Promenade matinale, why not. Une rencontre imprévue [Ewan O'Griffin
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Tome VII : Les reliques de la Mort :: Armoire à Disparaître :: RP abandonnés :: Extérieur du château
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Promenade matinale, why not. Une rencontre imprévue [Ewan O'Griffin
par Invité Sam 12 Juin - 20:10
Il devait être près de neuf heures du matin, lorsque j’étais assise dans l’herbe du parc de Poudlard. Je n’avais pas cours aujourd’hui, j’avais donc du temps libre, je pouvais faire tout ce que je voulais, enfin presque, hors de question que je crée des problèmes à Poudlard, ou à ma maison. Même si j’en avais bien envie, mais, je ne voulais en aucun cas être la cause de points enlevés à Serpentard, ca serait vraiment pas cool. Alors réfléchissant à ce que je pourrais faire en attendant la fin de la journée ou moi ainsi que tous les serpentard nous retrouverions dans la salle commune pour délirer et faire un grand feu de camp en riant, regardant autours de moi je me relevais et, époussetant ma robe je commençais à marcher dans le parc. Je repensais à ma famille, mon frère, était en septième année maintenant, il était un digne membre de ma famille, et un serpentard qui les faisait tous flipper. Qu’Est-ce que je l’aimais mon frère même si je ne le laissais pas toujours, même pas souvent paraître. C’était dur pour moi de montrer que j’aimais quelqu’un… Je préférais me cacher derrière ma carapace de peste égocentrique et superficielle. C’était maintenant dans ma nature d’être méchante envers les gens, de leur montrer que j’étais plus forte, plus belle, plus intelligente et plus douée que les autres. Ils ne le comprenaient pas, enfin, pas tous, mais l’une d’entre elle ne le comprenait pas, elle se prenait pour la reine, et pour elle je n’étais qu’une courtisane, alors que je méritais encore plus qu’elle d’être reine. Mais j’attendais le bon moment, le moment ou je pourrais enfin la détrôner et mettre fin à son règne de monarchie… Tout le monde avait peur d’elle, mais elle savait que j’étais fragile à l’intérieur et s’en servait contre moi… Alors moi, restant tranquille je commençais à montrer à tout le monde que j’étais en fait, gentille, amicale, et drôle et qu’avant tout je n’étais pas aussi peste qu’elle. Et pour le moment j’y arrivais particulièrement bien. Sortant de mes pensées je me dirigeais vers un petit groupe d’amis à mon frère, arrivée près d’eux je leur dis bonjours et commençais à leur parler tranquillement passant une main dans mes cheveux, ils étaient supers sympas les amis à mon frère, même si au premier abord ils avaient l’air associable et un peu brutaux, quand t’entrais dans leur cercle d’amis ils étaient super sympas.
Kacey _ Vous ne sauriez pas ce que Logan manigance en ce moment? Ca fait plusieurs jours que je ne l’ai pas vus et il n’ai même pas venus au dernier rassemblement dans la salle commune….
Ils me répondirent négativement, mais avaient l’air de me cacher quelque chose, tant pis, je le découvrirais plus tard. Je finirais bien par le découvrir de toute façon. Prenant congé je continuais mon chemin dans l’immense parc, en première année je m’y étais perdue, il était tellement grand qu’il m’avait fallut trois heures pour retrouver le château. Maintenant je faisais bien attention à ne pas trop m’éloigner des chemins que je connaissais lorsque j’étais seule, après sinon lorsque j’étais avec quelqu’un je m’aventurais sans problèmes dans les sombres recoins du parc, qui se mêlait avec la foret. Interdite ou pas. Pour moi en plein jour il n’y avait aucun problèmes au fait que tout le monde y allait. Aucune créature dangereuse ne sortait lorsque le soleil était dans le ciel. C’était un avantage, car vus le nombre de fois ou je m’y étais retrouvée sans savoir ou était la sortie… C’était pas comptable… Sortant de mes pensées j’entrais dans une partie plus sombre du parc ou il n’y avait presque personne et ou je pourrais être tranquille.
