Ewan O'Griffin, Le mystère irlandais.
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Ewan O'Griffin, Le mystère irlandais.
par Invité Mar 13 Avr - 16:19
Ewan O’Griffin
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Irish Mystery.
Qui êtes-vous ?
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NOM – O’Griffin..
PRENOMS – Ewan. Sa mère voulut lui donner un second prénom, mais son père jugeait qu'il était inutile de s'embarrasser "d'un prénom qui n'a aucune utilité, hormis remplir des tas de paperasses supplémentaires". Sa mère finit par céder.
DATE DE NAISSANCE - Un certain 11 avril, un jour pluvieux.
AGE – 19 ans.
ANNEE – Sixième année..
ORIGINES – Sang-mêlé.
Présentation libre
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29 août, salon des O’Griffin.
- Un sorcier ? Morine, tu…
- C’est une bénédiction qu’il soit un sorcier, alors arrête de râler.
Morine O’Griffin s’approcha de son fils. Elle se pencha vers lui et lui murmura à l’oreille :
- Sois le meilleur de tous les sorciers. Et n’écoute pas ton père.
Le premier conseil, Ewan n’était pas certain d’y être arrivé. Quant au deuxième, c’était comme si c’était déjà fait.
14 août, chambre d’Ewan.
- D’accord, d’accord ! Je cesserais de t’importuner avec mes questions seulement si tu réponds à quelques unes.
- Je t’ai déjà dit que je n’avais pas le temps, Thalie.
- Allez, Ewan ! Je le dirais à maman, si tu ne veux pas ! Et en plus de ça, je dirais ce que tu as fait hier soir… Tu sais, quand tu es sorti par la fenêtre…
- … Dépêche-toi de me poser tes questions ou je te transforme en crapaud.
- Ahah, très amusant. Alors, où es-tu né ?
- Arklow, dans un petit cottage sur la côte irlandaise. Comme toi, Thalie.
- Arrête avec tes commentaires. Quelles sont tes passions ?
- Hm… J’aime bien la philosophie et la littérature. Dans un domaine plus typique au monde magique, je dirais que la Divination me plait bien. Matière quelque peu hasardeuse, mais relativement profonde. J’aime bien me promener, également. En forêt, spécifiquement. Dans des lieux bien souvent reclus et éloignés de toute civilisation.
- De quoi as-tu peur ?
- Je suis agoraphobe. Ça veut dire, Thalie, que j’ai peur de me retrouver mêlé à la foule. Je préfère largement être seul qu’oppresser par trop de gens. J’ai peur de perdre mes repères, également. L’inconnu me fascine et me terrifie à la fois. C’est un paradoxe dur à supporter.
- Quel sport pratiques-tu ?
- Je déteste le sport, et tu le sais aussi bien que moi…
- D’accord, d’accord… Ma plume à papote miniature a tout noté ! Mais j’ai une dernière question… Où es-tu allé, hier soir ?
- Sors de ma chambre. Tout de suite !
- MAMAAAN !
- Non ! … trop tard.
Deux jours plus tard, Le « Thalie’s Daily » sortit sur feuilles de papier. Grand titre ? « EWAN, LE GARÇON PEUREUX ET DESOBEISSANT ». Dave et Morine étrangement le « flash Info » sur les escapades nocturnes de leur fils… D’ailleurs, celui-ci était persuadé de sa petite sœur de onze ans finirait journaliste dans la presse à scandale. Sans aucun doute.
- Je t’ai déjà dit que je n’avais pas le temps, Thalie.
- Allez, Ewan ! Je le dirais à maman, si tu ne veux pas ! Et en plus de ça, je dirais ce que tu as fait hier soir… Tu sais, quand tu es sorti par la fenêtre…
- … Dépêche-toi de me poser tes questions ou je te transforme en crapaud.
- Ahah, très amusant. Alors, où es-tu né ?
- Arklow, dans un petit cottage sur la côte irlandaise. Comme toi, Thalie.
- Arrête avec tes commentaires. Quelles sont tes passions ?
- Hm… J’aime bien la philosophie et la littérature. Dans un domaine plus typique au monde magique, je dirais que la Divination me plait bien. Matière quelque peu hasardeuse, mais relativement profonde. J’aime bien me promener, également. En forêt, spécifiquement. Dans des lieux bien souvent reclus et éloignés de toute civilisation.
- De quoi as-tu peur ?
