Chrysalde Mikhalkov -U.C

Je ne suis ici qu'une ombre transparente, Une sorte de copie fragile,un reflet provisoire
De ce qu'on m'a appris à être...

Tout commence un soir d’octobre. Le vent froid souffle sur Londres, les citrouilles et les tombes en plastiques sont déjà posées sur les terrains des habitants de la grande ville, en attendant patiemment Halloween. La musique, annonçant le bal d’Halloween, noyait les autres bruits du quartier riche de la ville. Zombies, vampires et anges sont réunies dans une salle somptueusement décorée. Les rires s’élèvent, les corps se déchaînent au rythme des accords…mais personne ne lui prête attention, pas à elle. Pas à cette adolescente banale aux boucles brunes et au regard émeraude masqué par son loup. Personne sauf lui, démon parmi les démons. Il est si beau, et elle est si attirante. Ensemble, ils virevoltent sur la piste de danse, comme s’ils seraient seuls au monde. Ils se complètent si bien, le jour et la nuit, la lune et le soleil, la terre et l’eau…l’Ange et le Démon. Les regards se posent sur eux, écœurés, désabusés. Qu’est-ce que cette fille et ce garçon, que tout sépare, font-ils ensemble? Lui, Mallory, est fils de riche, beau, talentueux, rebelle…Elle est, Kaléa, vit dans une autre monde. Réservés, docile et sorcière. Mallory a toujours ce qu’il désir, et elle ne fait pas exception à la règle. Et il l’eu. Pendant un certain temps. Mais ce qui devait arriver arriva. Leurs univers si différents les séparèrent, brisant le cœur de Kaléa au passage, alors que lui, se détournait d’elle pour se perdre dans les bras d’une autre fille, toujours plus jolie. Leur relation s’était effritée au rythme des minutes, des secondes qu’ils avaient passée ensemble et tous deux savait que ce qui viendrait était inévitable. Et lorsque Mallory se détourna, il laissa un souvenir, douloureux certes, mais une partie de lui qui vivait en elle…

Chrysalde.

Et lorsque cette petite fille qui n’avait rien d’elle et tout de lui naquit, elle sentit son cœur se déchirer, se perdre dans l’océan de douleur qui venait par grandes vagues la noyer cruellement. Ces vagues étaient-elles que la souffrance qu’elles occasionnaient venait se briser en centaine de larmes salés qui coulaient sans relâche sur ses joues pendant des heures. La douleur était-elle, qu’elle ne parvenait pas à s’occuper adéquatement de sa petite fille qui en souffrait en silence. Si seulement elle avait su. Mais qui aurait pu se douter que ce manque flagrant d’affection allait avoir de telles répercussions sur ce petit être aux joues roses et aux grands yeux bleus? Pas elle. Kaléa était si jeune. Elle n’était apte à s’occuper d’un bébé, pas avec le cœur en miette. Et pourtant…

Les heures, les jours, les semaines, les mois et les années passèrent sans que rien ne cloche jamais. La petite Chrysalde était de toute beauté avec ses boucles châtaines et ses grands yeux bleus. Elle semblait être comme toutes les petites filles. Si parfois, la petite fille inquiétait sa mère en passant des yeux assise face au vide, discutant – dans sa langue d’enfant- à un ami imaginaire ou encore à une poussière, Kaléa ne se posa jamais de grandes questions sur ce fait étrange. Après tout, sa fille était le seul bébé qu’elle connaissait et, malgré que sa ressemblance frappante avec son moldu de père la blesse, Chrysalde était tout simplement parfaite. Pourquoi est-ce que son bébé aurait-il une tare quelconque? Elle s’en était occupée avec une attention particulière. Elle l’avait langée, nourris, soignée. Non sa fille n’avait aucune raison d’être malade. Cette manie de discuter avec le vide et de le fixer allait disparaître avec le temps. Le temps arrangeait tout. Tout…mais pas ça.

