Darcy Monaghan
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Darcy Monaghan
par Invité Lun 9 Nov - 20:23
Darcy Monaghan;
Tout le monde cache un vilain petit secret
❛I am the son, I am the heir❜
Tout le monde cache un vilain petit secret
❛I am the son, I am the heir❜
Qui êtes-vous ?
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NOM - Monaghan
PRENOMS - Darcy William
DATE DE NAISSANCE - 31 Juillet 1984
AGE - 18 ans
ANNEE - 6ème année
ORIGINES - Sang Mêlé
Dernière édition par Darcy Monaghan le Lun 9 Nov - 20:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Darcy Monaghan
par Invité Lun 9 Nov - 20:24
- Présentation libre
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Maine Monaghan n'avait pas grand chose pour lui. Il n’était pas très ambitieux et son physique n’était pas très avantageux. Cependant, Maine avait une grande ambition. Une ambition débordante qui devait l’amener loin et il était pourvu de pouvoirs… Un sorcier… Personne n’aurait pu soupçonner que derrière sa démarche maladroite, ses paroles bafouillantes et incertaines, Maine cachait un don. Il vivait en Amérique dans un village du Massachussetts peuplé de vieilles bigotes religieuses, de fermiers sans espoir, de jeunes gens rêvant de trouver la prospérité en s’en allant explorer le grand Ouest, et dirigé par une famille de banquiers influents, les Williams. Cette dernière famille avait la main mise sur la ville. Le patriarche était un homme important, un banquier qui avait prospéré à New York et Boston, ouvrant plusieurs établissements. Son épouse était belle et raffinée mais rien n’avait plus de valeur aux yeux de cet homme que sa fille unique Ludivine. Reconnue comme une beauté par ses pairs, inaccessible pour les faibles, Ludivine était le joyau de la famille et du village. Chacun vantait sa bonté, sa culture et sa douceur. Et Maine Monaghan était fou d’elle depuis le premier jour. Et ce soir-là, à l’occasion du bal organisé pour les dix-sept ans de la demoiselle, il comptait bien la séduire et l’amener à l’épouser. Pauvre fou me direz-vous ! Comment Maine, l’homme qui n’avait certainement pas inventé l’eau chaude, aurait pu trouver grâce aux yeux de la belle ?
La fête battait son plein. Tout le village était en liesse, invité à participer à l’évènement tout comme certains collaborateurs et amis du patriarche Williams. Fermiers et bigotes avaient sorti leurs plus beaux atours : cols de dentelle, jupons d’un blanc éclatant, pantalons impeccablement repassés,… Les plus jeunes se ruaient vers le copieux buffet préparé pour l’occasion, les vieilles dames et les jeunes filles faisant tapisserie, se tenaient dans un coin à l’écart tandis que sur la piste les couples se mouvaient au son des violons.
Maine se fraya un chemin jusqu’à la salle d’eau la plus proche. Il était pauvrement vêtu et ne se voyait pas se présenter devant Ludivine en haillons. Dans la salle d’eau avait été transporté de toute urgence un jeune homme de la ville ayant eu la main un peu lourde sur l’alcool. Et tandis que ses camarades et amis le soutenaient au-dessus des toilettes, Maine en profitant pour subtiliser une veste noire et soyeuse doublée de velours ainsi qu’un foulard en soie. Il portait pour bas un pantalon neuf qui venait de lui prendre plusieurs mois d’économie. Et si ce n’était ses chaussures usées jusqu’à la semelle, on aurait pu le croire issue d’une grande famille de notable de New York City.
Maine se fraya un chemin entre les couples qui tournoyaient sur la piste, à la recherche de Ludivine. Elle ne le connaissait pas encore mais Maine avait l’intime conviction qu’au moment-même où elle l’apercevrait, elle saurait qu’il était l’homme qu’elle attendait. A ce moment, le jeune homme croisa deux jeunes filles accompagnant régulièrement la belle du soir dans ses promenades et le babillage des deux curieuses, lui apprit sans mal où se trouvait celle qu’il cherchait.
