Pandore C.
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Pandore C.
PANDORE VERONICA CAULFIELD
.
- ____
__-___retournons au pays d'autrefois, comme avant des mes rêves d'enfants.
NOM - Caufield.
PRENOMS - Pandore, Veronica. Son prénom lui vient de sa mère, qui a toujours eu une réelle fascination pour la mythologie grecque. Et avec le temps, on a pu s'appercevoir, que la Pandore de la myhtologie, et notre Pandore à nous n'avait pas que leur prénom en commun, bien en contraire.
DATE DE NAISSANCE - Votre texte.
AGE - Dix huit ans.
ANNEE - Cinquième année.
ORIGINES - Sang-mêlé, sa mère n'étant qu'une simple moldue. En ce qui concerne son père on dit la famille de sang pur.
PRENOMS - Pandore, Veronica. Son prénom lui vient de sa mère, qui a toujours eu une réelle fascination pour la mythologie grecque. Et avec le temps, on a pu s'appercevoir, que la Pandore de la myhtologie, et notre Pandore à nous n'avait pas que leur prénom en commun, bien en contraire.
DATE DE NAISSANCE - Votre texte.
AGE - Dix huit ans.
ANNEE - Cinquième année.
ORIGINES - Sang-mêlé, sa mère n'étant qu'une simple moldue. En ce qui concerne son père on dit la famille de sang pur.
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 10:37, édité 8 fois
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Re: Pandore C.
« DU CHAOS NAÎT UNE ETOILE. » - CHARLIE CHAPLIN
« Je suis une petite étoile d’envie, une petite étoile morte avec le temps. Je ne regrette rien dans mes choix, mes actions, mais bien sur, si j’avais le choix de recommencer, je changerais bien des choses. Je suis un peu lente de nature, je prend toujours les mauvaises décisions, pour me rendre compte de laquelle était la bonne. On a tous nos défauts après tout. Je ne vous demande pas de me plaindre, de toute façon vous n’y arriveriez pas. Que les apparences soient belles vu qu’on ne juge que pas elles, tel est ma philosophie. Seulement, celles-ci, ne reflètent jamais qui l’ont est réellement. Je ne suis qu’un petit mystère, un petit secret, garder précieusement par une serrure, ou la seule clef qui aurait pu l’ouvrir, a été égarée par moi-même. Je m’enfonce, je le sais, j’ai peur, bien sur que j’ai peur. Mais je ne veux pas d’aide, je refuse toutes les mains qu’ont me tend, parce que je veux y arriver toute seule, bien que je sache, que ce n’est qu’une cause perdue. Pandore. Un prénom avec toute son histoire. La décadence, l’envie, les interdits, les pleurs, tout se mêlent, et rien n’en ressort. Ma vie n’est qu’une suite d’échecs, mais je les assume, et vous savez quoi ? Je dors très bien. Amen. »
« Je suis une petite étoile d’envie, une petite étoile morte avec le temps. Je ne regrette rien dans mes choix, mes actions, mais bien sur, si j’avais le choix de recommencer, je changerais bien des choses. Je suis un peu lente de nature, je prend toujours les mauvaises décisions, pour me rendre compte de laquelle était la bonne. On a tous nos défauts après tout. Je ne vous demande pas de me plaindre, de toute façon vous n’y arriveriez pas. Que les apparences soient belles vu qu’on ne juge que pas elles, tel est ma philosophie. Seulement, celles-ci, ne reflètent jamais qui l’ont est réellement. Je ne suis qu’un petit mystère, un petit secret, garder précieusement par une serrure, ou la seule clef qui aurait pu l’ouvrir, a été égarée par moi-même. Je m’enfonce, je le sais, j’ai peur, bien sur que j’ai peur. Mais je ne veux pas d’aide, je refuse toutes les mains qu’ont me tend, parce que je veux y arriver toute seule, bien que je sache, que ce n’est qu’une cause perdue. Pandore. Un prénom avec toute son histoire. La décadence, l’envie, les interdits, les pleurs, tout se mêlent, et rien n’en ressort. Ma vie n’est qu’une suite d’échecs, mais je les assume, et vous savez quoi ? Je dors très bien. Amen. »
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 9:35, édité 5 fois
Invité- Invité
Re: Pandore C.
