The Time-Turner
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pixie will be a rain wizard.

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pixie will be a rain wizard. Empty pixie will be a rain wizard.

Message par Invité Jeu 22 Oct - 21:06





    « Do you know who I am ? I am Pixie, remember it 'cause you'll never forget what gonna happen. »




pixie efferson
*


pixie will be a rain wizard. 34e6s6o


    ♦️ âge : 16 ans
    ♦️ année d'étude : sixième année
    ♦️ date de naissance : vingt-trois juin.
    ♦️ lieu de naissance : london, england, uk.
    ♦️ origines & pureté : sang-mêlé.



rage.
*

    ♦️ âge : 17 ans
    ♦️ personnage inventé ou prédéfini ? inventé.
    ♦️ temps de connexion : 4/7
    ♦️ comment avez-vous connu le forum? via V*
    ♦️ célébrité de l'avatar : cory kennedy




about the wizard.
*


    ♦️ baguette: bois de meurisier, cheveux de velane, 21,6 centimètres, achetée chez Ollivander, londres.
    ♦️ patronus : loutre grise
    ♦️ bien ou mal ? " je n'en ai rien à foutre moi de votre morale; ce qui est bien, ce qui est mal, out cela est relatif. j'en ai rien à cirer, alors allez-y, essayez de m'enroler..."
    ♦️ et dix-huit ans après ? " sérieusement, je crois que je ne survivrais pas d'ici là."


Dernière édition par Pixie Efferson le Ven 13 Nov - 19:25, édité 2 fois

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Message par Invité Mer 28 Oct - 16:50

un. tout ceci n'est qu'une illusion de mon cerveau amorphe.



    « Comment vous dire, comment vous décrire ce que je ressens. Vous êtes totalement à coté de la plaque, vous ne pigez rien à rien. Vous n’être que de pauvres cons qui s’enlisent dans leur propre merde et qui s’en complaisent. Mais moi, je veux plus que ca. Il paraitrait que l’argent et la beauté, ainsi que le pouvoir font le bonheur. Vous y croyez dur comme fer n’est-ce pas ? Et bien vous vous plantez, et royalement en plus. J’ai tout ce que vous n’aurez sans aucun doute jamais. La beauté, bien que Jazz, ma grande sœur, soit d’une beauté exceptionnelle, l’argent, le pouvoir, une belle baraque, de beaux parents tout sourire, des voitures rapides, des fringues de luxe qu’on s’arrange pour jeter dans une poubelle dès qu’on les a porté. Tout cela n’est rien, ce n’est rien, ce n’est qu’un bonheur illusoire. Je n’ai plus d’espoir, plus d’ambition, que dalle. Plus de limites. Les limites sont de la foutaise, les limites sont pour les faibles. Je n’en ai pas besoin. J’essaye tout, je me dépasse. Je fume trop, je bois trop, et je m’en fous. »

    « Je vais tout d'abord me présenter. Pixie Efferson, seize infructueuses années à ce jour, Jim, mais vous deviez déjà le savoir. Comment vous dire cela poliment ? Il n’y a pas d’espoir, ou alors plus. On est tous condamné, on va tous crevé comme des déchets, alors peu importe ce qu’il arrive entre temps. Les adultes sont des déchets et formatent leurs gosses à s’autodétruire. Je le vois bien. Et ils croient que j’étais dupe. Ils sont si cons ! Moi je les entendais leurs cris, bordel, je voyais bien les marques sur le corps de ma mère. Mais heureusement qu’elle était là, Jazz. Sans elle je serais morte ; elle est ce qui me reste de plus cher, de plus appréciable. Je n’ai plus d’espoir. Je fais partie des désillusionnés. Je ne crois en rien, et Dieu n’existe pas, ou alors ce n’est qu’un sociopathe sadique. Les croyances sont pour les faibles et je ne me range pas dans ce camp là. Je suppose que vous avez rencontré ma sœur, Jazz, n’est-ce pas Jim ? Vous avez été subjugué par sa beauté, je présume, et vous avez eu la plus grosse érection de votre vie. Et vous avez vu l’état dans lequel ma sœur se trouve ? Vous pensez qu’il s’agit d’un gâchis sans nom, d’une abomination de la nature, d’une énorme erreur. Mais ce n’est pas le cas, Jim. Nous sommes tous des bombes humaines à retardements, de pauvres détritus cherchant un sens dans ce monde, dans cette pure merde. Mais je ne suis pas comme ça. Il n’y aucun sens, voilà la vérité que je connais, si cela peut s’apparenter à une vérité. Et cette affirmation, je l’ai digéré depuis quelques temps mon cher docteur. Voilà pourquoi je peux m’amuser, voila pourquoi je peux vivre à toute vitesse, sans morale, sans inhibition, que je couche à tout va, que je bois trop et que j’en ai strictement rien à foutre. Y’a pas d’avenir mec, et si mon sort est le même que celui de ma mère, je préfère me buter avant. Pas de mariage, pas de relations sérieuses ni de beaux enfants que je pourrais modeler à mon effigie. Navrée de vous décevoir. »

