L'ennemi de mon ennemi est mon ami ? | Pv Melinda
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Tome VII : Les reliques de la Mort :: Armoire à Disparaître :: RP abandonnés :: Intérieur du château
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L'ennemi de mon ennemi est mon ami ? | Pv Melinda
par Invité Lun 5 Avr - 21:46
La raison pour laquelle le jeune gryffondor se rendait vers la tour nord ? Tout simplement parce que c'était là qu'était la volière. Et pour envoyer un courrier, il est toujours mieux d'avoir un hibou sous la main. Il avait en effet écrit une lettre pour son père et sa belle-mère. Belle mère qui devait accoucher sous peu, ou qui avait accouché, il n'en savait rien. Après tout, elle était proche de son terme, et pour ce qu'il en savait, il pouvait très bien avoir un petit frère a l'heure qu'il était. Son père lui avait promis de lui envoyer un hibou le jour de la naissance, et il n'avait toujours rien reçut. Mais sachant ce qu'engendre la naissance d'un enfant, en plus de la fatigue, des pleurs et des couches, il savait très bien que son père n'aurait peut être pas l'occasion de lui écrire dans l'immédiat. Pendant les vacances d'été, il rentrerait à la maison et tomberait nez à nez avec cette chose toute rose, qui allait sans doute l'empêcher de dormir, et dont il devrait s'occuper. Une chose qu'il n'avait pas prévu lors du mariage de son père avec emilie, c'était bien un enfant. Certes, ils étaient jeunes, et pouvaient vouloir fonder « leur » famille, mais tout de même...Tous ces désirs le laissaient parfois de marbre, ne se sentant pas a son aise dans ce nouveau bonheur familial.
Enfin bref...Il avait donc écrit a son père, pour avoir des nouvelles, car cela faisait quelques jours que son père ne lui avait pas écrit. Chose inhabituelle. Après tout, Emilie poussait son père a lui écrire régulièrement, lui raconter des petites banalités, des petites choses de leur quotidiens, pour...Comment elle disait déjà ? Ah oui...Renforcer le lien familial. Autant dire que Dayton n'avait rien contre ces petites vacances épistolaires, mais qu'il les trouvait juste...Étrange. Enfin, pas tant que ça vu la grossesse de sa belle-mère, mais il aurait paru suspect qu'il ne demande pas de nouvelle.
Et c'est le pourquoi du comment qu'il marchait dans la tour nord, à la recherche de son hibou. Il marchait sereinement, mais demeurait alerte, après tout, on ne savait pas ce qui pouvait se promener dans les couloirs, et il aurait pu facilement tomber sur Andrews et sa bande. Ces derniers étaient d'ailleurs la raison pour laquelle il ne quittait plus sa baguette, et passait encore plus de temps que d'habitude à la bibliothèque. Non pas que le serdaigle et ses sbires soient tous dénués de cervelle et ne sachent pas lire, ne voyant donc par là aucune utilité a cet endroit, non..Mais parce que Dayton trouvait, depuis l'attaque d'Andrews, judicieux d'apprendre de nouveaux sorts, et à les perfectionner. Après tout, tous savaient l'opinion que4andrews avait sur Dayton. Tous savaient la haine que le gryffondor inspirait au sang pur. Après tout, combien de ces « sangs purs », le dédaignait a cause de sa mère ? Et a chaque fois, le même scenario se déroulait, chaque fois que l'un de ces trolls s'en prenait a elle, Dayton donnait une retenue a l'impertinent, avant de faire usage de sa baguette si les choses dégénéraient.
Et les choses ne semblaient pas sur le point de changer. En effet, alors que Dayton s'approchait doucement de la salle commune de serdaigle. Des rires et des petits cris se firent entendre. La couardise ne faisant pas partie de son caractère, il s'avança vers la provenance de ces bruits, ses sourcils sombres se fronçant a mesure qu'il approchait. Au tournant d'un couloir, il vit une jeune serdaigle, dont il ne connaissait que le visage et non le nom, se faire chahuter par un élève de Serpentard, encore un chien d'Andrews. Soupirant, Dayton sortit sa baguette, son allure se faisant de plus en plus rapide.
Arrivé quelques mètres derrière les deux élève, Dayton héla le jeune garçon.