« ET MA NAISSANCE FUT LE PREMIER DE MES MALHEURS. » - JEAN-JACQUES ROUSSEAU.
Déjà plus petite que les autres enfants de son âge, dans l’environnement dans lequel la jeune enfant évoluait, elle était la beauté en personne. Ressemblant à sa mère, comme si ce n’était que son reflet, tout le monde s’extasiait devant son visage angélique. De jolies boucles d’un blond foncés, qui descendent en cascades sur ses épaules, de beaux et grands yeux verts, une peau pâle, des traits fins, et une bouche rosée. Le portrait craché de sa mère, voila ce qui sortait des bouches de toutes les personnes qui ont connue Veronica et qui a présent voyaient Pandore. Seulement, personne ne l’aimait réellement. Non. Elle n’était que la jolie blonde, la belle descendante de Veronica, qui avait raflée toute la beauté de sa mère. Alors les questions se posaient quand à son avenir, mais personne ne se souciaient jamais de son présent. Il faut croire que les adultes, avaient ce don qui est de ne jamais penser aux choses importantes concernant les enfants, et de toujours s’attarder sur de belles futilités. Un soir, alors que Pandore avait du encore supporter toute ces petites vieilles, qui la complimentait sur sa beauté, et qui lui traçait son avenir alors qu’elle n’avait qu’a peine quatre ans, elle tira doucement sur la manche de son père, avant d’engager un semblant de conversation.
Mais les secondes passèrent, se transformant en de longues minutes et rien. Depuis ce fameux bruit, rien ne s'était passé. Incertaine, Pandore tira doucement sa couverture, posant ses pieds nus sur le parquet froid de sa chambre. Avec apréhension, elle passa la porte de sa chambre, pour s'aventurer en silence, la peur au ventre, dans l'escalier. Une, deux, trois marches. Puis finalement elle arriva en bas, personne dans l'entrée, poussant doucement la porte du salon... Elle poussa alors un cri de stupeur. Son père était là, pendu, et sûrement avait il donné un violent coup de pied durant son achèvement. Une lettre posée sur la table, comme pour la plupart des suicides, elle ne savait de toute manière pas lire. Elle regarda la scène une fraction de seconde, et ses yeux d'un vert d'eau se remplirent alors de larmes. Elle avait causée la mort d'une autre personne. Elle était orpheline à présent, elle n'avait jamais connue sa mère, son père était partit sans jamais l'avoir aimée. Alors, elle laissa place a son chagrin.
- « Je suis sincèrement désolée M. Caulfield, mais votre femme n’a pas supportée l’accouchement. Elle était très malade, et que sa grossesse soit arrivée a terme est déjà un miracle. »
- « M. Caulfield, comment souhaitez vous nommer votre fille ? »
- « Pandore Veronica Caulfield. »
Déjà plus petite que les autres enfants de son âge, dans l’environnement dans lequel la jeune enfant évoluait, elle était la beauté en personne. Ressemblant à sa mère, comme si ce n’était que son reflet, tout le monde s’extasiait devant son visage angélique. De jolies boucles d’un blond foncés, qui descendent en cascades sur ses épaules, de beaux et grands yeux verts, une peau pâle, des traits fins, et une bouche rosée. Le portrait craché de sa mère, voila ce qui sortait des bouches de toutes les personnes qui ont connue Veronica et qui a présent voyaient Pandore. Seulement, personne ne l’aimait réellement. Non. Elle n’était que la jolie blonde, la belle descendante de Veronica, qui avait raflée toute la beauté de sa mère. Alors les questions se posaient quand à son avenir, mais personne ne se souciaient jamais de son présent. Il faut croire que les adultes, avaient ce don qui est de ne jamais penser aux choses importantes concernant les enfants, et de toujours s’attarder sur de belles futilités. Un soir, alors que Pandore avait du encore supporter toute ces petites vieilles, qui la complimentait sur sa beauté, et qui lui traçait son avenir alors qu’elle n’avait qu’a peine quatre ans, elle tira doucement sur la manche de son père, avant d’engager un semblant de conversation.
