Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
5 participants
Page 1 sur 1
Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Hidelsheim, Elhemina
- Spoiler:
- Hors-Jeu.
PSEUDO - Kiwi, mais qu'importe!
AGE - 18 ans, prèsque 19 même!
AVATAR - Mary Elizabeth Winstead
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Double Compte ou Triple...faut voir...
PRESENCE - Tout les jours...généralement
COMMENTAIRES ? Vous n'aime!!!
Qui êtes-vous?
NOM - Hidelsheim
PRENOMS – Elhemina Emrys. Sans doute à cause de la longueur désespérante de son prénom, les gens ont souvent tendance à la surnommé Mina, ce qu’elle apprécie grandement. Bien qu’elle adore son prénom, elle le trouve trop long pout rien. D’ailleurs, lorsqu’elle se présente, c’est avec fierté qu’elle prononce ce nom qui sonne digne, bien qu’elle perde rapidement cette fierté, souriant devant la simple épellation de Mina.
DATE DE NAISSANCE – La date exacte est inconnue, on présume que ce serait pendant le mois d’avril AGE – 19 ans, environsANNEE – 6 ème
ORIGINES - Lisez bien les conditions pour être sang pur dans le règlement
Dernière édition par Elhemina E. Hidelsheim le Mar 2 Fév - 17:16, édité 8 fois
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Prologue
« L’homme est un bourreau, tuant, dévastant, blessant ce monde qui bientôt ne serait que cendre. L’homme ne fait que peut de cas du bien et du mal, de la vie et de la mort, des ténèbres ou la lumière. L’homme a tué des Noirs, des Juifs, des Indiens, des Homos, des femmes et des enfants. Il contrôler le monde avec son diable, créant Satan, créant Dieu. Et parmi ce déluge de tragédie, de douleur, d’horreur, qu’est-ce que mon méchanceté à moi? Une goûte de plus? Je n’ai assassiné personne, n’ai pas lancé de bombe sur Hiroshima ou Nagasaki, je n’ai pas bâtie de camp de concentration, ni fusillé des innocents! Alors peut-être me juger méchante? À vous de voir…vous, juge final de ma tendre et cruelle personne.»
La tendresse tue,
le manque de tendresse assassine
le manque de tendresse assassine
« J’aime la douceur, la tendresse. Émotive? Affectueuse? Sensible? Oui, mais pas comme vous l’attendez. Jamais vous ne verrez d’émotion sur mon visage d’ange, trop fière pour démontrer ma douceur ou encore mes faiblesses. Sans doute parce que jamais on ne montra de l’affection envers moi, m’expliquant que les gens pouvaient si facilement retourné les émotions contre nous. Il est donc normal pour moi d’afficher un air détaché, que l’on me cajole ou que l’on me blesse. On pourrait parfois croire que je suis un petit robot parfaitement programmé, sans émotions. C’est faux pourtant. Les marques de tendresses de ma part son rare, voir quasi inexistantes, mais lorsqu’une personne agit de la sorte avec moi, je ne sais pas comment réagir, profondément troublée. Mais je reprendre rapidement mon aplomb, affichant un air impassible de nouveau, comme un jolie petit soldat de plomb, bien que mon cœur ce met à battre à tout rompre, cognant dans ma cage thoracique, brûlant mes côtes comme il n’est pas possible de ce l’imaginer. Il est rare que je me laisse aller à ce genre de chose, ayant peur de ce qu'on pourrait penser, que l'on pourrait s'en servir contre moi. D'un autre côté, lorsque l'on voit la douleur du monde, les cris, la panique, l'horreur, pouvons-nous croire que l'humanité n'aurait pas besoin d'un peu de douceur de plus? Sans doute que oui, mais j'ai bien du mal avec cette facette du monde, bien que je démontre mon affection sans pudeur aux enfants ou à ceux qui me rapel ces enfants, innocents, fragiles, brisés.
Sans doute cela vient-il du fait que je ne fus pas élevé dans un milieu aimant. Orpheline, gamine sans famille, comment aurais-je pu être aimé parmi tous ces enfants sans parents? Je suis fille de l’église, rien de plus, rien de moins. C’est là, à la porte d’une cathédrale que l’on me trouva, envelopper dans un drap sale. Je fus élevé parmi les Sœurs sans avoir le droit à un peu de tendresse. Nous étions trop, les contactes physiques n'étaient pas sain, nous n'étions pas des barbares, pas comme ces êtres-là dehors, qui faisait des enfants et les laissaient aux portes des églises. Après tout, Dieu nous en donnait assez pour toute une vie. Comment c’est femmes font-elles pour ne pas avoir de contacte avec les gens qui les entours? Un coup de règle par ci, un regard désapprobateur par là. Quoi de plus froid? J’imagine que ces gamins de riches aux parents absents furent plus choyé que moi, ce ne serait pas difficile, remarquez. C’est drapé de noir que je vécus mes quatorze première années. Triste? Oui et non. Vous savez, on s’habitue à tout. À la douleur, à l’amour, à l’absence de sentiments. Je fus une enfant adaptative, qui ne causait pas grand problèmes à ces femmes strictes. J’étais une élève intelligente, m’efforçant de connaître ces saints et ces saintes, bien que cela était aussi inintéressant que les prières et que l’histoire du Seigneur le Créateur.