- Je suis agoraphobe. Ça veut dire, Thalie, que j’ai peur de me retrouver mêlé à la foule. Je préfère largement être seul qu’oppresser par trop de gens. J’ai peur de perdre mes repères, également. L’inconnu me fascine et me terrifie à la fois. C’est un paradoxe dur à supporter.
- Quel sport pratiques-tu ?
- Je déteste le sport, et tu le sais aussi bien que moi…
- D’accord, d’accord… Ma plume à papote miniature a tout noté ! Mais j’ai une dernière question… Où es-tu allé, hier soir ?
- Sors de ma chambre. Tout de suite !
- MAMAAAN !
- Non ! … trop tard.
Deux jours plus tard, Le « Thalie’s Daily » sortit sur feuilles de papier. Grand titre ? « EWAN, LE GARÇON PEUREUX ET DESOBEISSANT ». Dave et Morine étrangement le « flash Info » sur les escapades nocturnes de leur fils… D’ailleurs, celui-ci était persuadé de sa petite sœur de onze ans finirait journaliste dans la presse à scandale. Sans aucun doute.
Le 18 juillet,
Mon cher Ewan,
Je tenais à te remercier très sincèrement. Tu m’as ouvert les yeux. Non pas que je ne voulais pas voir la vérité en face ; je savais pertinemment que mon comportement de ces dernières semaines me mèneraient la déchéance. Oui, je n’aurais pas du me mettre dans cet état-là quand notre histoire a pris fin. Tu sais, quand tu m’as annoncé que c’était fini entre nous, j’ai dramatisé. Mes iris étaient voilés depuis si longtemps d’illusions amoureuses si opaques que le retour à la réalité m’a éblouie jusqu’à en devenir aveugle. Je m’étais leurrée, exactement. Leurrée sur la douce brûlure de l’Amour. Mais pas sur ton compte. Car tu as essuyé les larmes que tu m’as fait verser. Tu fus le seul à me réconforter, à m’empêcher de tomber. Tu m’as rattrapée, pour me remettre les pieds sur Terre de la façon la plus délicieuse qu’il soit. Non, n’interromps pas ta lecture. Mes mots doucereux glissent sur le parchemin sans que je puisse les retenir. Non, continue de me lire ; tu déchireras cette épître à sa toute fin.
Je ne fais que prôner ta douceur, depuis le début de ma lettre. Mais il serait honteux que j’élude ton acuité et ta malice. Car tu as réussi m’apaiser sans pour autant que je m’attache une fois de plus à toi. Tu sais, je te sentais t’éloigner de plus en plus, ces derniers jours. Mon obsession en devenait plus intenable. Je ne pensais plus qu’à ton regard clair et limpide, je brûlais d’envie de glisser ma main dans tes cheveux aux reflets blonds ; je désirais tant me retrouver dans tes bras. Puis la rupture. L’effet d’un seau d’eau glacé dans le visage, le retour au commencement. Je t’ai vu revenir – non pas pour reprendre notre histoire – mais plutôt pour m’aider à l’oublier. Dit ainsi, ça semble impossible, n’est-ce pas ? Mais tu as presque réussi. Oh bien sûr, une partie de moi t’appartient encore, mais je sens que je me détache lentement de toi. Tu m’as dit des mots sublimes, marquants, flèches empoisonnées plantées dans le cœur de mes maux. Tu es quelqu’un de bien, Ewan. Et je ne souhaite que ton bonheur.
Je ne fais que prôner ta douceur, depuis le début de ma lettre. Mais il serait honteux que j’élude ton acuité et ta malice. Car tu as réussi m’apaiser sans pour autant que je m’attache une fois de plus à toi. Tu sais, je te sentais t’éloigner de plus en plus, ces derniers jours. Mon obsession en devenait plus intenable. Je ne pensais plus qu’à ton regard clair et limpide, je brûlais d’envie de glisser ma main dans tes cheveux aux reflets blonds ; je désirais tant me retrouver dans tes bras. Puis la rupture. L’effet d’un seau d’eau glacé dans le visage, le retour au commencement. Je t’ai vu revenir – non pas pour reprendre notre histoire – mais plutôt pour m’aider à l’oublier. Dit ainsi, ça semble impossible, n’est-ce pas ? Mais tu as presque réussi. Oh bien sûr, une partie de moi t’appartient encore, mais je sens que je me détache lentement de toi. Tu m’as dit des mots sublimes, marquants, flèches empoisonnées plantées dans le cœur de mes maux. Tu es quelqu’un de bien, Ewan. Et je ne souhaite que ton bonheur.
