The Time-Turner
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as(h)tonished; isn't it ?

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Message par Invité Mer 4 Nov - 21:33

    AINSWORTH, Ash
    .

Un serment à l’eau, deux paroles en l’air, trois petits bateaux oubliés par terre, un peu de ta bouche, beaucoup de ta gueule, quatre poils dans la douche, tu vivrais mieux seul.... Tes erreurs, mes jugements, mes jurons, tes errements... Et après ? Après, on rêve d’avant. Rien de secret, tout se perd. De quoi avons nous l’air à l’heure de l’inventaire ?


    Qui êtes-vous ?
    .

    NOM - Ainsworth.
    PRENOMS - Ash, Jules.
    DATE DE NAISSANCE - 4 Novembre.
    AGE - 19.
    ANNEE - 6ème.
    ORIGINES - Sang mêlé.

    Eléments de sorcellerie
    .

    BAGUETTE - 22cm, ventricule de dragon, bois de hêtre.
    PATRONUS - Un rossignol, sûrement pour sa mélodie.
    BIEN ou MAL ? Bien.
    QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRÈS ? Auror/Musicien, j'me tâte (à dire vrai j'aimerais bien combiner les deux, qu'il devienne un célèbre sorcier qui use de la musique pour vaincre les vilains pas beaux de mage noirs *o* mais bon... j'ai l'temps)

    Hors-Jeu
    .

    PSEUDO - Le mégalomane du coin.
    AGE - 18.
    AVATAR - Alex McKee.
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Sugar <3
    PRESENCE - 4/7.
    COMMENTAIRES ? Zeub.


Dernière édition par Ash J. Ainsworth le Mer 4 Nov - 22:32, édité 4 fois

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Message par Invité Mer 4 Nov - 21:33

PART ONE.
CETTE PASSION PARTICULIÈRE QUI NOUS ENSORCELLE ET NOUS REND FOU.


Main dans la main, nous nous rendîmes au même endroit que d'habitude. Je savais que son sourire m'était destiné et j'essayais de lui rendre au mieux que je le pouvais. N'étant pas quelqu'un d'expressif, il m’était difficile de lui faire passer mes sentiments – sauf en musique. Alors que nous marchions le long des allées, chassant du regard tous les londoniens désabusés, nous pouvions sentir nos cœurs battre à l'unisson. Je ne pense pas que c'était un sentiment d'amour qui nous unissait ce jour là – du moins, pas le même que dans ces films à l'eau de rose que ma sœur ne cesse de regarder – c'était plutôt de l'excitation. Nous étions prêts, et nous nous savions prêt. Nous voulions le prouver, nous voulions le faire, être en haut de l'affiche, ne plus se cacher. En moi se formait une boule que je ne pouvais dissocier de mon corps, alors que mon sourire se dissipait légèrement, que mes membres se contractaient, j'essayais d'imaginer le résultat de cette expérience. Une goutte de sueur dégoulinait, lentement, le long de mon front. Je n'osais regarder Siobhan, de peur, de crainte qu'il ne soit déçu. On avait tant misé sur cette relation, sur cette scène qui s'approchait de nous chaque jour davantage. Peut-être qu'à l'issue, on aura été remarqué, qu'au lieu de simples sifflements moqueurs, nous aurions des applaudissements, et peut-être, avec chance, pourrions-nous voir des étoiles dans leurs yeux. Étrangement, je ne savais définir cette sensation qui s'annonçait au fond de moi. Ce n'était pas comme la magie, ce n'était pas comme ces massacres derniers, lors du chaos tant redouté, non, c'était beaucoup plus... indescriptible. Un sentiment humain immergeait, mais je ne savais le démontrer. Je voulais rire et pleurer. Je voulais sauter et m'assoir. Je voulais parler et chanter. Je voulais danser et marcher. Aussi idiot que je pouvais l'être, les secondes s'enchaînaient de la même manière, dans un silence des plus glauques. Je n'avais plus peur de le regarder, je voulais le voir encore ! Parce qu'il me redonnait confiance en moi, et j'en avais besoin, surtout aujourd'hui – surtout aujourd'hui.