« Toi...Lâche la ! »
La frimousse blonde du serpentard se détourna de sa proie quelques secondes pour poser son regard sur le préfet, un sourire malsain aux lèvre.
« Et puis quoi encore ... »
Enfin bref...Il avait donc écrit a son père, pour avoir des nouvelles, car cela faisait quelques jours que son père ne lui avait pas écrit. Chose inhabituelle. Après tout, Emilie poussait son père a lui écrire régulièrement, lui raconter des petites banalités, des petites choses de leur quotidiens, pour...Comment elle disait déjà ? Ah oui...Renforcer le lien familial. Autant dire que Dayton n'avait rien contre ces petites vacances épistolaires, mais qu'il les trouvait juste...Étrange. Enfin, pas tant que ça vu la grossesse de sa belle-mère, mais il aurait paru suspect qu'il ne demande pas de nouvelle.
Et c'est le pourquoi du comment qu'il marchait dans la tour nord, à la recherche de son hibou. Il marchait sereinement, mais demeurait alerte, après tout, on ne savait pas ce qui pouvait se promener dans les couloirs, et il aurait pu facilement tomber sur Andrews et sa bande. Ces derniers étaient d'ailleurs la raison pour laquelle il ne quittait plus sa baguette, et passait encore plus de temps que d'habitude à la bibliothèque. Non pas que le serdaigle et ses sbires soient tous dénués de cervelle et ne sachent pas lire, ne voyant donc par là aucune utilité a cet endroit, non..Mais parce que Dayton trouvait, depuis l'attaque d'Andrews, judicieux d'apprendre de nouveaux sorts, et à les perfectionner. Après tout, tous savaient l'opinion que4andrews avait sur Dayton. Tous savaient la haine que le gryffondor inspirait au sang pur. Après tout, combien de ces « sangs purs », le dédaignait a cause de sa mère ? Et a chaque fois, le même scenario se déroulait, chaque fois que l'un de ces trolls s'en prenait a elle, Dayton donnait une retenue a l'impertinent, avant de faire usage de sa baguette si les choses dégénéraient.
Et les choses ne semblaient pas sur le point de changer. En effet, alors que Dayton s'approchait doucement de la salle commune de serdaigle. Des rires et des petits cris se firent entendre. La couardise ne faisant pas partie de son caractère, il s'avança vers la provenance de ces bruits, ses sourcils sombres se fronçant a mesure qu'il approchait. Au tournant d'un couloir, il vit une jeune serdaigle, dont il ne connaissait que le visage et non le nom, se faire chahuter par un élève de Serpentard, encore un chien d'Andrews. Soupirant, Dayton sortit sa baguette, son allure se faisant de plus en plus rapide.
Arrivé quelques mètres derrière les deux élève, Dayton héla le jeune garçon.
« Toi...Lâche la ! »
La frimousse blonde du serpentard se détourna de sa proie quelques secondes pour poser son regard sur le préfet, un sourire malsain aux lèvre.
« Et puis quoi encore ... »
Invité- Invité
Re: L'ennemi de mon ennemi est mon ami ? | Pv Melinda
par Invité Mar 6 Avr - 16:13
Melinda venait d’envoyer une lettre à ses parents, comme à son habitude. Bizarrement, la chose lui avait été plus facile cette fois-ci. Pourquoi ? Car elle pensait à autre chose, tout simplement. Elle ne pouvait s’empêcher de repenser à cette petite fille qu’elle avait croisée, cette fille qui lui avait raconté une histoire… Impossible. Etonnante. Grotesque. De plus, Melinda avec Samaël ? D’accord, il l’avait sauvée, mais elle se méfiait tout de même de lui. Après tout, cette histoire était plausible. Mais… Pourquoi cette fille, Mitsina si elle ne se trompait pas, s’appelait « Matthews » et pas « Wilson » ou le nom de son mari actuel ? Et pourquoi ces jeunes étaient-ils à cette époque-ci et pas dans la leur ? Ces choses qu’ils avaient rapportées étaient-elles réelles ? Melinda ne put s’empêcher de réfléchir à la dernière attaque avec Clyde et les autres. Et, en effet, Samaël l’avait sauvée, une seconde fois. Mais de là à avoir une petite fille avec lui… Non. Elle le considérait comme un ami, un ami proche, certes, mais cela s’arrêtait à là. Enfin, peut-être que l’avenir fait évoluer cette relation, qui sait ?