Lorsque la petite Chrysalde ouvrait les yeux dans sa jolie chambre au cœur de la nuit sombre, elle voyait des choses qui ne devraient être. Des créatures grouillantes et luisantes, aux yeux rouges comme le sang et aux dents d’ivoire, aussi tranchante que des lames de rasoirs. Ces créatures peuplaient la maison et parfois l’une d’elle la mordait, alors elle criait, de toute ses forces, comme si sa vie en dépendait. Chaque fois, sa mère la berçait, lui disant que ce n’était que des cauchemars, que des mauvais rêves. Et plus les jours filaient, moins Chrysalde y croyait. Ce n’était pas que des mauvais rêves. Elle les voyait aussi le jour, alors qu’elle ne dormait pas, les yeux grands ouverts. À ce moment-là, on lui dit qu’elle avait trop d’imagination, rien d’autre. Tout s’expliquait ainsi. La petite avait simplement trop d’imagination, elle imaginait des choses, c’était tout simple. Était-ce aussi simple lorsqu’elle se faisait attaquer par le fruit de son imagination? Lorsque ces créatures venues du néant la menaçait, qu’elles lui faisaient subir une douce descente aux enfers? Si ces choses que nous pouvons appeler « hallucination » avaient commencé avec douceur et innocence, elles étaient devenues de plus en plus violentes avec l’âge. Comme une menace planant au dessus de sa tête, une épée de Damoclès qui n’attendait qu’un moment de faiblesse pour s’abattre sur son si petit corps d’enfant encore innocent.

Alors que les cris dans la nuit devinrent de plus en plus fréquents, Kaléa décida qu’il était peut-être temps de s’inquiéter pour la santé mentale de sa fille. Elle fit en sorte qu’on lui passe une batterie de testes neurologiques. Il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas et elle allait mettre le doigt dessus. Puis vint Claudia. Claudia fut d’abord une amie imaginaire et personne, pas même les médecins, s’en inquiétèrent. Il était normal pour une enfant de six ans d’avoir une amie imaginaire, elle n’était pas la seule sur la planète tout de même. Il arrivait parfois que Claudia et Chrysalde se dispute violement, mais jamais Kaléa avait attention à cela, persuadé que cela faisait partie des jeux d’enfants. Jusqu’au jour où elle appelait sa fille pour le goûté. Cette dernière descendit l’escalier, ses bras scarifiés d’entailles plus ou moins profondes d’où le sang s’échappait peu à peu. Sur ses joues généralement rosées s’échappait également quelques goûtes rouge qui allait mourir sur le sol de bois. Miss Mikhalkov échappa l’assiette sur le sol, ce qui fit sursauter la petite.

« Que c’est-il passer pour l’amour du ciel, Chryssie?»
« Je me suis disputée avec Claudia, maman. C’est rien.»

Et depuis quand les disputes avec les amis imaginaires blessaient ainsi? Dès que les plaies de sa fille furent partiellement pansées, Kaléa la conduisit à Ste- Mangouste, où les heures se mirent à s’enchaîner. Elle arrêta rapidement de les compter, se contentant de faire les cents pas dans la salle d’attente, sous les regards inquiets des médicomages qui se demandaient si elles devaient lui donner un calmant. Elles n’eurent pas besoin d’y recourir que l’homme qui avait prit en charge la petite fille faisait son arriver, avec un sourire qui se voulait rassurant. La sentence tomba. Le verdict? La petite souffrait d’un dédoublement de personnalité et d’une ‘‘alternation de la perception du réel’’, en clair, elle avait des hallucinations. Mais ce n’était rien de grave, du moins, pas tant qu’elle prenait des potions pour contrôler les crises.