« Tu le sens ? » Sa voix était divine, quoi que quelque peu réservée. Il semblait craintif et stressé, mais qui ne le serait pas dans une situation pareille ? Ça allait être un des plus beaux jours de notre vie – si on ne foutait pas tout en l'air comme on en avait si bien l'habitude. On savait que, dans nos mémoire, cette scène ne s'en irait jamais, même sous divers potions magique, même avec le sortilège 'oubliette', on sait très bien que ce sentiment qu'on aura ressenti durerait éternellement. Nous n'avions plus peur. Je ne savais pas si ça allait être une réussite, mais je me sentais prêt, il se sentait prêt, nous étions prêts, et il fallait sauter le pas, franchement, avec une certaine assurance, et si possible, une nouvelle personnalité. Je le sentais, petit à petit venir en moi, ce sentiment d'excitation qui me parcourait les veines, qui faisait pétiller mes yeux et trembler mes mains. Ma guitare féerique, du nom de Delilah, oscillait de droite à gauche au fur et à mesure que nous avancions.

« Oui » Je lui dégageai un de mes plus beaux sourires. Nous étions prêts, là, devant cette scène géante. Je savais qu'on allait réussir, je le savais tout au fond de moi que, malgré tout, nous étions nés pour cette voie. Notre culture et notre esprit plutôt ouvert nous avaient conduits dans cette position, dans cette impasse qu'on essayait de franchir. La persévérance aura porté ses fruits, puisqu'après tant d'années, une voix s'était installée entre deux maisons, et que les deux adolescents se sentaient respirer.

« On doit donner le meilleur de nous même. »
« Pour Lily. »
« Ouais, pour Lily. »

Nous étions à deux doigts de nous élancer, nous pouvions entendre les londoniens crier, s'affoler, chanter, crier hurler. Moi je n'entendais que mon cœur battre, se serrer, s'étouffer dans ma cage thoracique. Je tremblais de plus belle, je commençais à ressentir comme un trac insensé qui ne m'avait jamais été infligé auparavant. Mais je devais le faire, tout de suite. Alors que nous nous trouvions dans les coulisses, nous ne savions lequel d'entre nous allait passer en premier ; c'était le jeu du hasard.

« A présent, nous accueillons Siobhan Beckett. »
« Merde Sio ! »

Ça ne portait pas chance que de souhaiter bonne chance. Ça a une connotation théâtrale, j'en conçois, mais nous avions l'habitude, étant petit, de faire des pièces, et c'est depuis rester dans la tradition, même musicale. Il ne devait pas dire merci, ni même répondre, il se contenta donc de sourire et de s'élancer sur la scène. Je ne le voyais pas – j'aurais tout donné pour le voir se mettre à nu devant plus de mille spectateurs. Je ne le voyais pas, mais j'entendais, il chantait « she's a maniac » de flashdance comme un dieu. Un remix personnalisé, vraiment quelque chose. D'ailleurs, je ne pouvais m'empêcher de regarder mes pieds. J'avais bien trop peur, comment surpasser Siobhan ? Autant dire que c'était fichu d'avance, mais non, c'était ma passion, et même si je devais me planter, on ne savait rien avant d'avoir essayé. Les applaudissements se firent entendre, et Siobhan revint en coulisse.

« Alors ? »
« Ouais bah... Tu vas misérer pour faire aussi mieux que moi ! »
« ah ah, prend pas la grosse tête va ! »
« Moi ? Jamais. Limite j'faisais une annonce pour m'trouver un label. »
« Tu veux que j’le fasse pour toi ? C’est mon tour, j’me lance. »

Un petit sourire détendu, Siobhan semblait ravi de sa prestation. Il fallait à présent que je fasse de même, je ne pouvais pas le décevoir, ce serait inadmissible. J'ai toujours été quelqu'un de studieux, je travaillais intensément chaque partition, tous les mots de vocabulaire me permettant d'être au meilleur de ma culture, de ma forme ; mais surtout, pour me faire oublier le stress. On ne tarda pas à m'appeler à mon tour, Siobhan continua le rituel, et je parti le sourire forcé. Mon cœur s'arrachait, il bondissait encore plus que lorsque je courais. J'avais peur, mais j'étais d'autant plus excité. Lorsque je croisa le regard du millier de spectateur qui était là ce soir, je pris peur. Mais lorsque mes lèvres touchèrent le micro, lorsque mes doigts, détendus, frappèrent les cordes de ma guitare, je me sentais comme une autre personne, j'étais dans un monde parallèle, seul avec Delilah. A chaque fois que je chantais Yesterday, ça me faisait penser à Lily, d'ailleurs, je l'avais reprise pour elle. Vous vous demandez qui est Lily hein ? C'était la fille qui complétait notre trio avec Siobhan. Mais elle décédé de la main d’un sorcier, d’un mage noir plus précisément, si jamais je croisais l'importun qui avait osé nous la dérober, je serais prêt à tout.

