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Briséis • Brisée par la vie.

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Briséis • Brisée par la vie. Empty Briséis • Brisée par la vie.

Message par Invité Sam 8 Mai - 17:03

Briséis Pâris Montaigu
.


Briséis • Brisée par la vie. M93gqh

All around me are familiar faces
Worn out places, worn out faces
Bright and early for their daily races
Going nowhere, going nowhere
Their tears are filling up their glasses
No expression, no expression
Hide my head I want to drown my sorrow
No tomorrow, no tomorrow

And I find it kinda funny
I find it kinda sad
The dreams in which I'm dying
Are the best I've ever had
I find it hard to tell you
I find it hard to take
When people run in circles
It's a very, very mad world mad world

Children waiting for the day they feel good
Happy Birthday, Happy Birthday
Made to feel the way that every child should
Sit and listen, sit and listen
Went to school and I was very nervous
No one knew me, no one knew me
Hello teacher tell me what's my lesson
Look right through me, look right through me

And I find it kinda funny
I find it kinda sad
The dreams in which I'm dying
Are the best I've ever had
I find it hard to tell you
I find it hard to take
When people run in circles
It's a very, very mad world... world
Enlarging your world
Mad world



Qui êtes-vous ?
.

NOM - Montaigu.
PRENOMS - Briséis Pâris.
DATE DE NAISSANCE - 21 aout.
AGE - 19 ans.
ANNEE - Sixième année.
ORIGINES - Sang-mêlée. Née d'une mère sorcière, actuellement médicomage, et d'un père moldu qu'elle n'a jamais connu.

Eléments de sorcellerie
.

BAGUETTE - Briséis possède une baguette taillée dans du lierre, ce bois à la particularité de symbolisé la recherche de l’individu, le labyrinthe et l’errance de l’âme. Elle contient un cheveu de vélane qu’elle tient de son arrière-grand-mère, une femme honorable. De plus, celle-ci mesure vingt et trois centimètres.
PATRONUS - Le patronus de Briséis est une libellule signifiant l'illusion.
BIEN ou MAL - Indécise, Briséis ne prends part à aucun combat. Elle ne sait quel camp choisir, tout en elle la pousse à aller vers le mal, mais le souvenir de sœur l’amène auprès du bien.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES - Sachant que son amour ne lui serait jamais rendu et que la douleur qui l’étreignait ne la quitterait jamais, Briséis se suicida. On la retrouva pendue à un arbre de la propriété dans laquelle elle grandit. Elle se pendit avec la cravate de l’homme qu’elle aimait.

Hors-Jeu
.

PSEUDO - Jem'appelleJusineetc'esttrèsmoche.
AGE - On vas pas chipoter !
AVATAR - La magnifique Isabel Lucas, quoi que ça dépend des angles...
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Un de ces jours, bizarrement, j'ai reçu un mail comme quoi on m'avait répondu à un rp sur ce forum. Étonnant non ?
PRESENCE - Je viens quand je veux. Ou pour vous embêter, c'est au choix...
COMMENTAIRES - Briséis • Brisée par la vie. 573644


Dernière édition par Briséis P. Montaigu le Dim 9 Mai - 19:07, édité 2 fois

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Invité


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Briséis • Brisée par la vie. Empty Re: Briséis • Brisée par la vie.