    « Je vous empreinte une cigarette Jim. Evidemment, vous croyez que votre misérable écriteau non-fumeur va m’empêcher d’allumer ma clope où je l’entends. Je déclare officiellement ce bureau nouvellement fumeur mon cher Monsieur. Vous ne voulez pas mettre un peu de musique ? Vous permettez que j’enlève mes chaussures ? Ces talons me font un mal de chien. Bon reprenons où je m’étais arrêtée. Je disais que j’étais condamnée à crever tôt. Qui a-t-il encore ? Vous me fatiguez, votre vie de merde me fatigue, ce bureau exigu aussi. Tout ceci est bien trop…classe moyenne. Cela dit, je n’en ai rien à foutre. On vous paye une fortune et votre bureau ressemble aux caves du Titanic. Mais où passe toute notre tune ? J’oubliais que vous n’étiez qu’un pauvre accro comme un autre. Sauf que vous n’aurez jamais les moyens d’aller en cure. Je pourrais y aller des dizaines, des centaines de fois, mais je ne veux pas. Parce que j’en ai rien à foutre, parce que ça ne compte pas. La seule qui compte à mes yeux est Jazz. Elle est tout, elle est mon tout. Le reste n’a pas d’importance tant qu’elle reste à mes cotés. Elle ne m’a jamais abandonné, ne m’a jamais blessé volontairement. Je l’aime, comme je n’ai jamais aimé personne, ni aucun mec passé dans mon lit, ni aucune de mes clopes, ni aucun couché de soleil romantique à trois balles. Elle me comprends, elle essaie de m’aider, elle est celle que j’aime le plus, et mon amour pour elle ne sera jamais entaché, il est inconditionnel, je n’attends rien en retour ; mais si un sourire se dessine sur ses lèvres, alors je lui souris en retour et je partage son bonheur, sa joie instantanée. Parfois Jazz me fait peur, peut être parce qu’elle reste totalement irrationnelle, parce que j’ai peur de la perdre d’un instant à l’autre. Mais vous ne cernez pas le problème Jim, vous n’arriverez certainement pas avec vos maigres années d’études de l’esprit à comprendre l’étendue de mon amour pour Jazz et de ma haine, de ma rage envers ce monde qui ne me promet rien, qui m’a retiré le peu d’espoir qu’il me restait, qui essaye de m’arracher mon âme, de me salir. Je me salis moi-même ; je suis une dépravée. Et je sais que vous pensez ne jamais me rencontrer en dehors de ce cabinet, ni vous ni même votre sainte-nitouche de fille. Vous ne savez rien, vous me dégoûtez. Je vous hais Jim, je hais votre incompétence chronique, votre visage laid, votre odeur nauséabonde. Je me tire, j’en ai assez. Et je prends votre paquet de clope. Tenez, votre dû, votre misérable tune que vous attendiez depuis le début. Sur ce, bonne descente Jim. Moi je m’en vais rejoindre les abysses. »


deux. out of space.


    La nuit était tombée et Efferson s’éveillait doucement. Il devait être dix-huit ou vingt heures, peu importait. Elle s’en foutait. Elle alluma une cigarette d’un geste machinal et fit du café fort. La maison était déserte, Jazz n’était pas rentrée ou était déjà ressortie. Une tasse pleine à la main, elle longea le couloir jusqu’à rejoindre sa chambre. Il était là, toujours endormi. Elle s’assit à coté de lui sur le lit, s’approcha de son visage et lui souffla sa fumée. Il toussa et ouvrit les yeux brutalement.

