Spit It Out ft Paris.
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Spit It Out ft Paris.
Paris & Curtis
And if you're hurting
I will replace the noise with silence instead
Flushing out your head
If you like it violent
We can play rough and tumble
Fall into bed
And I won't breathe so you can recover
- Je suis incapable de trouver le sommeil et c’est comme cela depuis des jours. C’est la douleur qui me tient éveillé. Celle du corps et celle de l’âme. Je suis presque guéri de mes blessures de l’attaque de la tour des Serdaigle mais j’en retire de terribles maux de tête. Ça me prend comme ça, sans prévenir. J’imagine qu’il n’est pas bon de se prendre la tour d’un château sur la tête et que je devrais être heureux de m’en être sortis vivant…Et pourtant, je ne sens rien ! Pas d’euphorie, pas de sentiment d’incivilité…Juste cette envie de rien ! Je pose une main sur mon front, mes tempes sont brûlantes et je serre fermement la mâchoire. J’ai quitté l’infirmerie depuis une semaine et je n’ai pas songé à y retourner pour demander quelque chose afin de m’aider à supporter ces migraines. Bien qu’elles soient terribles, je préfère les encaisser, je préfère les subir. Chasser le mal par le mal. Elles sont la pour tenter d’effacer une autre douleur bien plus terrible, bien plus sauvage. Tellement dévorante que si je la laissais me submerger ce serait probablement le signe de la fin de ma santé mentale. SAM. Je me concentre sur la douleur de mes maux de têtes car je sens mon estomac se soulever. Je lutte mais je ne peux pas ! Je le vois encore dans cette infirmerie me dire que je ne suis pas ce qu’il lui faut. Qu’il doit se marier et que en gros on ne va nul part. Pourquoi n’ai-je pas eu la force de le retenir ? Pourquoi je ne me suis pas traîner plus bas que terre comme le chien que je suis le suppliant de garder au moins une petite place dans sa vie, dans son lit, dans ses bras.
Je me retourne sur le ventre et enfouis ma tête dans mon oreiller. J’ai envie de hurler, envie de pleurer mais je n’en suis pas capable. Je suis pourtant convaincu que cela pourrait m’aider mais je suis bien trop habituer aux faux semblants que pour me laisser aller à tant de vérité. Mon souffle chauffe l’oreiller mais cela ne m’aide pas à me calmer. Je me noie, je ne vois plus d’issue. Tout est noir et cela que j’aie les yeux ouverts ou fermés ! Je pourrais retourner voir Sam et lui dire que j’ai été stupide mais je n’y parviens pas non plus. Je sais du plus profond de moi que nous devrions ne plus jamais nous parler, ne plus jamais nous approcher mais il est tout pour moi ! Je vais devenir dingue, littéralement dingue ! Cela fait bien trop longtemps qu’il m’obsède et que ma soif de lui jamais ne s’étanche. Comment vais-je bien pouvoir m’en sortir et cela est il seulement possible ? Suis-je capable de me prendre en main ? J’en doute et comme pour confirmer mes dires, je glisse à l’aveugle une main sous mon matelas et j’en retire une bouteille de Whisky pur feu. Je me redresse et cale mon dos contre mon oreiller, je fixe la bouteille l’espace de quelques secondes et comme si elle était mon seule amis avant de finalement l’ouvrir pour en boire une large gorgée. Le but est l’anesthésie et non pas l’ivresse. C’est toujours ce que je me dis avant de finalement sombrer dans des limbes obscurs.
Ce lit et ses épais rideaux de velours verts qui l’entourent ont le don de m’oppresser. J’inspire mais c’est un peu comme si l’air avait du mal à emplir pleinement mes poumons. Je ne parviens pas à prendre une inspiration complète. Ce poids imaginaire sur mon ventre et mes côtes m’empêche de respirer correctement. Je n’ai pas la moindre idée de l’heure qu’il est …tard très certainement. Tout est silencieux autour de moi. Je quitte alors mon lit à pas de loup, je m’empare de ma baguette et de ma bouteille de Whisky. Pour le reste je ne porte qu’un boxer noir et un t-shirt blanc, je prends pas le temps d’enfiler un jeans. Qui a besoin d’un pantalon quand il est malheureux comme les pierres ? Je traverse le dortoir et me faufile par la porte. Je pense avoir été des plus discrets. J’entreprends de descendre vers la salle commune mais lorsque je passe la porte du dortoir des garçons de quatrième année, mon cœur manque un battement dans ma poitrine. Il est la, juste de l’autre coté de cette porte ! Mes doigts effleurent délicatement le bois de la porte. Je pourrais la défoncée, le rejoindre et le couvrir de baisers ! On pourrait oublier le reste du monde ! Ils n’ont plus qu’a tous crevé et nous, nous serons seul et enfin heureux ! Où peut être pas... Je réprime un sanglot et trouve refuge dans une gorgée d’alcool afin de puiser en moi le courage de m’éloigner de cette porte, de m’éloigner de lui. Putain de vie de merde ! J’ai envie de tout casser ! A ce stade moi aussi je pourrais presque faire péter une des tours du château ! J’ai si mal que... putain ! Je titube et pourtant l’alcool ne me fait pas encore d’effet.
Lentement, j’arrive au bas des escaliers menant à la salle commune. Je m’appuie contre la rampe, avale une nouvelle gorgée alors que par-dessus ma bouteille, je devine une silhouette qui me tourne le dos. Moi qui pensait être seul ! Je plisse les yeux et ne mets pas longtemps à le reconnaître. Paris ! Je ne sais plus quoi penser de lui ! Je l’ai désiré, je l’ai détesté …Mais tout cela parait si faible en comparaison à ce que je ressens maintenant. Je pourrais faire demi tour, je devrais peut être mais j’ai besoin de me sentir…vivant. Trébuchant à moitié, je quitte les escaliers et me dirige vers Paris assis devant le feu endormis dans la cheminée. Je ne vois pas ce qu’il fait, je m’en fiche complètement ! Arrivé à sa hauteur, je laisse mon doigt glisser dans sa nuque et rapidement je contourne le canapé pour me poser pile en face de lui. Je reste silencieux, je me contente de le fixer droit dans les yeux et avec toute l’intensité dont je suis capable. Cette intensité, je ne sais moi-même pas ce qu’elle contient, il ne dois pas pouvoir l’identifier non plus. Soudainement sans autre forme de procès, je prends la parole.
Curtis -Paris…J’ai besoin que tu me fasses mal !
Je continue de le fixer. J’ai parlé de manière claire, posée et très certainement décidée. Je me laisse aller à afficher un air de défis, espérant que cela le stimulera peut être. Tout en ne le quittant pas du regard, je bois une autre gorgée de Whisky.
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
La journée s’était terminée comme elle avait commencé… Paris avait toujours le même doute en tête… Les mêmes interrogations… Cette idiote de Jennings avait-elle eu un moutard ? Avait-il eu un sale mioche avec cette impure ? Et si dans le pire des cas cela était vrai… Où était son… Enfant… Rien que de dire ce mot, le Serpentard en avait la nausée ; lui qui avait toujours trouvé les gosses insupportables, pénibles, inintéressants et tellement stupides… Evidemment… Lui avait été un enfant si parfait et intelligent que tous les autres étaient à ses yeux des imbéciles finis. Certes… C’était ce que ses parents lui avaient répété incessamment pendant des années. Chose totalement fausse bien sûr, car Paris avait été un monstre, un sale gosse pourri gâté passant son temps à emmerder son frangin et à aller pleurer dans les jupes de sa mère quand Zane l’avait contrarié… Le jeune homme n’avait vraiment pas envie d’être père, surtout en ayant pour progéniture un bambin au sang souillé… Surtout que Tabatah avait été une erreur… Une faute… Malheureusement impossible à corriger… C’était pour cette raison qu’il devait trouver cette fille, la coincer pour enfin savoir la vérité. Même s’il ne voulait pas être confronté à elle, et à la possibilité qu’elle puisse lui avouer ce qu’il ne souhaitait pas entendre… Paris se devait d’avoir une petite conversation… Et dans l’éventualité que ses suspicions soient vraies, il allait devoir trouvé un moyen de clouer le bec de cette cruche… Elle ne devait rien dire, rien avouer à qui que ce soi où il perdrait tout son prestige et sa famille serait ternie à cause de lui… L’adulation que lui portaient Mr et Mme Montgomery s’effacerait à tout jamais… Et son crétin de frère se marrerait bien… Bref il fallait qu’il trouve une solution… Mais Tabatah n’était pas facile à approcher.
Sortant d’un pas nonchalant de son dernier cours de la journée il s’était directement rendu sur le terrain de Quidditch pour se défouler un peu et oublier pendant un moment cette histoire. Tout se passa bien jusqu’à ce qu’il se mette à pleuvoir et qu’une forte ravale de vent l’envoie contre un des poteaux de buts… Où il se cogna la tête… Vraiment pas de chance mais ce n’était pas un petit choc comme ça qui allait décourager Paris Montgomery. La plaie n’était pas très profonde, il avait déjà eu bien pire. Après avoir fait quelques autres figures il regagna la terre ferme et passa rapidement dans les vestiaires pour nettoyer son équipement de Quidditch. Puis il rentra au château pour dîner. Une fois rassasié il se rendit jusqu’à la salle de Potions, il était sans doute l’un des meilleurs élèves du château dans cette discipline si ce n’était le meilleur… Il devait soigner la plaie qu’il s’était fait un peu plus tôt. Plus besoin d’aller voir l’infirmière quand on était un génie en potion. D’habitude Paris avait toujours une fiole pour guérir les coupures ou les blessures ouvertes. Très utile et indispensable pour un joueur de Quidditch. Cependant la préparation devait rester un long moment sur le feu, ce qui permit à Paris de faire ses devoirs en attendant… Après deux heures d’attente, elle fut enfin prête. De couleur violette son odeur était agréable mais son application plutôt douloureuse. Mais elle devait refroidir pour être appliquée sur la peau.
Il rangea donc ses affaires et prit la route de la salle commune des Serpentard. Les couloirs des cachots étaient silencieux, la plupart des élèves étaient déjà dans leurs maisons respectives. Dans la salle commune, il ne trouva que des troisièmes et des quatrièmes années en train de travailler. Paris se posa dans le canapé et commença à lire un nouveau livre de potions à la recherche d’idées nouvelles… Le temps passa, les autres élèves allèrent se coucher. Paris posa son livre sur la table devant lui avant de s’approcher du feu pour se réchauffer un peu. Il laissa échapper un bâillement avant de se rasseoir dans le canapé. Il sortit sa fiole et déposa un peu de la mixture sur sa plaie, une douleur aiguë le tirailla pendant quelques secondes mais la plaie disparu presque instantanément... Il rangea la fiole et se mit à fixer les flammes qui dansaient paisiblement dans la cheminé avant d’entendre des pas venant des escaliers derrière lui. Paris ne se retourna pas, attendant de voir si cette personne allait s’approcher de lui. Puis il sentit quelque chose effleurer sa nuque, l’inondant de frison… Un léger sourire se dessina sur ses lèvres ; qui était cette personne qui pouvait bien lui porter une telle attention. Quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit l’identité de ce visiteur… Voilà que se postait devant lui Cullen, qui ne portait qu’un t-shirt et un boxer une bouteille de whisky à la main. Le sourire du Serpentard disparu bien vite… Bien déçu de ne pas voir une jolie camarade en petite tenue… Et frustré car il n’avait pas eu d’aventure depuis un moment… Cullen était tombé bien bas… Paris le trouvait vraiment ridicule ainsi, sauf que les mots qu’il lui souffla le heurtèrent de plein fouet.