- « Papa, parle moi de maman. »
« Tu l’as fait mourir. »
- « C’est pas vrai… Pourquoi tu dis ça ? Ce n’est pas gentil… »
« Et toi Pandore ? Tu es gentille ? Tu as tuée ta maman en venant au monde, nous ne te voulions même pas. Tu n’es qu’une erreur. Une erreur qui lui a coûtée la vie. »
- « Papa, est ce que tu… tu crois qu’elle aurait été fière de moi ? »
« Comment veux tu que je le saches, elle n’est plus là Pandore, met toi ça dans le crâne. Tu l’as tuée, le jour ou tu es venue au monde, et je ne peux même pas faire mon deuil, car en te voyant… En te voyant je revois ta mère. C’est une souffrance perpétuelle. Tu n’apportes que des malheurs Pandore. Si tu tiens aux gens, alors tiens toi a l’écart, ou tu gâcheras leurs vies, comme tu as pu détruire la mienne, et celle de ta défunte mère. »
Mais les secondes passèrent, se transformant en de longues minutes et rien. Depuis ce fameux bruit, rien ne s'était passé. Incertaine, Pandore tira doucement sa couverture, posant ses pieds nus sur le parquet froid de sa chambre. Avec apréhension, elle passa la porte de sa chambre, pour s'aventurer en silence, la peur au ventre, dans l'escalier. Une, deux, trois marches. Puis finalement elle arriva en bas, personne dans l'entrée, poussant doucement la porte du salon... Elle poussa alors un cri de stupeur. Son père était là, pendu, et sûrement avait il donné un violent coup de pied durant son achèvement. Une lettre posée sur la table, comme pour la plupart des suicides, elle ne savait de toute manière pas lire. Elle regarda la scène une fraction de seconde, et ses yeux d'un vert d'eau se remplirent alors de larmes. Elle avait causée la mort d'une autre personne. Elle était orpheline à présent, elle n'avait jamais connue sa mère, son père était partit sans jamais l'avoir aimée. Alors, elle laissa place a son chagrin.
- « PAPAAAAAAAAA ! »
- « Alors... C'est quoi ton prénom ? »
« Pan... Pandore, madame. »
« Oh... Ecoute ca va aller ce qu'il faut que tu gardes à l'esprit c'est que ton papa t'aimait. »
« Non... Il ne m'aimait pas... »
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 9:34, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Pandore C.
« INFINIMENT PLUS QUE TOUT : C'EST LE NOM ENFANTIN DE L'AMOUR, SON PETIT NOM, SON NOM SECRET. » - CHRISTIAN BOBIN.
Il faut croire qu’il ne réussit pas à résister au charme de la jolie blonde, haute comme trois pommes, plus longtemps, puisque posant l’une de ses mains sur ses hanches, et l’autre dans ses longs cheveux d’un blond de paille. Il se pencha doucement, alors qu’elle se mettait sur la pointe des pieds. Bientôt leurs lèvres entrèrent en contact, et ce fut un moment magique aussi bien pour notre Jolie Pandore, que pour Joshua. Profitant de ce moment, ils le prolongèrent de quelques minutes, puis résignés, se détachèrent en douceur. Dans l’effervescence de ce premier baiser, Pandore ne remarqua pas tout de suite l’air soucieux qui se peignait sur le visage de son ami. Mais qu’est ce qu’il avait donc ? Elle ne l’avait jamais vu comme ça, et c’était assez étrange. Ils étaient comme des miroirs, des jumeaux. Rejetant ses cheveux en arrière, elle le regarda doucement, puis sortit une nouvelle cigarette pour elle, et en offrit une à Joshua, qui l’a prit sans rechigner un seul instant. Il y avait quelque chose qui n’allait pas, ça, Pandore en était persuadée, oui mais quoi ? Là était la véritable question. Marchant quelques instants, elle prit place sur un banc, et invita Joshua à la suivre, ce qu’il fit sur le champs.
