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Helena A. Teague, où la sensualité indomptable. [TERMINEEEEE !]

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Message par Invité Dim 13 Juin - 13:38

    Helena Teague
    .

Helena A. Teague, où la sensualité indomptable.  [TERMINEEEEE !] Susan_10

    Qui êtes-vous ?
    .

    NOM – Teague.
    PRENOMS – Helena Alexandra, mais seul son premier prénom est utilisé.
    DATE DE NAISSANCE – 22 avril.
    AGE – 17 ans.
    ANNEE – Quatrième année.
    ORIGINES – Sang-mêlé. Elle tient ses gènes de sorcière grâce (ou à cause) de son père. Sa mère, elle, lui est inconnue, mais elle est une « saleté de sang de bourbe », selon son paternel. Elle n’eut jamais l’idée de faire des recherches sur sa génitrice et s’en tint à ce que lui a dit son père.

    Présentation libre
    .


    Helena, ou une enfant tout sauf désirée.

    Dans un salon lugubre.

      - Je t’avais dit de faire gaffe, nom de Dieu !

    Valerya Poliakoff valsa contre le mur, en larmes. Elle n’aurait jamais dû lui dire qu’elle était enceinte. La réaction de Marius Teague était prévisible. Il s’approcha d’elle. Non, jamais elle n’aurait dû lui dire. Il l’attrapa à la gorge et la souleva. Il la colla au mur. Son visage vira au bleu. Elle manquait d’air. Elle parvint à articuler un « Le… bébé… ». Il mit dix secondes avant de la relâcher. Elle tomba par terre. Sa gorge endolorie lâchait des sanglots saccadés. Respirer lui était difficile. Pourquoi lui avait-elle dit ? Pourquoi diable avait-elle pensé que ce monstre pourrait l’aimer et vivre une vie harmonieuse avec le bébé et elle ? Elle le vit sortir une fine tige de bois. Allait-il la battre, comme avant ? Il la pointa sur elle. Elle ne sut comment cela arriva, mais un éclair coloré en sortit et tous ses muscles prirent feu. Elle hurla tellement fort qu’il lui décocha un coup de pied dans le dos. Elle souffrait tellement qu’elle s’évanouit.

    Teague cessa le sortilège et rangea sa baguette. Les femmes étaient toutes aussi abruties ! On leur demandait juste d’être belle et de se laisser allonger, mais elles étaient foutues de tomber enceintes. Elle allait le regretter, cette trainée. Que faire, maintenant ? Teague hésitait entre deux issues : tuer Valerya sur le champ, ou la laisser engendrer sa vermine et tuer le gosse. Il était friand des vengeances douloureuses qui consument lentement. Oui, c’était ce qu’il allait faire. Elle restera vivante, et dans moins de huit mois, elle verra son délicieux poupon mort. Avec un peu de chance, elle se tuera elle-aussi. Les autorités moldues penseront directement à un infanticide, et la mère meurtrière se sera suicidée après avoir commis cette horreur. Ce sera fortement amusant, oui. Il attrapa le poignet de sa crétine d’amante et transplana. Il arriva dans son miteux appartement. Sans ménagement, il la foutut sur son canapé. Elle était toujours dans les vaps. Avant de repartir, il la regarda. Dommage, parce qu’elle était bien foutue. Rousse aux yeux bleus ; elle avait le corps du diable. Et elle simulait pas mal, sans demander un sou. Dommage qu’elle fut aussi conne.
    Il transplana.

    Huit mois plus tard.

    Valerya berçait son enfant. Elle l’avait appelée Helena Alexandra. Elle avait déjà demandé à l’infirmière si elle pouvait sortir de la maternité maintenant, mais elle avait directement refusé. Encore une semaine minimum, lui avait-elle rétorqué. Soit disant qu’elle était bien trop affaiblie pour s’en aller. Mais il fallait qu’elle parte. Le plus vite possible. Il allait arriver. D’un instant à l’autre. Cette idée lui donna des sueurs froides. Elle s’assit rapidement sur son lit, serrant son trésor entre ses bras décharnés. Pas de perte de conscience maintenant, non, il ne fallait pas qu’elle sombre dans les limbes maintenant… Par miracle, elle reprit ses esprits. Elle posa délicatement Helena dans son berceau, et commença à faire sa valise. Elle partit dans la salle de bain, y récupéra sa brosse à dents, son dentifrice et quelques dolipranes. Quand elle revint dans la petite chambre, il était là. Penché au dessus du berceau. Elle fit tomber sa trousse de toilette et se jeta à genoux, désemparée.

