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The Time-Turner :: Tome VII : Les reliques de la Mort :: Armoire à Disparaître :: Saison 1 :: Fiches présentations/liens
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" Hé hé hé hé ! Si si reste là et ne la touche plus. Laisse-la comme elle est. C’est bien ta radio. FM 107.3 , Radio Chaos, le reste c’est du Bruit Inutile.
BPM, Beats Per Minute, Battement Par Minute. Battements Sans Arrêts. Garde le rythme. Celui que je préfère varie entre 70 et 90, ça ne t’étonnera sans doute pas, c’est le battement de ton cœur. Garde le rythme, sans arrêt. Radio Chaos 107.3, ton Battement.
Le Battement régulier.
Le dimanche trois juillet deux mille deux, dans une vieille banlieue chic & choc, une famille tout de blanc vêtue s’en allait calmement à l’un de ces rébarbatifs déjeuners dominicaux de la vieille bourgeoisie londonienne. On ne pouvait se tromper, à première allure les cinq silhouettes semblaient tout ce qu’il y’a de plus banal, des snobs, des descendants de Lord, de Sir, de tout ce que vous voulez, enfin, nul n’aurait pu douter de leur nature, si bien qu’ils montaient dans une vieille voiture de collection, dissimulée à l’arrière d’un jardin exotique. Au déclenchement du moteur, le véhicule disparut, et à son sein, cinq silhouettes bien différentes de ce que n’importe quel soap opera aurait pu décrire.
Le portoloin avait déposé les Berlioz – je vous l’accorde, étrange nom pour une famille issue de la lignée anglaise de sangs purs – face à un portail luxueux, baroque, d’un noir si intense qu’il en devenait brillant. Il suffit que Nicholas fasse un pas en direction du grillage, pour que les deux battants s’ouvrent doucement et les laissent pénétrer dans l’antre de leurs hôtes. Les B’, comme il était courant de les appeler, n’y retourneraient plus jamais.
« APPELEZ SAINTE MANGOUSTE. Vite !
- Albert calme toi ! Tu sais bien qu’on ne peut pas faire venir de médecins ici ! Transplane !
- Ca va la TUER ! LA TUER, VOUS COMPRENEZ CA ?!
- Nick tais toi ! Va nous créer un portoloin, vite ! »
Inutile de vous le dire, il était trop tard. Le portoloin créé, les parents appelés, Léa était déjà morte. Et qu’ils se rendent à Sainte Mangouste n’y changerait rien.
Le Battement inexistant.
Pour que vous compreniez bien cette histoire, je dois d’abord vous expliquer la relation qu’entretenaient Nicholas et sa sœur Léa. Vous devez sans doute le savoir, les familles de sang pur ne sont pas connues pour leur disponibilité, pour leur présence, leur chaleur, tout simplement, envers leurs enfants. Certes, n’allons pas jusqu’à dire que les géniteurs n’aiment pas leur progéniture, mais disons simplement qu’il n’est ni dans les normes, ni dans les traditions, que les parents élèvent leur enfant. Chez les Berlioz, ce sont donc nourrices et majordomes qui ont nourri et grandi chacun des rejetons. Dans cette ambiance, Nicholas, Léa et leur cadet Malcolm ont toujours appris à se serrer les coudes. Mais si le dernier se montrait plus discret, mystérieux, distant et renfrogné, les deux aînés, malgré leurs deux ans d’écart, ont dès leur plus jeune enfance noué une relation des plus intenses. Lorsque je vous dit, Bonnie & Clyde, Roméo & Juliette, Tristan & Iseult, Othello et Desdémone, pourquoi pas, la dimension de l’amour-mort reigne. Mais ces passions si exclusives ne sont pas des privilèges interdits aux frères et sœurs. La preuve, chez les deux Berlioz on pouvait facilement dire, à la vie, à la mort. Demandez à leurs proches, ils vous le confirmeront.
Aussi, quand Léa mourut, l’étendue de la vie de Nicholas ne devint qu’utopie.
La disparition devint la solution la plus évidente.
Du haut de ses 19 ans, Berlioz était majeur dans les deux mondes, ce qui lui offrait une liberté inégalée jusqu’ici, peu importe la situation dans laquelle il se trouvait. De nature assez tête brûlée, sa ruse et sa malice se perdaient lorsqu’il était face à une situation qui l’écrasait complètement. Gamin du silence, fin penseur, il avait pour habitude auparavant, d’analyser tout ce qui pouvait le toucher (même une tant soit peu) pour pouvoir en tirer tous les avantages. Ne nous étonnons pas, il fut placé à ses 14 ans, chez les Emeraude.