Aujourd'hui, entre les murs protecteur de Poudlard, bien qu'ils le soient bien moins aujourd'hui, je ne suis pas cette gamine des église, pudique, prude.. Non, loin de là. J'aime les fêtes, bien que le goût de l'alcool me donne la nausée. J'amuse les garçons, sans dédain, légèrement libertine. Tout le contraire de ce que l'on m'a inculqué. Pourtant à mes yeux, la chaleur des rapports hommes-femmes ce doivent d'être sans violence, doux comme les ailes de papillons, mais avec la passion du Diable, libertine, oui, mais je ne me jette pas non plus dans les bras du premier inconnu que je croise. Je suis sélective, aimant n'avoir qu'un ou deux amants, rien de plus, rien de moins. Ce n'est pas un pêché, si? Je ne trompais personne, ne jouais avec la vie d'aucun de ces hommes ou femmes. Oui les femmes. Bien que pour moi, ce ne soit qu'un jeu, rien de bien sérieux. Je n'ai rien contre les homos, détrompez-vous, mais une partie à imprimé à l'encre indélibile le fait que ce n'est pas naturelle. Il faut bien s'attendre à des séquelles lorsque l'on vous inculque de tel chose à coup de règle sur les doigts! »
Sans doute cela vient-il du fait que je ne fus pas élevé dans un milieu aimant. Orpheline, gamine sans famille, comment aurais-je pu être aimé parmi tous ces enfants sans parents? Je suis fille de l’église, rien de plus, rien de moins. C’est là, à la porte d’une cathédrale que l’on me trouva, envelopper dans un drap sale. Je fus élevé parmi les Sœurs sans avoir le droit à un peu de tendresse. Nous étions trop, les contactes physiques n'étaient pas sain, nous n'étions pas des barbares, pas comme ces êtres-là dehors, qui faisait des enfants et les laissaient aux portes des églises. Après tout, Dieu nous en donnait assez pour toute une vie. Comment c’est femmes font-elles pour ne pas avoir de contacte avec les gens qui les entours? Un coup de règle par ci, un regard désapprobateur par là. Quoi de plus froid? J’imagine que ces gamins de riches aux parents absents furent plus choyé que moi, ce ne serait pas difficile, remarquez. C’est drapé de noir que je vécus mes quatorze première années. Triste? Oui et non. Vous savez, on s’habitue à tout. À la douleur, à l’amour, à l’absence de sentiments. Je fus une enfant adaptative, qui ne causait pas grand problèmes à ces femmes strictes. J’étais une élève intelligente, m’efforçant de connaître ces saints et ces saintes, bien que cela était aussi inintéressant que les prières et que l’histoire du Seigneur le Créateur.
Aujourd'hui, entre les murs protecteur de Poudlard, bien qu'ils le soient bien moins aujourd'hui, je ne suis pas cette gamine des église, pudique, prude.. Non, loin de là. J'aime les fêtes, bien que le goût de l'alcool me donne la nausée. J'amuse les garçons, sans dédain, légèrement libertine. Tout le contraire de ce que l'on m'a inculqué. Pourtant à mes yeux, la chaleur des rapports hommes-femmes ce doivent d'être sans violence, doux comme les ailes de papillons, mais avec la passion du Diable, libertine, oui, mais je ne me jette pas non plus dans les bras du premier inconnu que je croise. Je suis sélective, aimant n'avoir qu'un ou deux amants, rien de plus, rien de moins. Ce n'est pas un pêché, si? Je ne trompais personne, ne jouais avec la vie d'aucun de ces hommes ou femmes. Oui les femmes. Bien que pour moi, ce ne soit qu'un jeu, rien de bien sérieux. Je n'ai rien contre les homos, détrompez-vous, mais une partie à imprimé à l'encre indélibile le fait que ce n'est pas naturelle. Il faut bien s'attendre à des séquelles lorsque l'on vous inculque de tel chose à coup de règle sur les doigts! »
« Je ne veux pas être de ceux,
qui portent un bandeau sur les yeux
qui portent un bandeau sur les yeux
« Je l’ai dis, je fus élever avec des saintes, je ne m’en cache pas. On évita de me parler de ces hommes cruels qui marquèrent l’histoire du monde, me disant que les atrocités de ce monde étaient causé par le Diable et uniquement lui. L’ai-je cru? Je ne peux vous répondre, parce que je n’eu pas autre choix que de me faire à ces histoires ridicules de Satan et de Dieu. La majorité du temps, je marmonnais des choses que l’on pouvait prendre pour des prières alors que ce n’était que des injures envers ces idioties. Je voulais ouvrir les yeux, connaître le monde et sa dureté, arrêter de croire que tout avait toujours été relié au démon. Nous n’étions pas dans un roman de sciences-fictions. Malheureusement, chaque fois que j’en faisais la remarque, c’était aussi tôt la règle de bois. J’appris plus tard, car entendons-nous que nous n’avions pas le droit d’avoir des œuvres comme celle de Bram Stoker dans le couvent, que sur mon nom était un lointain dérivé de celui de l’amante du Prince des Vampires. Était-ce pour cela que j’étais toujours accuser de chose que je ne commettais pas? Qu’importa si on me prenait pour la réincarnation de l’épouse de Satan, je n’allais pas croire que Satan, Belzébuth fut responsable des tueries, des meurtres… Comment pourrais-je le croire? Tout cela fut ridicule. Je ne voulais pas vivre comme ces femmes, dans un monde si loin de la réalité, ne voyant que le bien, portant un bandeau sur les yeux, aveuglé par la foi.