      - Ne lui fais pas de mal, je t’en conjure !
      - Ferme-là.

    Teague se contrefichait des larmes de l’autre trainée. Elle était devenue repoussante. Maigre, les joues creuses ; ses yeux avaient perdu de leur éclat ; ses cheveux étaient ternes. La gamine la regardait, une lueur de défi dans ses prunelles vert d’eau. Elle le regardait d’un air effronté mais calme à la fois. Elle n’était pas encore un être humain mais elle semblait déjà savoir ce qu’il allait faire. Il en était presque troublé. La gosse tendit une de ses petites mains potelées vers lui. Il se surprit d’avoir un mouvement de recul. Ca sembla l’amuser, parce qu’elle éclata de rire. Un rire insolent et hautain. Pas vraiment un rire enfantin, en fait. Elle ressemblait effroyablement à sa mère ; mais peut-être avait-elle les yeux et le tempérament de son père… Peut-être était-elle une sorcière, elle aussi. Ca ne l’étonnerait pas, elle était digne d’être de son monde. La tuer, alors… ? Non. Si, à l’âge de 6 ans, elle ne possède aucun pouvoir magique, alors il la tuerait. Dans le cas contraire… il esquissa un sourire mauvais et sortit du miteux hôpital moldu, laissant l’autre trainée couverte de larmes.

    Et six ans plus tard…

    Elle n’aurait finalement pas dû lui lire que la petite avait fichu le feu aux rideaux d’un simple regard. Il avait presque l’air content. C’était un mauvais augure. Un type comme Marius Teague ne pouvait pas être content. Elle frissonna. Helena arriva vers elle en courant. Elle souriait. Cette enfant était parfaite. Gentille, magnifique, et intelligente. Cependant, ses idées étaient parfois étranges, voire louches, mais Valerya essayait de ne pas s’en occuper. L’imagination enfantine était vaste, après tout.

      - Maman.
      - Ma chérie ?
      - Tu as invité quelqu’un pour le thé, aujourd’hui ?
      - Non, pas du tout, pourquoi ?
      - Parce qu’il y a deux messieurs devant la maison.

    Puis elle repartit en courant dans sa chambre. Deux hommes devant chez elle ? Elle sentit ses jambes trembler. Quelques secondes après, on sonna à la porte. Lentement, elle se dirigea dans l’entrée et, après avoir tourné la clé, ouvrit la porte. Elle émit un cri d’horreur. C’était lui, avec un homme au regard étonnamment vague. Les années ne lui avaient pas réussi : il faisait encore plus peur qu’avant. Ses longs cheveux noirs tombaient encore plus bas, et ses traits plus émaciés glaçaient le sang. C’était le diable en personne.

      - Madame Poliakoff ? commença l’homme au regard confus. Je suis le juge Garza. Monsieur Teague m’a appris que…
      - Oh… mais… ne restons pas sur le pas de la porte, coupa Valerya, la voix chevrotante. Voulez-vous entrer, monsi…
      - Non. Cette nuit, votre ancien compagnon m’a avoué non sans mal qu’il vous couvrait depuis six ans. Nous savons, madame, que votre était mental ne s’est pas amélioré, et que…
      - De..de quoi parlez-vous ?!
      - … et que la garde d’un enfant ne vous avantage pas.

    Teague vit une petite fille rousse se détacher dans l’ombre de la cage d’escalier. Elle était splendide. La robe noire qu’elle portait – cette robe ressemblait plus à un déguisement qu’à un réel vêtement – faisait ressortir la pâleur de sa peau. Et elle était une sorcière. Parfait. Ce juge moldu n’allait pas tarder à lâcher la sentence, et il s’en ira avec son dû. Rien de plus simple, rien de plus douloureux pour la trainée de Valerya. Il lui avait dit, un jour, qu’il se vengerait. Cette petite conne lui avait ri au nez. Voilà la monnaie de sa pièce. Le juge sortit, comme prévu, une paperasse et la tendit à Valerya, qui vacilla.