Message par Invité Sam 8 Mai - 17:04

▬ CHAPITRE I

La pluie dégoulinait le long de mon visage. Mon regard était perdu dans l’horizon, ma grand-mère me parlait mais je n’entendais que des sons, des murmures. Je baissais la tête et fermais mes grands yeux bruns, mes cheveux collant mon visage. Je sentis quelqu’un prendre ma main et me forcé à avancer, mais je n’en avais aucune envie. C’était la même chose à chaque fois, dès que je voyais ma sœur, je ne pouvais m’empêcher de pleurer. Nous pénétrâmes dans le hall de st mangouste et une infirmière nous guida à travers le dédalle de couloirs blancs. Porte 221. Mes yeux rougis par les pleurs s’ouvrirent de surprise, pourquoi avait-elle changé de chambre ? Ma grand-mère poussa la porte de sa main abimée par les rides et j’entrais. Ma sœur était étendue dans son lit, immobile, seule sa poitrine se soulevait à un rythme régulier. En nous voyant entrer ma mère se redressa et vint me prendre dans ses bras.
« - Mon cœur, ta sœur vas mieux selon les médecins. La semaine prochaine, elle revient à la maison. Susurra-t-elle au creux de mon cou. »
Elle se mit à me fixer intensément. Je voyais dans ses yeux mille et une questions. Petit à petit, ils se remplirent de larmes. Aucune de ses deux filles n’allaient bien. L’un allongée dans un lit d’hôpital et vouée à la mort, l’autre s’enfermant dans la solitude, sans dire un mot depuis des mois. Non, je ne parlais plus. Je ne me souviens pas de quand ça à commencer mais je ne parlais plus, me contentant de fixer les gens avec mes yeux vides.
« - Tu veux lui faire un bisou ? Elle m’a parlé de toi avant de partir au bloc, tu lui manque beaucoup. »
Soudain un bruit nous fit sursauter. Nos regards se posèrent sur le lit de ma sœur, celle-ci était prise d’une quinte de toux. Mes yeux s’illuminèrent et je courrais vers elle afin de l’aider. Doucement, je passais ma main dans son dos et la redressait. Puis je posais délicatement mes lèvres gercées sur sa joue bien trop pâle. Ma petite-sœur avait cinq ans et son corps était totalement décharné, ses os saillaient par endroits, sa peau étaient devenue translucide. Pourtant, à l’inverse de moi, ses yeux brillaient. D’entre nous deux, ce fut elle la grande-sœur, elle qui me conseilla, elle qui me donna gout à la vie.
« - Briséis… »
J’aurais aimé lui répondre mais je n’y arrivais pas. Elle prit doucement ma main entre les siennes, la caressa tendrement, puis, sans que je m’y attende, y planta ses ongles. J’ouvrais mes yeux, horrifiée, et poussais un cri de surprise mêlée à la douleur. Ses yeux restaient encrés dans les miens, elle lâcha ma main et me dit d’une voix posée :
« - Tu vois que tu peux parler, tu peux même crier. Alors parle-moi. »
J’ouvris la bouche, mais la refermais quelques secondes plus tard. Les mots se bousculaient dans ma gorge mais aucuns n’arrivaient à en sortir. Je baissais la tête, mes yeux restant plongés dans les siens, et ouvris à nouveau la bouche. Les poings serrés et les sourcils froncés, je parlais pour la première fois depuis de longs mois :
« - Corellia… Excuse-moi.
- Mon Dieu ! Briséis ! »s’exclama ma mère, un grand sourire illuminant son visage fatigué.
Ma grand-mère resta en restait mais je pouvais sentir sa fierté emplir la petite pièce. Ma mère me fixait les yeux humides et les mains tremblantes, tandis que ma sœur me souriait. Elle me souriait toujours de la même façon, à l’instar d’une mère et de son enfant.