Curtis - Paris…J’ai besoin que tu me fasses mal !
Paris le regarda d’un air surpris, se demandant s’il avait bien compris. Il n’y avait plus de doute à avoir, Curtis était vraiment barge. Le capitaine des Serpentard lâcha un rire forcé avant de se lever… Légèrement dérangé par la vue qu’il avait… En effet Curtis était debout en face de lui et le voir en sous-vêtement n’était pas franchement ce qui ravissait Paris. En se levant il se sentit nettement plus à l’aise, surplombant Cullen de quelques centimètres. Puis il répondit :
Paris - « Je sais bien que tout le monde ici me prend pour un connard, que tout le monde me déteste, mais je ne vois pas pourquoi je te cognerai sans raison... Tu devrais aller te coucher Cullen. T’as vraiment mauvaise mine. »
Il était vrai que Cullen n’avait pas l’air bien, à en juger par la bouteille de Whisky, Paris pensa qu’il avait encore du se bourrer la gueule.
Paris - « D’ailleurs c’est ce que je vais faire moi, je commence à être fatigué. Tu devrais faire pareil, mais ne comptes pas sur moi pour te border… Bonne nuit… »
Sortant d’un pas nonchalant de son dernier cours de la journée il s’était directement rendu sur le terrain de Quidditch pour se défouler un peu et oublier pendant un moment cette histoire. Tout se passa bien jusqu’à ce qu’il se mette à pleuvoir et qu’une forte ravale de vent l’envoie contre un des poteaux de buts… Où il se cogna la tête… Vraiment pas de chance mais ce n’était pas un petit choc comme ça qui allait décourager Paris Montgomery. La plaie n’était pas très profonde, il avait déjà eu bien pire. Après avoir fait quelques autres figures il regagna la terre ferme et passa rapidement dans les vestiaires pour nettoyer son équipement de Quidditch. Puis il rentra au château pour dîner. Une fois rassasié il se rendit jusqu’à la salle de Potions, il était sans doute l’un des meilleurs élèves du château dans cette discipline si ce n’était le meilleur… Il devait soigner la plaie qu’il s’était fait un peu plus tôt. Plus besoin d’aller voir l’infirmière quand on était un génie en potion. D’habitude Paris avait toujours une fiole pour guérir les coupures ou les blessures ouvertes. Très utile et indispensable pour un joueur de Quidditch. Cependant la préparation devait rester un long moment sur le feu, ce qui permit à Paris de faire ses devoirs en attendant… Après deux heures d’attente, elle fut enfin prête. De couleur violette son odeur était agréable mais son application plutôt douloureuse. Mais elle devait refroidir pour être appliquée sur la peau.
Il rangea donc ses affaires et prit la route de la salle commune des Serpentard. Les couloirs des cachots étaient silencieux, la plupart des élèves étaient déjà dans leurs maisons respectives. Dans la salle commune, il ne trouva que des troisièmes et des quatrièmes années en train de travailler. Paris se posa dans le canapé et commença à lire un nouveau livre de potions à la recherche d’idées nouvelles… Le temps passa, les autres élèves allèrent se coucher. Paris posa son livre sur la table devant lui avant de s’approcher du feu pour se réchauffer un peu. Il laissa échapper un bâillement avant de se rasseoir dans le canapé. Il sortit sa fiole et déposa un peu de la mixture sur sa plaie, une douleur aiguë le tirailla pendant quelques secondes mais la plaie disparu presque instantanément... Il rangea la fiole et se mit à fixer les flammes qui dansaient paisiblement dans la cheminé avant d’entendre des pas venant des escaliers derrière lui. Paris ne se retourna pas, attendant de voir si cette personne allait s’approcher de lui. Puis il sentit quelque chose effleurer sa nuque, l’inondant de frison… Un léger sourire se dessina sur ses lèvres ; qui était cette personne qui pouvait bien lui porter une telle attention. Quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit l’identité de ce visiteur… Voilà que se postait devant lui Cullen, qui ne portait qu’un t-shirt et un boxer une bouteille de whisky à la main. Le sourire du Serpentard disparu bien vite… Bien déçu de ne pas voir une jolie camarade en petite tenue… Et frustré car il n’avait pas eu d’aventure depuis un moment… Cullen était tombé bien bas… Paris le trouvait vraiment ridicule ainsi, sauf que les mots qu’il lui souffla le heurtèrent de plein fouet.
Curtis - Paris…J’ai besoin que tu me fasses mal !
Paris le regarda d’un air surpris, se demandant s’il avait bien compris. Il n’y avait plus de doute à avoir, Curtis était vraiment barge. Le capitaine des Serpentard lâcha un rire forcé avant de se lever… Légèrement dérangé par la vue qu’il avait… En effet Curtis était debout en face de lui et le voir en sous-vêtement n’était pas franchement ce qui ravissait Paris. En se levant il se sentit nettement plus à l’aise, surplombant Cullen de quelques centimètres. Puis il répondit :
Paris - « Je sais bien que tout le monde ici me prend pour un connard, que tout le monde me déteste, mais je ne vois pas pourquoi je te cognerai sans raison... Tu devrais aller te coucher Cullen. T’as vraiment mauvaise mine. »
Il était vrai que Cullen n’avait pas l’air bien, à en juger par la bouteille de Whisky, Paris pensa qu’il avait encore du se bourrer la gueule.
Paris - « D’ailleurs c’est ce que je vais faire moi, je commence à être fatigué. Tu devrais faire pareil, mais ne comptes pas sur moi pour te border… Bonne nuit… »
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
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Re: Spit It Out ft Paris.
Je devine à l’air surpris de Paris qu’il ne s’attendait pas à ça ! Ma venue tout comme ma requête d’ailleurs. Je ne peux pas vraiment l’en blâmer, je suis la pire compagnie qui soit en ce moment et de toute façon, même dans nos bons jours, Paris et moi ne nous entendons pas. Il se lève brusquement et son rire se répand dans la pièce. Je grimace brièvement et secoue les épaules, ce rire me fait mal. A-t-il seulement conscience de combien je suis à fleur de peau et probablement tellement instable que je serais presque un danger pour moi-même…ou pour les autres. Je reste figé sur place et ne quitte pas le Serpentard du regard.
Paris - « Je sais bien que tout le monde ici me prend pour un connard, que tout le monde me déteste, mais je ne vois pas pourquoi je te cognerai sans raison... Tu devrais aller te coucher Cullen. T’as vraiment mauvaise mine. »
C’est à mon tour d’afficher brièvement un air étonné…Paris qui me donne un conseil et de surcroît un bon conseil ! Je devrais faire ce qu’il dit. Ce serait le meilleur des choix et dans l’intérêt de tous mais je ne suis pas apte à prendre les bonnes décisions, je n’en ai pas envie. Je hausse les épaules et marmonne entre mes dents.
Curtis - S’il te faut des raisons pour me frapper je peux t’en trouver sans difficultés.
Et il est évident que je devrais très facilement pouvoir trouver les mots pour le faire enrager. Il suffirait de lui parler de la fois ou j’ai presque réussi à profiter de son corps. Je sais qu’il est déjà malade du fait que ses lèvres ont pu caresser les miennes, tellement malade que c’est justement ce qui en devient douteux. Entre lui et moi c’est explosif mais pourtant, je sais que sur certains points nous nous ressemblons plus qu’on pourrait le croire. J’avale lentement ma salive, ma gorge est serrée. Mon corps entier est tendu et je sens les lattes fraîches du plancher sous mes pieds nus.
Paris - « D’ailleurs c’est ce que je vais faire moi, je commence à être fatigué. Tu devrais faire pareil, mais ne comptes pas sur moi pour te border… Bonne nuit… »
L’espace d’une seconde, je reste parfaitement et totalement silencieux. Je devrais le laisse partir mais il n’a pas idée de ce qu’il se passe en moi. Personne n’en à la moindre idée d’ailleurs ! Il est hors de question que je le laisse m’abandonner comme ça ! Pas lui ! Paris est l’être que je peux mépriser plus encore que moi-même et je veux qu’aujourd’hui il m’accepte. Je veux qu’il comprenne qui je suis, j’ai besoin de lui et de sa froideur. Besoin d’être face à quelqu’un qui me juge à outrance, quelqu’un qui ne mâcherait pas ses mots. J’ai besoin de Paris même si cela me déplait moi-même de ressentir cela du plus profonde de mon être. La, subitement, c’est comme si j’avais l’impression qu’une partie de moi se briserait s’il quittait la pièce. Tordus comme je suis, je suis encore capable d’être occupé à faire un transfert… Comme je l’ai dit, je deviens fou. Je sort de ma torpeur et bondis en avant pour barrer la route à Paris.
Curtis - On est tout les deux des connards et à la fois on en est pas…Paris j’ai besoin que tu m’aide !
Ma main se pose sur son avant bras que je serre fermement. Ce geste à tout d’un appel au secours mais pourquoi se dirige t’il vers la seul personne probablement incapable de l’entendre. C’est vers Montana que je devrais me tourner, elle pourrait me comprendre et faire preuve de douceur et de logique. Paris c’est tout le contraire. Je fais n’importe quoi mais je suis bien décidé à le faire ! Mon regard perdu dans le sien se fait suppliant et un sanglot se bloque dans ma gorge. Je lutte de toutes mes forces pour le refouler.
Curtis - Je pourrais trouver un moyen que tu me casses la gueule et tu le sais ! Je peux décider de ne pas le faire mais je t’en supplie reste avec moi. Ne me confronte pas à ton indifférence…
Ne fait pas comme lui ! Je garde cette partie pour moi, s’en est trop. J'ai de toute façon toujours eu du mal avec l'idée d'être rejeté et ces derniers temps, je suis loin d'avoir été épargné à ce niveau la. Aurais je totalement perdu ma force de persuasion et mon charme légendaire? Je ne suis plus que l'ombre de moi même et cela ne peux pas durer éternellement. Je sais que je suis pathétique mais ai-je réellement d’autres possibilités. ? Je serre un peu plus mon étreinte sur l’avant bras de Paris. Ce contact est actuellement mon seul repère et je ne veux pas le perdre.
Curtis - Aide moi ! D’une façon ou d’une autre, fait moi oublier combien j’ai mal !
Entendra t’il mon appel ? Les cartes sont dans ses mains. Ma dernière alternative serrait de me traîner à ses pieds mais je garde ça pour un autre Serpentard endormis quelques étages plus haut dans son dortoir.