Cette chanson semblait m'émouvoir à chaque fois, je restais en place, sans gesticuler, et je commençais à pleurer, sans m'arrêter. Lorsque j'eus fini, je ne comprenais plus/pas. Tout le monde avait applaudis, sans oublis. Et moi, moi et mes larmes ne purent pas même lâcher un « merci », je me dégageai de cette scène, ma guitare en main. Je voulais vraiment venger Lily, mais avant, je dois déjà accomplir son rêve : devenir chanteur/musicien/compositeur, reconnu. La seule chose que j'ai dite à Siobhan en sortant c'était : « Enfoiré, t'aurais pu me prévenir pour l'éclairage ! »
Une chose est sûre, l'émotion était au rendez-vous.

On me disait souvent que j’avais du courage mais beaucoup plus souvent que j’étais fou.
ASH JULES AINSWORTH.


Dernière édition par Ash J. Ainsworth le Mer 4 Nov - 22:17, édité 2 fois

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Message par Invité Mer 4 Nov - 21:33

PART TWO.
NOTES FUTILES.


A ma naissance j’ai pleuré. A deux ans je savais parler et marcher, je n’aimais pas cette sucette qu’on me donnait pour dormir ; elle m’empêchait de m’exprimer. A trois ans j’ai intégré une école moldue, là-bas j’y ai rencontré Siobhan. A six ans j’ai appris à lire et à écrire. A huit ans je suis tombé amoureux de deux perles rares ; la musique et Lily. A neuf ans j’ai assisté à mon premier concert, le plus magique de tous. A dix ans je savais jouer correctement de la guitare. A onze ans, j'ai fumé en cachette. A douze ans j’ai sauté d’une tour, pour faire l’idiot et montrer à tous que j’avais du courage, si j’avais su, j’aurais apporté mon balai, ou ma baguette pour utiliser le sortilège « accio ». C’est donc aussi à mes douze ans que j’ai passé ma nuit à sainte magouste en ayant pour seule consolation que je ratais un devoir le lendemain. A treize ans j’ai écris ma première musique. A quatorze ans, je du quitter notre trio pour rejoindre Poudlard ; j'étais triste. Peu de temps après, j’ai eu ma première petite-amie. A quinze ans, j’ai fais ma première fois avec une autre. A seize ans, j’ai cru mourir lorsque j’eus appris le décès de Lily. A dix-sept ans, j’ai été convié à faire un concert devant un millier de spectateurs, enfin, chanter une musique.

A ce moment là, je pensais que toutes les portes s’ouvriraient à moi. Mon cœur se séparait en deux parties ; la passion et la rancœur, la haine et l’amour. Parfois j’ai l’impression qu’une guère s’y passe et je me demande qui en sera le vainqueur. Est-ce que le fils de mage blanc deviendra un tueur ?


Dernière édition par Ash J. Ainsworth le Mer 4 Nov - 22:45, édité 3 fois

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Message par Invité Mer 4 Nov - 21:33

PART THREE.
SONATINE : MÉLODIE MORTELLE.