▬ CHAPITRE II

« - Mon cœur... »
Mon visage baignait dans le soleil de l'été, je plissais les yeux pour observer le ciel bleu. Allongée dans l'herbe, les bras croisés à l'arrière de mon crane. Je sentis ma mère s'asseoir en tailleur auprès de moi, elle prit ma main droite entre les siennes. J'aimais ma mère, mais elle me cachait tellement des choses que je n'arrivais pas à être bien avec elle. Je pouvais sentir ses yeux balayaient ma peau.
« - Mon cœur, répéta-t-elle, pourquoi tu ne me parles jamais ? Aie-je fais quelque chose mal ?
- Où est papa ? »
Elle s'arrêta de caresser le dos de ma main et je tournais mon visage vers le sien. J'avais posé la question interdite, l'ultime question. Elle se mordit la lèvre inférieure, cherchant sans doute ses mots. Ses yeux ne cessaient voyager entre les fleurs du jardin et l'horizon. J'ai suivi son regard posé sur les roses rouges. Synonyme de l'Amour. Elle soupira et me fit un pauvre sourire.
« - Ton père est loin maintenant, il a surement refait sa vie... avec une autre, une mieux pour lui. Tu sais, il n'avait pas de pouvoir, pour lui c'était dur à comprendre.
- Qu'est-ce qu'il a fait pour que tu lui cherches des excuses ? »
Elle recommença à se mordre les lèvres, elle le faisait à longueur de journée ces temps-ci. J'aurais voulu l'aider mais avant je voulais savoir. Pourquoi ? Comment ? Quand ? Où ? Et tellement d'autres questions qui se bousculaient dans mon esprit.
« - Ton père n'a pas accepté le fait que je sois une sorcière. Tu sais, j'aurais échangé tous mes pouvoirs pour un seul de ses sourires. Je l'aimais.
- Tu l'aimes encore, hein ? Murmurais-je.
- Quand je te regarde sourire, c'est son sourire que je vois. C'est comme s'il ne voulait pas me laisser l'oublier. Sa voix s'étouffa. On s'habitue à tout mon coeur. Je ne peux rien y faire à présent. »
J'avais cette envie folle de voir mon père, de lui parler. Mais il y avait cette peur du rejet qui m'étreignait. Je passais mes journées seule, n'osant pas sortir de ma prison dorée. Je savais que ma mère était comme moi, à une époque, mais que mon père, cet homme dont je ne connaissais rien, l'avait enlevée de cette prison. Je pouvais le lire dans ses yeux. Elle était déjà perdue dans ses souvenirs, d'un coup elle se tourna vers moi :
« - Ne tombe pas amoureuse, mon cœur. Saute d'un pont, ça te fera moins mal. Souviens-toi de ne jamais tomber amoureuse. Tu dépendras de cette personne, tu n'auras plus de liberté, plus de vie. Promet-le moi. Je ne veux pas que tu souffres comme j'en ai souffert.
- Maman...
- Promet-le Briséis. Je t'en prie.
- Oui. Maman, je te le promets. Viens, on rentre à la maison.
- Non, laisse-moi seule. »
Si j'avais su. Je l'aurais crue.

▬ CHAPITRE III

Ma mère était entrain de boutonner ma robe que je pleurais déjà à chaudes larmes. J’avais la tête lourde, légèrement penchée en arrière, les lèvres entrouvertes et les yeux fermés. Mon souffle ne voulais pas se calmer depuis qu’on m’avait apprit l’horrible nouvelle. Trois jours à passés à tourner en rond et cet appel qui avait réduit tous nos espoirs de la revoir nous sourire à néant. Putain de médicomages ! Bande d’incapables ! Je sentis une main se poser sur mon épaule et tournais le visage. Ma grand-mère affichait un visage serein, me montrant silencieusement l’exemple. Elle me sourit et commença à parler de sa voix cassée.
« - Ma belle, j’ai à te parler, écoute-moi veux-tu. A partir de maintenant, tu vas paraitre forte. Je ne te demande pas de le devenir, c’est une chose que l’on ne choisit pas, mais de le paraitre. A partir de maintenant, tu afficheras un sourire conquérant durant chaque secondes de te vie. A partir de maintenant tu ne seras plus la petite fille qui reste seule à regarder les autres jouer. Non. A partir de maintenant, tu seras celle qui choisit le jeu. Est-ce bien clair ? Je ne te demande pas ton avis, chérie. Je veux te voir quitter cette pièce le regard haut. Je t’attends dehors. »
Je fronçais les sourcils, confuse, tandis qu'elle quittait la pièce. J'inspirais longuement, plus qu'une semaine et je ferais mon entrée à Poudlard. Mon regard se posa sur le cadre de ma table de nuit. Une photo de moi et ma soeur dans ses beaux jours. Mon bras encerclant ses épaules et nos sourires éclatants. Elle me manquait terriblement. Dans un excès de rage, de colère et douleur, j'attrapais le cadre et l'envoyais contre le mur me faisant face. Le cadre de bois éclata, le verre se brisa puis se dispersa au pied du mur. Je me mis à genoux, posant volontairement mes mains sur les morceaux de verres. La photo me faisait face, quelques bouts de verre la transperçant. Je baissais les yeux, de mes mains du sang coulait. Cette souffrance me paraissait si futile comparée au trou béant dans mon coeur. Je relevais mes mains, les tournant de façon à voir mes paumes rouges sang. Délicatement je posais mes mains sur mon visage, lançant une trainée de sang sur mes yeux et mes joues. Puis je me laissais tomber sur le flanc, le regard perdu, ailleurs. La porte s'ouvrit sur ma mère qui cria d'horreur.
« - Briséis ! Briséis ! Mais qu'est-ce que tu fais ?! Réponds-moi merde !
- Laisse, Clara, je m'occupe de ma petite-fille. Vas donc nous attendre dans le salon.
- Maman ! Elle essaye de se tuer !
- Mais non ! Elle a brisé le cadre. Elle ne l'a pas fait exprès. »
Je voyais que ma grand-mère mentait, essayant maladroitement de rassurer ma mère. Elle se pencha vers moi et me redressa. J’avais l’impression d’être une poupée de chiffon. Un patin désarticulé. Ma tête dodelinait doucement, un sourire se traça sur mon visage tandis que la vieille épongeait mes joues. La souffrance était la clé de tout. Je suis née pour souffrir. Je mordis mes lèvres, les saignants. Soudain une main claqua sur mon visage. J’écarquillais les yeux de surprise.
« - Tu n'écoutes rien ! Pense à ta mère, à la vie qui te reste. Corellia doit se retourner dans sa tombe !
- Elle est partie avec moi de toute façon. Je l’ai senti lorsqu’ils ont enseveli son cercueil. »
Ma grand-mère soupira et posa sa main froide sur mes yeux, baissant mes paupières. Je sombrais dans un bonheur illusoire.

