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'Je suis le pantin de mon coeur'

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'Je suis le pantin de mon coeur' Empty 'Je suis le pantin de mon coeur'

Message par Invité Sam 14 Nov - 0:29

      __

      Damon

      ,Bradford
      ,
      .« Les pires erreurs sont celles que l'ont fait par amour ! »


    'Je suis le pantin de mon coeur' Ekhlq8



      Qui êtes vous ?
      NOM - Bradford
      PRENOMS - Damon
      DATE DE NAISSANCE - 21 mai 1983
      AGE - 19 ans
      ORIGINES - Sang Mêlé



    Eléments de sorcellerie
    .

    BAGUETTE - La baguette de Damon est faite de bois de Lierre. La baguette a réellement bien choisi son maître, puisque le lierre est le symbole de l'errance de l'âme, et celle du jeune homme cherche encore le chemin. Elle contient une magnifique plume d'hypogryffe. Souple, elle mesure 29 centimètre 75, et est parfaite pour la pratique de sorts défensifs.
    PATRONUS - Un lapin. L'explication est plutôt simple, la peluche fétiche de celle qu'il aime étant un lapin. Cela la représente selon lui, et son patronus est le reflet de son amour.
    BIEN ou MAL ? Vu le personnage haut en couleur qu'il incarne en permanence, on pourrait croire qu'il est du genre à être adepte du bien. Pourtant, son côté mystérieux et ténébreux contredit cette version. Selon le personnage que l'on voit, on peut se poser des questions. Dans l'ensemble, Damon fait plutôt parti du côté du mal, de part son passif, mais en fait, il pourrait se plier à n'importe quelle chose pour celle qu'il aime. Son côté dépend de ses actes, et ses actes dépendent de cette fille. C'est donc assez lunatique...
    QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Dans 18 ans, Damon ne sera pas moins qu'un ange gardien. Son amour pour sa soeur adoptive n'aura pas changé, et après avoir essuyé un refus pour une demande en mariage, il s'est promis de la protéger jusqu'à la mort, quoiqu'il advienne. Toujours dans l'ombre, il la suivra en permanence, pour s'assurer qu'elle va bien, et qu'elle est heureuse. Tout les actes qu'il fera dans le futur seront dictés par les actes de celle qu'il aime.


    Hors-Jeu
    .

    PSEUDO - Wilou (étonnant non? Vous le saviez pas hein?^^)
    AGE - 20 ans Razz
    AVATAR - César Casier
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? Avant première Wink
    PRESENCE - Régulière
    COMMENTAIRES ? Basketball


Dernière édition par Damon Bradford le Sam 14 Nov - 0:49, édité 1 fois

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'Je suis le pantin de mon coeur' Empty Re: 'Je suis le pantin de mon coeur'

Message par Invité Sam 14 Nov - 0:36

    Des erreurs, j’en ait fait tout au long de ma vie, et j’en ferais certainement encore des dizaines. Mais les pires sont certainement celles que j’ai faites par amour. L’amour… Le véritable, celui qu’on ne ressent qu’une seule fois dans sa vie. Au début simple béguin, qui se transforme en un amour étouffant, jusqu’à ce qu’il s’exprime réellement, jusqu’à ce qu’on le vive pleinement. Je n’ai que 19 ans, que pourrais-je savoir de l’amour ? Rien, seulement, je l’aime depuis tellement longtemps, depuis de longues années. Je pourrais tout faire pour elle, même les pires choses…


    C’était un beau jour d’été, de superbes vacances qui méritaient d’être vécues par le garçon amoureux que je suis. Pour la première fois depuis que je la connais, nous avons été plus qu’intime. Nous avons joué avec l’interdit, et nous avons gagné. Je l’ai embrassé, au début simplement pour la faire taire. Une vieille technique de désarmement. Elle a pourtant bien vite deviné que ce n’était qu’une simple tentative pour qu’elle ne dise rien aux parents. J’ai réattaqué, pour qu’elle tombe cette fois dans mes bras, totalement, sans aucune retenue. Nous nous sommes aimés de la plus belle des façons, pour la seule et unique fois. Le bonheur que j’ai ressenti ne pourrait être simplement décrit avec des mots, mais cela m’a confirmé dans l’idée que les autres, tous les autres n’étaient que de simples aventures, et qu’elle était la femme de ma vie. Jamais je n’avais vibré ainsi, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir, ou autant d’amour. Je n’étais qu’un simple pantin amoureux entre ses mains, et je me complaisais dans ce rôle. La fin est finalement arrivée, amenant des questions sans réponses. Je savais pourquoi j’avais agi ainsi. Je savais que l’amour que je ressentais pour elle avait finalement abaissé toutes mes barrières, me permettant de franchir ce cap important. Mais qu’en était-il pour elle ? Pourquoi donc avait elle accepté mes caresses et mes baisers ? Depuis toujours, elle s’était comportée comme la pire des pestes, me détestant sans que je n’y puisse rien. Elle avait peur, je l’avais toujours su. Peur de ne pas trouver sa place dans cette famille avec ma présence. Alors elle me jouait les pires tours, pour être certaine de l’amour que lui portaient mes parents. Alors pourquoi maintenant m’avait elle accordé ses faveurs ? Je ne pus dormir de la nuit à cause de ces questions qui se bousculaient dans mon esprit. Je me suis donc levé, et j’ai marché, encore et encore, jusqu’à trouver une idée… Traversant la maison d’un pas de loup, je suis finalement entré dans la chambre de mes parents, et la discrétion étant mon ami, j’ai réussi à récupérer un précieux livre… Mon père m’en avait déjà parlé. Il était dangereux, et contenait des sorts qu’il ne valait mieux pas utiliser. Mais je l’avais déjà lu, et un sort m’intéressait particulièrement, celui de lire dans les pensées…