Pendant le reste des années qui précédèrent la rentrer à Poudlard de la petite Chrysalde, tout le monde veilla à ce qu’elle prenne bien ses médicaments, attentif à chaque chose qui n’était pas normal chez elle. Cela ne la gêna pas. Elle pouvait avoir une vie normale. Claudia était partie, comme les monstres qui la suivaient partout. Elle était aux anges. Mais les potions la rendaient amorphe, comme s’ils l’empêchaient d’avoir de l’énergie, mais bientôt les atrocités de son déséquilibre mental ne furent que de vieux souvenirs dont l’importance était vague. Parfois, elle se prenait à demander pourquoi il fallait qu’elle prenne la potion, rechignant parce qu’elle n’en « avait pas besoin », selon ses dires, et parce que le goût était exécrable. Mais on ne lui permettait pas. En dehors de cette satanée potion, Chrysalde avait une vie de petite fille heureuse, du moins à partir de ses sept ans. Elle jouait, courrait, et avait plein de copines, mais au si pour elle, elle était une petite fille banale ce n’était pas le cas. Mais elle ne le savait pas, trop innocente pour s’en rendre compte.

Les étapes de sa vie défilèrent avec normalité. Première réussite, premier échec, première amourette, première peine dû à cette amourette et finalement premières règles. Le débalancement hormonal demanda un ajustement quelconque dans la prise de potion, mais ne changea pas grand chose à son mode de vie...du moins, jusqu'à la lettre de Poudlard...Bien entendu, elle savait que sa mère était une sorcière, son père – inconnu- un moldu et tout cela. Elle connaissait Poudlard de réputation, et si elle avait toujours souhaité y étudier, elle ne fut pas d’un enthousiasme fou en recevant sa lettre. Elle devrait laisser sa pauvre mère seule à la maison alors qu’elle, elle serait entourer de gens adorables. C’était injuste, mais elle n’eu pas le choix. Elle dû néanmoins se rendre à l’école en avance, quelques jours avant la rentrer, avec sa mère.

Elles étaient dans le bureau du directeur, assises sur des fauteuils recouvert d’une tissu soyeux de couleur taupe. Chrysalde avait toujours aimé ce qui était doux au touché, les choses soyeuses, les diverses textures des tissus, de la soie au satin en passant par le denim. Elle était souvent vêtue d’étoffe douce, par la même occasion, y prenant plaisir. Ainsi, ses doigts caressaient le tissu de l’accoudoir, ne prêtant que vaguement attention aux paroles échangés. Paroles qu’elle connaissait trop bien. « Danger pour soi. Malade. Doit prendre ses potions tous les jours.» Et blablabla. Pour Chrysalde, elle était tout ce qui avait de plus normal, alors pourquoi s’en faire?

« Nous veillerons sur elle, Miss Mikhalkov, n’ayez crainte.»
« Et les autres élèves…ils vont…»
« Ne vous faites pas de soucis. Si Chrysalde prend toutes les précautions recommandé, et nous y veillerons, personne ne le saura jamais.»

Mais ça ne se passa pas comme ça.

Poudlard et ses immenses tours, sa magnificence ancestrale et toute sa magie. Si Chrysalde avait été impressionné par son immensité, elle n’en était pas moins effrayée. Néanmoins, dans cette foule d’élèves disparates, elle pouvait se fondre dans la masse comme une ombre. C’était ce qu’elle était, une simple ombre. Ce fut ainsi longtemps. Fantôme parmi les fantômes. Chrysalde n’avait que peu d’amis, rien d’étonnant, elle qui fut toujours plonger dans des songes éphémères. Elle était amorphe, comme drogué par cette potion, ce poison, qu’elle devait prendre quotidiennement. Et pourquoi d’ailleurs? Elle en avait assez d’être une vulgaire automate qui ne réagissait qu’à demi, assez des regards suspicieux des enseignants sur sa personne gracile…assez de cette vie. Et bientôt, las de tout cela, elle arrête de prendre ces petites fioles de liquide bleuté aux reflets nacrés. Et sa vie bascula vers un enfant dont on ne sait rien…

«...»