▬ CHAPITRE IV

Je me trouvais dans la salle sur demande, assise face à un piano. J'ai toujours aimé cet instrument, cette faculté qu'il a de laisser s'exprimer nos sentiments, nos ressentis. Mes doigts filaient si vite que je ne l'entendis pas entrer. La mélodie mélancolique emplissait la pièce de tout mon désespoir. Depuis que ma soeur m'avait quitté, je devais trouver des moyens pour évacuer la douleur. J'en avais trouvé plusieurs au fil des jours. Je faisais du mal aux autres, j'étais méchante, cynique, hautaine, je créais les disputes et les bastons. Je me mutilais, mon corps en portait les cicatrices plus ou moins profondes. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais j'adorais sentir mon sang me quitter. Parfois, je jouais du piano, cela avait le mérite de me détendre. Mais le meilleur moyen que j'eue trouvé, c'était lui. Un plan cul qui avait prit une trop grande place dans mon esprit comme dans mon coeur. Je le sentais dans mon dos, impatient, attendant que j'aie fini de jouer pour passer aux choses sérieuses. J'aurais aimé que Corellia soit là, qu'elle me tienne la main, qu'elle m'insuffle la vie comme elle savait si bien le faire. J'avais peur à chaque détour de couloir, j'avais peur de son regard lorsqu'il s'approchait de moi, j'avais peur de ce qu'il pourrait penser et de ce que les autres étaient entrain de penser. J'avais peur de tout. Ce n'était pas une vie, juste une torture. Mais c'est comme tout, on s'y habitue. On se démène comme on peut. Je haïssais tellement le bonheur qui m'entourait sans m'atteindre que j'en arrivais même à me complaire dans ma douleur. J'avais cette envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires là. Mais je n'y arrivais pas. Cette douleur me tordais le ventre à chaque pas que je faisais, elle me coupait le souffle dès que ma poitrine se soulevait, elle me faisait saigner de l'intérieur. Elle occupa une telle place en moi que j'en oubliais le bonheur. Je ne me rappelais pas avoir été heureuse depuis trop de temps. Mais il y a eu ce jour, où j'ai ressentis une sensation nouvelle, bizarre, dont je n'avais pas l'habitude, au creux de ses bras je me suis rendu compte que j'étais heureuse. . Cela n’a duré qu’un instant, infime. Et lorsqu’il s’est écarté de moi, ce fus comme s’il m’échappait, comme si le vide m’étreignait. Je détestais cette sensation de faiblesse que je ressentais lorsqu’il posait son regard sur mon corps nu, je haïssais sentir l’odeur d’une autre sur le col de sa chemise, j'abhorrais son sourire de séducteur. Je le haïssais de tout mon être et je l’aimais de tout mon cœur. J’aurais pu lui arracher le cœur pour lui prouver la puissance de mes sentiments à son égard. Si j’avais pu tout lui faire comprendre sans prendre le risque de le perdre. Un amour réduit à un plan cul, c’est ça la vie dont je me souviendrais, dont je rêvais ? Je voulais être celle qui fait battre son cœur, celle qu’il aurait peur de perdre. Et pourtant, je savais que tout cela était impossible. Ma vie reposait sur un amour à sens unique, un amour bâclé, un amour gâché. Il posa sa main sur mon épaule et déposa un chaste baiser au creux de mon cou, interrompant le fil de mes pensées.
« - Aller, viens. »
Un mot de sa part et je ne contrôlais plus rien. Lentement je me redressais et me tournais de façon à lui faire face. Il embrassa le coin de ma mâchoire et remonta jusqu'à mes lèvres. Je fermais les yeux sous la douceur de son assaut. Avec lui, je ne contrôlais rien, il me dominait de tout son être. Il me poussa contre le piano à queue, m'asseyant de force sur son couvercle. Je passais mes mains dans ses cheveux et prit passionnément possession de ses lèvres. Je n'ai pas envie de décrire ce qu'il se passa ensuite. Tout ce que je peux dire, c'est que lorsqu'il prit entièrement possession de moi, qu'au moment où je me donnais à lui, je vivais. J'étais vivante. Mon aspiration a mourir et à souffrir disparaissait. Entre ses bras, j'étais. Tout simplement.