    Le reste de la nuit fût consacré à l’apprentissage de ce sort si particulier, et finalement, lorsque le matin arriva, je crus être capable de le lancer parfaitement. Ne manquait plus maintenant que l’occasion de lancer mon précieux sort. Je l’eus finalement l’après midi même, alors que nous étions tous les deux dans notre jardin. J’aurais pu lui demander explicitement, mais je crois que la simplicité ne fait pas partie de moi. Alors que sa tête était tournée ailleurs, je sortis ma baguette et lança le sort. Cependant, je crus avoir échoué, et d’une certaine façon, je l’avais fait, puisque son esprit ne s’était pas ouvert pour moi. Cependant, elle s’écroula, dans mes bras, sans connaissance. L’inquiétude prit le pas sur la fierté, et je me suis mis à crier. Plus fort que je n’aurais cru pouvoir le faire, et mes parents arrivèrent bien vite sur les lieux. Je ne sus pas leur expliquer ce qu’il s’était passé. Ma version était simple, elle s’était juste écroulée dans mes bras, sans raison apparente. Je n’allais pas leur dire que c’était à cause de moi, je n’allais pas leur avouer que j’avais utilisé le livre interdit, surtout sur celle qui devait être ma sœur. Elle mit du temps à se réveiller, et toutes ces minutes, heures, je les passais auprès d’elle, dans une rédemption ridicule. Je m’en voulais terriblement d’être responsable de son état, mais jamais je n’irais l’avouer, et moins encore à elle. Je me sentais incroyablement ridicule, à ainsi tenir la main d’une peste qui ne semblait avoir d’autres objectifs dans la vie que de me faire chier. Et pourtant, pour rien au monde je n’aurais échangé ma place. Je caressais doucement le dos de sa main avec mon pouce, lorsque cela arriva. Un mal indicible et encore jamais ressentit, comme si je venais de recevoir un violent coup dans la tête. C’était une migraine, qui me sciait la tête en deux… Je me suis écroulé sur ma chaise, lorsque des images se mirent à défiler dans ma tête…

    Une journée ensoleillée, à jouer sur une balançoire. Je suis tout seul, à me balancer d’avant en arrière. Même si nous ne sommes pas tout proche, on peut voir l’air furieux que j’arbore. Je n’arrive pas à me souvenir de ce moment. Soudain, je tourne la tête vers ici, et je me lève de la balançoire. Mes yeux se sont étrécis de colère, mais je viens. Je m’approche de là où je me trouve maintenant. Le petit moi est maintenant à quelques centimètres de moi. « Tu admires ton triomphe Lilou ? » Je tire la langue, avant de faire un tour sur moi-même, enfin le petit moi agit comme ça, m’arrachant un sourire. J’ai toujours été comme ça, à me réfugier derrière mes facéties. Le petit moi me regarde de nouveau, et penche la tête sur le côté, avant de sortir une sucette de sa poche : « Tu en veux une peut être Lilou ? Mais je n’en ait pas pour les petites pestes… » Du bout de langue, le petit moi savoure sa sucette, et soudain je me souviens de ce moment. Un étrange malaise s’empare de moi alors que j’ai l’impression d’assister à une scène par les mauvais yeux. J’ai peur de comprendre ce que ça signifie, alors j’arrête d’essayer. Mais la scène se poursuit, et je me souviens toujours de cette petite poursuite dans le jardin. Je cours après le petit moi, même si je sais maintenant que ce n’est pas moi qui cours. En tout cas, le petit moi court pour préserver sa sucette, alors que je veux cette sucette. Je ferme les yeux, enfin tout du moins j’essaye. Je ne veux pas assister impuissant à cette scène, je ne veux pas continuer à vivre à travers les souvenirs de ma sœur adoptive. Mais je ne contrôle rien, et lorsque j’ouvre de nouveau les yeux sur une vraie scène, des larmes menacent de couler de mes yeux.