La faiblesse, chez Nicholas, provenait de sa condition de mortel. L’homme est un monstre incompréhensible, disait Pascal, et si son esprit critique lui avait permis d’affronter la vie de manière digne jusqu’ici, lorsqu’il perdit une part de son existence, on en découvrit bien plus sur Nicholas, que durant les 19 années qui le précédaient. Il se laissait bien trop vite submerger par ses peines, et s’engouffrait dans une dimension bien trop superficielle : les drogues, vous connaissez ?
Le lendemain de la mort de sa sœur, Nicholas disparut. Simplement. Se volatilisa. Pas bien loin, ne vous y méprenez pas. Errant dans un bar, il s’était effondré sur une table, pour après se faire chasser par le gérant. A quatre heures du matin il avait trouvé un banc, dissimulé dans un parc par plusieurs buissons. Il y avait passé la nuit, assis, recroquevillé plutôt, sa touffe de cheveux collée à son front transpirant, à ses joues inondées de larmes. Il n’avait pu dormir. Au petit matin, l’adolescent quitta l’endroit, ne réalisant même pas que le banc sur lequel il avait passé ces heures de peines et châtiment, était simplement le banc où il avait pour habitude de se poser avec sa meilleure amie, Jezebel, les jours d’été. En partant, ses paupières lourdes, l’empêchèrent de remarquer que l’un de ses bracelets était tombé aux pieds du banc.
Que fait un 5 juillet, lorsque l’on est seul à Londres. Nicholas n’y pensait même pas. Enfermé dans une bulle, il ne ressentait le temps passer. L’odeur de la terre mouillée sur laquelle il avait retrouvé sa sœur agonisant avait pénétré sa peau, si bien qu’il ne ressentait plus aucune odeur, même plus le parfum des muffin chauds brûlant qui sortaient des fours à sept heures et demi du matin, pour être vendus dix minutes plus tard. La seule odeur qu’il sentait, c’était celle de cette terre souillée par la mort.
En moins d’une semaine l’adolescent était devenu un spectre. Si la première semaine, Berlioz ne pu entretenir aucune forme de discours, de rapport humaine, à partir de la deuxième, le jeune homme franchit un nouveau cap. Sous l’influence de stupéfiants et toutes autres substances il lui devint très simple de « converser ». Il passait facilement pour le brun ténébreux, parlait peu, mais avec ce regard si profond et à la fois si vide qu’il en devenait vite inquiétant. Le profil de l’homme brisé semblait attirer considérablement les filles, aussi Nick trouva vite la solution pour passer ses journées. Il se réveillait chaque matin dans le lit d’une nouvelle personne, se douchait, enfilait des vêtements trouvés dans l’armoire du copain de la fille, et s’en allait.
Au fur et à mesure des jours il commença à perdre les seuls objets auxquels il tenait, et qu’il gardait normalement constamment sur lui. Son bracelet brésilien, une gourmette aux armoiries de sa famille, une bague héritée de son grand-père, son porte cigarettes et sa flasque en argent. Chaque jour il se réveillait, inconscient du lieu où il était, il exécutait les mêmes gestes, inconscient de ce qu’il faisait, il sortait, inconscient d’où il allait. Le seul moment de conscience qui le prenait, c’était celui où il commandait son premier verre, où lorsqu’il payait de minables dealers rencontrés par le biais de parfaits inconnus en soirées. Ce petit jeu dura plus d’un mois.
« Un café. »
Sa voix rauque et déraillant d’avoir trop peu parlé au cours des semaines qui précédaient cette journée, avait perdu toute sa vigueur. En fait, ce n’était pas seulement sa voix qui avait perdu sa vigueur. Son corps tout entier n’imposait plus rien. L’aura puissante et inquiétante qui l’entourait d’habitude avait disparu. Il n’était qu’un spectre, un anonyme, un inconnu parmi tant d’autres. Un jeune brisé, drogué aux yeux des autorités, un rejet de la société pour beaucoup, futur bon à rien, au chômage, au ventre gonflé par la bière, à la calvitie précoce et aux manières de bûcheron. Plus moldu on meurt. Pris de malaises à longueur de journée, à force d’économiser sur sa nourriture pour pouvoir se payer de quoi se faire du bien le soir grâce à l’argent volé dans les portefeuilles de ses compagnes provisoires, il avait perdu toute son allure. Et le pire, il était devenu un parfait salaud.
