The Time-Turner
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Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Invité Lun 26 Oct - 0:17


Gabriel
Cheyenne
JacobTate

« Sex, Drugs and...»



Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous 2q99m2v


« Puisqu'il faut passer par là, allons-y ! Mon prénom est Gabriel comme l'ange... sauf que je ne suis pas un putain d'ange et je n'irais sûrement pas dans un quelconque paradis. Ma place est en enfer, je le sais et ça me plait. Je préfère griller dans la débauche que de me faire chier avec des saints. Pour second prénom j'ai Cheyenne. Allez-y, foutez vous de ma gueule ! Je sais que c'est un prénom de gonzesse mais je m'en cogne. De toute façon ce n'est qu'un second prénom, il ne sert pas à grand chose. Et ensuite vient Jacob. Rien à redire là dessus, si ce n'est qu'il est encore plus inutile que le précédent. Personne ne me nomme jamais par tous mes prénoms, ça en serait ridicule. Pour nom de famille je porte le patronyme Tate. Cela ne vous dit rien ? Encore heureux ! Il est suffisamment connu dans le monde moldu ! Pas la peine qu’il vienne en plus polluer ma vie du côté sorcier. Ca fait 18 ans que je foule cette terre et je me prévois une vie courte mais intense ! Vu comment je la mène, il serait étonnant que je vive jusqu’à 50 piges ! Mais au moins, je mourrais sans aucun regret ! Pourrez-vous en dire autant ? »




Dernière édition par Gabriel C. Tate le Mar 27 Oct - 10:07, édité 3 fois

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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Re: Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Invité Lun 26 Oct - 0:17

Gabriel's version (partie de la fiche de James, reprise et remaniée selon le point de vu de Gabriel)
.
Jeunes esprits perturbables, arrêtez-vous ici...


Mes mains se débattaient avec la ceinture de son pantalon, tremblantes. Ce n’était pas une quelconque peur, ni même une pudeur qui les entravaient de cette manière. J’avais depuis longtemps dépassé ce stade… l’avais-je seulement déjà eu ? Non. J’étais défoncé, le problème était là. Tellement, que même un simple bouton semblait pouvoir me résister. La coordination de mes doigts semblait merdique. Je souriais bêtement, j’avais envie de rire. Je devais avoir l’air d’un con, à genoux, en train de me débattre avec un pantalon. Je sortais victorieux de ce combat et virais ce foutu bout de tissu des cuisses de James. Enfin ! Peut être que cela n’avait duré que quelques secondes, mais pour moi le temps ne me semblait plus le même et j’avais l’impression d’y avoir passé un temps fou. Mes yeux se posèrent sur son entre jambe que je devinais facilement gonflée à travers son boxer. Je savais être le responsable de son état, et la simple idée d’avoir un tel effet sur lui, sans même l’avoir réellement touché, ne faisait que m’exciter davantage. L’impatience de James se montra et il agrippa mes cheveux. Je savais ce qu’il voulait et j’obtempérais cette fois. Je sais me montrer obéissant. Quand je le veux seulement. Je fis subir à son boxer le même traitement qu’à son pantalon qu’il rejoignit dans l’instant. Et je souriais face à cette vision… appétissante de James. Je ne perdis pas de temps pour aller goûter sa peau. Je le savourais de ma langue. J’aimais sa peau, son odeur, son goût. J’étais accro à lui, mais ce con en avait-il simplement conscience ? J’avais envie de le dévorer en entier, mais je me retenais. Je le faisais languir et moi avec, mais je savais d’expérience qu’un partenaire frustré était bien meilleur au lit par la suite. Sa voix gémissante eu presque raison de ma volonté, mais au lieu de ça, je me mettais à rire lorsqu’il tirait sur mes cheveux. Je ne sais pas pourquoi. J’en avais envie simplement ou bien fusse l’idée de le savoir agité et à ma mercie. Je cédais finalement et mes lèvres se refermaient sur l’objet de leur convoitise, et franchement, j’ignore lequel des deux était le plus excité à cet instant. Ses gémissements, même faibles, martelaient mon crâne. Qu’il m’insulte m’importait peu. James exprimait son plaisir de cette façon et de toute manière, j’étais à mille lieux de m’en offusquer !

« Hey Gabriel, tu te rappelles quand on avait dix-sept ans ? »
« Me rappelle plus, j'ai trop fini de pétards, ça m'a grillé les neurones. »
« T'étais un petit pédé, mon gars. Et t'avais une bouche de suceur. »
« Comme quoi y a des choses qui changent pas ... »