    D’autres scènes se sont imposées à moi, toute ressemblant à celle là. Je me fais l’effet d’un monstre, à l’avoir ainsi martyrisée. Elle n’était jamais en reste certes, et c’est bien elle qui avait commencé, et pourtant, je me sentais mal. Lorsqu’enfin elle ouvre les yeux, j’ai encore eut deux grosses migraines, qui sont reparties aussi vite qu’elles étaient arrivées. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, et j’espérais sincèrement que Lydie pourrait m’expliquer. Mais je me rendis rapidement compte lorsqu’elle se réveilla, que je n’aurais pas de réponses à mes questions. Elle semblait avoir perdu la mémoire, et je ne comprenais pas. Mais lorsque ses yeux se posèrent sur moi, une seule alternative semblait s’offrir à moi, la fuite. Après avoir coulé un regard noir en sa direction, j’ai tourné les talons, pour sortir de cette pièce, qui m’étouffait sans que je sache pourquoi. Des dizaines et des dizaines de questions semblaient se bousculer dans ma tête, et je n’avais de réponses à aucune d’entre elle. De nouveau, la douleur vrille mon crâne, et c’est une toute nouvelle scène qui s’impose à moi, des années après celles déjà vues. Je suis proche, tellement proche… Des lèvres d’un garçon, je n’arrive pas à mettre un nom sur son visage, mais je sais une chose, il est nu. Je voudrais m’échapper, je ne veux pas la voir avec un autre garçon. Je ne supporte pas le regard langoureux qu’il pose sur moi, pas plus que son sourire entendu. Il sait qu’il va passer un bon moment, alors que moi je souffre le martyre. Je voudrais tellement cesser de le regarder, mais j’ai beau essayer, rien ne m’arrache à cette scène horrible. Elle dure encore un temps interminable selon moi, et lorsqu’elle se termine enfin, je suis assis sur le sol, mes longues jambes repliées contre mon torse. Je ne devrais pas être choqué, j’avais pourtant déjà assisté à bien pire, et pourtant je n’arrivais pas à me résoudre à oublier. Mes yeux vides fixaient le mur devant moi, alors que je ne cessais de me repasser ses baisers, ses caresses, et autres…

    Mes parents me trouvent toujours dans cette position. Je pense qu’ils veulent savoir ce qu’il s’est passé, mais je ne peux pas leur dire. Je ne veux pas leur dire… La déception que mon père pourrait avoir, et la colère de ma mère. Non je ne peux tout simplement rien dire sur ce qu’il s’est passé, alors je m’en tiens à ma version. Lorsque mon père me dit soudain que Lydie veut me voir, je secoue d’abord la tête, c’est trop tôt, je ne peux pas voir son regard sur moi. Mais il insiste, et c’est avec finalement un soupir que je me dirige vers sa chambre. Avant d’entrer, je sors une sucette de son emballage, et je la fourre dans ma bouche, avant de me composer un petit sourire tendancieux. Mon masque habituel, celui derrière lequel je me cache en permanence. Je rentre dans la chambre, et m’adosse sur un mur : « Bah alors Lilou ? Tu peux pas te passer de moi ? » D’un petit bond, j’arrive juste à côté du lit, sur un pied, l’autre restant en l’air, me donnant l’air d’un acrobate. « Je sais que je suis irrésistible, mais voyons, je suis ton frère… » « Je sais, je voulais te demander… Il paraît que j’étais un vrai petit ange, mais je suppose que ce n’est que parce que ce sont mes parents. J’étais comment ? » Mon sourire glisse sur mon visage, tant je la trouve attendrissante. Jamais je ne l’avais vu comme ça, aussi apeurée, aussi peu sûre d’elle. Mon sourire revient, mais bien moins pervers, et plus chaleureux. Je repose mon second pied au sol, et me contente de jouer avec ma sucette, réfléchissant à ce que je pourrais dire. Cette perte de mémoire lui serait peut être bénéfique en fait, puisque je pourrais la façonner, pour qu’elle soit bien moins peste. Lui dire la vérité quand à son passé n’était pas réellement une bonne idée, alors je lui réponds, d’une voix plus sérieuse : « Ils ont raison… La douceur et la gentillesse sont bien tes principales qualités. » Je réfléchis quelques instants, retrouvant mon masque espiègle, avant de reprendre, ma voix plus badine : « Tu as une autre qualité importante… Ta chasteté. Je veux dire par là, tu ne t’offres pas au premier venu, et c’est magnifique. » Certes, cela pourrait passer pour une blague, et pourtant j’étais des plus sérieux. La scène dont je venais d’être le témoin involontaire me poussait à vouloir la protéger de mes semblables. Je continuais de la même voix : « Tu vois, je t’ai toujours admiré pour ça. Tu ne peux pas savoir comment j’ai souffert des relations éphémères. Je ne veux pas de ça pour toi. Tu mérites tellement mieux petite sœur… »