Hannah – « Crois-tu que Schuyler va la demander en mariage ? Cela fait des mois qu’il lui tourne autour ! »
Lizbeth – « Tu sais même s’il la demande en mariage, ce n’est pas sûr qu’elle accepte ! Ludivine est tellement imprévisible ! En tout cas, le balcon est un endroit romantique pour une demande en mariage ! »
Maine sourit intérieurement. Un balcon ? Pfff… Tellement surfait ! Cependant il accéléra le rythme. Il ne tenait pas à ce que l’autre ait l’occasion de faire sa demande et encore moins que Ludivine accepte sans savoir que le vrai amour de sa vie venait à elle.
La grande bibliothèque de la maison des Williams donnait sur le balcon. Quand il y pénétra, Maine ne put que constater que le couple se trouvait seul. A pas feutrés, il s’approcha. Il entendait l’homme parler mais ne voyait pas encore le couple.
Schuyler – « Ludivine, votre père m’a déjà donné sa bénédiction ! »
Ludivine – « Vous en avez parlé à mon père ? Vous auriez dû m’en parler d’abord, Schuyler ! Je suis la première concernée ! »
Schuler – « Oui bien sûr mais… »
Ludivine – « Assez ! Vous croyez vraiment pouvoir vous comporter avec moi comme avec ces filles de mauvaise réputation que vous fréquentez habituellement ?! Quoi ? Vous pensiez que je ne savais rien ?! »
Schuyler – « Ca suffit ! Je vous désire. Vous ne pouvez imaginer à quel point je vous veux. Vous hantez mes nuits et bientôt vous serez mienne que vous le souhaitiez ou non ! Votre père a déjà demandé à son avocat de préparer les papiers de votre dot ! »
Schuyler avait attrapé Ludivine par le bras et se montrait menaçant, son visage à quelques mètres de celui de la jeune fille. S’en fut trop pour Maine qui décida d’intervenir.
Maine – « Quelque chose ne va pas Miss Williams ? »
Schuyler ne lâcha pas son étreinte pour autant, ses yeux, où brillait une rage certaine, détaillèrent Maine en un éclair, s’attardant sur ses vieilles chaussures.
Schuyler – « Dégage le va-nu-pieds ! »
Ludivine en profita pour se libérer de l’étreinte.
Ludivine – « C’est toi qui devrais t’en aller Schuyler ! »
Schuyler – « QUOI ?! Ludivine ! Tu sais que… »
Soudain, Schuyler s’arrêta, le visage déformé par la douleur. Il se courba en deux et porta ses mains à son cœur. Il vacilla légèrement, fit quelques pas pour se retenir à la rambarde et ne pas s’écrouler mais, il fut étrangement déséquilibré et chuta de plusieurs mètres. Son corps atterrit brutalement sur la terrasse qui surplombait le jardin. Puis des cris stridents résonnèrent, appelant à l’aide. Ludivine se précipita à la rambarde, Maine sur ses talons. Elle se pencha mais ne put que constater le corps inanimé de Schuyler, entouré d’une assistance. Elle se redressa et son regard azur croisa celui de Maine et elle comprit qu’il n’était pas innocent dans le soudain accident de Schuyler.
Maine – « Epouse-moi ! »
Ludivine – « Partez, » souffla-t-elle.
Le médecin du village conclue à une attaque cardiaque. Mais quelques jours plus tard, la famille Williams connut un nouveau drame puisque le père de Ludivine décéda à son tour dans un accident de cheval au cours duquel sa fille l’accompagnait. Pendant des jours, le village fut en deuil et de nombreuses processions eurent lieu. Maine n’avait pas eu l’occasion de revoir la jeune fille depuis le soir du bal. Il aurait voulu être à ses côtés pour la soutenir, imaginant que son père devait représenter beaucoup pour elle. Aussi, vêtu des mêmes atours, qu’il avait portés le soir du bal, Maine Monaghan se rendit chez Ludivine Williams, quelques fleurs en main, afin de se donner une certaine contenance. Quand un domestique le fit entre dans les appartements privés de la belle, Maine sentit ses jambes flancher. Mais il se reprit. C’est alors que Ludivine apparut dans l’encadrement de la porte, vêtue de sa tenue de deuil. Maine passa une main dans ses cheveux et bafouilla un bref « désolé pour votre père ». Mais cela n’émut pas plus Ludivine que de raison et, au contraire, un large sourire fendit son beau visage.