Melinda continuait de marcher aléatoirement dans les couloirs, sachant seulement qu’elle était près de la Tour Nord. Décidément, elle n’était pas dans son assiette ces jours-ci. Mais vraiment pas. A vrai-dire, elle avait tellement la tête dans les nuages qu’elle avait encore oublié sa baguette dans son dortoir, comme le soir de l’attaque. Maudite ! Elle est maudite, il n’y a pas d’autres mots ! A mesure qu’elle avançait alors dans les couloirs, sa peur grandissait. Il ne faisait pas très clair et, sans baguette, le château était encore plus effrayant. Elle devait l’avouer : depuis quelques temps, elle avait peur de se balader toute seule le soir. Mais pourquoi donc avait-elle décidé d’envoyer ce message maintenant ? Pourquoi MAINTENANT ? Melinda avait été complètement folle, dingue, insensée. D’accord. Stop les insultes. C’était fait et il fallait retourner à la Salle Commune de Serdaigle avant de se faire prendre. Sans compter qu’à cette heure, elle n’avait peut-être pas le droit de vagabonder dans le château comme cela. Que dis-je, elle n’en avait sûrement pas le droit. Justement, en parlant de se faire surprendre…
- Inconnu - Eh ! As-tu… Oh, comme on se retrouve. N’est-ce pas toi la future conquête de Samaël ? En plus, seule. On pourrait faire connaissance vu qu’on est enfin tranquilles.
- Melinda - Fous-moi la paix ! Je n’ai pas envie de faire connaissance avec quelqu’un dans ton genre. Alors laisse-moi passer !
Il s’approchait encore, comme la dernière fois. Décidément, l’oubli de sa baguette ne faisait que lui apporter malheurs et malchance. Elle devrait penser à acheter un Rappeltout pour remédier à cet oubli aussi important… Surtout maintenant, avec toutes ces choses qui trottaient dans sa tête. Et cette fois, elle était seule, comme l’avait si bien remarqué ce… Comment le qualifier exactement ? Il était tout ce que Melinda détestait et, d’après ses souvenirs, elle était presque sûre qu’il traînait avec Clyde. Malheureusement, elle ne pouvait plus reculer et était dans un coin de couloir. Et lui ? Il continuait à s’approcher. Une voix retentit alors :
- Inconnu n°2 - Toi...Lâche la !
Melinda se retourna et vit un élève assez âgé, il devait avoir… 18 ans ? Oui, dans ces eaux-là. Elle était certaine de l’avoir vu quelque part, mais où ? Mais bien sûr, il était préfet. Ce qui signifiait qu’elle risquait d’avoir des ennuis vu qu’elle ne devrait pas se trouver ici. Que faire ? Peut-être allait-il la laisser tranquille ? Pour le moment, il la défendait et ce n’était pas plus mal. L’inconnu qui la tenait par le bras s’était retourné également et s’apprêtait à prendre la parole :
- Inconnu - Et puis quoi encore…
- Melinda - Tu vois… Je ne suis jamais seule, alors dégage !
D’ailleurs, elle avait bien de la chance de ne pas être seule dans ces moments-là… Peut-être avait-elle une chance incroyable au final. Maintenant, il fallait qu’il parte, que cela ne dégénère pas. C’était tout ce qu’elle espérait. A côté de cela, sa retenue possible lui était égale, elle supporterait sans problème. Passons ce détail, attendons la suite des évènements.