- « Joshua, embrasse moi. »
- « Je ne peux pas Pandy. »
« Mais pourquoi ? Si tu le peux, je le veux. Embrasse moi Joshua. »
« Non. C’est impossible. »
« Mais pourquoi ? Je suis si moche que ça, tu ne m’aimes plus hein ? Pourquoi tu ne veux pas m’embrasser ? Pourquoi Joshua ? »
Il faut croire qu’il ne réussit pas à résister au charme de la jolie blonde, haute comme trois pommes, plus longtemps, puisque posant l’une de ses mains sur ses hanches, et l’autre dans ses longs cheveux d’un blond de paille. Il se pencha doucement, alors qu’elle se mettait sur la pointe des pieds. Bientôt leurs lèvres entrèrent en contact, et ce fut un moment magique aussi bien pour notre Jolie Pandore, que pour Joshua. Profitant de ce moment, ils le prolongèrent de quelques minutes, puis résignés, se détachèrent en douceur. Dans l’effervescence de ce premier baiser, Pandore ne remarqua pas tout de suite l’air soucieux qui se peignait sur le visage de son ami. Mais qu’est ce qu’il avait donc ? Elle ne l’avait jamais vu comme ça, et c’était assez étrange. Ils étaient comme des miroirs, des jumeaux. Rejetant ses cheveux en arrière, elle le regarda doucement, puis sortit une nouvelle cigarette pour elle, et en offrit une à Joshua, qui l’a prit sans rechigner un seul instant. Il y avait quelque chose qui n’allait pas, ça, Pandore en était persuadée, oui mais quoi ? Là était la véritable question. Marchant quelques instants, elle prit place sur un banc, et invita Joshua à la suivre, ce qu’il fit sur le champs.
- « Tu ne m’aimes plus ? »
« Si Pandore. Mais… Je ne peux pas t’embrasser, tout ça c’est compliqué, et tu n’as pas à le savoir. La seule chose c’est que toi et moi ce n’est pas possible. Il faudra se contenter d’être amis. »
« Mais je ne veux pas ! Je te veux toi, embrasse moi maintenant. »
- « Joshua, dis moi la vérité. »
« La vérité Pandy ? La vérité c’est qu’on ne se verra plus jamais, et je ne supporte pas cette idée. Mes parents ne veulent plus qu’on se voient, ils se sont disputés avec tes grands-parents je crois… Et voilà. Je ne voulais pas t’embrasser, parce que maintenant, ce souvenir restera dans mon esprit, et je ne pourrais plus jamais le faire… C’est dur Pandy. »
« Mais Joshua, on est pas obligé de les écoutés tu sais. On se verra en cachette, à Poudlard. L’année prochaine, on part loin d’eux, loin de tout ça et on sera heureux tous les deux. »
« Non Pandy, ce n’est pas si facile. Mes parents ont pris les devants, et je pars pour Salem, aux Etats-Unis… Non ne pleure pas Pandore… S’il te plait. Est-ce que tu crois en moi ? Tu as confiance en moi ? »
« Bien sûr que oui, mais qu’est ce que je vais faire sans toi… »
« Sois patiente. Un jour l’école sera terminée, ou bien mes parents et tes grands-parents, ne pourront plus nous empêcher de nous voir, de nous aimer. Hein tu m’aimes Pandore ? »
« Oui… Je t’aime Joshua. »
- « JOSHUUUUA ! NON ! LACHEZ MOI, JE VEUX RESTER AVEC LUI ! »
« Je t’aime Pandy… »
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 9:50, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Pandore C.
« LE MANQUE D'AMOUR EST LA PLUS GRANDE PAUVRETE. » - MERE THERESA.
« Maman, ma si douce maman,
Pourquoi m'as tu laissée ? Je n'ai pas eu la chance de te connaître, je suis sûre que j'aurais été heureuse avec toi. J'aurais tant aimée que tu ne meurs pas de ce cancer, que tu restes avec moi. J'ai besoin de toi, comme chaque enfant a besoin de sa mère. Tu sais, tu me verrais tu ne serais pas vraiment fière de la personne que je suis devenue... Toi qui apparement, durant ta grossesse, avait toujours eu un millions d'idées pour mon avenir, pour la personne que je deviendrais. A maintenant dix sept ans, je n'ai toujours aucune idée de ce que je serais plus tard, quelle femme je deviendrais... J'ai tellement besoin de toi, de tes mots si doux et réconfortants, ainsi que de tes caresses apaisantes, dont malheureusement, je n'ai jamais pu profiter...