Il était comme un ange déchu sur qui la pluie déversait le jugement dernier, seul sans soutien, juste la lune était présente mais ne pouvait illuminer ce cœur anéanti qui se broyait dans cette solitude qui s’agrandissait à chaque seconde. La perte et la haine étaient les seules choses qu’il mesurait et ressentait. Il avait mal, ne pensait même plus à la musique. Il n’avait que seize ans et frissonnait de rage, d’envie et de mort. Il ne trouvait plus ses raisons de vivre, Siobhan n’apparaissait même plus dans sa vision du monde. En une vie il avait tout misé et tout détruit avec sa perte. Oublier ne faisait pas parti de son crédo. Il était faible, faible et misérable affalé ainsi au sol, dépourvu de ce sourire qu’il maniait pourtant chaque jour à la perfection. Cela faisait depuis de longues heures déjà que l’eau de la pluie s’était répandue sur tout son corps, mais son esprit n’en tenait compte. Il ne tenait plus compte de ce froid, seulement celui de son cœur comptait. Il avait mal, mal au point de se laisser mourir ainsi, aussi lâche que l’eut été le misérable qui l’a achevé. Il ne pouvait/voulait plus bouger. Le visage de sa bien aimée s’en allait en même temps que son sourire, les souvenirs se dissipait, dans un mois il aurait oublié son odeur, dans un an sa taille exacte, dans deux son sourire. Petit à petit, tout s’effacerait. Son cœur se compressait dans sa cage thoracique et s’affolait, il ne pouvait plus le contrôler, il avait mal. Sa famille au loin ne pouvait l’aider. Le monde moldu n’était plus agréable, la musique ne l’emportait plus au paradis, il ne ressentait plus ce plaisir suprême, il y avait un manque, un manque important qu’il fallait combler. Un manque qui s’était envolé et ne pourrait plus jamais être retrouvé. Ce "Il", vous l’aurez peut-être compris, c’était Ash, dans l’état le plus misérable que vous pourrez le trouver. Souillé et inutile, il errait dans sa tête et son corps était à la merci de l’orage qui s’annonçait. Il n’avait qu’un nom en tête; Lily, et se punissait lui-même de n’avoir rien pu faire, de n’avoir été là lorsqu’il le fallait. Elle était morte la nuit passée à vingt-deux heures alors qu’il assistait à un concert avec Siobhan, le premier sans elle. Maintenant il comprenait son retard, elle était morte tout simplement. Il n’arrivait à le réaliser, il la pensait seulement absente, il ne pouvait l’imaginer partie à jamais. Il avait mal, tellement qu’il pourrait le crier jusqu’à en étouffer. Il l’aurait réellement fait si sa voix le permettait mais aujourd’hui son corps ne répondait plus. Il avait besoin de quelqu’un pour rejoindre la réalité.

« Jeune homme… Jeune homme. »

Il l’entendait, cette voix qui l’appelait mais ne pouvait l’identifier. Elle était bien trop faible pour qu’il n’y apporte de l’attention. Il avait mal, c’était la seule chose qu’il réalisait. Il se sentait bouger, violemment, mais ne répondait pas. Il se laissa porter, misérablement durant quelques minutes jusqu’à sentir une chaleur l’envahir, une chaleur incomparable avec la froideur de son cœur. La seule chose que représentait ses yeux était Lily, le monde extérieur était coupé, il s’était évadé, avait lâché prise. Comme un coma, comme un passage à vide, il avait laissé place, il avait peur, tout simplement.

Shblangegdsjgkhdwkvg ! Il fallait avouer que ça faisait mal, la douleur était loin d’être équivalente à celle de son cœur mais au moins suffisante à le réveiller. Ash ouvrit donc les yeux, sans brailler, la souffrance physique n’avait pas été montrée, il s’était presque habitué à ce mal-être qui le hantait, un simple direct du droit n’allait donc pas le faire se blottir dans les jambes de sa mère. Le paysage qui l’entourait ne lui était pas familier mais ne semblait pas l’inquiéter ; il n’avait rien à perdre. L’homme qui se tenait en face de lui cependant aurait fait fuir plus de la moitié de la population, mais malgré tout, Ash resta de marbre.