Melinda continuait de marcher aléatoirement dans les couloirs, sachant seulement qu’elle était près de la Tour Nord. Décidément, elle n’était pas dans son assiette ces jours-ci. Mais vraiment pas. A vrai-dire, elle avait tellement la tête dans les nuages qu’elle avait encore oublié sa baguette dans son dortoir, comme le soir de l’attaque. Maudite ! Elle est maudite, il n’y a pas d’autres mots ! A mesure qu’elle avançait alors dans les couloirs, sa peur grandissait. Il ne faisait pas très clair et, sans baguette, le château était encore plus effrayant. Elle devait l’avouer : depuis quelques temps, elle avait peur de se balader toute seule le soir. Mais pourquoi donc avait-elle décidé d’envoyer ce message maintenant ? Pourquoi MAINTENANT ? Melinda avait été complètement folle, dingue, insensée. D’accord. Stop les insultes. C’était fait et il fallait retourner à la Salle Commune de Serdaigle avant de se faire prendre. Sans compter qu’à cette heure, elle n’avait peut-être pas le droit de vagabonder dans le château comme cela. Que dis-je, elle n’en avait sûrement pas le droit. Justement, en parlant de se faire surprendre…
- Inconnu - Eh ! As-tu… Oh, comme on se retrouve. N’est-ce pas toi la future conquête de Samaël ? En plus, seule. On pourrait faire connaissance vu qu’on est enfin tranquilles.
- Melinda - Fous-moi la paix ! Je n’ai pas envie de faire connaissance avec quelqu’un dans ton genre. Alors laisse-moi passer !
Il s’approchait encore, comme la dernière fois. Décidément, l’oubli de sa baguette ne faisait que lui apporter malheurs et malchance. Elle devrait penser à acheter un Rappeltout pour remédier à cet oubli aussi important… Surtout maintenant, avec toutes ces choses qui trottaient dans sa tête. Et cette fois, elle était seule, comme l’avait si bien remarqué ce… Comment le qualifier exactement ? Il était tout ce que Melinda détestait et, d’après ses souvenirs, elle était presque sûre qu’il traînait avec Clyde. Malheureusement, elle ne pouvait plus reculer et était dans un coin de couloir. Et lui ? Il continuait à s’approcher. Une voix retentit alors :
- Inconnu n°2 - Toi...Lâche la !
Melinda se retourna et vit un élève assez âgé, il devait avoir… 18 ans ? Oui, dans ces eaux-là. Elle était certaine de l’avoir vu quelque part, mais où ? Mais bien sûr, il était préfet. Ce qui signifiait qu’elle risquait d’avoir des ennuis vu qu’elle ne devrait pas se trouver ici. Que faire ? Peut-être allait-il la laisser tranquille ? Pour le moment, il la défendait et ce n’était pas plus mal. L’inconnu qui la tenait par le bras s’était retourné également et s’apprêtait à prendre la parole :
- Inconnu - Et puis quoi encore…
- Melinda - Tu vois… Je ne suis jamais seule, alors dégage !
D’ailleurs, elle avait bien de la chance de ne pas être seule dans ces moments-là… Peut-être avait-elle une chance incroyable au final. Maintenant, il fallait qu’il parte, que cela ne dégénère pas. C’était tout ce qu’elle espérait. A côté de cela, sa retenue possible lui était égale, elle supporterait sans problème. Passons ce détail, attendons la suite des évènements.
Invité- Invité
Re: L'ennemi de mon ennemi est mon ami ? | Pv Melinda
par Invité Ven 9 Avr - 10:30
Quand les choses redeviendraient elles normales ? Quand est-ce que ce foutoir prendrait fin ? Car Dayton en avait assez de voir ce genre de scène se répéter inlassablement. A croire que Clyde et sa bande faisaient tout pour mettre tout le monde a fleur de peau, juste pour attirer l’attention (et il pensait vraiment que tel était le cas pour Clyde), comme des gosses de quatre ans. Il en avait assez d’entendre ces rumeurs d’élèves venus du futur pour les prévenir, de cette rumeur qui couraient sur Emerson et Connor. Et par-dessus tout, il en avait assez de regarder bizarrement sa petite amie, dès qu’il savait qu’elle l’avait croisé, lui…Lui ? Jaloux, pas dans cette mesure d’habitude, mais le fait de savoir, non d’imaginer, car il n’avait pas encore décidé s’il croyait a ces sornettes ou non, Emerson dans les bras de…cette chose, lui donnait tout simplement la nausée.
Et pour arranger les choses, depuis quelques temps, il était régulièrement la victime d’attaque qui avait bien faillit lui couter la vie. Ô certes, au début il croyait a un accident, pour le lustre dans la salle commune, mais son écharpe n’aurait pas pu l’étrangler, pas toute seule en tout cas. Voilà pourquoi le jeune homme était particulièrement a fleur de peau ces derniers temps. Un rien pouvait le mettre sur ses gardes, ou l’agacer. Mais la plupart des élèves s’en doutaient-ils ? Non, car Dayton Sommers cache toujours, toujours, ses faiblesses, ses peurs. Il reste distant, impassible, car c’est grâce a cela, pour l’instant, qu’il a su résister aux attaques de ces crétins de Serdaigle imbus de pouvoir.
