Envy Pandora Dalkan [ Terminée ]

Qui êtes-vous ?

NOM - Dalkan
PRENOMS – Envy Pandora
DATE DE NAISSANCE – 21 Janvier 1986
AGE – 16 ans
ANNEE - Troisième
ORIGINES –Sang-mêlée.

Présentation libre


Mon histoire :

Envy Pandora Dalkan. On ne peut pas dire que ce soit très courant comme nom. Et pour cause ! Mon premier prénom, Envy, me vient de mon père si l’on peut dire, car c’est ainsi que ma mère me nomma en son « honneur » … En effet, pendant les fois où je discutais avec ma grand-mère, elle m’expliqua d’où venait mes noms…

Ma mère, Lenora Jen Dalkan, était une jolie jeune femme, fine, svelte et bien formée, des cheveux rouges comme les miens, la peau légèrement halée, âgée de 19ans à cette époque et vivant dans les confins de l’Ukraine, prés d'Odessa pour être précise, avec sa famille. Elle était rom. Ayant pour habitude, par obligation plutôt que par plaisir, de se rendre régulièrement à la ville pour dégoter quelque chose à se mettre sous la dent, pour elle et sa famille, elle trainait dans les rues, quémandant quelques pièces de droite à gauche. Elle croisa un jour un jeune homme – la trentaine environ- qui lui proposa de lui payer un café pour la réchauffer, ce qu’elle accepta, sans s’étonner plus que de raison. D’après ce qu’elle me raconta, ils discutèrent une bonne partie de l’après-midi, restant au chaud à l’intérieur du bâtiment, lui parlant beaucoup plus qu’elle. Elle ne me détailla pas beaucoup cette conversation, se contentant de m’apprendre juste d’où il venait, et ce qu’il faisait dans cette contrée : il était Irlandais et venait chercher de nouvelles entreprises où investir.

A la fin de l’après-midi, il se proposa pour ramener ma mère chez elle, et en profita pour la faire passer par des endroits peu fréquentés et finalement la viola. Grand-mère ne m’en raconta pas plus, gardant un minimum de respect pour ce que lui avait confié, douloureusement, sa fille, si ce n’est qu'elle était tombée enceinte de moi suite à cet « accident » et que sa famille refusa à ce qu’elle se débarrasse de ce qui grandissait dans son ventre. Mes deux prénoms résultent donc de cette horrible passage : Envy car c’est ce qu’elle avait vu, l’envie, le désir, dans les yeux de cet homme, mon père …, avant qu’il ne s’en prenne à elle. Quand à Pandora c’est en l’honneur de Pandore, la première femme selon l’antiquité grecque, la punition des dieux pour les hommes. C’est ainsi que ma mère me percevait, comme une punition pour s’être laissée berner.

J’ai une vision très claire, très nette de mon enfance. J’ai en fait surtout été élevé par la famille de ma mère, et non par elle, celle-ci me détestant. Je la croisais tous les jours, lui parlait quelques fois, mais jamais, je n’ai réussi à la considérer comme ma mère. Elle fut tout au plus ma génitrice. En raison de ce rejet, je préférais m’enfermer dans mes mondes, passant mon temps à imaginer d’autres pays, d’autres vies, d’autres peuples, notant tout ce que je m’imaginais. Lorsque je ne rêvassais pas, je partais me promener, malgré l’interdiction familiale, dans les décharges ou les terrains vagues des coins où l'on se trouvait, revenant souvent chez moi à la tombée de la nuit, couverte de boue et autres saletés, et très souvent aussi de coupures plus ou moins profondes, blessures, plus ou moins importantes. 13 années passèrent comme cela, vivant au jour le jour, se déplaçant de plus en plus vers l'Ouest afin d'éviter les persécutions grandissantes contre mon peuple. J’ai dû sillonner les trois quart du Nord de l'Europe lorsque j’étais jeune, pour finalement en venir à traverser illégalement la Manche avec ma famille pour s'installer en Angleterre. Ma mère n'apprécia pas vraiment de se rapprocher du pays où avait vécu - et vivait peut-être encore- mon géniteur, mais nous n'avions pas pu faire autrement.

Ce que ma génitrice ignorait cependant, c’est que cet homme qui l’avait abusé était un sorcier. Ce ne fut que lorsque nous avons reçu une lettre, alors que nous n’en recevions jamais parce que nous bougions très souvent, qui plus est à mon propre nom que nous avons – que j’ai appris- la chose. J’étais une sorcière, et on m’offrait la possibilité d’entrer dans une école. Je n’eus pas à réfléchir bien longtemps pour prendre ma décision et partis pour découvrir ce nouveau monde, un monde comme je m’en étais souvent imaginé. Lenora disparut un an après ma rentrée, ce fut ma grand-mère qui me l’appris, et même si l’on n’était pas proche, même si je ne l’aimais pas, je me suis quelque peu renfermée à cette nouvelle. Je suis aujourd’hui en troisième année, et toujours pas intégrée, à croire que je n’y parviendrai pas.


