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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Invité Mar 20 Oct - 13:58

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une fille étrange
« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. 1064


« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. 2s8l56e
EUSTACIA HELL VYE
    Elle s’appelle Eustacia. Quel prénom stupide et incroyablement vieillot. Elle l’a toujours détesté. Quel manque de goût. Pourtant, la jeune fille y voyait là une marque d’originalité. C’était un prénom qui ne courrait pas les rues. Et au pire, son deuxième prénom Hell, rattraperait le coup. Elle pourrait toujours mentir. Souffler un nom à la place d’un autre. C’était tellement simple qu’elle y pensait rarement. Au moins, elle pouvait se réconforter en se disant que son nom en valait la peine. Vye. Certes, ce nom n’avait pas beaucoup d’importance dans le monde magique. Lorsqu’elle le prononçait, tout le monde savait que c’était une Sang-mêlé. Eustacia ne l’avait, d’ailleurs, jamais caché. Elle n’était pas gênée. Il lui arrivait même d’en être fier ! Elle vient à peine de fêter ses dix huit ans, c’était le 15 septembre. Elle est encore si jeune. Elle respire la joie de vivre même ! Pourtant ; la vie n’est pas un conte de fée que l’on façonne à volonté…
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détails
BAGUETTE - Bois d'orme ; 23,6 cm ; écaille d'hyppocampe
PATRONUS - Licorne.
BIEN OU MAL ? Entre les deux sont coeur balance.


Dernière édition par Eustacia H. Vye le Mar 20 Oct - 15:53, édité 7 fois

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Invité Mar 20 Oct - 13:59

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on peut connaître quelque chose sans jamais s'y habituer
« Elle était belle. Rayonnante de bonheur. Oui, il n’y avait pas plus ravissante qu’elle en cet instant. La demoiselle, que tout le monde nommait Eusty, fit un tour sur elle-même et elle tomba face-à-face avec un grand miroir. Elle se détailla de la tête au pied. Elle avait une silhouette très fine. Quand elle était plus jeune, qu’elle n’était encore qu’une gamine orgueilleuse, elle avait pratiqué la danse classique… Peut-être était-ce cela qui faisait d’elle une jeune fille parfaitement élancée? Ses yeux d’une couleur marron délavé avaient l’air de pétiller de bonheur. Ils n’étaient ni ridés, ni cernés. Ils formaient un regard vif et jeune. Pétillant. Sa petite bouche fine et rosée formait un sourire des plus ravissants. Faisant ainsi découvrir une dentition des plus soignées. Son petit nez aquilin se plissait quand ses pensées se matérialisaient. Ses joues étaient écarlates de plaisir. Et bon sang, il était plus que temps de mettre en forme cette chevelure rebelle et brune. Pourtant, elle était si belle. Oui, elle était belle. C’était la plus belle de toute. La vie la comblait et elle comblait son entourage. Pourtant, le bonheur ne dura pas. Son sourire s’estompa. Tout autour d’elle s’estompa. Sa vie, ses espoirs, ses rêves. Tout. Il ne restait plus rien. Juste elle. Elle se tenait debout dans l’obscurité d’une nuit infinie. Seule face à un monde qu’elle ne connaissait pas. Qu’était-ce tout cela? Où était-elle? Que c’était-il donc passé? Voilà tant de questions qui c’étaient installées en elle. Elle voulait comprendre et poser beaucoup de questions. Mais à qui pouvait-elle les poser, ces questions? Il n’y avait personne. Elle était seule. Encore. »