Invité- Invité
Re: Promenade matinale, why not. Une rencontre imprévue [Ewan O'Griffin
par Invité Dim 13 Juin - 11:45
La rosée du matin commençait à s’infiltrer dans son T-shirt, après avoir imbibé sa chemise. Cependant, il ne regrettait pas d’être arrivé si tôt. Réveillé à 7h30, il avait prévu la veille, dans une méditation troublée par l’ambiance de sa salle commune, d’assister au réveil du parc de l’école. Très digne d’un héros romantique de la littérature moldue, certes. Mais il aimait faire ce genre de promenade au moins une fois par an. Enfilant sans faire de bruit un blue jean, un T-shirt noir puis une chemise bleu foncé dont il laissa les pans ouverts, il sortit de son dortoir. D’un sourire, il salua les trois élèves de cinquième année qui travaillaient autour d’un livre de sortilège, et sortit de la salle commune de Rowena Serdaigle. Il descendit les nombreux escaliers d’un pas pondéré et se dirigea vers la Grande Salle, où seuls quelques professeurs et quelques élèves prenaient leur petit-déjeuner. Il s’empara d’une pomme verte et sortit aussi vite qu’il était entré. Enfin, il arriva enfin dans l’aile droite du château, sous le haut-vent. L’air frais de l’extérieur se mêlait à la chaleur du château encore endormi. C’était une belle journée. Pas un instant il songea à ses examens de fin d’année, et, un petit sourire aux lèvres, quitta le corridor pour traverser une cour de récréation qui menait droit au parc.
Il ne sera certainement pas le seul à profiter du beau temps. Par souci de tranquillité, il choisit un coin assez reculé du parc, où peu d’élèves se rendaient. Cet endroit se situait à l’ouest du lac miroitant, non loin du Saule Cogneur et de l’orée de la majestueuse forêt Interdite. Cette dernière était un des rares endroits du domaine qu’il n’avait pas visité. Craintif d’enfreindre les règles ? Disons qu’il ne souhaitait en rien poser problème aux pédagogues de l’école. Et puis, une retenue serait une tâche indélébile sur son dossier. Il n’en avait jamais eu, pour le moment. Seulement des petites punitions, pas bien importantes et qui n’étaient pas archivées. Depuis ses onze ans, il avait la même ambition : Gringotts. Cette banque le passionnait, et il rêvait d’y être un jour embauché. Mais on l’avait longuement prévenu : les gobelins ne toléraient aucune fraude, aucune erreur et aucun esprit rebelle. Et bien soit. Il laissa l’adolescent indomptable qu’il aurait voulu être de côté, et resta un gamin sage, puis un jeune homme réfléchi. Certains le disaient vieux jeu, pas drôle. Leur rétorquer qu’ils auraient un avenir pourri était franchement lourd ; alors il se contentait de sourire. Cette image lui convenait, et seuls ses amis proches savaient qu’il n’était pas si vieux jeu que ça. L’avis des autres lui était égal.
Il arriva enfin à sa destination. D’ici, il avait un triple spectacle : la forêt qui émergeait, le Saule Cogneur qui se réveillait et le lac qui attrapait les premiers rayons du soleil. Il prit place, assit contre le tronc d’un bouleau, et laissa son regard se perdre dans la beauté du paysage. Le ciel était d’un bleu immaculé ; il nous soufflait une promesse d’été merveilleux. Les trainées cotonneuses de nuages semblaient n’avoir jamais existé ; rien ne pouvait troubler la quiétude des cieux. Le regard d’Ewan fut ensuite attiré par la forêt. A la lisière, deux ombres se mouvaient lentement. Il ne mit pas longtemps à comprendre. Les centaures se rabattaient dans les bois, à cette heure. Les silhouettes s’effacèrent peu à peu, tandis qu’une nuée d’oiseaux s’envolait. Les volatiles avaient dû être effrayés par la course effrénée des centaures. Deux oiseaux se détachèrent du groupe et allèrent se poser sur les rives du lac. Le Serdaigle ne sait pas combien de temps il resta ainsi. Il fut tiré de ses pensées quand une voix féminine s’adressa à quelques garçons. Surpris d’être autant humide à cause de la rosée, il sortit sa baguette et, dans un « Tergeo ! » un peu trop vigoureusement lancé, il sécha ses vêtements. Malheureusement, la jeune fille, qui se dirigeait tranquillement dans sa direction, sembla l’entendre et tourna ta tête vers lui. Et il ne s’agissait pas de n’importe quelle fille : c’était Kacey Ann Jefferson. Une Serpentard populaire, et rayonnante. Il ne lui avait jamais vraiment adressé la parole, mais il se sentait intimidé. Conscient qu’il avait attiré son attention, il chercha quelque chose à dire. Il avait entendu parler d’une manigance d’un certain Logan. Certes, il ne le connaissait pas, mais tous les sujets de ‘’discussion’’ étaient bons.