Portrait psychologique :

Très vaste sujet que mon caractère. En effet je ne suis pas sûre de bien pouvoir le définir moi-même. Souvent cataloguée comme une personne lunatique, je peux effectivement passer extrêmement vite d’un état à un autre. La plupart du temps, je reste perdue dans mes pensées, très tumultueuses soit dit en passant, et laisse mon imagination vagabonder à des kilomètres de là où je me trouve. Ce qui peut être à la fois très pratique lors de soirées particulièrement longues et ennuyeuses, où il n’y a rien à faire d’autres que d’attendre le sommeil, en imaginant des scénarios tous plus tordus les uns que les autres, car oui, j’adore écrire, et lorsque je ne rêve pas j’écris. Mais hélas, cela peut-être aussi un gros, voir très gros problème, lorsque ses rêveries débarquent en plein cours (ce qui arrive un peu trop souvent aux goûts de mes professeurs) et qui par-dessus le marché, m’empêchent souvent de me concentrer efficacement, provoquant parfois quelques accidents lors de travaux pratiques.

Cependant, ce n’est en fait qu’un aspect de ma personnalité, car il m’arrive quelques fois d’entrer pour quelques obscures raisons dans des colères, voir des états de rage assez impressionnants. Et malheureusement, je n’arrive pas vraiment à contrôler ses sursauts d’humeur. Je dois avouer que lors des ces crises de rage, je ne contrôle plus vraiment ni mes actes ni mes paroles, ce qui me fait souvent très peur. Cet aspect de ma personne fait que je n’apprécie pas particulièrement la compagnie d’autres personnes.

D’ailleurs, je n’ai pas vraiment d’amis en fait. Pour dire vrai, je ne suis pas sûre de savoir ce qu’est l’amitié, gardant toujours une distance naturelle avec les gens de mon entourage. De ce fait, je suis plus ou moins habituée à la solitude, et sait en apprécier les divers aspects. Mais quelque fois, durant certaines de mes nombreuses rêveries, celle-ci commence à me peser, bien que je sois consciente de ne pas être pas assez sociable – et beaucoup trop timide - pour pouvoir m’en débarrasser. C’est pourquoi, je me contente de me glisser dans les salles à la recherche d’une bonne place, pas trop loin de la porte pour pouvoir sortir vite à la fin du cours, et pas trop prés des autres élèves pour ne pas être forcer de discutailler et donc virer au rouge pivoine à la moindre question.

En clair, si je devais résumer tout ce blabla inintéressant, je dirais que je suis juste une personne timide et changeante.

Portrait physique :

Eh non, la nature n’a vraiment pas été généreuse avec moi. Elle m’a doté d’un corps fin, longiligne, sans forme apparente, sans attraits, très pratique pour se faufiler dans les recoins les plus étroits ou se dissimuler rapidement derrière une colonne, mais au demeurant pas vraiment agréable, ce que parfois je déplore. Ce corps, semblable à celui d’une enfant, qui est le mien pourrait si facilement se fondre dans la masse par sa banalité, si seulement je ne possédais en guise de cheveux, une espèce de crinière rouge-orangée, me tombant sur les hanches à force de ne jamais être coupés. Cheveux constamment triturés par une paire de mains fines, osseuses pour ne pas dire squelettiques, surmontées par des ongles particulièrement abîmés à force de me les ronger, ce que j’essaie vainement de cacher en me les peinturlurant de noir.

Mes bras et jambes ne sont pas bien épais, mais l’on peut voir saillir par endroit quelques muscles se développant. Pour couronner le tout, j’ai une peau tellement blanche que le moindre coup reçu me marque pendant un bon mois. J’ai d’ailleurs par endroit de magnifiques cicatrices, vestiges de mon enfance, dont la plus grande se situe sur mon avant-bras gauche ; longue ligne rosée, partant de l’épaule jusqu’au dessus du coude. Ce corps que je me traine depuis maintenant 16 ans est surmonté d’un visage fin, long, dans la lune les trois quarts du temps, mais lorsqu’il m’arrive de redescendre sur Terre, il semble que toutes mes pensées soient clairement inscrites sur celui-ci, car je n’arrive presque jamais à cacher mes états d’âme à quiconque. C’est pour m’éviter certaines questions que je le laisse souvent dissimulé par la masse qui me sert de cheveux, protégeant ainsi mes émotions.

En d’autres termes, je ne suis ni remarquable, ni discrète, si bien que les personnes que je croise, se souviennent vaguement avoir vu une forme cramoisie assez petite mais rien de plus. La seule chose que j’apprécie sur ma personne sont mes yeux ; des yeux bleus très clairs, se mariant parfaitement à la peau pâle et froide de mon visage, profonds, qui la plupart du temps semblent perdus dans la contemplation d’un autre univers. Cela n’aide pas vraiment à avoir l’air plus adulte, bien au contraire.


Eléments de sorcellerie

BAGUETTE - Bois d'Acajou, 27 centimètres avec crin de licorne.
PATRONUS – Un gros lynx boréal.
BIEN ou MAL ? Sans opinion pour le moment.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Trèèès bonne question ! Envy sera probablement auteur, avec son imagination très fertile ... Une chose est sûre, jamais elle ne retournera dans son pays natal.

Hors-Jeu

PSEUDO - Semahora
AGE – Dix-neuf ans. ( et demi pour être précise ^_^ )
AVATAR – Rachel Hurd-Wood
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? – Grâce à ‘Tana.
PRESENCE – Le plus souvent possible .
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