Même là, accoudé piteusement – avachi plutôt – au stand qui vendait des cafés, au coin d’une rue, près d’un antiquaire, près d’un magasin où Jez et lui avaient pour habitude de se rendre, et où elle lui avait offert son chapeau préféré, il ne semblait pas se rendre compte d’où il était. Et pourtant, ce chapeau qui l’accompagnait tout le temps, il n’était plus collé à sa tête depuis la veille. Pourquoi ?
Parce qu’il l’avait posé sur le banc, le même banc que lors de sa première veille. Le même banc que lors de sa première soirée de deuil. Ce chapeau comme indice, indice indirect à Jezebel, sa meilleure amie, indice pour qu’elle le retrouve et qu’elle l’aide. Indice qu’il ne choisissait pas de laisser. Il n’avait même jamais songé à cette tactique du petit Poucet. C’était comme si, durant les cinq secondes qui précédaient son départ d’un lieu symbolique, énigmatique pour J & lui, une force supérieure prenait le dessus, et le forçait à perdre ses reliques précieuses. Cinq secondes plus tard, il partait, inconscient d’avoir perdu quelque chose, toujours dans son éternelle transe qui le coupait du reste du monde, et l’empêchait de redevenir celui qu’il avait toujours été, un adolescent rusé, penseur, posé, accroché aux sentiments, aux sensations et émotions. Un adolescent malin, qui savait profiter des situations. Un adolescent intelligent, capable d’affronter les évènements au mieux, la tête haute, une aura froide et rassurante l’entourant. Il n’avait jamais été le Serpentard salaud qui complotait sur les autres. En fait, il s’en foutait pas mal des autres. Mais sa force et son assurance étaient telles qu’elles pouvaient se retourner bien vite contre lui. Malheureusement, cela s’était produit un mois et demi plus tôt.
Jusqu’à ce que…
Vous avez déjà eu l’impression de vivre une scène au ralenti ? Si, vous savez, lorsque les actions s’enchaînent si vite, et que vous êtes pas dans le « truc », que vous êtes dans une transe parallèle… Vous avez la sensation de vivre cet instant comme une personne extérieure, et alors tout vous semble plus lent, alors que vous devriez vivre l’action à 100 à l’heure, parce que vous y êtes directement impliqué. Nick ressentit soudain cela. En peu de secondes des bras l’entourèrent, quelqu’un le serrait dans ses bras, et lui comme un pantin ne bougea pas. Sans se surprendre, sans se défaire ou répondre à l’étreinte. Il ne fit rien, se laissa prendre. Les images défilaient si lentement face à lui qu’il arrivait encore moins à reprendre contact avec la réalité, encore moins que lors de ces dernières semaines. Aussi il ne fit rien. Peut-être parce qu’au fond il reconnaissait bien Jez face à lui, Jez qui le tirait déjà par le bras, et le tenait serré contre elle pendant qu’ils marchaient. Il sentait sa présence, il la connaissait, mieux que quiconque, mieux qu’à n’importe quel autre moment, mieux que le jour de leur première rencontre.
*
C’était en troisième année. Début troisième année.
Lors d’une petite fête « d’intégration » des nouveaux, Nick s’était posé dans un coin, observant la soirée, l’ambiance se former, passer, revenir, les gens s’amuser, discuter, s’exciter. Pourquoi ne pas se mélanger à la masse. Peut-être un besoin d’air, sans doute interprété comme du snobisme par beaucoup, ou de recul. Sans doute un besoin de vue d’ensemble, sur toutes les personnes l’entourant. Pas une manière de trier ses contacts, mais surtout d’analyser les comportements, pour comprendre dès le début quels amis il lui valait mieux ne pas avoir dans son cercle. Nick avait une manie, manie qui le suivait partout ; il n’accordait que peu sa confiance, simplement par peur d’être déçu. Il avait pris cette décision bien des années auparavant, celle de limiter au plus les déceptions sentimentales, émotionnelles et autres. Le Serpentard devait se sentir en sécurité, connaître ce dans quoi il s’aventurait, et ainsi il pouvait se rendre haïssable inconsciemment. Les personnes qui cherchaient à forcer la main avec lui ne recevaient pas de fleurs, la tendance à s’énerver et à « cracher » contre les autres était dominante dans certains types de situation, et il n’y pouvait rien. Lorsque qu’il avait une idée en tête, dure de la lui changer, et lorsqu’il se réveillait en voyant le monde noir, une vipère s’emparait de lui, mieux valait alors attendre le lendemain, que l’humeur démoniaque l’ait quitté.