Tout le monde me compare toujours à toi, car il est dit partout que je suis ton portrait craché. Mais je ne le pense pas. Sur les photos, tu as l'air si belle, et moi... Je ne suis que l'ombre de moi-même. Oh bien sûr, j'ai par exemple tes cheveux d'un blond cendré, mais ils ne sont pas bien entretenus car je ne prend jamais le temps et le soin de les chérir comme tu avais l'air de le faire avec ta chevelure si douce et soyeuse, d'après les photos. Je garde ces grands yeux d'un vert émeraude que tu m'as offert comme héritage, mais plus aucunes étoiles ne brillent à l'interieur. Ma si douce maman, si tu savais comme je suis triste, complètement perdue... J'ai l'impression que même si mes paupières sont ouvertes, et mes yeux attentifs, je ne suis plus capable de rien voir du tout. Ma peau est pâle et ma bouche n'ébauche plus aucun sourires. Mais pourquoi est ce que je m'efforcerais à en faire ? Hein maman ? Puisque je n'ai pas eu la chance de t'avoir auprès de moi, que l'on m'a retiré Joshua, je n'ai plus de raisons d'être heureuse, de sourire et de rire. Tout ça, ce n'est que du passé. Tu entends ? Du passé, un sombre passé.
Tu ne connais pas Joshua ? Il est... Oh maman, je ne sais pas ce qu'il est mais tout ce que je peux te dire c'est que je l'aime et que je l'aimerais toujours et ce, même si je ne l'ai plus vu depuis quatre longues années à présent. Il est mon ami, il est mon premier amoureux... Tu sais c'est avec lui que j'ai connue mon premier baiser, que j'ai fumée ma première cigarette, et c'est aussi avec Joshua que j'ai bu mon premier verre de whisky. Je sais ce que tu me dirais... L'alcool n'est pas convenable pour une jeune fille comme moi, et qu'il y a des milliers d'autres choses à découvrir qui seraient moins néfastes pour ma santé. Mais, ma si jolie maman, la vie ne m'a apportée que chagrin et je n'ai pu me consoler que dans le fond de l'un de mes nombreux verres. Tu sais, je ne suis plus qu'une triste épave qui se détruit à petit feu, un peu plus chaque secondes. Mes cernes se creusent de plus en plus, et souvent mes cheveux sont en battailles couverts de sueurs, et mon teint cireux, à cause d'un trop plein d'alcool. Je vomie comme je respire, et j'ai la gueule de bois, pratiquement tous les matin. C'est un peu la vertue contre le vice. Mais contre l'envie d'être une fille respectable, j'ai choisit le vice, et maintenant que j'y suis plongée, il sera impossible que je m'en sorte...
Je sais que tu devais m'imaginer comme une battante, mais tu sais, on finit toujours par abandonner lorsqu'on sait que la partie est perdue d'avance. Je ne crois plus en rien, ni au bonheur, ni à la chance, ni à la vie, et encore moins à l'amour et puis très peu en l'amitié. Pourtant il y a dans ce chateaux certaines personnes qui tiennent à moi... Mais ce sont tous des hypocrites, ils n'aiment que la jolie Pandore, la mysterieuse Pandore... Mais au fond, ils ne me connaissent pas vraiment, personne ne me connaît et personne ne me comprend. Tu sais, papa doit être à tes côtés à présent, mais je lui en veux. Je lui en veux, car il m'a abandonnée, pour te rejoindre. Il n'avait pas le droit, et en s'en allant, il ne m'a même pas confiée à des personnes plus aimantes. Non, à présent je suis entre les mains de ses parents, qui font de moi leur pantin, et décide à ma place. Par exemple, je suis à présent fiancée à un garçon, juste parce que c'est arrangé, que sa famille est puissante, et que cela ferait plaisir à grand-mère. Ce n'est pas juste...
Il se fait tard, et je suis sur cette lettre, depuis je ne sais pas combien d'heures, mais cela me fait tellement du bien, de prendre un semblant de contact avec toi... J'aurais tellement aimer te connaître. Je n'en ai jamais eu la chance, et pourtant je t'aime tellement. Pourquoi t'as -t-on arrachée à moi ? Ils n'avaient pas le droit ? Tu m'entends ?! PAS LE DROIT. JE LES HAIT.