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
A vrai dire Paris n’était pas vraiment fatigué. Mais l’idée de devoir se retrouver avec Cullen ne le réjouissait pas vraiment. Il n’avait jamais aimé ce type, difficile à cerner, bizarre… A croire que leurs personnalités étaient incompatibles. Du moins c’était ce que Paris avait toujours pensé, sans vraiment savoir qui était réellement son camarade vert et argent. Paris était du genre à juger les gens très vite et un seul défaut, une seule erreur de leur part suffisait amplement à faire le tri dans ses amis… C’était sans doute pour ça que personne ne l’aimait. Il s’en fichait bien, trop hypocrite pour avouer que le problème c’était peut être lui et pas les autres. Le défaut de Curtis était son caractère affriolant, volage… Qui le rendait irrésistible aux yeux de bon nombre de personne. Et surtout cet air provocateur, joueur dès que leurs regards se croisaient. La vérité était que Paris le craignait d’une certaine façon… On ne savait jamais à quoi s’attendre avec lui. Paris sentit de la frustration chez Curtis au moment même où il avait décidé de lui fausser compagnie. Il ne comprit pas les mots que Curtis marmonna, mais à en juger par son expression il sentit que cela déplaisait à son interlocuteur. Néanmoins Paris en avait que faire de Cullen et de ses problèmes… Paris le laissa en plan avant de prendre la direction des escaliers afin de remonter jusqu’à son dortoir… Mais Curtis le rattrapa…
Curtis - On est tout les deux des connards et à la fois on en est pas…Paris j’ai besoin que tu m’aide !
Il était à présent devant Paris et s’était emparé de son avant-bras… Sacré poigne pour un gars aussi frêle… Mais il ne savait pas contre qui il s’interposait. Paris aurait pu l’envoyer valser sans problème. Cependant la voix de Curtis retentit une nouvelle fois, elle semblait emplie de peine et de rage…
Curtis - Je pourrais trouver un moyen que tu me casses la gueule et tu le sais ! Je peux décider de ne pas le faire mais je t’en supplie reste avec moi. Ne me confronte pas à ton indifférence…
Curtis resserra encore un peu plus sa prise. Il espérait vraiment retenir Paris de cette façon ? Ce gars était totalement inconscient, le pire c’était qu’il savait très bien que Paris pouvait lui en flanquer une. Il suffisait de l’importuner encore un peu plus et le coup volerait sans hésitation. Que pouvait-il bien se passer dans la tête de ce taré ? A vrai dire Paris ne comprenait pas pourquoi il voulait absolument être avec lui, lui porter de l’attention… Il était hors de question d’être bienveillant ou d’être gentil avec lui tout ça parce qu’il avait des soucis… Paris à l’écoute des autres ? Cela ne s’était jamais vu et ce n’était pas prêt d’arriver. Pas de bol pour Cullen mais il avait intérêt à lâcher sa prise sans quoi il le regretterait. Pourtant il n’avait pas l’air décidé à abandonner…
Curtis - Aide moi ! D’une façon ou d’une autre, fait moi oublier combien j’ai mal !
L’aider ? Lui ! Et puis quoi encore. Merde quoi ! Paris psy ? Il ne fallait pas se foutre de la gueule du monde non plus ! D’ailleurs il laissa échapper un soupir d’exaspération. Avant d’exprimer son mécontentement.
Paris – « Cullen ! Tu vas te calmer et lâcher mon bras… Et me dire depuis quand tu m’as vu faire du social… Tes problèmes je m’en fous royalement ! Désolé de te décevoir mais t’as frappé à la mauvaise porte… »
Paris se dégagea violemment. Commençant à s’échauffer il regarda Curtis avec dédain totalement indifférent à son appel à l’aide. Cette réaction n’était aucunement inattendue de sa part, son camarade de chambrée aurait pu le prévoir. Toutefois Paris se doutait bien qu’il ne renoncerait pas. Il savait très bien que Cullen n’abandonnerai pas sans avoir eu ce qu’il voulait… Mais Paris, étant aussi borné que lui, l’altercation allait sûrement être inévitable. Cependant Paris força le passage bousculant Curtis afin d’atteindre les escaliers.
Curtis - On est tout les deux des connards et à la fois on en est pas…Paris j’ai besoin que tu m’aide !
Il était à présent devant Paris et s’était emparé de son avant-bras… Sacré poigne pour un gars aussi frêle… Mais il ne savait pas contre qui il s’interposait. Paris aurait pu l’envoyer valser sans problème. Cependant la voix de Curtis retentit une nouvelle fois, elle semblait emplie de peine et de rage…
Curtis - Je pourrais trouver un moyen que tu me casses la gueule et tu le sais ! Je peux décider de ne pas le faire mais je t’en supplie reste avec moi. Ne me confronte pas à ton indifférence…
Curtis resserra encore un peu plus sa prise. Il espérait vraiment retenir Paris de cette façon ? Ce gars était totalement inconscient, le pire c’était qu’il savait très bien que Paris pouvait lui en flanquer une. Il suffisait de l’importuner encore un peu plus et le coup volerait sans hésitation. Que pouvait-il bien se passer dans la tête de ce taré ? A vrai dire Paris ne comprenait pas pourquoi il voulait absolument être avec lui, lui porter de l’attention… Il était hors de question d’être bienveillant ou d’être gentil avec lui tout ça parce qu’il avait des soucis… Paris à l’écoute des autres ? Cela ne s’était jamais vu et ce n’était pas prêt d’arriver. Pas de bol pour Cullen mais il avait intérêt à lâcher sa prise sans quoi il le regretterait. Pourtant il n’avait pas l’air décidé à abandonner…
Curtis - Aide moi ! D’une façon ou d’une autre, fait moi oublier combien j’ai mal !
L’aider ? Lui ! Et puis quoi encore. Merde quoi ! Paris psy ? Il ne fallait pas se foutre de la gueule du monde non plus ! D’ailleurs il laissa échapper un soupir d’exaspération. Avant d’exprimer son mécontentement.
Paris – « Cullen ! Tu vas te calmer et lâcher mon bras… Et me dire depuis quand tu m’as vu faire du social… Tes problèmes je m’en fous royalement ! Désolé de te décevoir mais t’as frappé à la mauvaise porte… »
Paris se dégagea violemment. Commençant à s’échauffer il regarda Curtis avec dédain totalement indifférent à son appel à l’aide. Cette réaction n’était aucunement inattendue de sa part, son camarade de chambrée aurait pu le prévoir. Toutefois Paris se doutait bien qu’il ne renoncerait pas. Il savait très bien que Cullen n’abandonnerai pas sans avoir eu ce qu’il voulait… Mais Paris, étant aussi borné que lui, l’altercation allait sûrement être inévitable. Cependant Paris força le passage bousculant Curtis afin d’atteindre les escaliers.
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
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Re: Spit It Out ft Paris.
Oh je vois bien que mon attitude lui déplait au plus haut point ! Il n’y a aucun doute à avoir la dessus et d’ailleurs je n’aurais pas la prétention de dire que je m’attendais à quoi que soit d’autres. Ma main sur son avant bras le dérange et je devinerais presque le mépris dans son regard sombre. Je le sens me rejeté de tout son corps et de toute son âme, ça fait un mal de chien et cela même venant de lui. Ce n’est pourtant pas comme si je n’en avais pas l’habitude mais la je ne suis pas en mesure de l’accepté. On pourrait s’imaginer qu’il est plus facile de ne pas montrer ses faiblesses à ses ennemis mais je ne fonctionne pas comme cela. Dans mon étrange fonctionnement, c’est tout l’inverse ! Une personne que je place haut dans mon estime n’aurait pas à me voir dans cet état, j’en serais malade. Paris c’est différent car avec lui, au final, je n’ai rien à perdre.
Paris - « Cullen ! Tu vas te calmer et lâcher mon bras… Et me dire depuis quand tu m’as vu faire du social… Tes problèmes je m’en fous royalement ! Désolé de te décevoir mais t’as frappé à la mauvaise porte… »
Il se dégage violemment, me bouscule et je titube à moitié. J’évite la chute de justesse mais je suis loin d’être au mieux de mes capacités. J’ai tout juste le temps de me stabiliser et de poser sur une table ma bouteille de Whisky que le vois se diriger vers les escaliers. Je ne perds pas une seconde et entame de le suivre tout en lui répondant.
Curtis - Tu crois vraiment que c’est ce que j’attends de toi ? Que je pose ma tête sur tes genoux et que je te raconte tous mes problèmes ? Oh crois moi je n’ai pas l’audace d’imaginer cela un seul instant ! Tu es Paris Montgomery après tout ! C’est à croire que tu me pense plus stupide encore que je ne le croyais !
Ce n’est pas ce que j’attends de lui, pas un seul instant. Lui confier mon histoire avec Samaël serait presque équivalent à un suicide social et tout perte d’espoir d’un jour retrouvé mon grand amour. Je suis paumé certes mais pas encore totalement fou. Ce que j’attends de lui, je ne suis pas convaincu de le savoir moi-même. Je sais ce que je ne veux pas : abandon et indifférence. Tous les moyens seront bons pour y parvenir. Je me sens brûlant ! Brûlant de rage, de désespoir… Tout mes sentiments et émotions sont exacerbés, je suis à fleur de peau. Plus réellement maître de moi-même. Je continue de le suivre alors que nous arrivons au bas des escaliers.
Curtis - Fais quelque chose ! A défaut d’un coup de poing, je me satisferais bien volontiers d’un coup de queue.
Terriblement vulgaire mais si explicite ! Je grogne et expire profondément.
Curtis - Je suis persuadé que toi aussi tu as besoin de te défouler ! Imagine que tu fourre n’importe quel pétasse de Poudlard. Je te promets que tu vas jouir !
Un rire des plus étrange s’échappe de ma gorge et contre toutes attentes, je sens l’érection naître dans mon caleçon. Il m’en faut si peu. J’en ai la tête qui tourne et alors qu’il me tourne toujours le dos, je l’attrape par l’épaule et me colle à lui. Mon sexe dure et gonflé pressé contre ses fesses. Je ne laisse pas passer plus d’un quart de seconde avant de glisser l’une de mes mains vers son entrejambe et d’abattre mon autre poing dans les côtes de Paris. Si après cela il ne trouve pas l’envie de me défoncer d’une façon ou d’une autre c’est que plus rien ne tourne rond dans ce putain de monde.
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
Paris entama sa remontée vers son dortoir… Sachant pertinemment que Cullen le suivrait, d’une parce qu’ils occupaient le même dortoir et de deux parce que Cullen était un entêté de première. Cette confrontation nocturne était loin de se terminer… Chose qui déplaisait bien évidemment au capitaine de Quidditch. Si Curtis ne l’avait pas autant reluqué et dévoré des yeux peut être qu’ils « auraient » pu s’entendre. Mais la réputation, que ce soit de l’un ou de l’autre faisait qu’ils n’arriveraient sûrement jamais à s’arranger. Alors qu’il n’avait gravi que quelques marches, Paris entendit la voix de son poursuivant retentir un peu plus bas.
Curtis - Tu crois vraiment que c’est ce que j’attends de toi ? Que je pose ma tête sur tes genoux et que je te raconte tous mes problèmes ? Oh crois moi je n’ai pas l’audace d’imaginer cela un seul instant ! Tu es Paris Montgomery après tout ! C’est à croire que tu me pense plus stupide encore que je ne le croyais !