Ce soir il analysait, simplement.
« Tu la connais ?
- Qui ça ?
- La fille sur le balcon. »
Nick leva les yeux un instant, un Serpentard de sa promo, Alessandro, se tenait à ses côté, le regard planté droit devant. Depuis plusieurs minutes Nick sentait que quelqu’un le fixait, ce devait donc être lui. Berlioz tourna la tête dans la direction de l’objet fixé par le blond, même s’il savait très bien ce qu’il allait y voir. Une fille de leur année, qu’il ne connaissait que de nom, Fitzgerald, était accoudée au balcon.
« Non.
- C’est bizarre, vous avez un truc tous les deux. Comme si vous étiez d’un même sang… Oh, moi c’est Alex. »
Je sais, se retint de dire l’émeraude.
« …Nick. » Il hésita un instant, intrigué. « On va la voir, ma fausse sœur ? »
Et ainsi tout avait débuté. Jez, Alex et lui.
*
« Tu te souviens de la fois où l’on a volé la cape d’invisibilité de ce Poufsouffle là, rien que pour pouvoir s’enfuir aux Trois Balais et assister à la retransmission de la finale de Quidditch ? »
N se tourna vers J, lui lançant ce regard suppliant, les yeux injectés de sang. Il n’avait encore pas réussi à dormir cette nuit là, et le retour à Poudlard se préparait pour la semaine qui suivait. Cela faisait déjà quinze jours qu’il logeait à nouveau chez J, comme au bon vieux temps, comme à chaque été et chaque vacance depuis bientôt deux ans.
Pendant ces deux semaines, Jez s’était entêtée à lui raconter les souvenirs qu’ils avaient en commun depuis bientôt trois ans, les aventures vécues ensemble, les bons moments passés. Nick se retrouvait souvent à se demander ce qu’il venait de lui arriver, il ouvrait les yeux et tout lui semblait si neuf. Comme s’il avait dormi pendant deux mois, et qu’il n’avait gardé aucune trace du temps écoulé. Mais bien vite le temps le rattrapait et les images frappantes le submergeaient, les images frappantes ainsi que les besoins frappants. Jez le tenait à un régime strict qui n’admettait plus de drogues, mais beaucoup de nourriture, sport, musique, photo, dialogue. Elle avait réussi à lui faire reprendre quelques kilos, mince compensation par rapport au poids perdu en ces longues semaines, mais compensation quand même.
D’un coup Nick se leva, en faisant signe à J qu’il continuait à l’écouter, et se dirigea vers le sac de boxe, accroché au plafond magiquement. Il le poussa d’une main violemment, et lorsque le punching ball se rapprocha de lui Berlioz y asséna un fort coup de poing qui résonna dans la pièce. La douleur ressentie le long de son poignet lui permettait pendant quelques secondes d’évacuer celle accumulée dans son cœur. Il recommença ce petit jeu quatre ou cinq fois, avant de se reculer et de se diriger vers le balcon, en écoutant toujours d’une oreille à la fois distraite et aviser, ce que contait J.
Il sortit de sa poche une cigarette qu’il alluma d’un coup de briquet, puis s’accouda au balcon. Face à lui Londres se dessinait de manière magistrale, en ces derniers jours d’été tous les jeunes étaient dans la rue, souriants et heureux, les parcs étaient bondés et les pub foisonnant de monde. Nicholas commençait petit à petit à apercevoir les issues de secours, et les images qui se dressaient à ses yeux étaient de moins en moins noircies. Sa bulle avait éclaté à sa première crise de larmes, de spasmes, que J avait comme toujours réussi à contrôler. Depuis il ne dormait presque plus, mais le temps passait et son cœur s’allégeait en douleur.
« Jez. » Il se retourna. « Je pense qu’il est temps que j’aille faire un tour chez moi. Tu…Tu m’accompagnes ? »
Et sous l’angoisse et la tension du moment, son cœur fit un grand Boum. Le Battement reprenait.