Les anges ne valent pas la peine d'être mis sur un pied d'estal, ils sont la cause de ma tristesse, de mon malheur et de ma solitude. Ils ont contribué à l'instalation du malheur et du chagrin dans ma vie, et j'ai l'impression que ce sera comme ça pour la vie. Je hais les anges, qu'ils aillent se faire mettre, qu'ils brulent en enfer, que jamais ils ne t'atteignent au paradis, ou à présent tu reposes en paix, loin de ce monde cruel, dans lequel je ne suis qu'une pauvre prisonnière. Tu sais, ma si jolie maman... D'un côté je t'envie, tu n'as plus à souffrir, à te dire que tu as ratée ta vie, et que tu n'es pas celle que tu as un jour espérée devenir. Non tout cela est finit pour toi, tu ne penses plus, et pour ton âme c'est beaucoup mieux ainsi. Enfin elle a trouvée le repos qu'elle a tant méritée.
Je t'aime pour la vie.
Ta fille, Pandore. »
« Maman, ma si douce maman,
Pourquoi m'as tu laissée ? Je n'ai pas eu la chance de te connaître, je suis sûre que j'aurais été heureuse avec toi. J'aurais tant aimée que tu ne meurs pas de ce cancer, que tu restes avec moi. J'ai besoin de toi, comme chaque enfant a besoin de sa mère. Tu sais, tu me verrais tu ne serais pas vraiment fière de la personne que je suis devenue... Toi qui apparement, durant ta grossesse, avait toujours eu un millions d'idées pour mon avenir, pour la personne que je deviendrais. A maintenant dix sept ans, je n'ai toujours aucune idée de ce que je serais plus tard, quelle femme je deviendrais... J'ai tellement besoin de toi, de tes mots si doux et réconfortants, ainsi que de tes caresses apaisantes, dont malheureusement, je n'ai jamais pu profiter...
Tout le monde me compare toujours à toi, car il est dit partout que je suis ton portrait craché. Mais je ne le pense pas. Sur les photos, tu as l'air si belle, et moi... Je ne suis que l'ombre de moi-même. Oh bien sûr, j'ai par exemple tes cheveux d'un blond cendré, mais ils ne sont pas bien entretenus car je ne prend jamais le temps et le soin de les chérir comme tu avais l'air de le faire avec ta chevelure si douce et soyeuse, d'après les photos. Je garde ces grands yeux d'un vert émeraude que tu m'as offert comme héritage, mais plus aucunes étoiles ne brillent à l'interieur. Ma si douce maman, si tu savais comme je suis triste, complètement perdue... J'ai l'impression que même si mes paupières sont ouvertes, et mes yeux attentifs, je ne suis plus capable de rien voir du tout. Ma peau est pâle et ma bouche n'ébauche plus aucun sourires. Mais pourquoi est ce que je m'efforcerais à en faire ? Hein maman ? Puisque je n'ai pas eu la chance de t'avoir auprès de moi, que l'on m'a retiré Joshua, je n'ai plus de raisons d'être heureuse, de sourire et de rire. Tout ça, ce n'est que du passé. Tu entends ? Du passé, un sombre passé.
Tu ne connais pas Joshua ? Il est... Oh maman, je ne sais pas ce qu'il est mais tout ce que je peux te dire c'est que je l'aime et que je l'aimerais toujours et ce, même si je ne l'ai plus vu depuis quatre longues années à présent. Il est mon ami, il est mon premier amoureux... Tu sais c'est avec lui que j'ai connue mon premier baiser, que j'ai fumée ma première cigarette, et c'est aussi avec Joshua que j'ai bu mon premier verre de whisky. Je sais ce que tu me dirais... L'alcool n'est pas convenable pour une jeune fille comme moi, et qu'il y a des milliers d'autres choses à découvrir qui seraient moins néfastes pour ma santé. Mais, ma si jolie maman, la vie ne m'a apportée que chagrin et je n'ai pu me consoler que dans le fond de l'un de mes nombreux verres. Tu sais, je ne suis plus qu'une triste épave qui se détruit à petit feu, un peu plus chaque secondes. Mes cernes se creusent de plus en plus, et souvent mes cheveux sont en battailles couverts de sueurs, et mon teint cireux, à cause d'un trop plein d'alcool. Je vomie comme je respire, et j'ai la gueule de bois, pratiquement tous les matin. C'est un peu la vertue contre le vice. Mais contre l'envie d'être une fille respectable, j'ai choisit le vice, et maintenant que j'y suis plongée, il sera impossible que je m'en sorte...