Mais qu’il aille se faire foutre ! Bien sûr que Paris le trouvait stupide ! Espèce d’imbécile ! D’un côté il avait eu conscience de ne pas croire que Paris aurait pu l’écouter parler gentiment de ses ennuis. Ce qui d’un autre côté inquiéta Paris… Cullen semblait prêt à tout pour oublier ses problèmes, même l’espace d’un instant. Il avait trouvé la première personne qu’il avait trouvée. Bien sûr il fallait que ça tombe sur Paris. Pas de chance. Sauf que connaissant l’autre énergumène, Paris se doutait bien qu’il pouvait être prêt à tout… D’ailleurs la réplique qui suivit confirma ses appréhensions.
Curtis - Fais quelque chose ! A défaut d’un coup de poing, je me satisferais bien volontiers d’un coup de queue.
Il aurait pu le crier encore plus fort nan ? Qu’il pouvait être indécent… Il pouvait hurler tant qu’il le voulait, Paris ne s’arrêterait pas ! Sauf que ce dernier avait prit cette remarque à la légère continuant son chemin sans prendre garde que Curtis commençait à se rapprocher… Dangereusement… Malgré ses craintes, il ne s’affolerait pas avant que Curtis ne tente quoique ce soit. Et cela allait arriver plus tôt qu’il ne le pensait. Derrière lui il put distinguer les pas de Cullen se faisant plus proche. Tout comme sa voix.
Curtis - Je suis persuadé que toi aussi tu as besoin de te défouler ! Imagine que tu fourre n’importe quel pétasse de Poudlard. Je te promets que tu vas jouir !
Il était difficile de l’avouer mais là il marquait un point… Cela faisait un moment que Paris ne s’était pas rassasié. Pas simple de trouver une fille qui accepte de se faire approcher par Paris Montgomery, vu la sale réputation qu’il avait. Il était le connard qui couchait avec de pauvres filles qu’il laissait en plan après avoir eu ce qu’il voulait… Sauf celles qui étaient sous son charme… Dommage qu’elles soient de plus en plus rares. Sur ce point là, il avait tout à envier de Cullen… Lui c’était tout l’inverse… Il arrivait plus souvent à se dépêtrer de ce genre de plan à la con. Allez savoir comment il y parvenait… Bref, il était vrai que Paris commençait vraiment à être à bout… Mais ce n’était pas une raison pour que Curtis en profite. Des deux Montgomery que comptait l’école, ce n’était pas à lui qu’il fallait proposer ce genre d’offre… Il préférait encore se taper la fille la plus laide de Poudlard plutôt que son camarade de chambre…
Cependant le rire que laissa échapper Curtis derrière lui le ramena à la raison. Peut être qu’il aurait du « s’enfuir » plus rapidement de la salle commune et laisser Cullen en plan à se morfondre sur son sort… Le contact soudain avec le jeune homme qui était enfin parvenu à la rattraper ne le réjouit guère. Surtout lorsqu’il sentit derrière lui quelque chose de totalement inattendu. Le fait que Cullen ne porte qu’un simple boxer ne laissait plus aucun doute pour Paris, cette subite excitation pour lui le laissa de marbre l’espace d’une seconde. Donnant la possibilité à Curtis de laisser balader librement ses mains sur son corps. Ce ne fut que lorsqu’une de ses mains arriva au niveau du haut de sa cuisse que Paris réagit. Il se retourna brusquement, attrapant Curtis par le cou d’une main le plaquant contre le mur du couloir.
Paris – « Ne joue pas à ça avec moi Cullen… Tu sais très bien que ça n’arrivera jamais… Par contre ça… »
Avant même la fin de sa phrase le poing de sa main libre heurta violement le visage de Curtis. Paris avait à présent les nerfs à vifs. Vexé et embarrassé par ce contact imprévisible lorsque Cullen s’était jeté sur lui.
Paris – « …Tu l’as bien mérité ! »
Paris était en colère plus que jamais et sa main se referma encore un peu plus sur le cou de Curtis. Il hurla à nouveau, sans se soucier des autres élèves qui dormaient profondément dans les dortoirs non loin d’eux.
Paris – « Essaye encore pour voir ! Jamais tu n’arriveras à m’avoir t’entends ! Jamais ! »
Il poussa à nouveau Curtis contre le mur avant de lâcher prise. Son regard fixait Curtis d’un air méprisant et noir. C’était un avertissement, Cullen avait intérêt de le considérer comme tel. Paris n’hésiterait pas à refaire usage de ses poings s’il le fallait…
Curtis - Tu crois vraiment que c’est ce que j’attends de toi ? Que je pose ma tête sur tes genoux et que je te raconte tous mes problèmes ? Oh crois moi je n’ai pas l’audace d’imaginer cela un seul instant ! Tu es Paris Montgomery après tout ! C’est à croire que tu me pense plus stupide encore que je ne le croyais !
Mais qu’il aille se faire foutre ! Bien sûr que Paris le trouvait stupide ! Espèce d’imbécile ! D’un côté il avait eu conscience de ne pas croire que Paris aurait pu l’écouter parler gentiment de ses ennuis. Ce qui d’un autre côté inquiéta Paris… Cullen semblait prêt à tout pour oublier ses problèmes, même l’espace d’un instant. Il avait trouvé la première personne qu’il avait trouvée. Bien sûr il fallait que ça tombe sur Paris. Pas de chance. Sauf que connaissant l’autre énergumène, Paris se doutait bien qu’il pouvait être prêt à tout… D’ailleurs la réplique qui suivit confirma ses appréhensions.
Curtis - Fais quelque chose ! A défaut d’un coup de poing, je me satisferais bien volontiers d’un coup de queue.
Il aurait pu le crier encore plus fort nan ? Qu’il pouvait être indécent… Il pouvait hurler tant qu’il le voulait, Paris ne s’arrêterait pas ! Sauf que ce dernier avait prit cette remarque à la légère continuant son chemin sans prendre garde que Curtis commençait à se rapprocher… Dangereusement… Malgré ses craintes, il ne s’affolerait pas avant que Curtis ne tente quoique ce soit. Et cela allait arriver plus tôt qu’il ne le pensait. Derrière lui il put distinguer les pas de Cullen se faisant plus proche. Tout comme sa voix.
Curtis - Je suis persuadé que toi aussi tu as besoin de te défouler ! Imagine que tu fourre n’importe quel pétasse de Poudlard. Je te promets que tu vas jouir !
Il était difficile de l’avouer mais là il marquait un point… Cela faisait un moment que Paris ne s’était pas rassasié. Pas simple de trouver une fille qui accepte de se faire approcher par Paris Montgomery, vu la sale réputation qu’il avait. Il était le connard qui couchait avec de pauvres filles qu’il laissait en plan après avoir eu ce qu’il voulait… Sauf celles qui étaient sous son charme… Dommage qu’elles soient de plus en plus rares. Sur ce point là, il avait tout à envier de Cullen… Lui c’était tout l’inverse… Il arrivait plus souvent à se dépêtrer de ce genre de plan à la con. Allez savoir comment il y parvenait… Bref, il était vrai que Paris commençait vraiment à être à bout… Mais ce n’était pas une raison pour que Curtis en profite. Des deux Montgomery que comptait l’école, ce n’était pas à lui qu’il fallait proposer ce genre d’offre… Il préférait encore se taper la fille la plus laide de Poudlard plutôt que son camarade de chambre…
Cependant le rire que laissa échapper Curtis derrière lui le ramena à la raison. Peut être qu’il aurait du « s’enfuir » plus rapidement de la salle commune et laisser Cullen en plan à se morfondre sur son sort… Le contact soudain avec le jeune homme qui était enfin parvenu à la rattraper ne le réjouit guère. Surtout lorsqu’il sentit derrière lui quelque chose de totalement inattendu. Le fait que Cullen ne porte qu’un simple boxer ne laissait plus aucun doute pour Paris, cette subite excitation pour lui le laissa de marbre l’espace d’une seconde. Donnant la possibilité à Curtis de laisser balader librement ses mains sur son corps. Ce ne fut que lorsqu’une de ses mains arriva au niveau du haut de sa cuisse que Paris réagit. Il se retourna brusquement, attrapant Curtis par le cou d’une main le plaquant contre le mur du couloir.
Paris – « Ne joue pas à ça avec moi Cullen… Tu sais très bien que ça n’arrivera jamais… Par contre ça… »
Avant même la fin de sa phrase le poing de sa main libre heurta violement le visage de Curtis. Paris avait à présent les nerfs à vifs. Vexé et embarrassé par ce contact imprévisible lorsque Cullen s’était jeté sur lui.
Paris – « …Tu l’as bien mérité ! »
Paris était en colère plus que jamais et sa main se referma encore un peu plus sur le cou de Curtis. Il hurla à nouveau, sans se soucier des autres élèves qui dormaient profondément dans les dortoirs non loin d’eux.
Paris – « Essaye encore pour voir ! Jamais tu n’arriveras à m’avoir t’entends ! Jamais ! »
Il poussa à nouveau Curtis contre le mur avant de lâcher prise. Son regard fixait Curtis d’un air méprisant et noir. C’était un avertissement, Cullen avait intérêt de le considérer comme tel. Paris n’hésiterait pas à refaire usage de ses poings s’il le fallait…
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Re: Spit It Out ft Paris.
Paris -« Ne joue pas à ça avec moi Cullen… Tu sais très bien que ça n’arrivera jamais… Par contre ça… »
Ne pas jouer avec lui ? Mais c’est lui qui l’a cherché ! Nous n’étions pas obligés d’en arriver la si il ne m’y avait pas pousser. C'est lui qui a choisi de nous mener vers ce chemin. Ne pouvait il tout simplement pas comprendre que j'avais besoin qu'il m'accorde un tant soit peu d'attention!?! Bien sure que non ! Pourquoi les choses seraient elles simples pour une fois? Le poing de Paris s’écrase violemment contre ma mâchoire et je peux aussitôt sentir ce léger goût de sang qui s’échappe de mes gencives. Le connard y à été fort ; sur ce point la au moins, il ne me déçois pas.
Paris -« …Tu l’as bien mérité ! »
J’ai l’audace de lui sourire mais c’est un sourire qui lui montre pour combien je suis, pour cette fois, plus que parfaitement d’accord avec lui. Je l’ai mérité, je l’ai bien cherché….j’ai gagné quoi ! Ce large sourire ne décolle pas de mes lèvres alors que la main de Paris se serre autour de mon cou. Je devrais peut être cesser de faire le malin mais je n’ai pas encore eu ma dose. Bien que je vire au rouge, je ne cesse de le fixer droit dans les yeux. Je le défie.
Paris -« Essaye encore pour voir ! Jamais tu n’arriveras à m’avoir t’entends ! Jamais ! »
Essaye encore ! L’un de mes sourcils se relève et j’affiche un air intéressé, il n’aura pas à me le demander deux fois. Il me repousse violemment contre le mur, je trébuche et tombe à genoux. De toute sa hauteur et de tout son mépris, il me toise. La haine et le dégoût que je lis dans son regard valent mieux que toutes formes d’indifférence. Un long frisson glisse le long de ma colonne vertébrale. J’ai mal. Cette chute à réveiller la douleur dans mes côtes, ma mâchoire me tue, mon mal de tête est toujours présent mais au moins je me sens putain de vivant ! Hors de question que je laisse cette sensation m’échappée aussi rapidement. Cela fait peut être deux minutes trente que je n’ai plus pensé à Sam, cela tiens presque du miracle. Sans plus attendre et toujours à genoux, je m’agrippe aux hanches de Paris et tente de défaire la ceinture de son pantalon. Cela teindrait presque du viol mais je ne me sens aucunement coupable. Quelque chose me dit que lui-même ne doit pas toujours pas être des plus délicats. J’ai souvent un bon instinct concernant l’amant que chacun pourrais faire. Je déboutonne son pantalon et lui réponds enfin.