J’aimerais être différente. Un brin plus belle, un chouya plus appréciée et un poil plus intelligente. Mais je ne suis rien de tout cela. J’ai l’impression que ma vie se résume à ce que je dissimule. Là, derrière ma peau lisse, la blessure me brûle encore. J’en rêve chaque nuit. Je me revois, en proie aux flammes, un sourire malsain aux lèvres. Je sourie tant je suis heureuse. Je ne sais pas pourquoi, mais cette chaleur qui m’entoure me fait me sentir bien. Je suis en proie des flammes, je suis au centre de mon destin. Maintes fois, je me suis dit que je n’étais pas normale. Que ma vie n’en valait pas la peine et que quoi qu’il arrive, je ne serais jamais heureuse. Et je pense que je n’avais pas tort. Mais aujourd’hui, j’apprends à faire avec. Parce que peu importe mes pensées, elles sont toujours ravagée par ma soif de feu et de chaleur. Beaucoup disent dis moi que je ne suis qu’une garce. Je dois dire que c’est vrai. Les autres sont tellement pitoyables. Sur leur visage, c’est l’insouciance de l’enfance que je lis. J’ai pitié. Vraiment. Je ne peux pas voir autre chose en eux que ce qu’ils me reflètent. Et j’ai bien l’impression qu’ils sont tous pareils. Insignifiants. Tellement inférieurs à ma personne. Je me regarde dans le miroir, et c’est la fierté qui émane de tout mon être. Je suis fière. Tant que mon sourire parait narquois. Mon regard semble amusé et mes mains tapotent tout ce qu’elles trouvent sur leur route. Ce petit toc me poursuit, où que j’aille, mes mains vont aux rythme de mon cœur. Parfois, leur son en devient tellement assourdissant que je les entends râler. Seul dans leur coin, ils marmonnent. Aucun d’eux n’oserait me faire de remarque. Ils sont au plus bas de l’échelle alors que j’excelle. Que disais-je ? Ah oui, pitoyables !

Mais ce que le miroir ne reflète pas, c’est la laideur de mes traits. Au fond, je suis immonde. Autant au niveau caractérielle que physiquement. Bien sûr, n’importe qui envie ce que je possède. Pas mal de garçons me courent après et j’avoue prendre un malin plaisir à les recaler un à un. J’ai déjà ce qu’il me faut. Je m’amuse d’eux comme je joue avec le feu. Je jongle avec les allumettes comme avec leurs sentiments. Mais aucun d’eux ne me repousse. Aucun d’eux ne demande de représailles. Aucun. Suis-je si effrayante ? Je dois dire que cela m’amuse. Je m’amuse pour un rien. Les autres sont de vulgaires pantins de papier mâché entre mes doigts. Ils se meuvent en cadence lorsque mes doigts jouent de leurs filons. Je suis la meilleure marionnettiste de mon temps. Il n’y a pas à dire. Mais les filles sont bien plus maniables. Je fais d’elles ce que je veux. Elles sont semblables à un vulgaire poil au creux de ma main. D’un souffle, un seul, elles disparaissent à jamais de mon existence. Avec le temps, cela est devenu tellement facile que j’ai beaucoup de mal à y trouver un quelconque plaisir. Du coup, j’ai du adapter mes méthodes. Les filles ont droit au même traitement que les garçonnets de Poudlard. Embrasser une fille, c’est comme embrasser un gars. Il n’y a rien de très différent. Des lèvres sont toujours des lèvres. Mes mains se baladent aisément sur leur corps comme pour n’importe quel garçon. Ce qui est étrange, c’est de les voir plier chacune à leur tour sous mon charme surpuissant. Même les plus misogynes ne me résistent pas. Le feu embrase tout sur son passage. Un peu comme moi. C’est pour cela que j’aime jouer avec celui-ci. Nous ne formons qu’un. Tant que sous la peau fine de mon visage, il a laissé sa marque…