Merci,
Malicia.
Malicia.
Quand Ewan termina sa lecture, son regard se perdit dans les méandres de ses pensées. Vraiment, il avait réussi à calmer la passion de cette jeune femme ? C’en était impressionnant. Il se leva de sa chaise, et sortit dehors. Il ne lui fallut qu’une poignée de minutes pour arriver devant la mer et ses vomissures d’écume. La lettre entre les doigts, il la leva devant lui.
- Ainsi soit-il…
Il la relâcha, et le vent la porta jusqu’à la surface de l’eau. Une vague se souleva et dévora le morceau de papier, engloutissant la réminiscence d’un amour encore inachevé. Mais c’était ainsi : il ne devait plus tomber dans les rets de l’Amour. Jamais plus.
- Ainsi soit-il…
Il la relâcha, et le vent la porta jusqu’à la surface de l’eau. Une vague se souleva et dévora le morceau de papier, engloutissant la réminiscence d’un amour encore inachevé. Mais c’était ainsi : il ne devait plus tomber dans les rets de l’Amour. Jamais plus.
Eléments de sorcellerie
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BAGUETTE – Bois de noisetier et cheveu de sirène. Le fabriquant irlandais qui lui a conçu était un vieil ami de ses parents.
PATRONUS – Un loup blanc. Pendant l’enfance d’Ewan, cet animal hanta ses rêves. Il en avait tout d’abord peur, mais bientôt, il le trouva similaire à lui. Libre, solitaire et calme. Il aime excessivement solliciter son patronus lorsqu’il se sent seul.
BIEN ou MAL ? Ewan n’a pas d’opinion propre à la notion de Bien de ou de Mal. Il n’aime pas prendre partie à ces enfantillages, et se dit être dans le juste milieu. Il peut aussi bien aider une personne dite bonne comme une personne dite mauvaise. Il s’attarde plus aux valeurs humaines qu’à la dichotomie du Bien et du Mal.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Ewan sera employé dans la prestigieuse banque Gringotts. Il mènera la vie paisible qu’il quémandait depuis toujours, entouré de sa conjointe (non pas sa femme, il a toujours eu une sainte horreur du mariage) et de sa fille Sally. On pourra le dire heureux, bien que certaines mauvaises langues diront que son bonheur n’est… qu’éphémère.
PATRONUS – Un loup blanc. Pendant l’enfance d’Ewan, cet animal hanta ses rêves. Il en avait tout d’abord peur, mais bientôt, il le trouva similaire à lui. Libre, solitaire et calme. Il aime excessivement solliciter son patronus lorsqu’il se sent seul.
BIEN ou MAL ? Ewan n’a pas d’opinion propre à la notion de Bien de ou de Mal. Il n’aime pas prendre partie à ces enfantillages, et se dit être dans le juste milieu. Il peut aussi bien aider une personne dite bonne comme une personne dite mauvaise. Il s’attarde plus aux valeurs humaines qu’à la dichotomie du Bien et du Mal.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Ewan sera employé dans la prestigieuse banque Gringotts. Il mènera la vie paisible qu’il quémandait depuis toujours, entouré de sa conjointe (non pas sa femme, il a toujours eu une sainte horreur du mariage) et de sa fille Sally. On pourra le dire heureux, bien que certaines mauvaises langues diront que son bonheur n’est… qu’éphémère.
Hors-Jeu
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PSEUDO - Helena.
AGE – 15 ans.
AVATAR – Jude Law.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? – Dans le classement Forumactif, je crois…
PRESENCE – Elle dépendra de tout… des jours, de la position de la lune par rapport à la Terre… Non, plus sérieusement, je ferais mon possible pour être présente sur le forum.
COMMENTAIRES ? Ce forum est fichtrement bien organisé. Et le design… je tire mon chapeau !
Invité- Invité
Re: Ewan O'Griffin, Le mystère irlandais.
par Bonnie Becker Mar 13 Avr - 17:14
Merci pour les compliments ^^ Je valide et je t'envoie à Serdaigle, en espérant que ça te convienne !
Bonnie Becker- Garce fouineuse.
Back in town... - ♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: Ewan O'Griffin, Le mystère irlandais.
par Invité Mar 13 Avr - 21:19
Ca me convient parfaitement 
. Merci.
. Merci.
Invité- Invité
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