      - La cour et moi-même avons décidé de vous enlever la garde de l’enfant. Vous n’aurez plus de droit de voir votre fille Helena Alexandra Teague, sous peine d’intervention de la justice.

    La femme tomba par terre, et dit à sa fille de s’en aller. Mais Teague avait anticipé cela : la petite fille, avec le même regard flou que le juge, s’avança vers son père, sans même entendre les sanglots déchirés de sa mère. Elle tendit sa main délicate à l’homme qui lui servait de père et, sans un regard vers sa génitrice adorée, quitta la maison. Valerya Poliakoff ne se remit pas de cette épreuve et mourut devant sa porte d’entrée quelques jours plus tard.

    Helena, ou une jeune fille aussi sous contrôle qu’indomptable.


    Dans une forêt sombre.

    Elle était devant lui. Elle devait avoir huit ans. Elle avait peur. Elle regardait partout autour d’elle. Parfois, elle criait un petit « Papa ? », mais le silence des bois avalait sa voix. Elle avait froid ; elle ne portait qu’une simple robe d’été. Son père avait été clair : il n’avait pas le droit de la tuer. Il ne devait que la mordre, et se barrer après. Teague devait être lui-aussi dans la forêt, puisque c’était lui qui avait paumé sa gamine. Cet homme était une ordure, quand même. Mais le besoin d’argent et la somme alléchante que l’homme lui avait proposé l’avait fait immédiatement accepter. Faire subir cette tare à sa propre fille… c’était profondément horrible. Inhumain. Mais Teague ne devait pas être un humain. Il ressemblait à un démon. La petite fille se mit à sangloter. Il fallait qu’il passe à l’action, où Teague le tuerait directement. Il fallait qu’il arrête de s’apitoyer sur le sort de la petite. Il fallait agir. Bondir, maintenant. Il hésita. Un craquement de brindille se fit entendre. Alors, il avala la potion qu’il tenait dans sa main gauche. En quelques secondes, sa vraie nature fut révéler. Il sauta sur la gamine, qui poussa un hurlement de terreur. Il ne se contrôlait qu’à moitié. Avisant le mollet de l’enfant, il y planta ses dents luisant sous le reflet de la pleine lune.

      - Il suffit !

    C’était Teague. Il se força à lâcher la gamine et fonça dans le bois, loin des deux humains. Il l’avait fait. Pauvre gamine. La lycanthropie ne la lâcherait plus.

    Dans une chambre d’adolescente.

    Elle n’arrivait plus à ravaler ses larmes. Alors elle chialait, sous les railleries de son mentor. Il lui avait fichu une belle raclée. Et elle l’avait mérité. Elle n’aurait jamais dû répondre à son père de cette façon. Et puis, l’insulter de « sale con » n’était pas une chose à dire… Il lui avait dit qu’elle l’avait déçu. Qu’il ne l’avait pas élevé pour ça. Elle avait rétorqué qu’il ne l’avait jamais élevé, puisqu’elle n’était avec lui que pendant les vacances. Et il lui avait répondu à l’aide d’une rafale de Doloris. Maintenant, elle était trop faible pour tenir debout. Elle n’avait même pas envie de se relever. Parce que se relever était un signe de résistance qui ne plaisait pas à Marius Teague. Et il recommencerait.

      - Demain, tu retournes à Poudlard. Essaye de parler de cela à un de tes petits idiots d’amis et tu en payeras les conséquences. M’as-tu compris ?

    Silence renfrogné.

      - M’as-tu compris, Helena ? REPONDS-MOI. Endoloris !