Ludivine – « Maine ! Nous sommes libres de nous marier à présent ! »
Un instant, Maine la regarda sans comprendre mais le regard de la jeune fille lui apprit bien plus que de simples mots. Maine avait, par la magie, tué Schuyler pour avoir le champ libre. Ludivine en avait fait de même pour pouvoir épouser l’homme de son choix, un sorcier. Cependant la jeune fille d’origine moldu, avait utilisé une technique bien plus délicate. Elle avait tout simplement poussé son père de cheval.
Quelques jours après, Maine Monaghan et son épouse Ludivine quittèrent le Massachussetts pour le Londres sorcier, un lieu à la hauteur de leur ambition.
En 1912, les Monaghan s’installèrent à Londres où ils construisirent un empire. Personne ne sut que leur amour reposait sur la mort d’innocents et qu’ils étaient prêts à tout pour parvenir à leur fin. L’argent, l’influence, tout semblait leur être acquis. Mais quelques décennies plus tard, le destin rattrapa les Monaghan et se déchaina sur leur descendance en la personne de Darcy. L’enfant, né en 1984, sembla aux premiers abords, dépourvu de pouvoirs magiques… Ses parents s’affolèrent pensant avoir engendré un cracmol. Mais il était tout simplement mauvais. Cependant au fur et à mesure des années, il s’avéra que deux fées s’étaient penchées sur le berceau du jeune homme : la fée Chance et la fée Malchance. Cette dernière veillait à faire de la vie de Darcy un enfer, enchainant les catastrophes à chaque pas que faisait le jeune homme. Mais dans son malheur, Darcy était sans doute le jeune homme le plus chanceux qui soit puisque la fée Chance l’accompagnait et quelque soit la catastrophe à laquelle il avait à faire, il s’en tirait toujours bien et presque sans une égratignure. Devant la calamité qu’ils avaient engendré, les Monaghan adoptèrent la politique de l’autruche. Pas question qu’ils soient la risée de la société sorcière ! Darcy serait un enfant sorcier comme les autres, aussi doué que ses camarades ! Aussi, dans les premières années de sa vie, Darcy vécut confiné, protégé de la fée Malchance, autant qu’il le pouvait, et des rires des autres. Mais quand il reçut la lettre d’acceptation à Poudlard, ses parents tirèrent la sonnette d’alarme. Leur fils allait faire ses propres pas dans le monde magique mais il ne fallait pas qu’il détruise la réputation de la famille… Aussi les Monaghan adoptèrent-ils un plan quasi-machiavélique pour faire de leur fils unique un étudiant modèle, admiré par ses pairs,…
Dernière édition par Darcy Monaghan le Mar 10 Nov - 8:46, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Darcy Monaghan
par Invité Lun 9 Nov - 20:25
- Eléments de sorcellerie
.
BAGUETTE - 27,5 centimètres, bois de chêne, écaille de dragon.
PATRONUS -
BIEN ou MAL ? Darcy pencherait plutôt vers le Bien. Cependant au vue de ce retour en arrière, la situation de Darcy pourrait évoluer. En somme, il est encore indécis et pourrait se laisser entrainer du côté obscure de la Force.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Dix-huit ans plus tard, Darcy aura disparu. Non pas qu'il sera décédé. Il aura tout simplement disparu du monde magique. Ne supportant plus la pression pesant sur ses épaules de la part de sa famille, ni les mensonges l'entourant, il aura pris la décision se volatiser sans laisser de traces. Darcy aura choisi de vivre une existence de moldu, reniant ses origines. Cependant il ne se maria jamais, préférant vivre comme un reclus dans un petit village au nord de l'Angleterre.
Dernière édition par Darcy Monaghan le Lun 9 Nov - 20:33, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Darcy Monaghan
par Invité Lun 9 Nov - 20:27
- Hors-Jeu
.
PSEUDO - Lau'
AGE - 21 ans
AVATAR - Jake Gyllenhaal
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - I am une administratrice ! ^^
PRESENCE - 7/7
COMMENTAIRES ? <333
Invité- Invité
Re: Darcy Monaghan
par Invité Mar 10 Nov - 8:47
J'ai fini ! xD
Au fait, j'ai pas détaillé le caractère, mais c'est un bon et vrai Poufsouffle ^^
Au fait, j'ai pas détaillé le caractère, mais c'est un bon et vrai Poufsouffle ^^
Invité- Invité
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
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♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
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