Dès que cela fus possible, ma curiosité m’emmena à chercher dans les livres. Ainsi je su que les tragédies du monde fut créer par les hommes, qu’Hitler enferma les Juifs dans des camps de concentration, que les Américains avaient lancé des bombes nucléaires sur des villes japonaise, que Jack l’Éventreur n’était pas un homme surnaturel, seulement un tueur douer, que les tueries de l'Afghanistan était dû aux Talibans, pas à la fureur du démon, que Dieu n'était pour rien dans les catastrophe naturelle, ces pays n'étaient des pays de disciples de Satan, rien à voir. Je devins rapidement une gamine curieuse voulant tout savoir de l’histoire et de sa douleur. Je compris rapidement que rien n’était tel que l’on me l’avait expliqué. Dieu n’était pas tout. Il n’existait pas. À ce moment, je devins une terreur pour ces sœurs qui m’avaient recueillit. Je m’amusais à ajouter de petits accessoires de couleurs voyantes à mon uniforme terne, sachant que cela ne changerait absolument rien au monde qui m’entoura.
Bien vite, je devins un vrai rat de bibliothèque, le nez toujours fourré dans les livres poussiéreux, cherchant à comprendre chaque parcelle de ce monde qui m'entours. Avec le temps, je caressai le rêve de devenir historienne du bout des doigts, mais voulais-je vraiment passer tout ce temps à lire la douleur sans pouvoir l'alléger? Curieuse, fouineuse, j'ai une soif de savoir difficile à nourir, surtout depuis que j'ai découvert le monde auquel j'appartiens. N'avais-je pas assez d'un monde à décortiquer? En voilà un autre, avec d'autres tragédies, d'autres guerres. Mon entré dans ce monde magique ne fut pas vraiment un choc, enfin pas pour moi. Je reçu la lettre, la lu devant la Soeur Agnès, ses yeux brûlants ma peau pâle. Lorsque je lui tendis, elle se crispa, hurlant qu'elle savait que j'étais la fille du démon. Mais j'étais mineur, donc on me garda au couvent, m'attribua les tâches les plus ingrates, m'obligant à prier plus longtemps que les autres...»
Dès que cela fus possible, ma curiosité m’emmena à chercher dans les livres. Ainsi je su que les tragédies du monde fut créer par les hommes, qu’Hitler enferma les Juifs dans des camps de concentration, que les Américains avaient lancé des bombes nucléaires sur des villes japonaise, que Jack l’Éventreur n’était pas un homme surnaturel, seulement un tueur douer, que les tueries de l'Afghanistan était dû aux Talibans, pas à la fureur du démon, que Dieu n'était pour rien dans les catastrophe naturelle, ces pays n'étaient des pays de disciples de Satan, rien à voir. Je devins rapidement une gamine curieuse voulant tout savoir de l’histoire et de sa douleur. Je compris rapidement que rien n’était tel que l’on me l’avait expliqué. Dieu n’était pas tout. Il n’existait pas. À ce moment, je devins une terreur pour ces sœurs qui m’avaient recueillit. Je m’amusais à ajouter de petits accessoires de couleurs voyantes à mon uniforme terne, sachant que cela ne changerait absolument rien au monde qui m’entoura.
Bien vite, je devins un vrai rat de bibliothèque, le nez toujours fourré dans les livres poussiéreux, cherchant à comprendre chaque parcelle de ce monde qui m'entours. Avec le temps, je caressai le rêve de devenir historienne du bout des doigts, mais voulais-je vraiment passer tout ce temps à lire la douleur sans pouvoir l'alléger? Curieuse, fouineuse, j'ai une soif de savoir difficile à nourir, surtout depuis que j'ai découvert le monde auquel j'appartiens. N'avais-je pas assez d'un monde à décortiquer? En voilà un autre, avec d'autres tragédies, d'autres guerres. Mon entré dans ce monde magique ne fut pas vraiment un choc, enfin pas pour moi. Je reçu la lettre, la lu devant la Soeur Agnès, ses yeux brûlants ma peau pâle. Lorsque je lui tendis, elle se crispa, hurlant qu'elle savait que j'étais la fille du démon. Mais j'étais mineur, donc on me garda au couvent, m'attribua les tâches les plus ingrates, m'obligant à prier plus longtemps que les autres...»