    Je dégouline de mièvrerie et de paroles douces et adorables. Je lui mens ouvertement sur mes soit disant relations éphémères destructrices. Chacune de celle que j’ai vécu n’a guère duré, mais de mon fait. M’attacher à quelqu’un alors que mon cœur bat pour une autre, quelle blague. Quoi qu’il en soit, je pose un regard attendri sur la belle demoiselle, totalement calculé, et incroyablement faux. Je la manipule, comme je sais si bien le faire, et même si ça me fait mal de le faire sur elle, j’assume totalement… Maintenant, je termine cet épisode larmoyant, et je me prépare d’ailleurs à partir, mais elle retient ma main. Je ne peux pas rester près d’elle, je me sens suffoquer, comme si je manquais d’air. Je me tourne vers elle, mon regard s’étant fait beaucoup plus pervers, et mon sourire ne présageait rien de bon : « Tu ne veux pas que je parte ? Peut être veux tu que… Oh ? Non ? Vraiment ? Voudrais-tu ? » J’éclate d’un petit rire sournois, et virevolte sur moi-même, pour la faire lâcher prise et m’éloigner. Je retire la sucette de ma bouche, et je conclus : « Tu veux que je passe la nuit avec toi ? » La voir rougir amène un nouveau rire de ma part, et je me penche sur elle, pour lui murmurer à l’oreille : « Mais ça ne serait pas bien… Non non non, pas bien du tout… » Je ne m’écarte pourtant pas ; et ma langue va chatouiller son oreille légèrement. Elle crie, et me repousse, tandis que je souris de plus belle. Mes parents arrivent bien sûr très vite, et nous demande ce qu’il s’est passé. Je coule un regard vers ma sœur, c’est en fait un test. Je ne suis pas certain qu’elle ait réellement perdu la mémoire, et si c’est un nouveau tour de sa part, elle ne loupera pas l’occasion de me dénoncer. Mais elle n’en fait rien, bien au contraire. Elle décide plutôt de trouver une raison à son cri, et mes parents ont la bonne idée de dire qu’elle a besoin de repos. Nous sortons, et moi le dernier, je referme la porte, non sans avoir eut la bonne idée de lui lancer un clin d’œil.

    Une fois seul dans l’antre de ma chambre, je pousse un profond soupir. J’aime jouer, et j’ai toujours aimé le faire, mais là, je me sentais vraiment ridicule dans mon costume de pervers exubérant. Ridicule, et pourtant incroyablement bien. Je me cache, depuis des années, derrière ce masque. Poudlard m’a toujours connu ainsi, et ça ne changera pas. Je cache quelque chose, depuis des années, et ça n’a rien à voir avec ma sœur. Je fuis la réalité, comme à mon habitude… Je m’allonge sur mon lit, lorsque soudainement, une nouvelle migraine me prend. Je jure à voix haute, alors qu’une nouvelle scène s’affiche. Je suis encore là, et je reconnais les lieux, nous sommes à Poudlard. Je semble être assez âgé, cette scène doit s’être passée depuis peu de temps. Mais je ne suis pas seul, il y a une jeune demoiselle avec moi. Un sourire s’arrime à mes lèvres lorsque je la reconnais, Karolyn Mighton, une très jolie demoiselle, qui sait être très douée. Ce que nous faisons est équivoque, et lorsque je reviens dans ma mémoire à moi, je me pose des questions. Comment Lydie avait elle pu nous voir sans se montrer ? Et surtout, pourquoi s’en souvenait elle avec autant de précision. Certes, cela avait du se passer 6 mois auparavant, mais elle aurait du l’oublier. Il ne dormit pas cette nuit là encore, trop perturbé par toutes les questions qu’il se posait… Il aurait décidément du pain sur la planche, s’il voulait tout résoudre…

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Message par Bonnie Becker Sam 14 Nov - 0:51

Je valide cyclops (après une petite frayeur xD)
Poufsouffle !
Bonnie Becker
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Garce fouineuse.
Back in town...

♦ HIBOUX POSTÉS : 2802
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009

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Message par Invité Sam 14 Nov - 0:55

Huhu merci!! Razz

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