    « Il est tard. Tu ferais mieux de partir avant que quelqu’un ne revienne. »

    Son corps était encore chaud, à proximité du sien. Les cheveux ondulés de Pixie formaient comme un nid d’oiseaux, un halo châtain autour de son visage. Son père ne serait pas très heureux de trouver un mec nu comme un vers dans le lit de sa chère enfant. Elle avait un mal de crâne atroce, et ne se souvenait pas de grand-chose de la veille. Elle ne savait même plus comment s’appeler le type à ses cotés, mais elle s’en fichait. Ses os craquèrent et elle tira une nouvelle cigarette du paquet posé sur la table de nuit. La pièce était très lumineuse, et son lit était contre la baie vitrée qui remplaçait le mur du fond. Pixie avait toujours aimé la nuit, elle était jeune et vivait la nuit ; elle adorait littéralement les étoiles. Elle se serait crue dans un planétarium géant, et c’était ce qui lui plaisait.
    Les cheveux noirs et mi-longs lui tombaient sur les yeux, elle ne réussissait pas à voir s’il était éveillé réellement ou s’il somnolait encore. Elle se pencha au-dessus de son torse nu, espérant apercevoir s’il était éveillé ou non. Un sourire hypnotique se lisait sur les lèvres d’Efferson, un sourire typique. Elle l’observait lorsqu’il lui attrapa le poignet et l’attira à elle.

    « Bonjour, Pixie. »
    « Salut mec. Je croyais que tu étais mort. »

    Elle tira une taffe puis l’embrassa, un vrai baiser où la fumée passa de poumons à d’autres. Leurs corps se plaquèrent l’un contre l’autre et les mains du dénommé Hyde vinrent se loger aux creux de ses hanches. Il lui rendit son baiser, et finalement, le temps n’avait plus d’importance. Elle s’était souvenue de son prénom soudainement. Les cendres s’écrasèrent sur le parquet au sol, le ciel n’était qu’un amas de nuages compactes et gris. Et tout cela n’avait pas d’importance. Elle se dégagea de son étreinte et versa du whisky dans son café tiède. Elle se leva, ne portant qu’une chemise d’homme blanche et alla allumer la chaîne hifi qui produisit une musique électronique. Le mystérieux Hyde se releva à son tour, mais Efferson dansait déjà seule au milieu de la pièce, comme si rien n’avait d’importance, et que personne ne l’observait. De temps en temps, elle tira sur sa clope ou en allumait une nouvelle, allait chercher un verre de whisky sans pour autant s’arrêter. Elle aurait un cancer du poumon, mais elle s’en foutait. Parce que la mort n’était pas une fatalité, mais la conclusion d’une longue et continue expérience ; et qu’elle s’en fichait royalement. Elle l’attendait, la mort, elle lui sourirait de toutes ses dents, mais jamais encore elle n’était venue. Seule la désolation régnait. Bientôt, le type vint la rejoindre, au milieu de sa chambre, sur la piste improvisée. A sa bouche, ce n’était pas une cigarette. La fumée stagnait dans la pièce, et Pixie Efferson avait encore sur son visage ce sourire destructeur si particulier.

    « J’en veux. » lui ordonna-t-elle.

    Elle s’approcha de lui, s’agrippa à ses épaules, touchait tout ce qu’elle pouvait, lui mordit le cou afin qu’il cède, ce qu’il ne mit pas longtemps. Nouvelle échange de fumée. Ils s’embrassèrent pendant quelques secondes, intenses cependant. Puis elle s’éloigna à nouveau de lui, tenant l’objet de ses désirs. Elle avait envie qu’il parte, mais il restait là, s’approchant toujours plus d’elle, essayant de la capturer. Mais jamais il ne réussirait, voila ce que savait Efferson. Elle n’aimait personne, même pas elle-même. Jazz était la seule exception à cette déchéance. Ses récepteurs de sentiments devaient être mort. Et il y avait toujours cette rage au fond de son estomac, indescriptible, qui la pourrissait. Pixie Efferson était une pourrie, de celles qu’on ne côtoie pas, de celles qui ont essayé tout ce que vous ne ferez jamais, qui auront une vie courte mais intense. L’ennui était son ennemi. Hyde la trouvait étrange, atypique, mais elle restait de glace. Malgré ses sourires si particuliers, sa manière de s’accrocher à son cou, elle restait froide, n’était qu’une surface lisse. Il savait qu’elle ne désirait pas qu’il en sache plus sur elle, elle n’avait voulu que tromper son ennui quelques minutes. On lui avait dit « Efferson, c’est une pute. » mais ce n’était pas la réalité. La réalité était qu’elle était perdue, ne sachant où aller. Elle n’avait pas d’exemple, sa sœur Jazz était dans un plus mauvais état que le sien. Et puis soudainement.