Je sais que tu devais m'imaginer comme une battante, mais tu sais, on finit toujours par abandonner lorsqu'on sait que la partie est perdue d'avance. Je ne crois plus en rien, ni au bonheur, ni à la chance, ni à la vie, et encore moins à l'amour et puis très peu en l'amitié. Pourtant il y a dans ce chateaux certaines personnes qui tiennent à moi... Mais ce sont tous des hypocrites, ils n'aiment que la jolie Pandore, la mysterieuse Pandore... Mais au fond, ils ne me connaissent pas vraiment, personne ne me connaît et personne ne me comprend. Tu sais, papa doit être à tes côtés à présent, mais je lui en veux. Je lui en veux, car il m'a abandonnée, pour te rejoindre. Il n'avait pas le droit, et en s'en allant, il ne m'a même pas confiée à des personnes plus aimantes. Non, à présent je suis entre les mains de ses parents, qui font de moi leur pantin, et décide à ma place. Par exemple, je suis à présent fiancée à un garçon, juste parce que c'est arrangé, que sa famille est puissante, et que cela ferait plaisir à grand-mère. Ce n'est pas juste...
Il se fait tard, et je suis sur cette lettre, depuis je ne sais pas combien d'heures, mais cela me fait tellement du bien, de prendre un semblant de contact avec toi... J'aurais tellement aimer te connaître. Je n'en ai jamais eu la chance, et pourtant je t'aime tellement. Pourquoi t'as -t-on arrachée à moi ? Ils n'avaient pas le droit ? Tu m'entends ?! PAS LE DROIT. JE LES HAIT.
Les anges ne valent pas la peine d'être mis sur un pied d'estal, ils sont la cause de ma tristesse, de mon malheur et de ma solitude. Ils ont contribué à l'instalation du malheur et du chagrin dans ma vie, et j'ai l'impression que ce sera comme ça pour la vie. Je hais les anges, qu'ils aillent se faire mettre, qu'ils brulent en enfer, que jamais ils ne t'atteignent au paradis, ou à présent tu reposes en paix, loin de ce monde cruel, dans lequel je ne suis qu'une pauvre prisonnière. Tu sais, ma si jolie maman... D'un côté je t'envie, tu n'as plus à souffrir, à te dire que tu as ratée ta vie, et que tu n'es pas celle que tu as un jour espérée devenir. Non tout cela est finit pour toi, tu ne penses plus, et pour ton âme c'est beaucoup mieux ainsi. Enfin elle a trouvée le repos qu'elle a tant méritée.
Je t'aime pour la vie.
Ta fille, Pandore. »
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 10:02, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Pandore C.
« LE MANQUE D'AMOUR EST LA PLUS GRANDE PAUVRETE. » - MERE THERESA.
Fêtes . Champagne . Electro . Vodka .
Camel . American Apparel . Eiffel tower .
California . Trocadero . Londres . Marlboro .
Queen . Alcool . Friends .
Shopping . Money . Whisky .
Ivresse . Décadence . Débauche .
Fêtes . Champagne . Electro . Vodka .
Camel . American Apparel . Eiffel tower .
California . Trocadero . Londres . Marlboro .
Queen . Alcool . Friends .
Shopping . Money . Whisky .
Ivresse . Décadence . Débauche .
Dernière édition par Pandore V. Caulfield le Jeu 1 Avr - 10:36, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Pandore C.
Bienvenue (:
Je viens de remarquer que nos personnages avaient le même nom, et aux dernières nouvelles, Phoenix n'a pas de soeur x.x Je conçois totalement le fait qu'il peut y avoir deux Cartwright dans une même école, néanmoins, ça peut porter à confusion... :S Du coup, j'aurais aimé savoir si tu pouvais modifier le nom de famille... ><
Outre cela, bon courage pour ta fiche
Louis Carr- ♦ HIBOUX POSTÉS : 215
♦ ARRIVÉE : 27/10/2009
♦ ANNÉE : 7th
Re: Pandore C.