Devant elle, au bout du couloir vide, se tenait une petite fille que devait n’avoir que six ou sept ans. Ses cheveux où s’entremêlaient le blond et le brun cascadaient dans son dos, sa peau avait la couleur de la porcelaine, ses yeux en amandes étaient d’un vert remarquable. Sa petite robe blanche lui arrivait aux chevilles et elle serrait une peluche contre sa petite poitrine que se soulevait que très rarement, comme si elle n’avait pas besoin de respirer. Pourquoi, Chrysalde aurait jurée qu’elle était seule dans le couloir. D’ailleurs que pourrait bien faire une petite fille dans les couloirs de Poudlard? Cela n’avait aucun sens. La petite fille approcha et plus qu’elle approchait, plus elle vieillissait, prenant en âge. Lorsqu’elle fut devant l’adolescente qui ne comprenait rien à ce qui se passait, l’enfant, qui n’en était plus une, tendit la main pour caresser la joue de Chrysalde, qui sous le choc s’était reculé jusqu’à ce que son dos n’heurte le mur de pierre glacé. Le contacte eu lieu et un sourire macabre grandit sur les lèvres de l’inconnue.

« Je vais m’occuper de toi petite chose, n’ai pas peur»

Sa main glissa sur sa gorge, l’empoignant avec force jusqu’à l’étouffer. De l’extérieur, la scène aurait sans doute l’air étrange. Imaginez une jeune fille âgé d’environs 16 ans, adossé à un mur, les mains sur sa gorge, ses ongles griffant sa peau comme pour empêcher quelqu’un de lui faire du mal, alors qu’elle était seule. Sa respiration était difficile, et bientôt, des larmes naquirent dans ses prunelles bleues. L’étrangère fit une petite moue alors que ses doigts lâchèrent la gorge de Chrysalde pour s’emparer de son poignet, dévoilant son bras ou d’infimes cicatrices plus pâles miroitaient sous la lumière diffuse des bougies. Secouant la tête de gauche à droit, l’inconnue approcha un peu plus ses lèvres de l’oreille de Chrysalde.

« Tu ne te souviens pas de moi? C’est décevant, mais ça ne m’étonne pas. On m’a caché si longtemps. Cette potion devait me détruire, moi et les autres…mais tu nous as libérés, pour te sentir plus vivante. Je t’en remercie. M’enfin, passons. Si je te rafraîchissais la mémoire, hum? Je suis Claudia, ta copine imaginaire. Nous étions très amie tu sais? Enfin, avant que je ne te fasse cela.» Elle pointa les cicatrices blanchâtres sur les avant-bras de Chrysalde avec un sourire moqueur. « Ta mère ne l’as pas bien prit, malheureusement. Dommage, je m’amusais bien. Tu as toujours cru que j’étais différente des autres. De ces « monstres » qui peuplaient ta tête. Détrompe-toi, je suis pire qu’eux, ma jolie et tu m’appartiens, tu es à moi et je ne te laisserai plus me glisser entre les doigts. Jamais.» Et elle s’évapora dans un rire sinistre, comme elle était venue.

Personne ne su jamais rien de cette histoire de quelques minutes, inutile de se faire passer plus fou que l’on ne l’était en réalité. Le pire étant que cette petite mascarade continua, mais jamais Chrysalde ne reprenait cette potion, du moins, pas de façon suivit. Il lui semblait plus facile de vivre avec cette suite d’hallucination, avec cette fille fantomatique qui la suivait, qui semblait souvent derrière elle en toute circonstance. Néanmoins, elle avait apprit à ignorer Claudia et ses sarcasmes. Mais en ignorant ce…petit problème gênant, elle ne pouvait ignorer les blessures que ses apparitions faisaient souvent naître sur sa peau. Si Claudia fut pour un moment la seule étrangeté qui dérangeait son quotidien monotone, bientôt d’autres créatures s’y ajoutèrent. Elle apprit rapidement à contrôlé, sommairement, la peur que provoquait ces apparitions terrifiantes, dérivant la peur vers la douleur. Ainsi, les marques sur sa peau doublèrent rapidement en nombres. Et lorsque les apparitions étaient trop nombreuses, une petite dose de potion faisait l’affaire.