Curtis -Tu n’as pas compris que je ne cesserai jamais ! Tes poings ou ta bite je m’en fou ! Je veux que tu me laisses épuisé d’une façon ou d’une autre.
Je me mords la lèvre inférieure tout en levant les yeux vers lui. Quel malchance pour lui de s’être trouvé sur mon passage ce soir ! Cela n’aurait pas pu être pire pour lui…ou mieux, pour moi. Ma main glisse dans son caleçon, je saisi son sexe entre mes doigts. Contrairement à d’autres de mes amants, je ne vais pas avoir Paris par la douceur. Ce n’est pas en le couvrant de baisers et de mots doux que j’obtiendrai ce que je veux mais bien en le poussant à bout, au plus loin de ses retranchements.
Curtis -Tu peux choisir la douleur…Ou le plaisir ! Rappelle toi ! J’ai été capable de te provoquer une érection…Je peux recommencer ! Et si tu as besoin de te saouler, j’ai ce qu’il faut…
Une fois encore le choix est entre ses mains mais il ne pourra pas se défaire de moi. Le pire c’est que nous partageons le même dortoir et au point ou j’en suis-je serais capable de créer une véritable esclandre. Je continue de caresser son sexe, le mouvement de vas et viens n’est aucunement hésitant. Ma langue glisse sur mes lèvres. Ce que je m’apprête à faire est évident. Il me reste à savoir s’il va choisir d’être enfin raisonnable ou si je vais encore manger de ses poings. Personnellement les deux me conviendrons !
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
Curtis s’écroula à genoux sur le sol. Paris aurait pu en être satisfait sauf que les réactions que Cullen venait d’avoir étaient complètement illogiques. Le coup de poing l’avait fait sourire… Un mauvais point pour Paris. Puis les paroles de Paris l’avaient rendu encore plus intéressé. Montgomery le dévisagea lui faisant comprendre une nouvelle fois qu’il ne plaisantait pas. Sûrement qu’il ne devrait pas le cogner autant, lui porter autant de mépris car c’était tout ce que Curtis recherchait… Mais ça Paris ne l’avait pas compris, bien évidemment. Il ne se laisserait pas faire ! Comme à chaque fois il fallait qu’il fasse usage de la violence lorsqu’il se sentait menacé. Dans ce cas bien précis il ne s’agissait pas d’une simple bagarre… Là il devait sauver sa peau car il savait de quoi l’autre fou pouvait être capable. Alors que Paris allait rejoindre son dortoir Curtis l’attrapa soudainement referment ses bras sur lui. Puis une nouvelle sensation fâcheuse raidit la totalité de son corps. Ce connard était en train d’essayer de défaire sa ceinture… Puis les boutons de son pantalon se dégrafèrent. Curtis reprit alors :
Curtis -Tu n’as pas compris que je ne cesserai jamais ! Tes poings ou ta bite je m’en fou ! Je veux que tu me laisses épuisé d’une façon ou d’une autre.
Puis sans crier gare une de ses mains se faufila brusquement dans son caleçon. Paris fut surpris et interloqué par ce geste. Il aurait pu éclater ses poings sur la face de Cullen mais il resta là sans bouger, heurté par ce qu’il lui arrivait. Comment Paris Montgomery pouvait-il rester là sans rien faire ? N’était-il pas un gars fier, orgueilleux, prétentieux, sûr de lui en toute circonstance ? Pourquoi se bloquait-il ainsi ? Avec les filles c’était tellement plus simple… Là il n’aurait pas dit non. Mais le fait que ce soit Curtis lui était impensable. Il était resté le fixer dans les yeux d’un air anxieux et angoissé. Pour une fois oui ! On pouvait l’avouer… Le grand et honorable Paris Montgomery était paniqué et intimidé. La voix de son assaillant le ramena pourtant à lui :
Curtis -Tu peux choisir la douleur…Ou le plaisir ! Rappelle toi ! J’ai été capable de te provoquer une érection…Je peux recommencer ! Et si tu as besoin de te saouler, j’ai ce qu’il faut…
Il cligna plusieurs fois des yeux… Non il ne rêvait pas. Et le fait qu’on lui rappelle ce souvenir ne fit que le rendre encore plus mal à l’aise. Cet incident c’était produit deux ans auparavant au cours d’une soirée très arrosée. Paris et Curtis totalement éméchés avaient fini par « batifoler » durant quelques minutes avant que Paris reprenne un peu conscience. Le mal avait été fait, il s’en voulait de ne pas s’être contrôlé… Il n’avait cependant pas beaucoup de souvenir de cette soirée et ces ébats avaient fini par lui sortir de la tête. Mais là de nombreuses images revinrent subitement. Il était donc hors de question de picoler pour qu’il profite encore de son anatomie. Curtis profitait à présent de l’état de Paris, qui était toujours immobile, poursuivant ses mouvements énergiques sur son sexe. Paris se sentit encore plus mal. Pourquoi ne réagissait-il pas ? Il semblait comme paralysé… Ce que lui faisait Curtis n’était pourtant pas désagréable… Mais il n’avait pas le droit d’abuser de Paris de la sorte… Montgomery fit un pas en arrière tentant de se dégager. Malheureusement il se prit les pieds dans le tapis et tomba à la renverse. Il n’eut pas le temps d’amortir la chute avec ses bras et il se cogna le derrière du crâne contre le sol. Encore un coup à la tête… C’était la deuxième fois aujourd’hui. Vraiment pas de chance une nouvelle fois. Le pauvre Serpentard était à présent étendu sur le plancher et complètement sonné. Le choc avait été plutôt violent et même en étant un joueur expérimenté au Quidditch ce genre de traumatisme derrière la tête pouvait être dangereux.
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
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Re: Spit It Out ft Paris.
Alors que je me fais l’assaillant du corps de Paris, je suis étonné de constater que je n’ai pas encore perdu de dents. Bien que confiant dans mes gestes, je reste sur mes gardes, j’attends ! Mais j’attends quelque chose qui ne viens pas. Je le sens mal à l’aise mais je ne le vois pas m’envoyer un coup de genoux dans le visage pour autant. Non, il se passe tout autre chose ! Serait ce peut être qu’une part de lui trouve cela agréable ? Je ne pourrais pas l’affirmer mais je pourrais jurer sentir son sexe se raffermir sous mes caresses. Si seulement, il n’était pas aussi coincé, je suis persuadé que je pourrais lui faire prendre son pied ! L’hétérosexualité n’est qu’un moyen de réduire son champ de possibilités, de découvertes et d’apprentissage. On peut dire ce qu’on veut mais faire l’amour à un homme ou à une femme ce n’est pas la même chose et il faudrait être stupide pour privilégier à l’autre l’un de ses plaisirs. A ce niveau la, je sais que j’ai tout compris. Paris, lui est loin du compte et il semble trouver en lui la force de me rejeté…encore. Voila qu’il tente de faire un pas en arrière, ma main qui veut agripper sa jambe se referme sur le vide. Il trébuche et bam… voila qu’il s’étale de tout son long. Veut il me faciliter la tache ? Si je n’avais pas vu sa tête heurter aussi violemment le sol j’aurais bel et bien pu croire qu’il l’avait fait exprès. Pas de doute, il à du se faire mal ! Je reste hésitant un instant avant de me précipité vers lui pour m’assurer qu’il ne perds pas connaissance.
Curtis -Tu n’es tout de même pas obligé d’essayer de te suicider pour me fuir…
Ma phrase se veut ironique mais elle traduit très nettement un mal être plus profond. Du bout des doigts, je caresse délicatement le front le Paris et chasse une de ses mèches brune. Je l’ai toujours trouvé terriblement beau et attirant. Certains critiquent son nez ou je ne sais quoi d’autre mais moi, je le trouve magnifique. Sans compter cet air hautain qu’il partage avec Samaël et ce regard glacial que lui seule est capable de m’adresser. Je me mords la lèvre inférieure, il est parfait. J’aurais presque envie de le …protéger. Mais de quoi ? Paris n’est pas le genre de personne qui à besoin que l’on s’occupe de lui ! Lentement, je m’allonge à coté de lui contre le sol dur et inconfortable. Je colle mon corps contre le sien et enfoui ma tête dans sa nuque que j’embrasse délicatement. Je me dirige ensuite vers son oreille et murmure quelques mots.
Curtis -Personne n’aurait besoin de savoir, jamais. Je ne veux plus la simple fierté de t’avoir à moi…je te veux toi Paris. Rien de plus…
Un frisson glisse le long de ma colonne vertébrale et remonte jusque dans ma nuque. J’ai tellement besoin qu’il cède que tout mon corps en est parcouru de spasmes. Douleur et désir, un mélange explosif. S’il ne me cède pas c’est moi qui vait tenter de m’exploser le crâne contre ce sol jusqu'à ce que demain matin Sam, ne retrouve plus que les reste de mon cerveau ensanglanté répandu sur le sol de la salle commune.
Curtis -Pourquoi tout devrait toujours être si compliqué?
Je pose ma main sur le visage de Paris; m'approche et m’empare aussitôt de ses lèvres. Mon baiser se fait presque chaste compte tenu du fait que j’ai commencer par m’emparer de son sexe avant toute autre caresse. Ma main glisse le long de son torse et passe sous sa chemise. Suis-je occupé à abuser de lui ? Probablement ! Mais je n’arriverai à rien s’il ne se montre pas coopérant, non car je n’ai pas envie de le retourné sur ce sol et de l’empaler brutalement…ce n’est pas mon rôle ! Je ne veux pas l’humilier, le salir, je veux lui faire goûter à ce tout autre plaisir. Le violé, la ici, reviendrait à contredire tout ce que je suis et tout mes principes. Je glisse à nouveau ma main dans son caleçon et reprends exactement la ou j’en était. Je prie pour qu’il m’accorde le moindre signe de son consentement. Je prie pour qu’il me délivre.
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
Il ne manquait plus que ça ! Paris tombant et se cognant fortement la tête contre le sol du couloir alors que Curtis avait entrepris de profiter de son corps tout entier. Il fut complètement sonné par le coup reçu derrière sa tête. D’ailleurs il perdit connaissance quelques secondes. Pendant ce temps Curtis sembla comme douter de ce qu’il devait faire. Pourtant après un instant de réflexion il repartit à la charge, s’empressant de revenir auprès du corps de Paris. Sa tête lui faisait extrêmement mal, il rouvrit difficilement. La douleur se diffusait à présent dans sa nuque et le haut de son dos. Il referma les yeux et tenta de se relever mais il était k-o ce qui n’était pas étonnant étant donné la force du coup. Il fallait généralement plusieurs minutes avant de reprendre totalement ses esprits après ça. Ce qui n’arrangeait vraiment pas les choses pour Paris qui avait oublié où il se trouvait. Ce ne fut que lorsqu’il entendit la voix de Curtis qu’il se rappela que ce connard lui avait sauté dessus pour profiter de lui et qu’il était tombé à la renverse pour lui échapper.