Dans le genre stupide, on n’eut rarement fait mieux. Il esquissa néanmoins un sourire avenant, pour rattraper le coup de sa stupidité. Parler de Serpentard à une Serpentard était profondément crétin, puisqu’elle pouvait prendre ceci pour une offense contre sa maison. Il se demanda quelle allait être sa réaction.
Il ne sera certainement pas le seul à profiter du beau temps. Par souci de tranquillité, il choisit un coin assez reculé du parc, où peu d’élèves se rendaient. Cet endroit se situait à l’ouest du lac miroitant, non loin du Saule Cogneur et de l’orée de la majestueuse forêt Interdite. Cette dernière était un des rares endroits du domaine qu’il n’avait pas visité. Craintif d’enfreindre les règles ? Disons qu’il ne souhaitait en rien poser problème aux pédagogues de l’école. Et puis, une retenue serait une tâche indélébile sur son dossier. Il n’en avait jamais eu, pour le moment. Seulement des petites punitions, pas bien importantes et qui n’étaient pas archivées. Depuis ses onze ans, il avait la même ambition : Gringotts. Cette banque le passionnait, et il rêvait d’y être un jour embauché. Mais on l’avait longuement prévenu : les gobelins ne toléraient aucune fraude, aucune erreur et aucun esprit rebelle. Et bien soit. Il laissa l’adolescent indomptable qu’il aurait voulu être de côté, et resta un gamin sage, puis un jeune homme réfléchi. Certains le disaient vieux jeu, pas drôle. Leur rétorquer qu’ils auraient un avenir pourri était franchement lourd ; alors il se contentait de sourire. Cette image lui convenait, et seuls ses amis proches savaient qu’il n’était pas si vieux jeu que ça. L’avis des autres lui était égal.
Il arriva enfin à sa destination. D’ici, il avait un triple spectacle : la forêt qui émergeait, le Saule Cogneur qui se réveillait et le lac qui attrapait les premiers rayons du soleil. Il prit place, assit contre le tronc d’un bouleau, et laissa son regard se perdre dans la beauté du paysage. Le ciel était d’un bleu immaculé ; il nous soufflait une promesse d’été merveilleux. Les trainées cotonneuses de nuages semblaient n’avoir jamais existé ; rien ne pouvait troubler la quiétude des cieux. Le regard d’Ewan fut ensuite attiré par la forêt. A la lisière, deux ombres se mouvaient lentement. Il ne mit pas longtemps à comprendre. Les centaures se rabattaient dans les bois, à cette heure. Les silhouettes s’effacèrent peu à peu, tandis qu’une nuée d’oiseaux s’envolait. Les volatiles avaient dû être effrayés par la course effrénée des centaures. Deux oiseaux se détachèrent du groupe et allèrent se poser sur les rives du lac. Le Serdaigle ne sait pas combien de temps il resta ainsi. Il fut tiré de ses pensées quand une voix féminine s’adressa à quelques garçons. Surpris d’être autant humide à cause de la rosée, il sortit sa baguette et, dans un « Tergeo ! » un peu trop vigoureusement lancé, il sécha ses vêtements. Malheureusement, la jeune fille, qui se dirigeait tranquillement dans sa direction, sembla l’entendre et tourna ta tête vers lui. Et il ne s’agissait pas de n’importe quelle fille : c’était Kacey Ann Jefferson. Une Serpentard populaire, et rayonnante. Il ne lui avait jamais vraiment adressé la parole, mais il se sentait intimidé. Conscient qu’il avait attiré son attention, il chercha quelque chose à dire. Il avait entendu parler d’une manigance d’un certain Logan. Certes, il ne le connaissait pas, mais tous les sujets de ‘’discussion’’ étaient bons.
- - C’est une coutume Serpentard d’organiser des rassemblements dans leur salle commune ?
Dans le genre stupide, on n’eut rarement fait mieux. Il esquissa néanmoins un sourire avenant, pour rattraper le coup de sa stupidité. Parler de Serpentard à une Serpentard était profondément crétin, puisqu’elle pouvait prendre ceci pour une offense contre sa maison. Il se demanda quelle allait être sa réaction.
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