Rapidement, des rumeurs se mirent à courir dans les couloirs bondés de l’école de magie. Des rumeurs qui n’étaient pas fausses. Les regards qui se posèrent sur elle pendant longtemps, et encore aujourd’hui, furent et sont toujours craintif, pour la majorité. Son cercle d’amis déjà mince se filtra encore un peu, jusqu’à ce que les amis de Chrysalde ne se comptent que sur les doigts d’une main. Étrangement, plus les contactes humains étaient rares, plus les apparitions étaient présentes. Il n’était plus rare de la voir recroquevillé dans un coin de château, la tête entre les mains, marmonnant des choses intelligibles. Il fut évidant que le Directeur de l’établissement en eu vent et une rencontre avec la mère de la jeune fille eu lieu. Néanmoins, ils en convièrent qu’il était sans doute préférable de laisser la jeune fille suivre sa scolarité. Inutile de la chambouler, risquant ainsi de la rendre plus folle qu’elle ne l’était déjà.

Il fut évidant que le Directeur de l’établissement en eu vent et une rencontre avec la mère de la jeune fille eu lieu. Néanmoins, ils en convièrent qu’il était sans doute préférable de laisser la jeune fille suivre sa scolarité. Inutile de la chambouler, risquant ainsi de la rendre plus folle qu’elle ne l’était déjà. Prendre ce risque serait sans doute inutile, voir stupide. Donc, Chrysalde continua sa scolarité. Et de nos jours, alors que la folie bat toujours dans l’esprit de la jeune Mikhalkov, que les regards se tournent vers elle avec un mélange de crainte et d’étonnement, elle continue à agir comme si rien n’était, en dehors de ses crises d’angoisse cruelle qui faisait naître des marques sanglantes, tout semble d’une normalité trompeuse…

Ça devrait suffire! Je ne compte pas faire un roman, quand même han! *Baff*
Mais je vais la terminer la fiche cette fois-ci

Petite question avant de m'y mettre pour vrai : Quel est la limite de folie accepter? (pas vraiment certaine que ce soit clair >_<)

Tu dépend de ce que tu appelles folie ^^' On avait Eusty, pyroman paranoïque dans le genre folle ^^' Ton perso peut être complètement à l'ouest et taré, c'est pas un problème, tant qu'il ne trucide pas ses petits camarades dans l'enceinte de Poupou et personne ne dit rien xD Enfin tu vois, garder une certaine logique, après ton perso peut très bien être pas bien dans sa tête T'sais bien qu'ils aiment les cas à Poupou xD (genre accepter un lycan, me^me avec toutes les précautions prises, c'était quand même moyen xD) Après soit ton perso dissimule très bien sa folie, soit c'est un peu visible, du moins le dirlo et/ou ses parents l'ont remarqué et ils la surveillent tout en le laisser évoluer dans un espace dit 'normal' en espérant pouvoir le soigner ou le contrôler, ou pensant peut-être que le mettre dans un truc spécialiser serait trop et que limite ça agraverait les choses, bref qu'ils font attention à ne pas lui faire péter son dernier neurone de potable ^^'

Je m'emballe non ? Bref je sais pas si j'ai été claire pour le coup ><

Ahh je m'ennuie de ma Divinité
Je veux pas jouer une folle furieuse meurtrière qui trucide tout ce qui bouge, mais j'avais songer à un truc comme dédoublement de personalité doubler de Paranoïa ou encore d'une alternation de la perception du réel (vive les hallucinations!!!). En gros, une petite névroser très attachante Mais qui tue personne,ah!

Merci, Dem'!
Tu as été assez clair pour pas que je me plante du moins ^^

Ah super ! Comme quoi, j'suis pas si inutile que ça
Ce que tu me dis, c'est faisable oui ^^ Elle n'est pas réellement dangereuse donc bon... comme je te dis quand on voit Lupin xD (ou Trent chez nous ^^ puis Eusty xD)

Mais non Dem' t'es pas inutile du tout, du tout. Faut pas dire ça
Et non, elle n'est pas dangereuse, ma Chrysalde...a part pour elle-même!
J'essaierai de terminer la fiche en soirée avec un peu de chance ^^

Et voilà! C'est terminer!

Je valide <3 Flippante la gamine xD Par contre je sais pas trop où l'envoyer >< C'est pas très évident là...