    Elle hurla mais n’avait presque plus de voix. Elle lâcha un « Oui père » plein de bémols, et entendit son père partir de sa chambre. Rassemblant ses dernières forces, elle rampa puis se hissa sur son lit et fondit en larmes dans son oreiller, tout en martelant son matelas de coups de poing. Dire que demain elle devra être à nouveau elle-même allait être difficile. Mais elle y arriverait. Elle ne devait avoir aucune faiblesse. Et elle n’en aurait pas. Elle se redressa sur son lit, effaça ses larmes d’un revers de main et s’observa dans la glace. Ses yeux gonflés et ses joues brillantes la rendaient grossièrement gamine, comme disait son mentor. Elle se ressaisit, et fixa son propre reflet dans les yeux avant d’esquisser un sourire mauvais.

    Un jour de mars, dans la bibliothèque.

    Ces gens-là n’ont pas de noms. Nommons un gnome « un gnome », mais ne nommons pas l’inutile. Rassembler autour une table de la bibliothèque de Poudlard, ils étaient en grande discussion. Il n’y a rien de plus rassurant pour l’être humain que de critiquer ses congénères. Et c’était ce que faisaient ces gens-là. Au début de leur petite réunion, l’un d’entre eux donnait un nom. Et le but de la conversation était de critiquer cette personne. Aujourd’hui, l’heureuse élue était Helena Teague.

      - Bah moi je ne l’aime pas.
      - Tout ça parce qu’elle est plus mignonne que toi !

    Rire goguenard.

      - C’est bon, lâche-moi. Non, je ne l’aime pas parce qu’elle fricote avec tout le monde. Vous n’avez pas vu comment elle fait son allumeuse, cette garce ?
      - T’es jalouse, on te dit. Et puis, quand t’es une nana aussi bien foutue qu’elle, tu n’entres pas dans un couvent.
      - C’est quoi un couvent ?
      - Un truc de moldu pour les saintes nitouches.
      - Aaah.
      - Et puis, elle est super agressive. T’as vu comment elle rembarre tout le monde ? Si un gars qu’elle croise dans les couloirs dit un truc et qu’elle n’est pas d’accord avec lui, elle n’hésitera pas à se planter devant lui, à dire tous les défauts de ses dires et à l’insulter avant de reprendre sa route. C’est une grande gueule, cette fille-là.
      - J’suis d’accord. Elle n’a pas la langue dans sa poche, et elle se comporte comme une gamine pourrie gâtée. Mais elle est foutrement attirante.
      - C’est pas une raison pour charmer tout ce qui bouge. Elle a n’importe quel mec et n’importe quelle nana dans son lit en un battement de cils.
      - Nana ?!
      - Ouais, elle est bi, il parait.
      - Ça réduit mes chances…
      - Va-y, fais-moi cocue !

    Rire gêné.

      - Euh mais non, c’était pour rire… !
      - C’est ça. Bah raison de plus pour dire que je ne l’aime pas.
      - T’es jalouse.
      - MAIS TA GUEULE ! Ok je suis jalouse, mais c’est une sale garce.
      - Elle a pourtant des amis.
      - Ils sont trop naïfs et crétins pour comprendre qu’ils passent leur journée avec une saloperie humaine.
      - Ses amis sont loin d’être idiots. Et quand ils sont ensemble, ils semblent bien s’amuser. Elle est peut-être sympathique. Mais trop orgueilleuse pour le montrer à tout le monde.
      - Tu tournes ça de façon héroïque ! Elle a un comportement bizarre, tu en conviendras ! Elle sèche certains cours de temps en temps et personne ne lui dit rien ! Je suis sûre qu’elle se drogue : elle a une sacrée tête de déterrée, parfois !
      - Ça reste rare. Si vous voulez mon avis…
      - Oh tais-toi, tu vas encore dire qu’elle est belle. Et puis… Oh, voilà la vieille. Chut !

    La bibliothécaire passa près d’eux, et ils se remirent à faire semblant de travailler.


    Eléments de sorcellerie
    .

    BAGUETTE – Ecaille de sirène et bois de cerisier. Autant dire que cette baguette a coûté une fortune. Elle est un présent de son père – le seul et unique cadeau qu’elle reçut de lui.
    PATRONUS – Un castor. Elle se demande toujours pourquoi a-t-elle un patronus aussi laid.
    BIEN ou MAL ? Mal. Sans hésitation. Depuis sa naissance, jamais on ne lui a parlé du bien. D’ailleurs, elle ne saurait pas le définir, hormis dire que le bien est son « parfait contraire ».
    QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Dix-huit ans après, elle ne serait plus. Sa regrettée lycanthropie aura eu raison d’elle : elle mourra lors d’une transformation mal contrôlée, sans avoir ingéré le moindre antidouleur. Son état de santé fragile sera un des facteurs de sa mort prématurée, puisqu’elle mourra un 18 octobre, à l’âge de 23 ans.

