mearà ─ believe me; i'm a liar. uc.
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mearà ─ believe me; i'm a liar. uc.
WHELAN Mearà Breena;
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sing the anthem of the angels;
There is nothing left of you, I can see it in your eyes;
I keep holding onto you but I can't bring you back to life;
Sing the anthem of the angels then say the last goodbye.
Qui êtes-vous ?
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NOM - Whelan, qui signifie 'Loup'.
PRENOMS - Mearà, qui se prononce Mira, & Breena.
DATE DE NAISSANCE - dix-neuf janvier 1984.
AGE - 18 ans, donc en 5ème année.
ORIGINES - Père sorcier, mère moldue = sang-mêlé.
Élément de sorcellerie
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BAGUETTE - Votre texte.
PATRONUS - Votre texte.
BIEN ou MAL ? Votre texte.
Hors-Jeu
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PSEUDO - shapeless heart (anciennement crystalucine).
AGE - quinze ans.
AVATAR - taylor warren
PRESENCE - tous les soirs de la semaine, le week-end bien entendu, et le mercredi après-midi si je n'ai rien à faire. ça dépendra aussi du travail que j'ai à faire pour le lycée.
COMMENTAIRES ? superbe forum, le design est à tomber *.*
Dernière édition par Mearà B. Whelan le Dim 11 Oct - 15:51, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: mearà ─ believe me; i'm a liar. uc.
PROLOGUE; dear agony.
et bonne raison que je ne veux pas qu'on me sauve. Je me noie dans la mélancolie, je creuse ma propre tombe, j'espère les rejoindre. Dépression. Je n'aime pas ce mot. Il a un goût amer et acide à la fois. J'ai des souvenirs dont la simplicité me fait atrocement mal. Simplement eux et moi. Je souris avec une larme pendant que les autres pleurent de rire. Mon monde n'est pas le leur, et s'il a été, il ne l'est plus. Nous n'avons plus rien en commun. Ils ne savent pas ce que j'endure. Mais je ne me plains pas, parce que c'est politiquement incorrect. J'aimerais bien pourtant, me confier. Mais je crois que si on m'en donnait la possibilité, je n'y arriverais pas.
CHAPITRE UN; hand of sorrow.
Je suis ivre, de joie, d'alcool. Je suis défoncée, torchée, je n'ai plus le sens des réalités, je ne l'ai jamais eu. Ce mec qui passe ses mains sous ma jupe sans aucune pudeur me fait réaliser à quel point ma vie devient un véritable bordel. Je ne suis qu'un jouet qui aime jouer, je ne suis qu'une poupée qui se prend au jeu. Je suis salie tous les soirs par un type différent, un type dont je ne sais rien, dont je ne saurais jamais rien. Je me drogue, je bois à l'excès, pour que ça tourne, pour que je puisse oublier un instant mon mal qui déchire mon âme, qui lacère mon cœur. Mais c'est comme ça, c'est la vie, c'est ma vie. Quel âge a-t-il, ce mec qui prend tant de plaisir, qui jouit entre mes cuisses ? Vingt-trois, vingt-quatre ans ? Je ne suis même pas majeur. A l'heure où je pense tout cela, où je réalise que ma vie est la même chaque nouveau jour que Dieu fait, je me fait baiser sur la banquette arrière d'une limousine qui roule à travers les rues de Londres, sans jamais s'arrêter. Ma vie moldue est un vrai sortilège qui tourne mal, tandis que je passe à côté de ma vie sorcière, la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps. Je suis un petite fille qui joue avec la vie, croyant qu'elle la maîtrise. N'importe quoi. Nouveau coup de reins. Je niche mon visage au creux du cou de l'inconnu, et je pleure. Il ne saura pas que ce sont des larmes. Il pensera qu'il transpire, à force de sexe avec une gamine détruite par la vie, qui l'éparpille en mille morceaux aux quatre coins du pays. Pauvre petite Mearà. Pauvre petite poupée de porcelaine, qui pleure, qui croit que ça va passer. Pauvre petite enfant naïve. Ça ne passera pas. Ça ne passera jamais.
CHAPITRE DEUX; missing.
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- « Parce qu'il y a des jours comme ça, où t'as juste envie de te foutre une balle. »
- « Derrière une apparence policée et souriante se cache une dimension obscure, une violence secrète, une folie destructrice qui vous force à sourire encore plus large. »
CHAPITRE UN; hand of sorrow.
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Je suis ivre, de joie, d'alcool. Je suis défoncée, torchée, je n'ai plus le sens des réalités, je ne l'ai jamais eu. Ce mec qui passe ses mains sous ma jupe sans aucune pudeur me fait réaliser à quel point ma vie devient un véritable bordel. Je ne suis qu'un jouet qui aime jouer, je ne suis qu'une poupée qui se prend au jeu. Je suis salie tous les soirs par un type différent, un type dont je ne sais rien, dont je ne saurais jamais rien. Je me drogue, je bois à l'excès, pour que ça tourne, pour que je puisse oublier un instant mon mal qui déchire mon âme, qui lacère mon cœur. Mais c'est comme ça, c'est la vie, c'est ma vie. Quel âge a-t-il, ce mec qui prend tant de plaisir, qui jouit entre mes cuisses ? Vingt-trois, vingt-quatre ans ? Je ne suis même pas majeur. A l'heure où je pense tout cela, où je réalise que ma vie est la même chaque nouveau jour que Dieu fait, je me fait baiser sur la banquette arrière d'une limousine qui roule à travers les rues de Londres, sans jamais s'arrêter. Ma vie moldue est un vrai sortilège qui tourne mal, tandis que je passe à côté de ma vie sorcière, la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps. Je suis un petite fille qui joue avec la vie, croyant qu'elle la maîtrise. N'importe quoi. Nouveau coup de reins. Je niche mon visage au creux du cou de l'inconnu, et je pleure. Il ne saura pas que ce sont des larmes. Il pensera qu'il transpire, à force de sexe avec une gamine détruite par la vie, qui l'éparpille en mille morceaux aux quatre coins du pays. Pauvre petite Mearà. Pauvre petite poupée de porcelaine, qui pleure, qui croit que ça va passer. Pauvre petite enfant naïve. Ça ne passera pas. Ça ne passera jamais.
CHAPITRE DEUX; missing.
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Dernière édition par Mearà B. Whelan le Dim 11 Oct - 17:11, édité 5 fois
Invité- Invité
Re: mearà ─ believe me; i'm a liar. uc.
Salut !
Ca fait un moment que ta fiche est en attente ! Donne-nous de tes nouvelles !
Ca fait un moment que ta fiche est en attente ! Donne-nous de tes nouvelles !
Invité- Invité
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