Subitement, je le sentis m’agripper et je me laissais faire docilement. En réalité, j’étais une saloperie de jouet entre ses mains ! J’avais fini par le comprendre, mais plutôt crever que de l’admettre haut et fort. Je me marre pourtant contre sa bouche. Sa langue taquinait la mienne, il n’y avait rien de drôle à ça mais je sentais qu’il s’agitait et cela me prouvait qu’il n’était pas le seul à avoir un effet dévastateur sur mes sens. Il me poussa brutalement et je m’affalais sur le lit sans aucune grâce. Cela me fit sourire. La douceur et les mièvres, ça va un temps… Je revenais vers lui dans une position qui aurait choqué ma très chère mère et sa fausse pudeur de bourgeoise. Je voulais qu’il me prenne, alors je le tentais mais il me semblait trop long. Bordel, baise-moi ! Avait-il lu dans mes pensées ? Avait-il deviné ? Ou avais-je simplement gueulé ? J’étais bien trop défoncé pour le savoir et je m’en foutais ! Le principal était qu’il m’ait rejoint et me donne satisfaction. C’était à mon tour de gémir. Ma propre voix bourdonnait à mes oreilles, mon cœur s’affolait dangereusement et mon corps allait me lâcher. Un jour, il finira par me tuer. Me tuer en me baisant. N’est-ce pas la plus belle façon de faire ses adieux à la scène ?

« Le sexe, que ce soit avec une fille ou un garçon, ça a toujours été libérateur pour moi. On expulse ses soucis dans l'autre. Au fond, c'est assez égoïste. Mais je m'en fous. Ce qui compte vraiment, c'est de pouvoir prendre son pied et tirer son coup sans être dérangé. Les mecs qui disent le contraire sont des menteurs. C'est un fait, l'homme a un sexe à la place du cerveau. C'est pour ça que je ne comprends pas les parents qui ont menti à leurs enfants en disant qu'ils plantaient une petite graine, toutes ces conneries quoi. Merde. Les gamins deviendront forcément des sacs d'hormones obsédés par leur entrejambe, et ils finiront bien par s'envoyer en l'air un jour ou l'autre. Alors c'est pas la peine de causer jardinage. Des choux, et puis quoi encore ... Conneries. J'suis bien content de ne pas avoir eu de gosses. D'façons, c'est pas un monde où on veut faire naître des gamins. »
« Pourquoi tu racontes ta vie à ce pochtron, James ? »
« Parce que les pochtrons parlent aux pochtrons, Gabriel. Allez, embrasse-moi, nous on fera jamais des gosses même si on baise 24H ... »

J’embrasse ses lèvres sans me faire plus prier. Il a raison… l’avantage que nous avons dans notre liaison, c’est qu’un môme ne peut pas s’y immiscer. Mais moi, j’en veux des gosses ! Peut être… un jour… ou pas ! Putain qu’est-ce qui me prend ?! Je ressemble à une de ces connes qui ressentent le besoin de materner un truc qui finira de toute façon par les faire chier. Parce que les gosses, c’est ça ! L’alcool et les pètes ont du sérieusement endommager mon cerveau. Les gosses, c’est de la merde ! Ils crient, pleurent, puent et font devenir vieux avant l’heure. Sans compter que quand on un môme, on ne baise plus, c’est connu. Et ne plus baiser avec James c’est vivre un semblant de vie bien fade et insatisfaisant. Parce que dans le fond, c’est lui ma meilleure drogue.





Dernière édition par Gabriel C. Tate le Mar 27 Oct - 10:10, édité 7 fois

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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Re: Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Invité Lun 26 Oct - 0:18

Gabriel's life
.



J’ouvre les yeux. Ce simple geste est déjà un exploit en soit tant il me parait difficile. Quelques rayons du soleil passent à travers la fenêtre et m’aveugle. Je passe une main sur mon front, mon crâne me fait un mal de chien. La soirée a dû être bonne ! En générale, je peux mesuré la réussite d’une fête par rapport à la souffrance que subit ma tête le lendemain, et là il est évident qu’elle a dû être la meilleure que je n’ai jamais vécu tant je morfle. Je me lève et vire une fille à moitié nue qui me prend apparemment pour un cousin. Encore un coup qui ne devait pas en valoir la peine. En tout cas, il ne fut pas mémorable ! Mais quelle importance ? un cul est un cul, c’est toujours la même chose. Ca commence à devenir lassant d’ailleurs. Trop facile, trop rébarbatif. Je prend parce qu’on me donne. Mon corps a tout de même des besoins, mais l’excitation ne déferle plus dans mes veines comme autrefois. Alors je me rabats sur mes autres passe-temps favoris : l’alcool et la drogue. D’ailleurs j’ai dû pas mal en abuser hier, j’ai l’impression d’être encore défoncé. J’attrape ma chemise qui traîne par terre et un sourire étire mes lèvres… ma mère va être aux anges quand elle va voir dans quel état je la lui ramène. Si elle était moins chiante, je serais moins con. Ce n’est pourtant pas compliqué, mais son petit esprit étriqué ne semble pas le comprendre. Tant pis pour elle. Ce n’est pas comme si je cherchais à lui plaire, à mon père non plus d’ailleurs. Se sont des rabats joie, des vieux cons. Eux, ils m’aiment, c’est certain… surtout lorsque je suis à Poudlard, loin d’eux et de leur monde trop sophistiqué pour le fils indigne que je suis. Car je suis leur bête noire. Je suis la tâche de vin qui vient bousiller le costume parfait de leur vie. Je salis leur réputation, leur nom… mais s’ils s’avaient à quel point l’image proprette qu’ils essaient de renvoyer me donne envie de gerber. Il n’y a pas plus hypocrites qu’eux ! Mon comportement les affolent, les déroutent. Ils veulent me remettre sur le droit chemin. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que je suis déjà sur le bon chemin, celui que j’ai choisi, celui de la perdition, et bon Dieu ce que c’est grisant ! Pourquoi changerais-je ? Pour les mondanités, les faux semblants et quoi d’autres ? Tout ça ne m’intéresse pas. La seule chose de bien que cela m’apporte, c’est le pognon. Au moins grâce au feeling de mon père, je peux m’offrir ce que je veux. Du wisky le plus cher, à la drogue en quantité industrielle. Le reste, je m’en fous complètement. Qu’ils gardent leur renommée pour eux, personnellement j’aime l’anonymat.