Curtis -Tu n’es tout de même pas obligé d’essayer de te suicider pour me fuir…
Au moins ça mémoire ne lui faisait pas défaut. Mais ce n’était pas pour cela qu’il n’était pas désorienté. Il sentit alors une main effleurer son front puis le corps de Curtis se collé contre le sien. Affichant un air écœuré Paris tenta de prendre appui sur ses coudes pour se redresser mais la douleur était atroce et il n’arrivait pas à bouger. Il avait beau avoir conscience de ce qu’il arrivait il parvenait à peine à bouger ses bras ou se ses jambes. Les lèvres de Cullen viennent se poser sur sa nuque lui glaçant le sang. Son agissement étant pourtant indolore et plutôt inoffensif cela fut pris comme une agression de la part de Paris. Pourquoi l’embrasser ainsi et être tendre avec lui ? C’était tout bonnement incompréhensible. Et ces mots murmurés à son oreille tellement désagréable…
Curtis -Personne n’aurait besoin de savoir, jamais. Je ne veux plus la simple fierté de t’avoir à moi…je te veux toi Paris. Rien de plus…
Mais arrête bordel ! Voilà ce que Paris aurait voulu lui balancer. Sa tête tournait et il referma les yeux se sentant de plus en plus mal. Ce n’était de Cullen dont il avait besoin mais d’un truc contre son mal de crâne. L’entendre prononcer le prénom Paris en prétendant que c’était lui qu’il voulait n’allait pas améliorer les choses.
Curtis -Pourquoi tout devrait toujours être si compliqué?
Sentir ses lèvres sur les siennes fut encore plus insoutenable. Il regrettait son petit jeu de la dernière fois où il avait fait croire à Curtis qu’il aurait pu l’avoir tout entier. Parce que maintenant il était comme qui dirait coincé et à la merci de Cullen qui se mit à continuer ce qu’il avait commencé avant que Paris ne tombe. Sa main parcourait son corps puis sa peau lorsqu’elle passa sous sa chemise et descendant à nouveau un peu plus bas et reprenant l’action qu’il avait entamé quelques minutes plus tôt. Paris laissa un soupir de découragement n’arrivant même pas à réagir à ce que Curtis lui faisait. Du dégoût se discernait facilement sur son visage. Il tenta de repousser Curtis avec sa main mais il n’avait plus assez de force pour le faire. Il avait plus mal qu’autre chose. Il se redressa légèrement gémissant de douleur avant de s’écrouler à nouveau. Il n’était vraiment pas bien du tout. Il parvint tout de même à lâcher quelques mots avec beaucoup de difficulté :
Paris – « Putin Cullen… Arrête… Je ne me sens… Vraiment pas bien… »
Curtis -Tu n’es tout de même pas obligé d’essayer de te suicider pour me fuir…
Au moins ça mémoire ne lui faisait pas défaut. Mais ce n’était pas pour cela qu’il n’était pas désorienté. Il sentit alors une main effleurer son front puis le corps de Curtis se collé contre le sien. Affichant un air écœuré Paris tenta de prendre appui sur ses coudes pour se redresser mais la douleur était atroce et il n’arrivait pas à bouger. Il avait beau avoir conscience de ce qu’il arrivait il parvenait à peine à bouger ses bras ou se ses jambes. Les lèvres de Cullen viennent se poser sur sa nuque lui glaçant le sang. Son agissement étant pourtant indolore et plutôt inoffensif cela fut pris comme une agression de la part de Paris. Pourquoi l’embrasser ainsi et être tendre avec lui ? C’était tout bonnement incompréhensible. Et ces mots murmurés à son oreille tellement désagréable…
Curtis -Personne n’aurait besoin de savoir, jamais. Je ne veux plus la simple fierté de t’avoir à moi…je te veux toi Paris. Rien de plus…
Mais arrête bordel ! Voilà ce que Paris aurait voulu lui balancer. Sa tête tournait et il referma les yeux se sentant de plus en plus mal. Ce n’était de Cullen dont il avait besoin mais d’un truc contre son mal de crâne. L’entendre prononcer le prénom Paris en prétendant que c’était lui qu’il voulait n’allait pas améliorer les choses.
Curtis -Pourquoi tout devrait toujours être si compliqué?
Sentir ses lèvres sur les siennes fut encore plus insoutenable. Il regrettait son petit jeu de la dernière fois où il avait fait croire à Curtis qu’il aurait pu l’avoir tout entier. Parce que maintenant il était comme qui dirait coincé et à la merci de Cullen qui se mit à continuer ce qu’il avait commencé avant que Paris ne tombe. Sa main parcourait son corps puis sa peau lorsqu’elle passa sous sa chemise et descendant à nouveau un peu plus bas et reprenant l’action qu’il avait entamé quelques minutes plus tôt. Paris laissa un soupir de découragement n’arrivant même pas à réagir à ce que Curtis lui faisait. Du dégoût se discernait facilement sur son visage. Il tenta de repousser Curtis avec sa main mais il n’avait plus assez de force pour le faire. Il avait plus mal qu’autre chose. Il se redressa légèrement gémissant de douleur avant de s’écrouler à nouveau. Il n’était vraiment pas bien du tout. Il parvint tout de même à lâcher quelques mots avec beaucoup de difficulté :
Paris – « Putin Cullen… Arrête… Je ne me sens… Vraiment pas bien… »
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
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Re: Spit It Out ft Paris.
Je le vois bien, il tente encore de se défaire de moi. C’est son corps qui joue contre lui mais son esprit est bien claire, net et décider : il ne veux pas de moi. Il doit crever de mal mais il parvient tout de même à habiller son visage de cet air de dégoûts qui lui va si bien.
Paris -« Putin Cullen… Arrête… Je ne me sens… Vraiment pas bien… »
Se joue t’il de moi ? Je ne pense pas. Paris est sérieux mais c’est également une aubaine pour lui de s’être éclater la tête par terre. Je ne suis pas un violeur, il à beaucoup de chance. Je me lève brusquement et m’éloigne vers la table ou j’ai posé ma bouteille de Whisky. Je m’en empare et reviens sur mes pas tout en vidant plusieurs larges gorgées qui me brûlent la trachée et me pique les yeux. Je secoue la tête et m’accroupis aux cotés de Paris.
Curtis -Je ne suis pas doué en sortilèges de soin mais l’alcool est bien souvent un remède. Et le pire c’est que crois moi, je ne dis pas ça pour abuser de toi.
J’ai toujours été terriblement honnête avec Paris, à ma façon à moi. Je ne suis pas convaincu qu’il ait conscience qu’il est l’une des personnes qui me connaît le plus sous mon vrai visage. Personne dans ce château n’a mieux que lui pu entrevoir mes faiblesses. Je pose délicatement la tête de Paris sur mes genoux et mène la bouteille à ses lèvres. Je ne le force pas, c’est lui qui devra terminer la mouvement pour que l’alcool se déverse dans sa gorge. Mes doigts glissent à nouveau sur son front alors que je délaisse toute autre partie de son corps. Je reprends la parole d’une voix calme et discrète.
Curtis -Je ne pense pas que tu sois un connard. Je pense que tu vaux plus que ce que tout le monde pense, plus que ce que tu ne le pense toi-même. Tu ressemblais à un défi, je n’aime pas qu’on me résiste mais voila que tu tournes à l’obsession.
Je ne sais plus si c’est à lui ou moi-même que je m’adresse. Mes paroles restent suspendues les airs, j’inspire et expire lourdement avant de reprendre.
Curtis -Tout les deux on est putain de doué pour les masques et ce genre de chose…mais j’ai l’impression d’apercevoir qui tu es vraiment… Paris je pense qu’à défaut d’être amants nous pourrions être amis ! Je veux de toi dans ma vie, aussi étrange que cela puisse paraître.
Et voila que tout cela sonne comme une putain de déclaration. Ce n’était pas réellement mon intention mais de le voir en position de faiblesse amoindris mes propres barrières. Je continue de jouer avec une mèche de ses cheveux, je sais très bien que lui ne veut pas de moi. Tout comme Sam et comme tant d’autres. Je suis le coup d’un soir, l’amant qu’on oublie pas mais au delà de ça je n’ai droit à strictement rien. Je me sens seul, dégoûté. Paris aussi est seul. Je plonge mon regard dans le sien.
Curtis -J’ai besoin que tu me laisses une place ! Je ne pourrais pas supporter qu’on me rejette, que tu me rejettes encore. Paris va à l’encontre de toi-même, fait quelque chose pour moi.
A ce stade, je ne sais même pas si j’ai encore envie de coucher avec lui. Je crois que son dégoût est contagieux. Sam me montrait le même dégoût dans ses paroles mais son corps entier n’appelait qu’a mon contact. Avec Paris, c’est différent. J’en ai marre de me battre et s’il ne veut pas que je l’aie de cette façon et bien je me contenterai d’une autre. Du moins c’est ce que je veux croire, la maintenant. La douleur de l’anticipation de son rejet monte en moins par vague et m’obscurcis l’esprit. Si Paris ne mets pas rapidement fin à mon errance, je ne répondrai plus de moins même. Je ne supporte pas cet état de latence, cette désespérant lassitude. Je ressens tellement, que je ne ressens plus rien. Une boule se coince dans ma gorge et contre toute attente je relève brusquement la bouteille de Whisky et me l’éclate sur le crâne. Probablement une très mauvaise idée après ce que j’ai subit dans la tour des Serdaigles. Je bascule à la renverse, perds à moitié connaissance. Je sens un liquide chaud coulé le long de mon visage mais putain que ça fait du bien. Affalé sur le sol j’entrouvre les yeux et éclate d’un rire sonore.
Curtis -Nous voila à égalité !
Je suis complètement fou. Je fixe le plafond allongé à coté de Paris et du bout des doigts, je cherche sa main.
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
Que pouvait-il bien faire ? Laisser Cullen profitait de lui était pour lui totalement impossible et il allait vite devoir trouver un moyen de s’enfuir. A présent il ne savait plus quoi penser de Curtis et surtout il ne connaissait pas ses limites. Allait-il vraiment continuer ainsi et finir par le violer ? Paris n’aurait pas été étonné après ce qu’il venait de se passer. Pourtant Curtis se décida à s’éloigner, Paris le suivit des yeux étonné mais soulagé de la voir partir. Mais où ? Et allait-il revenir ? Il ne savait pas. L’arrière de son crâne le lançait, la douleur redoublait et il aurait aimé pouvoir rejoindre son lit. Surtout qu’il devait avoir une potion quelconque dans son placard permettait de soulager ce genre de choc. Paris ferma les yeux un instant avant de les rouvrir lorsqu’il entendit des pas revenir dans sa direction. Cullen était allé prendre sa bouteille de Whisky. Il se rapprocha à nouveau du corps de Paris.
Curtis -Je ne suis pas doué en sortilèges de soin mais l’alcool est bien souvent un remède. Et le pire c’est que crois moi, je ne dis pas ça pour abuser de toi.