« Ce monde étrange
qui mêlent sa voix au choeur des anges»
qui mêlent sa voix au choeur des anges»
« Les anges, drôles de créature, vous en conviendrai. Pourtant, beaucoup moins étrange que ce monde dans lequel j'entrai pour la première fois. Ces êtres colorés, vêtus de robe de sorciers, leurs chapeaux farfelus...Sur la plateforme 9 et 3/4, je plissai le nez, légèrement dérouté, mais surtout, me retenant de poser des tonnes de questions aux passants. MA curiosité était un vilain défaut, pourtant pendant le voyage dans le train, vêtu comme eux, ces sorciers que je ne connaissais pas, je me mis à réfléchir. Vous savez, lorsqu'on vit dans un couvent, nous sommes obliger d'avoir la foi, ce que je ne comprenais pas, jamais on ne m'avait expliqué pourquoi. Et pendant ce premier voyage, les yeux rivés sur le décor défilant à toute vitesse. Dans ce nouveau monde que je découvrais peu à peu, devais-je aussi garder cette foi? Rien ne prouvait que Dieu existe, que les anges envahissaient réellement le ciel, que Satan brûlait les âmes damnées sous terre. Je décidai qu'il était inutile d'y croire. Mais il y' avait plus étrange que le monde mystique du Seigneur. En découvrant d'autre religion, je ne pus que me dire que tout cela était foutaise. Histoires créé par l'homme pour se rassurer. Avait-on besoin de telles histoires alors que nous étions si évoluer? Qu'importe.
Ma première année à Poudlard se déroula plutôt bien. Élève modèle, discrète, timide, introvertie, bien que posant des tonnes de questions. Je restais la petite fille élevé par l'église, je ne vous le cache pas. On ne change pas du jour au lendemain. Je fus cette petite fille timide jusqu'au jour ou je rencontrai Kyle. Ce garçon de Serpentard était plus vieux que moi, beau, ténébreux, séduisant...il possédait un charisme qui nous faisait rapidement tomber dans ses charmes. Je ne fus pas un exception à la règle. Il fut mon premier amant. J'ignore pourquoi s'était-il intéresser à moi, et je ne crois pas vouloir le savoir, à quoi bon. Cette histoire ne dura pas longtemps, d'une part parce qu'il n'avait rien en commun avec moi, après chaque débat, c'était une dispute qui ne se terminait que par un claquement de porte ou une gifle bien mérité. Il sorti donc de ma vie après quelques mois, mais il m'a été d'une aide précieuse pour sortir de ma coquille.
À l'heure ou je vous parle, je ne suis pas plus la même gamine. Je suis plus fêtarde, un brin plus aguichante, plus joueuse. Je n'ai pas peur de courtiser ces jeunes hommes qui courent les couloirs de cette école antique. Je me mêlai d'avantage aux gens, sans pour autant m'incruster auprès d'eux. Parfois, je me dis que je dois sans doute les énerver avec mes questions interminables, mais je n'y peux pas grand chose, du moins, je crois.»
Ma première année à Poudlard se déroula plutôt bien. Élève modèle, discrète, timide, introvertie, bien que posant des tonnes de questions. Je restais la petite fille élevé par l'église, je ne vous le cache pas. On ne change pas du jour au lendemain. Je fus cette petite fille timide jusqu'au jour ou je rencontrai Kyle. Ce garçon de Serpentard était plus vieux que moi, beau, ténébreux, séduisant...il possédait un charisme qui nous faisait rapidement tomber dans ses charmes. Je ne fus pas un exception à la règle. Il fut mon premier amant. J'ignore pourquoi s'était-il intéresser à moi, et je ne crois pas vouloir le savoir, à quoi bon. Cette histoire ne dura pas longtemps, d'une part parce qu'il n'avait rien en commun avec moi, après chaque débat, c'était une dispute qui ne se terminait que par un claquement de porte ou une gifle bien mérité. Il sorti donc de ma vie après quelques mois, mais il m'a été d'une aide précieuse pour sortir de ma coquille.
À l'heure ou je vous parle, je ne suis pas plus la même gamine. Je suis plus fêtarde, un brin plus aguichante, plus joueuse. Je n'ai pas peur de courtiser ces jeunes hommes qui courent les couloirs de cette école antique. Je me mêlai d'avantage aux gens, sans pour autant m'incruster auprès d'eux. Parfois, je me dis que je dois sans doute les énerver avec mes questions interminables, mais je n'y peux pas grand chose, du moins, je crois.»