Le Battement accéléré.
Invité- Invité
Re: n i c k . s . b e r l i o z .
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NOM - s. b e r l i o z. - s pour Serpico, un espèce de pseudonyme acquis à travers les générations. PRENOMS - n i c h o l a s. mais on l'appelle tout simplement "nick".
DATE DE NAISSANCE - 2 8 f é v r i e r 1 9 8 3.
AGE - 1 9 a n s.
ANNEE - s i x i è m e.
ORIGINES - p u r e. oui, il y en a très peu, mais jusqu'ici les berlioz ont perpétué la tradition. rien ne dit qu'il en sera de même pour le futur.
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BAGUETTE - bois de frêne, 29 cm, contenant un nerf de coeur de dragon. c'est une baguette héritée de son grand-père, elle lui a été reléguée aussi bien légalement que magiquement. la baguette l'a choisi à travers ses frères et soeurs. nick ne la prête jamais. elle a une tendance à être cassante, mais c'est une baguette très fine, légère et maniable. PATRONUS - un faucon. k r e s t r e l plus spécifiquement. peut-être un besoin de liberté ? nick le maitrise facilement, c'est l'un des éléments que sa baguette l'aide le plus à dominer.
BIEN ou MAL ? - bien, et mal.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ?
"BERLIOZ & FITZGERALD RECHERCHES POUR MEURTRES D'UNE DIZAINE DE SORCIERS. Depuis des mois, le monde sorcier se passionne pour cette affaire scandaleuse. En 2004, un an après leur sortie de Poudlard, Jezebel N. Fitzgerald et Nicholas S. Berlioz, célèbres pour la publication de leurs séries de romans-photos Snakebite (La Morsure du Serpent), commencent à écrire. En 2018 ils publient leur premier recueil de nouvelles, rédigées par l'héritière Fitzgerald et illustrées par son camarade, dans lesquels ils relatent divers assassinats avec une noirceur d'humour terrifiante. La spécificité des détails, les descriptions mêlant réalisme et fantastique, le tout posé sur un fond de dialogues sombres forment un mélange qui ne ferait pas honte aux romans d'angoisse les plus terrifiants. Ajoutez-y les photographies du jeune Berlioz dont le regard assombri tout ce qu'il voit, et c'est toute la vie qui se transpose en ruelle sombre et ruisselante de pluie... ou est-ce du sang? Pour en revenir aux faits, voilà bientôt deux ans que l'affaire Snakebite alimentent tous les ragots de la Grande-Bretagne. La série n'a pas seulement choqué, elle a effrayé par son réalisme, au point que les accusations à l'encontre des auteurs se sont multipliés. Avec l'arrivée d'Andrews, les choses se compliquent: les perceptions agressives et haineuses des criminels de la Fitzgerald étant ambiguës, on ne sait si elles s'opposent aux nés-Moldus ou, au contraire, aux Sang-Purs qui revendiquent des privilèges dépassés. Toutefois, Snakebite inquiète tellement le public que la justice finit par lancer une enquête visant à déterminer si Berlioz et sa camarade se sont contentés d'inventer ces crimes, ou s'ils sont passés à l'acte. Après un an de rebondissements, le verdict est tombé: les deux héros des supporters d'Andrews sont désormais poursuivis par la justice pour meurtres et incitation à la haine. Leur ami Alessandro Pirlo, quant à lui, a mystérieusement disparu alors qu'il était censé témoigner de leur innocence: une nouvelle victime du duo? Le mystère reste entier. Mais le plus terrible dans tous cela demeure la fuite de Fitzgerald et Berlioz, qui se sont enfuis grâce à une potion de Polynectar et aux transports en communs Moldus. Les Aurors poursuivent leurs recherches tandis que le Ministre de la Magie hésite à informer le gouvernement Moldu du risque encouru [...] "
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PSEUDO - si'. AGE - s e i z e.
AVATAR - m a r l o n . t e i x e i r a
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Rachel. (:
PRESENCE - 5/7
Invité- Invité
Re: n i c k . s . b e r l i o z .
Bienvenue (officiellement) <3
Serpentard bien sûr (ça va nous faire un lien ce futur-là xD)
Serpentard bien sûr (ça va nous faire un lien ce futur-là xD)
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
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