Eléments de sorcellerie
BAGUETTE - La baguette de Pandore mesure vingt sept centimètres, taillée dans du bois de saules, elle renferme en elle-même, un cheveu de Vélane, qui provient de la chevelure de sa grand-mère maternelle. Très flexible, elle est idéale pour tout ce qui est sortilège et métamorphose.
PATRONUS - Le scorpion ;
BIEN ou MAL ? Pandore n'est pas plus pour le bien que pour le mal, elle est dans son propre camp. Autrement dit, suivant ses intérêts personnels, elle peut voguer d'un camp à l'autre.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Morte.
.
BAGUETTE - La baguette de Pandore mesure vingt sept centimètres, taillée dans du bois de saules, elle renferme en elle-même, un cheveu de Vélane, qui provient de la chevelure de sa grand-mère maternelle. Très flexible, elle est idéale pour tout ce qui est sortilège et métamorphose.
PATRONUS - Le scorpion ;
- Une fois le scorpion,disait à la grenouille:
"Veux-tu me ramener,sur ton dos,jusqu'en face,
Où la prairie est riche,en vers et en limaces;
Ici il n'y a rien,à sortir de mes fouilles!
La rénette disait:"je ne suis pas idiote:
J'ai peur que tu me piques,au milieu de la flotte!"
Et le scorpion jurait qu'il ferait attention;
Il ne voulait mourir ensemble dans l'étang.
La roussette apaisée,le mettait sur son dos,
Pour le faire accoster l'autre rive en nageant.
Mais au milieu du lac,il transperse la peau
De la pauvre grenouille,oubliant son serment!
La grenouille apeurée rappelait son juron,
Etait-il si content de se noyer dedans?
Le scorpion disait:"Non,je sais qu'on va mourir!
Mais mon instinct me pousse à user de mon dard;
Je ne peux contrecarrer ma nature qui part!
Et tant pis si on va se noyer et périr."
Il ne faut se fier jamais à un méchant,
Il ne peut dominer ses tendances du sang,
Il se sert,tôt ou tard,de son âpre poison!
BIEN ou MAL ? Pandore n'est pas plus pour le bien que pour le mal, elle est dans son propre camp. Autrement dit, suivant ses intérêts personnels, elle peut voguer d'un camp à l'autre.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Morte.
Invité- Invité
Re: Pandore C.
- Hors-Jeu
.
PSEUDO - Léa.
AGE - 18.
AVATAR - Doutzen Kroes.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Bonnie.
PRESENCE - 4.7
COMMENTAIRES ? <3
Invité- Invité
Re: Pandore C.
Bienvenue!!!
Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
But the sun also shines on the wicked - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1774
♦ ARRIVÉE : 17/02/2010
♦ HUMEUR : Impassible
Re: Pandore C.
Merci beaucoup pour ta compréhension (L)
Oh, je suis totalement désolée, mon post dérange >< Est-ce qu'il sera possible que quand une admin' validera ou pas Pandore (je pencherais plus - beaucoup plus - à validera ;D), elle supprime aussi mon message ? Merci d'avance
Louis Carr- ♦ HIBOUX POSTÉS : 215
♦ ARRIVÉE : 27/10/2009
♦ ANNÉE : 7th
Re: Pandore C.
Et si j'ai pas envie ?
Je valide en tout cas, évidemment Serpentard !
Je valide en tout cas, évidemment Serpentard !
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: Pandore C.
- Merci à tous =D
Bonnie était obligée de me valider, elle a besoin d'amis mouahaha !
Invité- Invité
Re: Pandore C.
Ouais T-T
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: Pandore C.
Léaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Samaël E. Wilson- « Get out of my way »
(Je m'aime ♥) - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1729
♦ ARRIVÉE : 22/10/2009
♦ HUMEUR : préoccupé
Re: Pandore C.
Juste pour signaler que tu as oublié la date de naissance, semble-t-il '-'
& à part ça j'aime beaucoup ta fiche *-*
Clyde Andrews- ♦ HIBOUX POSTÉS : 764
♦ ARRIVÉE : 26/02/2010
♦ ANNÉE : /
♦ HUMEUR : Sarcastique
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