« Les petites choses, toujours,
viennent à bout des grandes»
viennent à bout des grandes»
« Sans doute ai-je toujours eu ce petit côté sombre qui me pousse à être celle que je n'aurais peut-être jamais dû être si j'avais reçu une éducation convenable pour les années 2000. Je ne vous cacherai pas que j'ai réellement cru à la fin du monde en 2000, ridicule? Par lorsque l'on vit avec des Soeurs sévères. Mais là n'est pas la question, loin de là. Vous savez, on ne doit pas sous-estimer les choses, ce que j'ai fais pendant longtemps. J'avais sous-estimé ma capacité à être méchante, sadique, rebelle. Je n'avais pas prévu, croyant impossible, que je deviendrai une gamine arrogante et mesquine en pleine adolescence, persuader que personne ne pouvait me croire. Nous avons tous cette passe, qui heureusement passent avec le temps. Pendant l'année de mes 15 ans, j'étais la pire des pestes. Je persécutais sans remord les plus jeunes, ces petites filles qui étaient si innocentes qu'elles faisaient pitié à voir. Heureusement, avec le temps, les choses rentrent dans l'ordre, mais pas entièrement. Nous y reviendrons bientôt, pour le moment concentrons-nous sur ces petites choses.
Je me suis souvent dit qu'une enfance dénué d'amour ne changerait rien à ma vie, je m'étais trompée. Pourtant, ce ne sont que de petites années, qui passent si vite que les souvenirs en sont flous. Cela eux cependant des conséquences atroce sur ma personne. Jamais je ne pu m'attacher réellement à une personne. D'une part parce que je ne sais pas comment faire, d'une autre parce qu'avec tout ce que j'ai lu, je ne suis pas certaine de pouvoir faire confiance en le genre humain. Je cherche la proximité des gens, rien de plus rien de moins, mais qu'en est-il de l'amour, de l'amitié vrai et pur? Cela n’existe pas à mes yeux. Ce ne sont que des fables ridicules, comme la bible. C'est donc de haut que je regarde la faiblesse humaine, qui à mes yeux ne sont que de petites choses sans importances, ces sentiments qui nous rendent humains. La haine, l'amour, la joie, la tristesse. Pourtant, les petites choses viennent toujours a bout des grandes. Peut-être cela arrivera-t-il avec ma personne?
Je dois vous avouer que je n'y crois pas trop. Pessimiste? Un peu. Je l'avoue, mais j'attends toujours la personne qui me fera comprendre que les sentiments sont humain, normaux, sains. Cette personne n'est toujours pas dans mon monde, donc, jusqu'à preuve du contraire, je prends plaisir à la saveur délirante de la chair, caressant du bout des doigts le rêve d'un jour pouvoir goûter au plaisir défendu de l'amour. Un rêve qui peut-être ne se réalisera jamais. Je suis idéaliste, je rêve d'un monde qui jamais ne pourra exister et j'en suis tout aussi conciente que le fait que ce rêve est surement inutile.»
Dernière édition par Elhemina E. Hidelsheim le Mar 2 Fév - 15:44, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
« Tu m'as appris à marcher,
tête baissée,mains croisées»
tête baissée,mains croisées»
« Au milieu de la débauche de Poudlard, car bien que la majorité d'entre nous ne veulent pas le voir, il y a une certaine débauche au milieu de cette école, je grandis, comme vous tous. Chaque fois que les vacances d'été pointaient le bout de leur nez, je retournai dans couvent, vêtue de noir, chapelet entre-mêlé entre mes doigts croisés, tête basse, pendant des jours et des jours. Chaque fois, on me regardait avec un regard meurtrier, comme si je n'étais qu'une pauvre chose inutile et dégoûtante. Je me souviendrai toujours de ce soir où ma seule amie entre ces murs, tomba nez à nez avec moi. Son visage ne refléta aucun plaisir de me revoir, loin de là. la méchanceté m'avait poignarder en plein coeur.»
« Tiens, si ce n'est pas l'épouse de Satan.» Marmonna-t-elle grinçante. « Elles auraient mieux fait de te laisser mourir de froid dans la rue.»
« Alors, c'est ce qu'on apprend aux femmes de Dieu? Lammentable, Liza»
« je lui avais offert un sourire froid avant de tourner les talons dans un tourbillons de tissus noir. Je n'en revenait pas. Pourquoi je revenais toujours ici? Les choses changeaient, les gens aussi, semblait-il. Les filles de Dieu ne sont pas aussi charmante et gentille qu'on le croit. Je me souviens surtout que le soir venu, après le couvre-feu je m'étais rendu à l'hotel sous la croix immense de Jésus, sanctifier. Pleurant, je m'étais mise à l'accuser d'avoir fait de moi sa poupée. Ne m'avait-il pas obliger à marcher, comme un petit soldat de lumière, les mains en croix, n'ayant droit à aucun plaisir, privé de toute vie, dites normale? Ce fut la dernière fois que je mis les pieds au Couvent, décidant que pour moi, croire, ou du moins, songer à croire en Dieu était une page noircie et tournée de l'histoire de ma vie.Pendant les vacances qui suivies, je me débrouillai pour voyager dans le monde. Travaillant pendant deux étés pour amassé une somme respectanble. Je visitai les plaines de sabre de l'Égypte, les montagnes d'Andalousie, le Palais de marbre de l'Inde... Vivant comme une bohème, fille du vent, inconnue des gens, étrangère à tous. Pour finalement revenir à Poudlard à la rentrer scolaire, mon esprit restant souvent dans les pays visités pendant ces quelques mois. Je me nourrissais de l'histoire de ces pays, nourrissant ma curiosité déjà grande de mythe et de merveilles.»