Mais revenons à nos moutons je vous prie. Dayton était donc légèrement agacé de ne plus être tranquille a l’école, et était donc particulièrement remonté contre Andrews et sa bande, rien d’inhabituel jusque là me direz vous. Ouais…Enfin bref, la jeune demoiselle semblait soulagée de ne plus être seule avec ce scrout à pétard, ce que l’on peut comprendre, bien qu’un peu mal à l’aise. Elle répondit tout de même au serpentard, comme si cela semblait expliquer pourquoi il devrait déguerpir tout de suite…Certes, ils étaient deux contre un, Dayton ignorant que la demoiselle avait oublié sa baguette, et leur adversaire aurait du battre en retraite, chose qu’il ne fit guère.
« Bien sur que non tu n’es pas seule Chérie, vu que je suis avec toi, et ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te laisser avec ce petit préfet.. »
Le jeune homme, légèrement dissimulé derrière des mèches de cheveux qui lui tombait devant le visage rapprocha la Serdaigle de lui, humant l’odeur de ses cheveux avec un sourire malsain aux lèvres.
« Lâche là, tu vois bien qu’elle ne veux pas être touchée par un mollusque tel que toi…Je te réserve déjà une retenue, ne m’oblige pas à aller plus loin. »
Premier avertissement du préfet de Gryffondor, et il n’y en aurait pas de deuxième. S’il ne coopérait pas, Dayton serait bien forcé d’agir. Surtout que la Serdaigle, a part de lui dire d’aller voir Merlin, ne l’encourageait pas plus que cela a la laisser tranquille, selon Dayton. Elle aurait pu sortir sa baguette, le frapper…Les solutions étaient nombreuses…
Et pour arranger les choses, depuis quelques temps, il était régulièrement la victime d’attaque qui avait bien faillit lui couter la vie. Ô certes, au début il croyait a un accident, pour le lustre dans la salle commune, mais son écharpe n’aurait pas pu l’étrangler, pas toute seule en tout cas. Voilà pourquoi le jeune homme était particulièrement a fleur de peau ces derniers temps. Un rien pouvait le mettre sur ses gardes, ou l’agacer. Mais la plupart des élèves s’en doutaient-ils ? Non, car Dayton Sommers cache toujours, toujours, ses faiblesses, ses peurs. Il reste distant, impassible, car c’est grâce a cela, pour l’instant, qu’il a su résister aux attaques de ces crétins de Serdaigle imbus de pouvoir.
Mais revenons à nos moutons je vous prie. Dayton était donc légèrement agacé de ne plus être tranquille a l’école, et était donc particulièrement remonté contre Andrews et sa bande, rien d’inhabituel jusque là me direz vous. Ouais…Enfin bref, la jeune demoiselle semblait soulagée de ne plus être seule avec ce scrout à pétard, ce que l’on peut comprendre, bien qu’un peu mal à l’aise. Elle répondit tout de même au serpentard, comme si cela semblait expliquer pourquoi il devrait déguerpir tout de suite…Certes, ils étaient deux contre un, Dayton ignorant que la demoiselle avait oublié sa baguette, et leur adversaire aurait du battre en retraite, chose qu’il ne fit guère.
« Bien sur que non tu n’es pas seule Chérie, vu que je suis avec toi, et ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te laisser avec ce petit préfet.. »
Le jeune homme, légèrement dissimulé derrière des mèches de cheveux qui lui tombait devant le visage rapprocha la Serdaigle de lui, humant l’odeur de ses cheveux avec un sourire malsain aux lèvres.
« Lâche là, tu vois bien qu’elle ne veux pas être touchée par un mollusque tel que toi…Je te réserve déjà une retenue, ne m’oblige pas à aller plus loin. »
Premier avertissement du préfet de Gryffondor, et il n’y en aurait pas de deuxième. S’il ne coopérait pas, Dayton serait bien forcé d’agir. Surtout que la Serdaigle, a part de lui dire d’aller voir Merlin, ne l’encourageait pas plus que cela a la laisser tranquille, selon Dayton. Elle aurait pu sortir sa baguette, le frapper…Les solutions étaient nombreuses…
Invité- Invité
Re: L'ennemi de mon ennemi est mon ami ? | Pv Melinda
par Invité Ven 9 Avr - 13:11
- Inconnu - Bien sur que non tu n’es pas seule Chérie, vu que je suis avec toi, et ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te laisser avec ce petit préfet..
Et il se croyait beau en plus… Prétentieux. Arrogant. Vulgaire. Stupide. La liste est longue et on peut la continuer comme cela pendant des heures. Melinda essayait de bouger, elle essayait de se défaire de l’emprise qu’exerçait le toutou de Clyde, mais il était bien trop fort. C’est alors que, dans un geste assez brusque, il la ramena vers lui et elle put sentir qu’il reniflait ses cheveux. Sur le coup, la jeune fille crut bien qu’elle allait vomir sur place, ne pas se retenir. Et elle aurait dû… Si seulement elle avait eu sa baguette ! Le préfet qu’elle avait devant elle devait sûrement se poser des questions sur son non-agissement, elle était une sorcière bien meilleure que ce… Et se défendre ne posait donc aucun problème. Pour l’instant, Melinda pestait contre elle-même, se disant qu’elle n’oublierait plus jamais sa baguette et qu’un Rappeltout serait donc inutile. Elle échafaudait un plan, une manière de se défaire de ce boulet. Frapper simplement ? Elle était bien trop faible vu le gabarie qu’elle avait et le gabarie qu’il avait. Mais… Tout homme a un point faible, n’est-ce pas ? Il fallait juste une diversion. Il fallait qu’il desserre son bras pour qu’elle puisse se bouger ne serait-ce qu’un peu…
- Préfet - Lâche là, tu vois bien qu’elle ne veut pas être touchée par un mollusque tel que toi…Je te réserve déjà une retenue, ne m’oblige pas à aller plus loin.
Retenue. Ce mot avait provoqué la diversion que Melinda souhaitait. L’autre desserra son étreinte et elle en profita pour le mordre – d’ailleurs, il avait un goût horrible – ainsi que se retourner aussi vite que possible. Il n’eut pas le temps de se ressaisir qu’elle lui mit un coup de pied bien placé et se recula pendant qu’il se pliait en deux sous la douleur. Sachant qu’elle allait le regretter si elle restait à sa portée, elle se grouilla de se mettre à l’abri derrière le Préfet – pitoyable image de fille en détresse, ce qu’elle détestait cela… – en souriant pour le remercier déjà un peu, sans oser dire un seul mot. Pourquoi ? Car Melinda savait que les choses allaient peut-être se gâter et elle ne souhaitait pas le déconcentrer. Fuir ? Non… Si elle avait une punition par la suite, elle assumerait, mais n’allait sûrement pas se dérober comme une froussarde. Elle trouvait déjà bien humiliante cette situation et s’enfuir n’allait que lui attirer d’avantage d’ennuis. Deux minutes s’écoulèrent avant que quelqu’un n’ose réagir ou dire quoique ce soit. Malheureusement, ces deux minutes semblèrent bien courtes, car l’autre se remit droit peu de temps après et rétorqua :
- Inconnu - Toi… Tu vas me le payer ! Tu vas amèrement regretter d’avoir fait une chose pareille !
Il voulut avancer, ou menaça d’avancer du moins, mais ne le pouvait pas à cause du Préfet qui pointait toujours sa baguette sur lui. Seulement, une baguette… Chaque élève en avait une sur lui, normalement. Ce qui incluait cet élève également et cela se transformerait en duel assez rapidement. Qu’elle détestait cette situation ! Il ne fallait pas que cela dégénère, s’il arrivait quoique ce soit au Préfet, Melinda s’en voudrait éternellement. Elle ne se le pardonnerait jamais. Bon, il ne fallait pas voir que le côté négatif. Au moins, elle ne pensait plus à tout ce que cette petite fille lui avait raconté, à tout ce que sa fille lui avait dit, si c’était bien le cas. Enfin, elle y pensait, mais beaucoup moins. Pour le moment, la seule crainte de la jeune Serdaigle était la tournure des évènements actuels. Elle ne préférait pas répondre et ne rien ajouter de plus sous peine d’envenimer les choses, d’aggraver la situation. Melinda espérait simplement que le Préfet savait se battre et que tout se terminerait sans bavures.