Je n’étais qu’une gamine lorsque j’ai découvert cette chose magique que l’on appelle incendie. Oui, parce que les flammes sont magiques ! Elles ont un réel pouvoir. Cela n’est absolument pas comparable à la pseudo-magie de Poudlard. Il s’agissait de quelque chose de mille fois plus fort, mille fois plus intense et mille fois plus simple à s’approprier. Le feu est partout. Tout autour de nuit. Il en faut si peu pour qu’il se manifeste. Un briquet. Une allumette. Une chandelle. Un peu de gaz. Un peu de pétrole. Il ne lui faut rien pour prendre de gigantesque proportion. C’est ça que j’aime. Et c’est ça qui m’a toujours attiré. Enfant, ma mère allumait beaucoup de chandelles. Piqué par la curiosité, j’avais laissé mes doigts courir au dessus de la flamme vacillante. La douce chaleur me procura une sensation tellement intense que j’en eu rit aux larmes. J’adorais ça. Ma mère pas. Lorsqu’il avait entendu mon rire s’élever dans la maison, elle était venue voir ce qu’il y avait de drôle et quand je lui offrais mes mains avec un sourire satisfait, elle hurla. Quoi ? Mes mains étaient tellement belles. Un peu noircies, un peu brûlées mais tellement mieux qu’auparavant ! Ma mère ne comprenait rien ! Absolument rien. Elle m’arracha la chandelle et elle m’emmena illico à Ste Mangouste. Comme si j’étais malade ! N’importe quoi. Le médecin assura à ma mère que mes mains se rétabliraient vite malgré quelques séquelles persistantes. Des larmes perlèrent au coin de mes yeux. Je ne voulais pas guérir ! J’aimais ses marques ! Ma mère me gifla à notre retour à la maison. Enervée au possible, je rejoignis ma chambre sans même réclamer mon goûter. Je n’avais plus faim. Elle m’avait écœurée. Cependant, elle ne se rendait pas compte à quel point ma vengeance serait terrible. Si elle avait su, je crois qu’elle m’aurait séquestré dans un droit à l’écart de toute flamme ou de source de chaleur…

Si elle avait su. Cette pensée me fait sourire. C’est incroyable comme l’image qui déferle sous mes paupières peu me plaire. Je me revois ce jour là. C’était la nuit. Tout le monde dormait à point fermé lorsque je descendis les marches à pas de loup. Sans bruit, je m’étais emparée du paquet d’allumette. Et sans y réfléchir à deux fois, j’embrasais ma première allumette. Celle-là était pour mes mains. Il était impensable qu’elles ne récupèrent pas leur jolie couleur noire ! Lorsqu’elle fut consumé à son maximum, j’en craquais une seconde. Celle-là serait plus dévastatrice. Je la regarde. Longtemps. Tellement que je ne me rends pas compte qu’elle meurt dans mes mains. La douleur est infime. Je ne sens plus rien. Je suis au comble de l’exaltation. Alors, je sais ce qu’il me reste à faire. Papa cachait souvent ses bouteilles d’alcool dans le même placard, oui j’avais un imbécile d’alcoolique pour père, je pris la première venue et la vidait sur le sol. Partout dans la cuisine. J’en pris une seconde. Pour le salon. Et je bâtissais ainsi la maison d’alcool et enfin, j’enflammais ma dernière allumette. Je la lâchais sur le sol, et m’assis pour admirer le travail magnifique qu‘elle avait fait. Ma mère sentit la chaleur et descendit. Il était presque trop tard. Mon visage commençait à fondre telle de la cire. Quelle plaisir intense ! Mais elle m’obligea à sortir de la maison. Je fus d’ailleurs la seule à sortir. Et je me retrouvais seule, au cœur de la nuit, regardant avec émerveillement ma maison se consumer à une allure folle. J’avais gagné. Mais désormais j’étais seule. Les questions avaient peu à peu commencée à immerger au creux de mon esprit. Mes les flammes avaient ravagés mes bon sens. Alors, je suis restée là jusqu’à ce que l’on vienne éteindre l’incendie et que l’on m’emmène à l’hôpital.

Mon médecin était plutôt dégouté à la vue de mon visage. Cependant, il promit de faire des miracles à celui-ci. Et après quelques greffes, j’étais plus belle que la belle des Barbie ! Pour vous dire. D’ailleurs, je suis toujours plus belle que les autres. Mais lorsque je me regarde dans le miroir, je vois ce visage que j’ai moi-même abimé et c’est la fierté que me yeux montrent. Je suis folle. Peut-être. Mais je ne suis folle que de chose que je puisse posséder. Mais sachez que j’obtiens toujours ce que je veux… Et que les flammes de l’enfer ne sont nullement comparables au feu qui m’anime.
« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vpd106-03

« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vpd106-09

« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vpd106-26


Dernière édition par Eustacia H. Vye le Jeu 22 Oct - 15:19, édité 5 fois

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Invité Mar 20 Oct - 13:59

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car c'est l'amour qui tisse les liens familiaux, pas le sang
« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vd05ab

« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vd04

« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Vd02
Que représente la famille pour vous ? Est-ce qu’elle a une quelconque importance dans votre vie ? Vous arrive-t-il de vivre ou de ne respirer que pour elle ? Moi. Oui. Enfin, pour moi, la famille n’a aucune importance. C’est vrai. « Famille » n’est qu’un mot dépourvu de tout charme. Et il ne représente rien à mes yeux. Regardez, ma mère. Ce n’était qu’une pauvre abrutie sans importance. Le seul mérite qu’elle a, c’est d’avoir sauver la supériorité même que je suis. Sinon, elle n’était bonne qu’à nourrir les singes. Mon père ? Vulgaire alcoolique incapable d’aligner deux mots ayant une signification. Mettre un pied devant l’autre était bien trop compliqué pour lui. Il faisait pitié. Bon sang, je crois que je lui ai sauvé la vie en lui enlevant. Il m’aurait sans doute remerciée. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Par contre… Il y a la famille qu’on aime. Dont chaque jour sans eux est une véritable torture. Ceux dont on ne peut se passer. Comme Demetri. C’est mon cousin. C’est mon dévoué. Mon âme sœur. Sans lui je ne suis rien. Je vis pour lui. Je respire pour lui. Il est seul être plus supérieur que moi dans cette école. Mais bon, il ne semble pas se rendre compte que je suis la meilleure chose pour lui. Bien sûr, nous sommes liés. Peut-être trop selon certain. Mais Demetri ne cesse d’aller voir ailleurs. Toutes ses garces. Tous ces cons. Je rêve de les démanteler. Un à un. Je suis jalouse. Leur odeur consume mes sens et ma vue s’obscurcit. Tellement que j’ai l’impression de ne plus rien y voir. Je suis comme aveugler par la paranoïa qu’ils déclenchent en moi. Ils me rendent folle. Folle. A n’en plus finir. Mes mains s’agitent de plus en plus vite. Les allumettes s’enchainent à une allure folle et mon amour se voit ternit par leur insignifiance.

Vulgaire papier de chiffon. Elles ne savent pas à qui elles ont à faire. Je suis la meilleure marionnettiste de mon temps. Je me répète, mais je sais comment y faire. Un jour, l’une après l’autre, ces poupées se reprouveront ardasse par ma rage. Une rage que je le dissimule à peine. Je crache ma verve à leur visage, n’hésite pas à les mettre en garde. Et pourtant… Pourtant. Plusieurs me résiste. Je ne comprends pas. Sont-ils fous ? Pourquoi essayer de me contrer ? Je suis mille fois plus douée qu’eux. Je suis mille fois plus dangereuse. Ne voient-ils rien ? Sont-ils aussi inconscients ? Je ne sais pas, mais ils finiront pas le regretter. Ils ignorent tellement de chose que je sais. Je connais Demetri mieux que personne et aucun d’eux ne pourra me l’arracher et ce peu importe le moyen utilisé. Seul Samaël m’inquiète. Je dois dire qu’il est différent. Demetri à une confiance aveugle en lui. Presque plus qu’avec moi. La jalousie me ronge parfois. Lorsque je suis seule et qu’ils sont ensemble. J’ai l’impression qu’il me l’enlève. Alors je ne réfléchis plus. Calciner mes mains est le seul remède capable de calmer ma soif de jalousie. Je souffre en silence. Ce n’est pas le feu qui me fait mal. Non. Il m’apaise. Me rend cette liberté que j’ai l’impression que l’ont ma volé. Il m’apaise. Mais la douleur de se sentir rejeté m’envahie tellement vite qu’il m’est difficile de rester stoïque. Alors, je décide de m’amuser à mon tour. Allant à droite à gauche. Je les enflamme à une vitesse hallucinante. De mes pièges, ils tombent tous. Fille comme garçon, je m’amuse de tout ce qui bouge. Personne n’arrive à la cheville de Demetri, certes, mais il est bon de pouvoir se laisser aller à quelques décadentes folies.

Un être m’insupporte bien plus que tous les autres. Ce Zane. Depuis peu, mon cher et tendre cousin semble lui vouer un intérêt quelconque. Quel est son but ? Je l’ignore encore, mais je ne vois rien de bon de cette soudaine lubie. Ce Gryffondor n’est qu’un vulgaire petit être de papier que j’enflammerais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Mais je dois me contenir. Ma colère est si vivace qu’il est parfois bien difficile de la dompter. Mais il faut que j’y parvienne. Alors, je rabats ma frustration sur cette nouvelle. Bonnie. Elle a quelque chose qui me chiffonne. Elle semble en savoir bien plus qu’elle ne le dit. Défaire mes draps en sa compagnie ne me gênerait pas. Je suis sûre que nous pourrions trouver quelques compromis sur l’oreiller. Pourtant, elle semble intouchable. Mais elle n’est pas au bout de ses surprises… Personne n’est au bout de ses surprises d’ailleurs. Je suis un tourbillon de feu tellement violent que ma chaleur pliera chaque être de cette école. Alors, ils verront tous de quel bois je me chauffe.


Dernière édition par Eustacia H. Vye le Sam 12 Déc - 14:26, édité 5 fois

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Invité Mar 20 Oct - 13:59

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je suis géniale x)
Derrière Eustacia l’incorrigible pyromane ce cache une demoiselle de dix-sept ans. Bientôt dix-huit d’ailleurs. Allez, il n’y a plus qu’à attendre la Ste Innocence pour qu’elle puisse avoir sa majorité. Sabrina de son prénom, elle possède divers surnoms. Sab’ est le plus courant. Bien qu’elle maintienne ne pas être une voiture! Merde quoi. L’un de ces autres surnoms est Vio. Pour Violet. Non pas parce qu’il s’agit de sa couleur préférée (même si au fond, c’est dû à cela), mais bien parce que son véritable premier personnage de RP s’appelait de la sorte. Même si cela fait deux ans qu’elle a entamé le RP, cela ne fait qu’un an qu’elle a un niveau plus ou moins potable. Elle remercie d’ailleurs les personnes qui l’y ont aidé. Constance, Elodie, Estelle et puis Eva, Mimi etc... Elle aime broder. Parler pour ne rien dire. C’est d’ailleurs ce qu’elle fait là encore. Mais elle ne force jamais personne à lire. C’est même plutôt le contraire. NE LISEZ PAS MES HORREURS! Voilà qui est fait. Elle à choisit la délicieuse Nina Dobrev pour illustrer son personnage haut en couleur. Elle tenait juste à remercier les deux admins géniales de ce forum pour l’avoir créé et pour l’avoir convié à l’aventure. Elle les aime. PIRE QUE FORT! Elle trouve que leur travail mérite d’être récompensé par plein de bons membres et non des Ryan (personne va comprendre, mais c’est pas grave xD). Alors s’il vous plait, ramenez des gens! Puis surtout, elle en a marre de parler d’elle à la troisième personne. Mais comme mot de la fin, elle dira juste. « Le public aime Sabrina! » *sbaf*. Mais surtout, j’aime T3 <3.

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Invité Sam 24 Oct - 12:56

    Fini. Dernier post légèrement baclé x)

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

Message par Bonnie Becker Sam 24 Oct - 12:59

Huhu *_____________* queen

Ma Sab <333 Je t'envoie à Serpentard, dans mon dortoir geek
Bonnie Becker
Bonnie Becker
Garce fouineuse.
Back in town...

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♦ ARRIVÉE : 08/10/2009

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« franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E. Empty Re: « franchir mes barrières est un jeu dangereux » - E.

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