Je traverse la pièce, traînant des pieds tel un zombie et esquivant les cadavres, aussi bien de bouteilles vides que de corps encore inconscients. Bordel que cette soirée a dû mémorable ! bien que je n’en ai aucun souvenir. Dans mon avancé, j’enjambe le corps d’un Poufsouffle ronflant tranquillement, la bave dégoulinant sur son menton. Je me marre. C’est un sale petit con prétentieux. Il m’a toujours regardé de haut. Caractéristique propre aux gosses de riches nés avec une cuillère en argent dans la bouche et un balai dans le cul. Ils se permettent de me jauger, de me juger. Sales cons ! Mais j’ai trouvé un nouveau jeu grâce à eux. Je les emmène, les entraîne, les pousse à la consommation, leur montre les règles. Je finis toujours par les salir autant qu’il me pense salis. Je les pervertis, les débauche sans qu’ils ne se rendent compte. J’aime voir la honte sur leur visage après ça, ou bien à l’inverse, devenir accro à mon monde. Mais ce que j’aime le plus, c’est leur faire croire qu’ils maîtrisent la situation, qu’ils choisissent d’eux même la voie qu’ils sont en train de prendre, que de me suivre est leur idée… alors qu’en réalité, je tire les ficelles dans l’ombre, je manipule leurs pauvres petits esprits si faibles. En réalité, ces quelques imbéciles me jalousent. Ils n’aiment pas la popularité qui est la mienne, ni l’attention qu’on me porte. Ils veulent ma place mais je ne suis prêt de la leur céder, je l’aime bien trop pour cela.

Ma mâchoire me démange, j’ai envie d’une clope et je n’attends pas plus pour sortir mon paquet de ma poche arrière. J’en retire une cigarette écrasée et essaie de lui redonner un peu de forme avant de l’allumer. Bordel ce que ça fait du bien ! Je m’assoie sur les marches à l’entrée de la maison qui a accueilli la petite fête. Demain, les cours reprennent. Cela devrait m’enchanter mais l’enthousiasme m’a déserté. Je me fais chier en cours, j’ai l’impression qu’on me répète encore et toujours la même chose, des choses que je sais déjà. Finalement, les cours me servent à me reposer. Je peux somnoler parfois sans que cela ne soit un handicape pour la suite. J’ai juste à relire les notes d’un quelconque élève pour saisir le sujet. Certain disent que c’est un don, moi je suis plus réaliste… ce n’est pas un don mais l’intelligence tout simplement.




Dernière édition par Gabriel C. Tate le Mar 27 Oct - 16:12, édité 1 fois

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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Re: Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Invité Lun 26 Oct - 0:18

    Eléments de sorcellerie
    .

    BAGUETTE - Taillée dans de l'Aubépine, elle mesure 25 centimètres et possède en son cœur un nerf de coeur de dragon.
    PATRONUS - Un aigle
    BIEN ou MAL ? Aucun des deux
    QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Il sera le même, vivant dans l'excès tout en dilapidant la fortune de la famille. Aimant trop sa vie pour changer sa façon de la mener. Cependant, il finira par prendre la direction des affaires de son père au décès de ce dernier. Plus par obligation que par envie. Il se montrera pourtant digne de lui succéder.

    Hors-Jeu
    .

    PSEUDO - Naname
    AGE - 22 ans
    AVATAR - Ole Sorensen
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? Mon petit doigt mrgreen
    PRESENCE - 6/7
    COMMENTAIRES ? //




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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Re: Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Invité Mar 27 Oct - 16:23

    J'ai terminé Basketball

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Gabriel // F*ck me, I'm  gorgeous Empty Re: Gabriel // F*ck me, I'm gorgeous

Message par Bonnie Becker Mar 27 Oct - 17:21

Bienvenue x) Je te valide et t'envoie à Serdaigle =)
Bonnie Becker
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Garce fouineuse.
Back in town...

♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009

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Message par Invité Mar 27 Oct - 17:29

Merci ma Bonnie monkey

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