« Tiens, si ce n'est pas l'épouse de Satan.» Marmonna-t-elle grinçante. « Elles auraient mieux fait de te laisser mourir de froid dans la rue.»
« Alors, c'est ce qu'on apprend aux femmes de Dieu? Lammentable, Liza»
« je lui avais offert un sourire froid avant de tourner les talons dans un tourbillons de tissus noir. Je n'en revenait pas. Pourquoi je revenais toujours ici? Les choses changeaient, les gens aussi, semblait-il. Les filles de Dieu ne sont pas aussi charmante et gentille qu'on le croit. Je me souviens surtout que le soir venu, après le couvre-feu je m'étais rendu à l'hotel sous la croix immense de Jésus, sanctifier. Pleurant, je m'étais mise à l'accuser d'avoir fait de moi sa poupée. Ne m'avait-il pas obliger à marcher, comme un petit soldat de lumière, les mains en croix, n'ayant droit à aucun plaisir, privé de toute vie, dites normale? Ce fut la dernière fois que je mis les pieds au Couvent, décidant que pour moi, croire, ou du moins, songer à croire en Dieu était une page noircie et tournée de l'histoire de ma vie.Pendant les vacances qui suivies, je me débrouillai pour voyager dans le monde. Travaillant pendant deux étés pour amassé une somme respectanble. Je visitai les plaines de sabre de l'Égypte, les montagnes d'Andalousie, le Palais de marbre de l'Inde... Vivant comme une bohème, fille du vent, inconnue des gens, étrangère à tous. Pour finalement revenir à Poudlard à la rentrer scolaire, mon esprit restant souvent dans les pays visités pendant ces quelques mois. Je me nourrissais de l'histoire de ces pays, nourrissant ma curiosité déjà grande de mythe et de merveilles.»
« Le soleil fait fondre la neige»
« Je fus en quatrième année lorsque je rencontra l'homme qui fit battre mon coeur. C'était la rentrer, dans le train pour être précise. Il était en septième année, et à côté de lui, les autres garçons semblaient sans éclat. Je rêvai de ses bras pendant quatre mois, jusqu'à ce que j'ose l'aborder. Nous sortîmes ensemble, pour être honnête. Moi qui n'avait jamais connu de sentiment aussi fort, j'en fus destabilisé. Troublée par sa façon de me touché, de caresser ma joue, de frôler mes lèvres. Ce fut le seul avec qui j'osai les léger geste de tendresse que je connaissais. La poésie prit son sens, les sentiments le leur et les couleurs devint plus éclatantes. J'étais complètement sous son charme. Ce que j'ignorais c'était que l'amour était aussi douloureux. Chaque fois qu'il s'éloignait de moi, c'était comme une blessure cruelle dans creux de mon ventre, dans ma poitrine. Je n'avais jamais cru les sentiments aussi cruels, comment pouvait-on y survivre? Mon coeur accélérait chaque fois que j'entendais son nom, le sang affluait dans mes joues chaque fois que je croisais son regard. Je n'avais jamais ressentit cela, c'était si différent qu'avec les quelques amants qui avaient partagé ma couche.
Je compris alors les histoires d'amour, celle de Roméo et Juliette, celle de Quasimodo et d'Esmeralda...Celles que l'on voyait dans les livres, dans les films, dans notre quotidien. Histoires complexes ou faciles, dépendant des situations. Ce fut une époque de ma vie que je n'oublierai jamais. Encore aujourd'hui, je cherche toujours ce genre d'amour, qui laisse des traces même après une éternité sans caresses, sans baiser. Car même pas un milion d'étoiles ne pourrait valoir celles qui brillaient dans ses yeux lorsqu'il me regardait, souriant comme un ange. Avec le temps, je ne sais plus si c'est de l'amour dont je tombe amoureuse, ou de l'homme en question, heureusement pour moi, cela ne m'arrive pas très souvent.
Nous étions heureux, du moins c'est ce que j'avais toujours pensée. crédule? Peut-être un peu. Mais j'assume entièrement. Nous passâmes toute l'année scolaire l'un avec l'autre, inséparable. Ce ne fut que lorsque l'été pointa le bout de son nez et que nous partîmes chacun de notre côté que cela se gâta. Lui repartit vers sa famille, moi dans les chemins tortueux de la France. Lorsque je revins en Angleterre, il avait bien changer, trop changer.»