    « Dégage. » Dit froidement Pixie. On lisait la détermination dans son regard.

    « Très bien » fit Hyde en ramassant son perfecto par terre. « Mais tu vaux mieux que ça Pixie, tu vaux mieux que ton autodestruction. Si tu croyais ne serait-ce qu’un peu en l’esprit de l’Homme, si tu n’étais pas aussi désillusionnée, désespérée, nihiliste, tu pourrais avoir quelque chose de meilleur, quelque chose comme le bonheur. Entends raison, je t’en prie. J’aurais aimé te connaître dans un autre contexte, j’aurais presque pu t’aimer plus qu’un soir Pixie. Mais tu te lasses bien vite, et je veux plus qu’une nuit avec toi. Arrête, arrête le processus, la voie dans laquelle tu t’engages…J’aurais pu t’aimer Pixie Efferson. »

    Il referma la porte derrière lui.

    « TA GUEULE ! LA FERME ! » lui hurla-t-elle mais il était déjà loin. Son joint en main, elle se laissa tomber au sol, dos au mur. Les larmes jaillirent, roulèrent ses joues pour rejoindre son menton sans même qu’elle ne s’en rende compte. Il l’avait blessé, il lui avait craché la vérité, sa vérité à la face ; et cela, elle n’était capable de l’assumer, de le supporter. Elle alluma une nouvelle cigarette et enfouit sa tête entre ses genoux. Les larmes dévalèrent son visage pour s’écraser au sol. Elle ne su combien de minutes s’écoulèrent, combien de temps elle resta assise, dos au mur. La nuit était déjà là maintenant, noire, profonde. Elle aurait désiré être une étoile, lointaine, si chaude. Ce fut la dernière fois qu’elle pleurait, se jura-t-elle, elle si froide et si maître d’elle-même généralement. Pour Jazz. Pour qu’elle soit fière d’elle. Pour que Jazz l’aime autant qu’elle l’aimait en retour.




Dernière édition par Pixie Efferson le Ven 13 Nov - 19:24, édité 7 fois

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Message par Invité Dim 8 Nov - 12:38

Salut !
Ca fait un moment que ta fiche est en attente ! Donne-nous de tes nouvelles !

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Message par Invité Dim 8 Nov - 14:00

oh! navrée. je la termine dans l'après-midi je pense ^_^ j'avais oublié x)

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Message par Invité Dim 8 Nov - 14:37

Pas de soucis ! fais-moi signe si tu veux que je déplace mon message pour avoir plus de place =)

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Message par Invité Ven 13 Nov - 19:25

fini! un peu court, et plutot nul je l'avoue, mais fini : )

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Message par Bonnie Becker Ven 13 Nov - 21:16

Bienvenue ^^

Alors, ce qui est embêtant avec les suicidaires, auto-destructeurs et autres pessimistes, c'est que c'est difficile de les caser dans une maison... Ils n'ont pas le courage des Gryffondor, ni la persévérance des Poufsouffle, ni l'envie d'apprendre des Serdaigle et encore moins l'ambition des Serpentard... Donc, c'est délicat... A la limite, y a Poufsouffle parce qu'elle est loyale envers sa sœur... Bref, je sais pas trop ce que tu en penses xD
Bonnie Becker
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Message par Invité Sam 14 Nov - 11:40

je comprends ton dilemme, & moi-même je ne suis pas catégorique quand à la maison de Pixie. elle n'a aucune des qualités et en même temps réussi quand même à les réunir. Elle a le courage de survivre bien qu'elle soit désespérée, elle n'est loyale qu'en une seule personne: sa sœur. ensuite, elle n'est pas particulièrement érudit, donc j'exclus serdy. et pas serpy non plus. mais je la verrais bien à gryff', parce qu'elle est plutôt barge, et si on creuse un peu, si elle n'avait pas vécu toute son histoire, elle serait joviale, pleine de bravoure. Bref, pour moi, entre poufsouffle et gryffondor : )

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Message par Bonnie Becker Sam 14 Nov - 11:48

Bon, disons Gryffondor alors, puisque c'est la maison qui semble te plaire le plus ^^
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Message par Invité Sam 14 Nov - 11:55

voui cyclops merci .

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