'en fous, j'suis comme ça. J'ai peur de la froideur, ça m'impressionne. J'ai cette image d'une pièce vide et froide qui me tue à petit feu. C'est la solitude qui m'effraie réellement, je pense. Oh, je pourrais rester des heures seul, dans mes pensées, mais la réelle solitude, la profonde solitude me terrifie, elle m'angoisse et me met hors de moi. J'ai besoin de me sentir entouré, besoin de sentir qu'on m'aime, pour vivre. Lorsque Léa est morte, j'ai fait abstraction du Monde. Plus rien n'existait, je n'existais plus. J'étais seul. Et alors je me suis replié, morfond dans cette dimension d'usure, de superficialité, d'illusion. C'était ma manière d'oublier, stupide, mais efficace. Je crois que je n'ai jamais été aussi mal de ma vie. Mais Jez' est arrivée, comme toujours, et elle m'a sorti de ce cercle vicieux où je m'étais enfermé. Merlin, je crois qu'elle m'a sauvé. Mais à peine a-t-elle eu le temps de m'ouvrir les yeux, qu'elle est partie aussi. Je ne sais plus vraiment où j'en suis, qu'en penser. Il paraît que plus tard j'écrirai, et je prendrai des photos, avec elle. Mais est-ce vrai ? Qu'aurais-je du traverser pour en arriver jusqu'à là ? J'ai beau être optimiste je ne peux me résoudre à penser que le chemin sera libre et sans obstacles. Et merde, ça me terrifie horriblement. J'ai peur de l'avenir, ouais, c'est vrai, et encore plus maintenant. Maintenant que je sais ce que je deviendrai, j'ai peur de ne pas être celui que j'aurais du devenir.
Je n’ai jamais cherché à me distinguer réellement, disons que ça s’est fait tout seul. Là, face à vous, je serais incapable de me définir au sein du château. Je suis là, je connais du beau monde, des cons aussi. Mais les années s’accumulent et les visages aussi. J’ai vu des amis quitter Poudlard, d’autres arriver. J’ai eu beaucoup d’aventures, beaucoup de passades, pas mal d’histoires. Il y a de la rancœur qui plane, des regrets, des envies. Les amitiés se sont faites et défaites, brisées, soudées, again. Qu’est-ce que vous voulez ? Savoir si je suis « in » ou « out ». Je déteste ces termes, je déteste les catégories. Je m’entends bien avec beaucoup de monde. Je sais aussi que ce « beaucoup de monde » se résumera à « rien » lors de la sortie de l'école, parce que les mois passeront, le temps aussi, et chacun fera son chemin, sa route. Et puis il y a ceux qui sont là, qui ont toujours été là. On se tient main dans la main, naturellement, souriants, le temps passe, on est là. On se dispute, on pleure, on crie, on chante, on vit. Je pense qu’au final, comme n’importe qui, je suis entouré de beaucoup de monde. Et entre ces personnes il y a celles qui comptent, celles qui ont compté, et enfin celles qui compteront un jour.
Invité- Invité
Re: TURN OUT THE LIGHT - brandy.
L'Attrape-Coeurs.
Oui, mon ange, on s'ennuie de tout. On s'ennuie de la vie et des visages, des visages de la vie. On s'ennuie des personnes, on s'ennuie des angoisses, on s'ennuie de la peur, on s'ennuie de l'ennui. Alors un jour on décide de ne plus s'ennuyer et de couper les ponts. On décide de s'éloigner, de découvrir une autre dimension. Et l'on se sent bien, mais... On n'oublie pas. On n'oublie pas les visages, les peurs et les angoisses. On n'oublie pas le passé, on n'oublie pas la vie. On n'oublie pas et on prend peur, alors on s'éloigne encore plus. On se retrouve... Seul - face au monde ? c'est ce que l'on croit.
Petit à petit on regrette, mais le temps est passé, le passé n'est plus. Les gens ont changé, comme toi tu as changé. Ils ont avancé, comme tu as avancé. Et il t'arrive un truc, ce truc qui te bouleverse, qui te fait mal au coeur. Tu prends conscience de la réalité, de ton erreur. Tu t'accroches, tu essayes de renforcer les liens de ce fil qui t'unit encore au reste. Mais qu'est-ce que tu peux y faire ? On ne peut rattraper le temps, c'est le temps qui nous rattrape. Les larmes coulent.
On se retrouve dans un quotidien qui n'est plus le nôtre. On se retrouve dans une routine qu'on ne reconnaît plus, ou plutôt, une routine où l'on ne se reconnaît plus. Entre deux mondes, celui du passé qu'on a voulu fuir, et celui d'un futur qu'on a voulu conquérir trop vite. On se retrouve dans un présent sans attaches. Un présent sans repères. Les larmes coulent.
Les larmes coulent, chaque soir, à l'irrémédiable moment du coucher. Ce moment où l'on n'a d'autre choix que de penser à ce lendemain qu'on redoute. Alors on veut partir. On pense que partir pourra nous aider à oublier, encore une fois. On pense que partir pourra nous aider à reconstruire cette vie perdue. Mais... On ne peut partir. Le courage manque, les moyens manquent. Le temps manque. On n'a pas le temps de partir à notre âge. Non, à notre âge le temps est compté.
Mais c'est ce temps compté qui a rythmé nos vies, nos angoisses et nos peurs. C'est ce temps qui nous rappelait inlassablement qu'un amour peut s'achever, une amitié se briser, une vie se consumer. C'est ce temps qu'on a fui. C'est ce temps qui nous a rattrapé.
Tout ça, mon ange, c'est pour te dire de ne pas fuir le temps. Tout ça c'est pour te dire de profiter de la vie, et de ne pas t'écrouler. Tu as tous les moyens de ne pas crever dans l'ennui, toutes les personnes prêtes à t'arracher aux griffes du temps.
Ne te laisse pas perdre par tes peurs.Je t'aime,
N.
Lettre jamais envoyée, on n'en connaît pas réellement le destinataire, c'est un camarade de dortoir qui l'a retrouvée.
Invité- Invité
Re: TURN OUT THE LIGHT - brandy.
identité -
NOM - berlioz
PRENOMS - nicholas 'nick'. gin.
DATE DE NAISSANCE - quinze juillet.
AGE - dix-neuf yo.
ANNEE - sicxième.
ORIGINES - pures. oui, il y en a très peu, mais jusqu'ici les berlioz ont perpétué la tradition. rien ne dit qu'il en sera de même pour le futur.
.
BAGUETTE - bois de frêne, 29 cm, contenant un nerf de coeur de dragon. c'est une baguette héritée de son grand-père, elle lui a été reléguée aussi bien légalement que magiquement. la baguette l'a choisi à travers ses frères et soeurs. nick ne la prête jamais. elle a une tendance à être cassante, mais c'est une baguette très fine, légère et maniable.
PATRONUS - un faucon. k r e s t r e l plus spécifiquement. peut-être un besoin de liberté ? nick le maitrise facilement, c'est l'un des éléments que sa baguette l'aide le plus à dominer.
BIEN ou MAL ? - bien, et mal.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? apparemment il écrira. il essaie de ne pas y penser. rien que le fait d'avoir appris son avenir l'angoisse totalement désormais. peur de ne pas l'accomplir, de ne pas le réaliser, alors qu'il semble représenter l'idéal de ce qu'il est.
.
PSEUDO - si'.
AGE - dix-sept.
AVATAR - gaspard ménier.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - ça fait longtemps maintenant.
PRESENCE - 5/7
Invité- Invité
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
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