« Ce qui ne nous tue pas
Nous rend plus fort»
Nous rend plus fort»
« Le regard qu'il posa sur moi, me donna un frisson déplaisant. Il n'était pas celui que je connaissais. Je fis néanmoins semblant de rien, l'embrassant, souriante et enjouée. Il me repoussa violement, et presqu'en hurlant, me dit qu'il avait trouver l'amour de sa vie, qu'après ces quelques semaines, il était fiancé. Mes yeux sombres se firent froid, cachant, d'instinct, ma panique, mon mal être. Ainsi, il m'avait remplacé, si rapidement? Je le dévisageai un moment, déroutée. N'avais-je été qu'une poupée de chiffon entre ces mains? Un jouet? Qu'importe, ce fut la dernière fois que je le vis, ayant terminer ses études à Poudlard, il commençait une formation d'Auror. Quant à moi, je retournai à l'école de sorcellerie, triste, songeuse et perdue.
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, n'est-ce pas? C'est ce que l'on dit dans tout les cas. Je ne m'en sortie que plus forte, moins naïve, plus méfiante. Je redoublai mes efforts scolaire, passant ma rage dans des oeuvres historiques, assouvissant encore mon intérêt pour les siècles passés. Étais-je si prévisible? Pourquoi fallait-il toujours que je me calme en lisant ces livres, assouvissant une curiosité qui commençait vraiment à devenir pesante. Je ne cessais de me demander si elle le serait tout autant si on ne m'avait pas faire croire autant de stupidité, sans doute que si, n'était-elle pas une partie intégrente de ma personne? Autant que cette manie de voir les petites choses comme insignifiante, de ne pas vouloir ressentir de sentiments?
Je ne cessais de me dire que cette vie était fait pour blesser. Qu'elle ne m'offrait rien de vraiment bien. Elle m'avait donné une mère qui ne voulait pas de moi, m'avait envoyez sans pitié dans un couvent avec de vieilles bonnes femmes qui n'avaient rien d'humaines, avait mit ce garçon sur ma route, un idiot qui m'avait si vite remplacer que ça en devenait ridicule. Chaque fois que j'y pensais, je souriais sadiquement, si j'avais encore la foi, j'aurais bien plus me racheter, mais plus maintenant. Il n'y avait pas de Dieu, pas de destin, c'était à moi de choisir, conduire ce navire qu'était ma vie...ce prendre en main..Oui...ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.»
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, n'est-ce pas? C'est ce que l'on dit dans tout les cas. Je ne m'en sortie que plus forte, moins naïve, plus méfiante. Je redoublai mes efforts scolaire, passant ma rage dans des oeuvres historiques, assouvissant encore mon intérêt pour les siècles passés. Étais-je si prévisible? Pourquoi fallait-il toujours que je me calme en lisant ces livres, assouvissant une curiosité qui commençait vraiment à devenir pesante. Je ne cessais de me demander si elle le serait tout autant si on ne m'avait pas faire croire autant de stupidité, sans doute que si, n'était-elle pas une partie intégrente de ma personne? Autant que cette manie de voir les petites choses comme insignifiante, de ne pas vouloir ressentir de sentiments?
Je ne cessais de me dire que cette vie était fait pour blesser. Qu'elle ne m'offrait rien de vraiment bien. Elle m'avait donné une mère qui ne voulait pas de moi, m'avait envoyez sans pitié dans un couvent avec de vieilles bonnes femmes qui n'avaient rien d'humaines, avait mit ce garçon sur ma route, un idiot qui m'avait si vite remplacer que ça en devenait ridicule. Chaque fois que j'y pensais, je souriais sadiquement, si j'avais encore la foi, j'aurais bien plus me racheter, mais plus maintenant. Il n'y avait pas de Dieu, pas de destin, c'était à moi de choisir, conduire ce navire qu'était ma vie...ce prendre en main..Oui...ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.»
« Déjà, je suis cruelle et tendre»
« Au fil des ces années de vie, dix-neuf petites années mouvementées et calmes, j'appris, changeai, me modelai pour devenir celle que je suis déjà. De la gamine coincée à la jeune femme qui s'amuse avec certains garçons, de l'adolescentre frustré qui martyrisait les autres à la jeune femme qui cherche à se connaître. Curieuse, sérieuse, ce petit côté de moi ne changera sans doute jamais. Néanmons mon coeur balance entre la cruauté et la tendresse. À la fois sadique et douce, à la manière d'une rose. À la fois chaleureuse et Froide, mystérieuse et lumineuse, Catholique et Athée, bohème et sédentaire. Rebelle? oui, j'en conçois, trop idéaliste pour croire que je ne puisse pas changer le monde, ne serait-ce un peu. Reste à savoir à quel point j'irai pour changer ce même monde....»
«Tout de moi...»
BAGUETTE - Bois de Tilleul et plume d'abraxam
PATRONUS - Un joli petit Colibri,
BIEN ou MAL ? Entre le Paradis et l'Enfer, je choisi la Terre. Je suis donc neutre, jusqu'à preuve du contraire
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Après avoir passé 1 an en Afrique à aider les gens, Mina partira pour l'Afghanistan pour aider le peuple. Militante pour le droit des femmes dans un pays ou les femmes ne sont que marchandisent, elle se fera lapidé sur la place publique pour outrage à Allah. Sans jamais avoir été marié, avoir eu d'enfant, à 22 ans, la mort subite et honnorable. Mais peut-être les choses changeront-elle, que son envie de changer le monde se freinera maintenant que le passer est troublé.