Et qu’avait-il fait la dernière fois ? Il avait abusé de l’état de Paris pour se jeter sur lui… Le Serpentard se mit à douter encore plus de la crédibilité de son camarade de chambrée. Cependant il ne s’attendait vraiment pas à ce qu’il agisse d’une telle façon lorsqu’il déplaça délicatement la tête douloureuse de Paris pour la placer sur ses genoux. Ce simple déplacement fut désagréable. Mais la bouteille d’alcool qui s’approcha de sa bouche était un moyen de calmer le mal. En temps normal il ne se serait pas mis à boire en compagnie de Curtis, tant pis. Il laissa le liquide enivrant couler dans sa gorge, le réchauffant instantanément. Après plusieurs gorgées il se sentit étrangement mieux. La main de Curtis vint caresser son front. L’attitude de Cullen avait totalement changé, il était devenu prévenant et attentionné ce qui dérangeait toujours Paris mais d’un côté c’était peut être mieux.
Curtis -Je ne pense pas que tu sois un connard. Je pense que tu vaux plus que ce que tout le monde pense, plus que ce que tu ne le pense toi-même. Tu ressemblais à un défi, je n’aime pas qu’on me résiste mais voila que tu tournes à l’obsession. Tout les deux on est putain de doué pour les masques et ce genre de chose…mais j’ai l’impression d’apercevoir qui tu es vraiment… Paris je pense qu’à défaut d’être amants nous pourrions être amis ! Je veux de toi dans ma vie, aussi étrange que cela puisse paraître.
Paris l’écouta parler sans même chercher à le stopper. Sûrement qu’il n’en aurait rien eu à faire mais curieusement il prit ces paroles comme vraies et sincères. Bien sûr qu’il se reconnaissait dans ce que Cullen venait de dire. Devoir être obligé de l’entendre déblatérer tout ça venait de lui faire prendre conscience que pour une fois quelqu’un le considérait tel qu’il était. Tout comme Curtis. Ils étaient tout deux des incompris, à leur façon certes. Pour Paris, seule sa main, qui continuait à jouer avec ses cheveux était toujours agaçant. Tout comme lorsque son regard croisa le sien…
Curtis -J’ai besoin que tu me laisses une place ! Je ne pourrais pas supporter qu’on me rejette, que tu me rejettes encore. Paris va à l’encontre de toi-même, fait quelque chose pour moi.
Paris se serait moqué de lui s’il avait été dans son état normal. Mais il semblait honnête en disant cela. Paris n’était pas du genre à être autant à l’écoute de quelqu’un. Il fallait qu’il y soit contraint pour devoir écouter pour la première fois les lamentations de Cullen. Il détestait l’avouer mais il devait bien se rendre compte que c’était Curtis qui avait raison. Peut être étaient-ils fait pour s’entendre, être « amis ». Ce mot lui semblait totalement inconcevable pour qualifier Curtis… Néanmoins avait-il vraiment de réels amis ? Oui sans doute… Ou bien faisait-il semblant de les considérer comme tel ? Impossible de répondre… Curtis se releva brusquement laissant la tête de Paris retomber sur le sol, d’une façon moins violente tout de même. Ce qui fit grommeler Paris qui reprit la parole.
Paris – « Putin Cullen fait attention ! »
Puis des éclats de verre retentirent au dessus de lui et quelques gouttes d’un liquide tombèrent sur lui. Paris ne comprit pas tout de suite ce qu’il venait de se passer. Il jeta un nouveau coup d’œil vers Curtis dont les cheveux étaient trempés. Ce taré venait de s’exploser sa bouteille sur la tête, qu’il pouvait être con ce type… Curtis tituba avant de s’écrouler à côté de Paris.
Curtis -Nous voila à égalité !
Il se mit à rire… Et étrangement Paris fit la même chose. Pour la première fois depuis plusieurs longues minutes il oublia tout ce qu’il avait pu se passer entre eux. Il ne fit pas attention à la main de Curtis cherchant la sienne… Il se contenta de dire :
Paris – « Cullen t’es dingue ! Ca en tout cas je n’en doute plus ! »
Il continua de rire regardant aussi le plafond au dessus de lui. Avant de lâcher sans vraiment y réfléchir :
Paris – « Je suis désolé… »
Des excuses de Montgomery ? Comment cela était-ce possible ? A vrai dire ils n'avaient pas été très sympa l'un envers l'autre. Finalement peut être qu’il pourrait s’entendre, sauf si Curtis comptait profiter de lui à nouveau… Cette situation était vraiment étrange autant pour Curtis que pour Paris. Maintenant il fallait voir comment tout ça allait finir.
Curtis -Je ne suis pas doué en sortilèges de soin mais l’alcool est bien souvent un remède. Et le pire c’est que crois moi, je ne dis pas ça pour abuser de toi.
Et qu’avait-il fait la dernière fois ? Il avait abusé de l’état de Paris pour se jeter sur lui… Le Serpentard se mit à douter encore plus de la crédibilité de son camarade de chambrée. Cependant il ne s’attendait vraiment pas à ce qu’il agisse d’une telle façon lorsqu’il déplaça délicatement la tête douloureuse de Paris pour la placer sur ses genoux. Ce simple déplacement fut désagréable. Mais la bouteille d’alcool qui s’approcha de sa bouche était un moyen de calmer le mal. En temps normal il ne se serait pas mis à boire en compagnie de Curtis, tant pis. Il laissa le liquide enivrant couler dans sa gorge, le réchauffant instantanément. Après plusieurs gorgées il se sentit étrangement mieux. La main de Curtis vint caresser son front. L’attitude de Cullen avait totalement changé, il était devenu prévenant et attentionné ce qui dérangeait toujours Paris mais d’un côté c’était peut être mieux.
Curtis -Je ne pense pas que tu sois un connard. Je pense que tu vaux plus que ce que tout le monde pense, plus que ce que tu ne le pense toi-même. Tu ressemblais à un défi, je n’aime pas qu’on me résiste mais voila que tu tournes à l’obsession. Tout les deux on est putain de doué pour les masques et ce genre de chose…mais j’ai l’impression d’apercevoir qui tu es vraiment… Paris je pense qu’à défaut d’être amants nous pourrions être amis ! Je veux de toi dans ma vie, aussi étrange que cela puisse paraître.
Paris l’écouta parler sans même chercher à le stopper. Sûrement qu’il n’en aurait rien eu à faire mais curieusement il prit ces paroles comme vraies et sincères. Bien sûr qu’il se reconnaissait dans ce que Cullen venait de dire. Devoir être obligé de l’entendre déblatérer tout ça venait de lui faire prendre conscience que pour une fois quelqu’un le considérait tel qu’il était. Tout comme Curtis. Ils étaient tout deux des incompris, à leur façon certes. Pour Paris, seule sa main, qui continuait à jouer avec ses cheveux était toujours agaçant. Tout comme lorsque son regard croisa le sien…
Curtis -J’ai besoin que tu me laisses une place ! Je ne pourrais pas supporter qu’on me rejette, que tu me rejettes encore. Paris va à l’encontre de toi-même, fait quelque chose pour moi.
Paris se serait moqué de lui s’il avait été dans son état normal. Mais il semblait honnête en disant cela. Paris n’était pas du genre à être autant à l’écoute de quelqu’un. Il fallait qu’il y soit contraint pour devoir écouter pour la première fois les lamentations de Cullen. Il détestait l’avouer mais il devait bien se rendre compte que c’était Curtis qui avait raison. Peut être étaient-ils fait pour s’entendre, être « amis ». Ce mot lui semblait totalement inconcevable pour qualifier Curtis… Néanmoins avait-il vraiment de réels amis ? Oui sans doute… Ou bien faisait-il semblant de les considérer comme tel ? Impossible de répondre… Curtis se releva brusquement laissant la tête de Paris retomber sur le sol, d’une façon moins violente tout de même. Ce qui fit grommeler Paris qui reprit la parole.
Paris – « Putin Cullen fait attention ! »
Puis des éclats de verre retentirent au dessus de lui et quelques gouttes d’un liquide tombèrent sur lui. Paris ne comprit pas tout de suite ce qu’il venait de se passer. Il jeta un nouveau coup d’œil vers Curtis dont les cheveux étaient trempés. Ce taré venait de s’exploser sa bouteille sur la tête, qu’il pouvait être con ce type… Curtis tituba avant de s’écrouler à côté de Paris.
Curtis -Nous voila à égalité !
Il se mit à rire… Et étrangement Paris fit la même chose. Pour la première fois depuis plusieurs longues minutes il oublia tout ce qu’il avait pu se passer entre eux. Il ne fit pas attention à la main de Curtis cherchant la sienne… Il se contenta de dire :
Paris – « Cullen t’es dingue ! Ca en tout cas je n’en doute plus ! »
Il continua de rire regardant aussi le plafond au dessus de lui. Avant de lâcher sans vraiment y réfléchir :
Paris – « Je suis désolé… »
Des excuses de Montgomery ? Comment cela était-ce possible ? A vrai dire ils n'avaient pas été très sympa l'un envers l'autre. Finalement peut être qu’il pourrait s’entendre, sauf si Curtis comptait profiter de lui à nouveau… Cette situation était vraiment étrange autant pour Curtis que pour Paris. Maintenant il fallait voir comment tout ça allait finir.
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
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Re: Spit It Out ft Paris.
Le rire de Paris résonne en échos au mien, ce qui ne manque pas de me faire rire de plus belle. Cette situation est totalement incongrue, nous voila comme des chiens nous traînant sur le sol mais morts de rire. Cela fait un putain de bien. Je n’aurais jamais imaginé ça !
Paris -« Cullen t’es dingue ! Ca en tout cas je n’en doute plus ! »
Je mène une main au coté de ma tête, j’ai mal et je saigne mais je n’en ai que faire. Je tourne la tête vers Paris et lui réponds du tac au tac.
Curtis -C’est de notoriété publique !
Je ne pense pas que qui que ce soit dans ce château ne m’aie jamais considéré comme normale ou équilibré. Certains me tolèrent, d’autre m’apprécient ou me déteste mais rare sont ceux qui ne connaissent pas ma réputation. Il en va de même pour Paris. Mes éclats de rire s’espacent et j’inspire profondément malgré la douleur. Je regrette de ne plus avoir de whisky à m’enfiler pour le coup. A l’aide d’un sortilège, je pourrais récupérer ce qui repose sur le sol mais ce serait plutôt crade. Je fixe à nouveau le plafond, un sourire reste figé sur mes lèvres.
Paris -« Je suis désolé… »
Désolé pourquoi ? Ce ne serait pas la bonne question à lui poser et je suis d’ailleurs avant tout presque choquer de l’entendre proférer de telles paroles. Paris, disant qu’il est désolé ?!? Et si le coup sur ma tête avait été bien plus fort que je ne le pensais ? Et si tout cela n’était qu’un rêve alors que mon corps repose inerte dans le couloir ou Paris m’a abandonné ? Non ce n’est pas possible, je me sens éveillé. J’ai mal, je ris, j’ai soif ! Il viens bien de dire qu’il est désolé . Je sais que je pourrais gâcher ce moment par le moindre geste ou la moindre parole inappropriée et je ne le veux pas. J’ai l’habitude de la provocation avec lui mais je me rends compte que je retirerais plus du fait de le compter comme allier que comme amant. Paris et moi, on régnerait sur Poudlard. Personne ne pourrait croire à cette alliance des plus subite et incongrue. Je me mords la lèvre inférieure. Il faut que je lui réponde avant qu’il ne risque de faire marche arrière.