« Que t’arrive-t-il ? » lui demanda-t-il simplement, mais aucune réponse ne lui parvint, l’adolescent restait muet comme une tombe, c’est pourquoi il reprit : « Tu sais, tu étais dans un sale état, j’ai du te transporter jusqu’à chez moi pour pas que tu finisses à Sainte Mangouste.. » soudain il s’arrêta, il savait qu’il venait de faire une erreur. « Je veux dire, à l’hôpital »
« Arrête, t’es un sorcier et alors ? J’vais pas prendre mes jambes à mon cou en attendant le simple nom de l’hosto’ magique. »
« Et bien… tu as retrouvé la parole dis-moi, alors, que t’arrive-t-il ? »
« Vous voulez vraiment savoir ? » lâcha-t-il d’un ton sec et aussi froid qu’une roche. Après que le vieil homme eut acquiescé il ajouta donc : « Hier soir, on m’a volé ce que j’avais de plus précieux. Une vermine a tué Lily, mon connard d’Auror de père n’a même pas été fichu de l’aider, et la saleté d’ami que je suis n’a pas été présent au bon moment, j’étais à un stupide concert qui, en plus, m’a rendu euphorique alors qu’elle, elle succombait. »
« Ah, tu parles de la jeune Sheffield, ça a fait le tour dans le monde magique déjà… Le meurtrier a bien fait la chose à ce que j’en ai lu. »
« Oui et il va le payer de sa vie. »
« Mon petit, comment t’appelles-tu ? »
« Ash. Ash Ainsworth. »
« Ainsworth, et bien… Ça faisait un long moment que je n’avais pas entendu parler de cette famille. »
« Pardon ? »
« Bah… la bande de mages noirs qui tuait à coup de musiques. »
« Excusez-moi ? »
« Ah, tu n’es donc pas un de ces Ainsworth… Tu m’en vois ravi, sinon, j’aurais été tenté de te tuer. »
« Dites-m’en plus. »
« Les Ainsworth utilisaient un sortilège magique ancestral qu’eux seuls connaissaient, une mélodie mortelle, quiconque l’entendait à part son utilisateur mourrait. C’est équivalent à l’Avada Kedavra sauf qu’on ne peut l’apprendre sans l’enseignement familial, voir le sang ancestral. Tu sais, dans cette famille, il y a eu des traitres, et il n’est pas impossible que tu sois l’un de leurs descendants. »
« Mouais… Vous êtes sûr que c’est vrai ce que vous me dites ? Une mélodie mortelle… on dirait un mythe. Bref, je rentre chez moi, merci. »
« Pas d’quoi mon garçon, repasse quand tu veux. »

Sur ces mots il prit la sortie, pas sans mal puisqu’elle se trouvait à deux pas de là où il fut installé. Lorsqu’il franchit le portail, il nota l’adresse pour garder le contact, malgré ses dernières paroles sèches il apportait de l’importance au récit du vieil homme. Cependant, lorsqu’il vit son nom il fit tomber sa baguette avec laquelle il s’apprêtait à écrire. Ce vieil homme comme il le surnommait s’appelait en réalité Jack Ainsworth.
Cette histoire qu’il avait décrite semblait le concerner, mais concernait-elle en même temps Ash ? Sa famille était-elle réellement les descendants de ces sorciers aux tendances musicales ? Jamais il n’oserait le demander à son père, néanmoins, cette nouvelle information permit à l’adolescent à mettre de côté sa souffrance et à lui donner un nouvel objectif : apprendre le sortilège de la mélodie mortelle et venger Lily.


Dernière édition par Ash J. Ainsworth le Mer 4 Nov - 22:18, édité 1 fois

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Message par Invité Mer 4 Nov - 22:00

Présentation terminée.
Merci de votre lecture. :]

PS : J'espère que mon contexte personnel ne gêne pas votre intrigue... Si oui, merci de me contacter par MP histoire de négocier tout ça.

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Message par Bonnie Becker Mer 4 Nov - 22:40

Bienvenue =)

A priori, ça me pose pas trop de problème, mais faut que je vois ça en détail demain (là j'ai pas les yeux en face des trous ><)... Pour le moment y a juste un truc qui me saute aux yeux, tu dis être entré à Poudlard à 11 ans mais ici c'est 14 ans (on a décalé pour que les premières années soient plus facilement prises)...
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Message par Invité Mer 4 Nov - 22:46

Ups !
Erreur habituelle, j'arriverais jamais à me faire aux changements de ce genre. J'y avais fait attention pour l'âge pourtant. Je modifie de ce pas. (c'est fait.)

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Message par Bonnie Becker Ven 6 Nov - 10:42

Bon, c'est fois c'est bon, validé à Serdaigle <3
Bonnie Becker
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