Et il se croyait beau en plus… Prétentieux. Arrogant. Vulgaire. Stupide. La liste est longue et on peut la continuer comme cela pendant des heures. Melinda essayait de bouger, elle essayait de se défaire de l’emprise qu’exerçait le toutou de Clyde, mais il était bien trop fort. C’est alors que, dans un geste assez brusque, il la ramena vers lui et elle put sentir qu’il reniflait ses cheveux. Sur le coup, la jeune fille crut bien qu’elle allait vomir sur place, ne pas se retenir. Et elle aurait dû… Si seulement elle avait eu sa baguette ! Le préfet qu’elle avait devant elle devait sûrement se poser des questions sur son non-agissement, elle était une sorcière bien meilleure que ce… Et se défendre ne posait donc aucun problème. Pour l’instant, Melinda pestait contre elle-même, se disant qu’elle n’oublierait plus jamais sa baguette et qu’un Rappeltout serait donc inutile. Elle échafaudait un plan, une manière de se défaire de ce boulet. Frapper simplement ? Elle était bien trop faible vu le gabarie qu’elle avait et le gabarie qu’il avait. Mais… Tout homme a un point faible, n’est-ce pas ? Il fallait juste une diversion. Il fallait qu’il desserre son bras pour qu’elle puisse se bouger ne serait-ce qu’un peu…
- Préfet - Lâche là, tu vois bien qu’elle ne veut pas être touchée par un mollusque tel que toi…Je te réserve déjà une retenue, ne m’oblige pas à aller plus loin.
Retenue. Ce mot avait provoqué la diversion que Melinda souhaitait. L’autre desserra son étreinte et elle en profita pour le mordre – d’ailleurs, il avait un goût horrible – ainsi que se retourner aussi vite que possible. Il n’eut pas le temps de se ressaisir qu’elle lui mit un coup de pied bien placé et se recula pendant qu’il se pliait en deux sous la douleur. Sachant qu’elle allait le regretter si elle restait à sa portée, elle se grouilla de se mettre à l’abri derrière le Préfet – pitoyable image de fille en détresse, ce qu’elle détestait cela… – en souriant pour le remercier déjà un peu, sans oser dire un seul mot. Pourquoi ? Car Melinda savait que les choses allaient peut-être se gâter et elle ne souhaitait pas le déconcentrer. Fuir ? Non… Si elle avait une punition par la suite, elle assumerait, mais n’allait sûrement pas se dérober comme une froussarde. Elle trouvait déjà bien humiliante cette situation et s’enfuir n’allait que lui attirer d’avantage d’ennuis. Deux minutes s’écoulèrent avant que quelqu’un n’ose réagir ou dire quoique ce soit. Malheureusement, ces deux minutes semblèrent bien courtes, car l’autre se remit droit peu de temps après et rétorqua :
- Inconnu - Toi… Tu vas me le payer ! Tu vas amèrement regretter d’avoir fait une chose pareille !
Il voulut avancer, ou menaça d’avancer du moins, mais ne le pouvait pas à cause du Préfet qui pointait toujours sa baguette sur lui. Seulement, une baguette… Chaque élève en avait une sur lui, normalement. Ce qui incluait cet élève également et cela se transformerait en duel assez rapidement. Qu’elle détestait cette situation ! Il ne fallait pas que cela dégénère, s’il arrivait quoique ce soit au Préfet, Melinda s’en voudrait éternellement. Elle ne se le pardonnerait jamais. Bon, il ne fallait pas voir que le côté négatif. Au moins, elle ne pensait plus à tout ce que cette petite fille lui avait raconté, à tout ce que sa fille lui avait dit, si c’était bien le cas. Enfin, elle y pensait, mais beaucoup moins. Pour le moment, la seule crainte de la jeune Serdaigle était la tournure des évènements actuels. Elle ne préférait pas répondre et ne rien ajouter de plus sous peine d’envenimer les choses, d’aggraver la situation. Melinda espérait simplement que le Préfet savait se battre et que tout se terminerait sans bavures.
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