Dernière édition par Briséis P. Montaigu le Dim 9 Mai - 22:16, édité 2 fois

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:09

FICHE TERMINÉE ! Briséis • Brisée par la vie. 926114

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:10

Bienvenue à toi ! Very Happy

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:12

Merci. Briséis • Brisée par la vie. 480563

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:30

Re-bienvenue, si j'ai bien saisi Briséis • Brisée par la vie. 573140
Jolie fiche, j'aime beaucoup ton style d'écriture ! C'est fluide comme j'aime ^^

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:32

Tu as bien saisis. ;p
Merci beaucoup. Briséis • Brisée par la vie. 331895

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:48

c'est beau. et tu as bien fait de faire un DC, cette miss-là m'parle plus Briséis • Brisée par la vie. 480563

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Message par Bonnie Becker Dim 9 Mai - 19:49

Re ^^

Bon je suis un peu embêtée... En fait je trouvais ta fiche super jusqu'au dernier chapitre, mais la fin gâche tout parce que je trouve que le perso est vraiment trop cliché >< Bon, après, y a rien d'interdit, juste que je suis déçue. Je m'attendais à voir un perso torturé, pas une ado qui vient d'apprendre la séparation du groupe Tokio Hotel. Enfin, je sais pas, je trouve que coucher à droite à gauche et se mutiler ça fait vraiment rebelle attitude version ado qui veut se la jouer super mature. Voilà, j'avais envie de le dire ^^' C'est dommage parce que tu écris super bien.

Pour la maison, du coup, je sais pas. Parce que je suis sûre que tu vises Serpentard, mais là encore ça ferait trop cliché. Et je vois pas trop dans quelle maison la mettre, en fait...
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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:56

Gryffondor ? (one more ? -_-')

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Message par Invité Dim 9 Mai - 19:57

Merci Tana & Evaa. santa

Je comprends ce que tu veux dire. Le truc c'est que je voulais qu'elle soit torturée de l'intérieur, mais j'arrivais pas vraiment à le tourner par écrit. Si tu préfère, j'enlève le fait qu'elle couche à droite, à gauche. Mais je veux garder le fait qu'elle se mutile, c'est le seul moyen qu'elle ai trouvé de sentir vivante. Je veux pas qu'elle fasse l'effet d'une ado rebelle, fan de TH, comme tu dis. (;

Pour la maison, au départ je m'étais dis qu'elle irais à Serpentard. Puis en écrivant, je n'y ai plus penser. Donc met la où tu le sens.

Je modifie pour les coups d'un soir.

EDIT : Je m'y retrouve jamais ! Heureusement que je n'ai que deux compte. --'

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Message par Bonnie Becker Dim 9 Mai - 20:14

Justement, le problème c'est que je la sens nulle part xD J'ai du mal à cerner quelque chose qui ferait qu'elle irait dans telle ou telle maison. Tana, tu penses Gryffondor toi ?