Curtis -Moi aussi …je suis désolé !
On à l’air malin. Je ricane à nouveau mais cela ne sonne aucunement comme une moquerie. L’impression qui s’en dégage s’approcherait plus d’une étrange fatalité. Puisque je suis sur ma lancée, je choisi de continuer.
Curtis -Je n’aurais pas du tenter d’abuser de toi…J’ai du mal avec le refus et le rejet mais tu ne mérite pas cela. Et je ne suis pas un violeur, je prends mon plaisir dans celui de l’autre, cela ne me ressemble pas…Je crois que tu as du faire ressortir le pire de moi.
Je bascule sur le coté et prends appuis sur mon coude. Mon visage surplombe celui de Paris et je lui souris. Il me donne ce que je veux, pour la première fois. Je ne sais pas si il en est conscient mais moi j’en frissonne de tout mon être. Il a baissé la garde enfin et je me rends compte que son corps n’est plus ma priorité ! J’ai besoin de lui et de ses défauts, besoin de son image pour se refléter à la mienne. J’en ai marre de fréquenter des gens trop parfait ! Au près de Paris, je pourrais être purement et simplement moi-même. Je mène une main contre mon cœur et reprends la parole d’un air solennel.
Curtis -Je te promets de ne plus tenter d’abuser de toi ! Mes lèvres ne viendront plus jamais chercher les tiennes ! Mes mains, je les gardes dans mes poches…Je ne te toucherai plus jamais de cette façon.
Je le fixe droit dans les yeux, je veux qu’il comprenne que je suis des plus sérieux mais le naturel reviens rapidement au galop et tout en éclatant de rire, j’ajoute quelques mots.
Curtis -Enfin si tu me le demande un jour, la je m’exécuterait mais je n’irai plus à l’encontre de ce que tu veux.
Je pense que c’est mieux pour lui et pour moi. Rien de bon ne découlait de notre jeu du chat et de la souris, je dois trouver une autre valeur aux yeux de Paris. Et moi qui ai cette sale habitude de faire mes preuves par le sexe !
Curtis J. Cullen- - Cleptomaniac -
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Re: Spit It Out ft Paris.
Les tensions s’étaient apaisées, le calme était revenu dans le couloir sombre qui menait au dortoir des élèves de Serpentard. Curtis et Paris avaient du faire un bordel pas possible et peut être avaient-ils tiré de leurs rêves ceux qui avaient le sommeil léger. Dans tous les cas on pouvait dire que cette rude confrontation venait de se terminer et qui plus est d’une façon plutôt bonne. Certes entre Paris qui avait manqué de s’assommer en tombant violemment à la renverse et Curtis qui s’était fracassé une bouteille sur le crâne, ils étaient bien amoché tous les deux. Mais ce fut le prix à payer pour que les choses rentrent dans l’ordre. Cela avait contribué à rendre l’atmosphère bien plus clémente et amener Paris à s’excuser auprès de Cullen. Ce dernier lui avait rendu la pareille avant de ricaner une nouvelle fois.
Curtis - Moi aussi …je suis désolé ! Je n’aurais pas du tenter d’abuser de toi…J’ai du mal avec le refus et le rejet mais tu ne mérite pas cela. Et je ne suis pas un violeur, je prends mon plaisir dans celui de l’autre, cela ne me ressemble pas…Je crois que tu as du faire ressortir le pire de moi.
Pour la première fois, Paris ne ressentait plus de haine, de répulsion, de craintes, de peur envers son camarade de maison. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait pu autant lui plaire. Alors que Paris était toujours allongé sur le dos souffrant encore de sa chute, Curtis se redressa, la tête en sang. Cullen lui sourit, Paris resta impassible. Pas vraiment du genre à agir comme l’autre Serpentard mais il ne le prit pas mal. Paris venait de changer d’avis, Cullen n’était pas si terrible que ça, à vrai dire il avait tenté d’assouvir ses pulsions, ses envies. Paris agissait ainsi aussi… Avec les filles qu’il pouvait rencontrer. Quand il voulait quelque chose, il l’obtenait. Pour Curtis c’était la même chose. Paris avait été la victime cette fois. Peut être que cela allait lui faire prendre conscience de certaines choses sur lui-même. Il avait l’étrange sensation d’être quelqu’un d’autre. Des excuses, plus aucune rancœur ou aversion… Alors que quelques minutes plus tôt il aurait pu le lyncher à coup de poings.
Curtis - Je te promets de ne plus tenter d’abuser de toi ! Mes lèvres ne viendront plus jamais chercher les tiennes ! Mes mains, je les gardes dans mes poches…Je ne te toucherai plus jamais de cette façon.
Des promesses… Avant cette soirée il lui aurait rit au nez, ne l’aurait pas cru une seconde. Mais le regard de Curtis semblait sincère. Bien évidemment il faudrait sûrement un moment à Paris pour avoir confiance en Cullen. Mais c’était pratiquement sûr qu’il finirait par apprécier Curtis parce que finalement ils se ressemblaient beaucoup tous les deux. Deux êtres pleins de défauts, deux âmes torturées d’une certaine façon…
Curtis - Enfin si tu me le demande un jour, la je m’exécuterait mais je n’irai plus à l’encontre de ce que tu veux.
Voilà qu’il déconnait. Espèce de con ! Ce n’était franchement pas le genre de chose qui pouvait rendre Paris confiant. Mais ce dernier savait bien que les mots de son voisin de chambrée reflétaient en tout point sa personnalité scabreuse et grossière. Il n’avait pas à s’inquiéter. Enfin il serait tout de même regardant sur le comportement de Curtis et ses gestes à son égard. Cependant tout semblait faire penser que tout ce qui avait pu se passer entre eux ne se repasserait plus. Paris finit par lui répondre :
Paris – « N’espère pas trop quand même Cullen… Ce n’est pas prêt d’arriver. »
Il se redressa enfin. Après toutes ces minutes passées sur le dos, il arriva à prendre appui sur ses mains. Il s’adossa contre le mur. Sa tête tournait encore mais la douleur était moins forte. Il passa une de ses mains sur son visage avant de regarder Curtis une nouvelle fois. Avec ses conneries il y avait des débris de verre et du sang partout.
Paris – « Mais… Pour tout te dire je ne réalise pas encore qu’on puisse finir par s’entendre. Je crois que c’est l’une des premières fois de ma vie que je change d’avis sur quelqu’un… Finalement on était peut être prédestiné à s’entendre. J’ai du mal à y croire. Alors ne le prends pas mal si je reste distant durant un certain temps. Après ce que tu as tenté de me faire tu comprendras que ma confiance de soit pas entière. »
C’était tout simplement incroyable de pouvoir entendre PARIS MONTGOMERY changer ainsi d’opinion à l‘encontre de quelqu’un. Lui-même n’en revenait pas. Pourtant cette fois ci il était prêt à faire des efforts. Curtis pourrait constituer, à l’avenir, un allier important… Voire un ami, qui sait…
Paris – « Par contre tu devrais, peut être, soigner ces coupures sur ton crâne… Mon sac est resté dans la salle commune, j’ai une potion qui peut refermer ces plaies… »
Curtis - Moi aussi …je suis désolé ! Je n’aurais pas du tenter d’abuser de toi…J’ai du mal avec le refus et le rejet mais tu ne mérite pas cela. Et je ne suis pas un violeur, je prends mon plaisir dans celui de l’autre, cela ne me ressemble pas…Je crois que tu as du faire ressortir le pire de moi.
Pour la première fois, Paris ne ressentait plus de haine, de répulsion, de craintes, de peur envers son camarade de maison. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait pu autant lui plaire. Alors que Paris était toujours allongé sur le dos souffrant encore de sa chute, Curtis se redressa, la tête en sang. Cullen lui sourit, Paris resta impassible. Pas vraiment du genre à agir comme l’autre Serpentard mais il ne le prit pas mal. Paris venait de changer d’avis, Cullen n’était pas si terrible que ça, à vrai dire il avait tenté d’assouvir ses pulsions, ses envies. Paris agissait ainsi aussi… Avec les filles qu’il pouvait rencontrer. Quand il voulait quelque chose, il l’obtenait. Pour Curtis c’était la même chose. Paris avait été la victime cette fois. Peut être que cela allait lui faire prendre conscience de certaines choses sur lui-même. Il avait l’étrange sensation d’être quelqu’un d’autre. Des excuses, plus aucune rancœur ou aversion… Alors que quelques minutes plus tôt il aurait pu le lyncher à coup de poings.
Curtis - Je te promets de ne plus tenter d’abuser de toi ! Mes lèvres ne viendront plus jamais chercher les tiennes ! Mes mains, je les gardes dans mes poches…Je ne te toucherai plus jamais de cette façon.
Des promesses… Avant cette soirée il lui aurait rit au nez, ne l’aurait pas cru une seconde. Mais le regard de Curtis semblait sincère. Bien évidemment il faudrait sûrement un moment à Paris pour avoir confiance en Cullen. Mais c’était pratiquement sûr qu’il finirait par apprécier Curtis parce que finalement ils se ressemblaient beaucoup tous les deux. Deux êtres pleins de défauts, deux âmes torturées d’une certaine façon…
Curtis - Enfin si tu me le demande un jour, la je m’exécuterait mais je n’irai plus à l’encontre de ce que tu veux.
Voilà qu’il déconnait. Espèce de con ! Ce n’était franchement pas le genre de chose qui pouvait rendre Paris confiant. Mais ce dernier savait bien que les mots de son voisin de chambrée reflétaient en tout point sa personnalité scabreuse et grossière. Il n’avait pas à s’inquiéter. Enfin il serait tout de même regardant sur le comportement de Curtis et ses gestes à son égard. Cependant tout semblait faire penser que tout ce qui avait pu se passer entre eux ne se repasserait plus. Paris finit par lui répondre :
Paris – « N’espère pas trop quand même Cullen… Ce n’est pas prêt d’arriver. »
Il se redressa enfin. Après toutes ces minutes passées sur le dos, il arriva à prendre appui sur ses mains. Il s’adossa contre le mur. Sa tête tournait encore mais la douleur était moins forte. Il passa une de ses mains sur son visage avant de regarder Curtis une nouvelle fois. Avec ses conneries il y avait des débris de verre et du sang partout.
Paris – « Mais… Pour tout te dire je ne réalise pas encore qu’on puisse finir par s’entendre. Je crois que c’est l’une des premières fois de ma vie que je change d’avis sur quelqu’un… Finalement on était peut être prédestiné à s’entendre. J’ai du mal à y croire. Alors ne le prends pas mal si je reste distant durant un certain temps. Après ce que tu as tenté de me faire tu comprendras que ma confiance de soit pas entière. »
C’était tout simplement incroyable de pouvoir entendre PARIS MONTGOMERY changer ainsi d’opinion à l‘encontre de quelqu’un. Lui-même n’en revenait pas. Pourtant cette fois ci il était prêt à faire des efforts. Curtis pourrait constituer, à l’avenir, un allier important… Voire un ami, qui sait…
Paris – « Par contre tu devrais, peut être, soigner ces coupures sur ton crâne… Mon sac est resté dans la salle commune, j’ai une potion qui peut refermer ces plaies… »
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