    Hors-Jeu
    .

    PSEUDO – Léa.
    AGE – 15 ans.
    AVATAR – Susan Coffey, un modèle DeviantArt.
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? – Par pur hasard. Google est mon ami.
    PRESENCE – Le plus souvent possible.
    COMMENTAIRES ? Non m’dame..[/justify]


Dernière édition par Helena Teague le Dim 13 Juin - 16:22, édité 3 fois

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Message par Invité Dim 13 Juin - 13:53

Jolie ce modèle!
bref soit la bienvenue parmi nous et je souhaite bonne chance pour ta fichounette ^^

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Message par Demetri Raynolds Dim 13 Juin - 15:01

Bienvenue cherry
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Message par Invité Dim 13 Juin - 16:12

Merci à vous deux =D.

Et j'ai fini ma fiche Helena A. Teague, où la sensualité indomptable.  [TERMINEEEEE !] 967870 .

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Message par Invité Dim 13 Juin - 17:25

Bienvenue Exclamation

Jolie présentation Smile

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Message par Montana D. Jones Dim 13 Juin - 17:38

bienvenue !
personnellement, j'ai du mal à répartir ton personnage. Est-ce que Gryffondor te conviendrait ?
Montana D. Jones
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Message par Invité Dim 13 Juin - 18:05

Je ne m'y attendais pas du tout, et c'est encore mieux ! Oui, ça me convient =D.

Ah, et j'ai vu que c'était à vous de décider sur le point où je suis une lycanthrope... Verdict ?

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Message par Invité Dim 13 Juin - 18:46

    Bienvenuuue ;D

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Message par Montana D. Jones Dim 13 Juin - 18:47

entendu, Gryffondor donc ! <3
quant à la lycanthropie, je pense que c'est tout à fait jouable si tu gardes une certaine mesure : c'est-à-dire que les profs sont informés et se débrouillent pour gérer les nuits de pleine lune d'Helena de sorte qu'elle soit inoffensive pour les autres élèves. tu feras attention à cela ?
Montana D. Jones
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Message par Invité Dim 13 Juin - 18:59

J'y ferais attention. Je ne tuerais aucun élève, héhé.

Et merci pour les messages de bienvenue, les enfants Very Happy.

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Message par Invité Dim 13 Juin - 19:32

Et si, de notre seule volonté on a envie de se faire mordre?
Non je ne suis pas suicidaire xD

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Message par Gemma Langley Dim 13 Juin - 21:31

Bienvenue!

Pour la lycantrophie, y' a déjà un loup-garou à Poudlard, deux ça fait pas beaucoup? Et étant donné que certaines caractéristiques sont liées aux mornilles (donc à la présence et à l'activité), pourquoi pas celle-ci?
Je sais, j'fais ma rabat-joie, mais bon c'est une question utile je crois (a)

Amuse toi bien sur le forum Helena!
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Message par Invité Lun 14 Juin - 17:08

- Je ne sais pas si j'ai le droit de répondre sur une fiche validée, mais bon... >< -

Je ne doute pas de l'utilité de ta question, Gemma, hein... mais je ne l'ai pas comprise --". J'ai à peu près compris que tu t'opposais à la lycanthropie... si, par excès de bonté, tu voulais m'en retoucher un mot... MP Wink.

Et Sôter... si mes crocs de loup-garou ne me sont pas enlevés... je mordrais un volontaire avec plaisir ! J'aime bien les petits-humains-suicidaires, surtout cuisinés avec des champignons =D.

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Message par Demetri Raynolds Lun 14 Juin - 19:59

Si, si, tu peux répondre à une présentation même validée ^^

Par contre ton ava me semble un peu grand. Je te rappelle que nous demandons du 200*320 pour une certaine harmonie. Wink
Demetri Raynolds
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