Merci sinon ^^ Rassure-toi, je voulais pas te freiner, c'est juste que j'ai tendance à dire ce que je pense x)
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Message par Invité Dim 9 Mai - 20:17

Gryffondor, le problème, c'est qu'elle n'a pas de force, ni de courage. Ou alors elle ne s'en rends pas compte.
Je crée des perso SDF. I love you

J'te comprends mais j'arrivais pas le tourner comme je le voulais, alors j'ai fait comme tout le monde. x)

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Message par Garden Fear Dim 9 Mai - 20:47

Ah mais pense à Neville ! Il n'avait rien du Gryffondor en arrivant à Poupou ! Il faudra attendre sa 5ème année pour voir enfin son courage faire surface et jusqu'à quel point ! Jusque là on aurait plus dit un Poufsouffle. Certaine qualité reste en sommeil et se réveille que lorsqu'on s'y attend le mojns. Je dis pas qu'elle est forcément courageuse et qu'elle ne le sait pas comme lui, mais peut-être possède-t-elle une qualité propre à une certaine maison qui n'est pas très visible pour le moment ^^
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Message par Montana D. Jones Dim 9 Mai - 20:50

Hum ... personnellement au départ, oui, spontanément je dirai Gryffondor. Mais en fait, elle ne fait pas vraiment face, elle ne fait que chercher des dérivatifs à sa douleur. Mais ... néanmoins, elle me fait l'effet d'un personnage ayant de la repartie, un caractère bien trempé même si elle est en souffrance à l'intérieur d'elle-même. En gros, un perso très culotté bien gryffondorien. m'enfin c'est mon opinion.
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Message par Invité Dim 9 Mai - 20:53

Vas pour Gryffindor alors ! Le fait est qu'elle se suicide et pour moi ce n'était pas une marque de "courage". Mais si son fort caractère à fait trancher le Choixpeau. C'est une vrai chieuse cette gamine, faut pas croire. *out*

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Message par Bonnie Becker Dim 9 Mai - 20:56

Bon bah voilà, allons-y pour Gryff xD
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Message par Invité Dim 9 Mai - 20:57

Une gryff qui sera méchante. Ma première. queen

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Message par Montana D. Jones Dim 9 Mai - 21:00

Les Gryffondor sont pas tous des anges, loin de là. Regardes Raquel O___O
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Message par Bonnie Becker Dim 9 Mai - 21:06

Moi je trouve ça bien quand on sort des sentiers battus x)
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Message par Invité Dim 9 Mai - 21:36

D'ailleurs, si on fait attention, ça fait deux vilaines gryff dans un même dortoir pirat
Je souhaite bon courage à la prochaine qui arrivera en sixième année ! xD

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Message par Invité Lun 10 Mai - 6:14

Garden Fear a écrit:Ah mais pense à Neville ! Il n'avait rien du Gryffondor en arrivant à Poupou ! Il faudra attendre sa 5ème année pour voir enfin son courage faire surface et jusqu'à quel point ! Jusque là on aurait plus dit un Poufsouffle. Certaine qualité reste en sommeil et se réveille que lorsqu'on s'y attend le mojns. Je dis pas qu'elle est forcément courageuse et qu'elle ne le sait pas comme lui, mais peut-être possède-t-elle une qualité propre à une certaine maison qui n'est pas très visible pour le moment ^^

Neville a toujours été mon dieu mrgreen Briséis • Brisée par la vie. 763382
hum... je disais donc; rebienvenue ♥️

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Message par Garden Fear Lun 10 Mai - 11:18

Je sais xD
C'est aussi l'exemple parfait lorsque je cois des choses comme "oui, mais il est pas comme ça donc pas telle maison" En faite je pense au coup des jumeaux Kene&Drake écrits pour aller à Poufsouffle mais qui avaient été envoyé malgré tous leurs arguments à Serpy parce que leur loyauté ne suffisait soit disant pas et que le modo se foutait de l'évolution prévu par les deux membres qui faisaient d'eux deux vrais Pouffy justement et pas du tout des Serpy ! (Nostalgie d'Eolge quand tu me tiens xD)
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