Dernière édition par Elhemina E. Hidelsheim le Mar 2 Fév - 17:15, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
(Re)-Bienvenue Bon courage pour ta fiche!
C'est Maaira non? *-* *veut savoir*
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- Re-bienvenue!
J'adore ton avatar <3
Bon courage (a)
Sam', petit curieux xD
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Moi je sais Merci petit bouton ip xD Mais en même temps c'était évident ^^'
Re bienvenue
Re bienvenue
Demetri Raynolds- « Ne touchez pas à Zane. »
- ♦ HIBOUX POSTÉS : 1972
♦ ARRIVÉE : 11/10/2009
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Demichouuuu mon n'ami à moi, tu me dis qui elle est ?
Vilaine, tu me frappes o: ? *aime ça xD*
Vilaine, tu me frappes o: ? *aime ça xD*
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Voui je te tappe, han!
Mais hum...t'es maso, c'est ça?
Mais hum...t'es maso, c'est ça?
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Non non
*ronronne*
*SBAF xD*
Oui j'arrête, j'ai bien pollué les fiches hier, j'vais pas recommencer aujourd'hui ><
*ronronne*
*SBAF xD*
Oui j'arrête, j'ai bien pollué les fiches hier, j'vais pas recommencer aujourd'hui ><
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
ohhhh!!! Tu ronronne!!!
Y' a juste moi qui à le droit de poluer ma fiche avec ma présentation plus ou moins nulle, compris, M'sieur le maso?! ah ah!
Y' a juste moi qui à le droit de poluer ma fiche avec ma présentation plus ou moins nulle, compris, M'sieur le maso?! ah ah!
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- Oh qu'elle est mignone la petite (a)
Ouais Sam, sage aujourd'hui, je t'ai à l'oeil!
Welcome! =D
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Sage... comme une image
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- J'y crois à celle là
Viens finir d emettre notre lien au point, que je te montre à quel point tu n'es pas sage
( Et moi non plus par la même occasion...SMNM N'oublions surtout pas le dernier M! J'adore ce truc c'est con mais )
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Huhu, j'aime quand les gens font des DC, c'est qu'ils aiment le fofo
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Mouahaha xD j'accours
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Bonnie Becker a écrit:Huhu, j'aime quand les gens font des DC, c'est qu'ils aiment le fofo
oui z'aime le fofo!!!!!
Donc j'ai terminer, en espérant que cela vous plaira! =P
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Bon, je valide ! <3 Désolée pour le retard, Dr House oblige
J'ai bien aimé le 18 ans après, ça change de ce qu'on voit d'habitude x)
Serdaigle !
J'ai bien aimé le 18 ans après, ça change de ce qu'on voit d'habitude x)
Serdaigle !
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Pas grave, ma Bonnie !! =)
Et merci, ouii , je me suis dis que ce serait marant de jouer mlle-je-veux-sauver-le-monde-mais-je-me-fais-lapider-par-des-turbans-tout-méchants! ^^
Et merci, ouii , je me suis dis que ce serait marant de jouer mlle-je-veux-sauver-le-monde-mais-je-me-fais-lapider-par-des-turbans-tout-méchants! ^^
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- Ah, enfin du bleu !
Moi j'vais le changer ton futur tu vas voir
Adam Meyer- Good boy get bad
Garden, cruel love. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1488
♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- Haha, à mon tour de polluer les fiches ! Vengeons-nous de la connexion bas-débit de mes grands-parents !
C'est Mai-chou j'suis sûre. Câaaalin !
Et bienvenue chez les bleutés =D
Montana D. Jones- ▬and I DON'T GIVE A DAMN ;
'bout my bad reputation - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1162
♦ ARRIVÉE : 10/01/2010
♦ ANNÉE : 6th grade
♦ HUMEUR : exhausted.
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
Qu'ai-je fais pour que tu sois si certaine, hum?
Owii Adam *_*
Owii Adam *_*
Invité- Invité
Re: Elhemina E. Hidelsheim --Finish!
- Un indice ? La présentation
Et si ce n'est pas Mai, pardon ! =)
Montana D. Jones- ▬and I DON'T GIVE A DAMN ;
'bout my bad reputation - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1162
♦ ARRIVÉE : 10/01/2010
♦ ANNÉE : 6th grade
♦ HUMEUR : exhausted.
Sujets similaires
» Les rêveurs n'aiment pas les escaliers [feat Elhemina]
» finish ♦ i am your VENUS, i am your FIRE;
» Caleb T. Linus - Everybody Must Get Stoned! (Finish)
» Are we growing up, or just going down ? Frederick McStow [6o % finish]
» Beauty Is A Curse On The World (Finish)
» finish ♦ i am your VENUS, i am your FIRE;
» Caleb T. Linus - Everybody Must Get Stoned! (Finish)
» Are we growing up, or just going down ? Frederick McStow [6o % finish]
» Beauty Is A Curse On The World (Finish)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum