I don't want to fight with you yet --- Leslie
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I don't want to fight with you yet --- Leslie
Depuis un moment, tout me semblait pénible. Entre Clyde et moi tout était encore tendue, malgré notre petite... disons malgré notre petite réconciliation dans la salle à disparaître. Tout était encore loin d'être comme avant et je n'étais pas certaine de vouloir que cela redevienne comme avant. Ne serait-ce pas plus douloureux de redevenir la meilleure amie du l'homme qui venait de me briser le coeur sans même le savoir? En même temps, j'avais besoin de lui dans ma vie, qu'importe si c'était douloureux. Puis, il y avait cette histoire avec Emalee. J'avais mis notre amitié à rude épreuve avec mes propos blessant, mais après tout, à qui la faute? Elle n'avait pas voulut partir, ce n'était plus mon problème à partir du moment où elle voulait rester là à m'écouter la blesser. Certes, je n'avais pas été très juste, j'avais causé bien des dégâts, mais elle n’avait pas été obliger à rester là à encaisser. Après tout, n'était-ce pas elle qui m'avait trahit en premier? Je soupirais, passant une main dans mes cheveux, au moment ou une main se posa sur mon épaule. Je me retournai, agacée, pour faire face à un Lyle visiblement soucieux. Encore drôle. Je soupirais avec de lui offrir un demi sourire.
« Pas maintenant Lyle.»
« T'es franchement bizarre depuis un certain temps, Harper »
« J'ai dis pas maintenant.»
« Je préférais quand tu léchais les bottes d'Andrews... »
« Et moi je préférais quand tu étais moins protecteur »
« Lyle?»
Profitant de l'intervention du jumeau trop sympathique de Lyle, je me faufilai pour lui échapper. J'aimais bien Lyle, mais il n'était pas de ceux à qui j'avais envie de me confier, surtout sur des trucs si personnels. Nos conversations tournaient généralement sur la politique ou sur des points de vue neutres, jamais sur des choses qui nous touchaient directement, et je n'avais pas envie de commencer à jouer à ça avec lui. Me sauver dans la foule avait donc été la solution la plus logique, je m’excuserais plus tard. Ou pas. Qu’importait au final? Reste-t-il que j’avais besoin de parler à quelqu’un, que j’avais besoin de me défouler, mais je n’avais aucunement envie de jouer la méchante encore une fois. Je commençais vraiment en avoir mare de ce petit jeu. Je me mis donc à la recherche de Montana ou de Nuallan dans les couloirs de ce château damné. Si j’avais d’abord détesté la première, pour des raisons injustes, mais présentes, elle était devenue en quelque sorte une confidente qui ne me jugeait pas faible ou qui n’était pas camper sur ces positions. Je commençai, étrangement, à l’appréciée réellement. Je savais qu’elle prendrait certainement le temps de m’écouter, ou du moins, ça présence me changerait les idées. Certes, ce n’était pas l’amour fou entre nous, et alors? Les personnes les plus proches de moi étaient celles qui m’avaient causé le plus de douleur depuis quelques jours, me tourner vers Jones n’était pas l’idée du siècle mais c’était mieux que rien, non?
Quant à Nuallan, jamais je ne lui confierais quoi que ce soit. Notre relation n’en était pas là. Sans doute ce ficherait-il de mes problèmes et je n’avais pas envie de lui en parler non plus. Alors pourquoi espérais-je le croiser? Simplement parce qu’étrangement, la présence du Serpentard m’apaisait comme nul autre ne le faisait. Même Clyde n’avait pas cet effet sur ma personne. Je n’essayais pas de comprendre le pourquoi de la chose, je ne voulais pas le comprendre. Tout ce que je savais, c’était que j’étais si bien avec lui, que je n’avais généralement pas besoin de parler. Depuis ma dispute avec Clyde, j’avais un peu trop tendance à chercher sa compagnie, à l’observer à la dérobée, ce n’était pas dans mes habitude, mais je ne me questionnais même plus sur mes motivations à le faire. Tout ce que je savais, c’était que la présence de son étrange personne, sa nature des plus sociopathe, son côté sombre me réconfortaient étrangement. Que j’étais bien quand j’étais avec lui, que j’avais presque besoin de lui. N’était-ce pas malsain? Peut-être bien, mais qu’importait. Visiblement, j’avais trop tendance à être dépende de certaine personnes, à mon plus grand damne.
Je tournai le coin d’un couloir lorsque la voix d’une personne que je connaissais que trop bien me parvint. Je jetai un coup d’œil au couloir. Il ne me fallu pas trop de temps pour reconnaître la silhouette de Clyde, mais bien davantage pour reconnaître Leslie Jeffers. Je fronçais les sourcils, faisant un pas sur le côté pour qu’ils ne puissent me voir. Je ne pouvais pas entendre les paroles qu’ils s’échangeaient, mais ils étaient visiblement gênés et mal à l’aise. J’arquai un sourcil alors que quelques images me parvenait, faisant naître en moi un sentiment que je peinais à identifié, mais qui ne me plaisait pas. J’attendis que Clyde s’éloigne avant de suivre tranquillement Leslie dans les couloirs j’au qu’au cinquième ou je l’interceptais, me plantant devant elle, poings sur les hanches, la juchant d’un regard froid
« Ainsi, la parfaite petite préfète trompe son charmant chanteur avec le ténébreux Clyde? Je suis certaine que cette nouvelle va faire plaisir à cette chère petite Gryffondor qui s’amuse à te mettre des bâtons dans les roues, Jeffers…» Je lui offris un sourire peu amène, attendant une réaction de sa part.
« Pas maintenant Lyle.»
« T'es franchement bizarre depuis un certain temps, Harper »
« J'ai dis pas maintenant.»
« Je préférais quand tu léchais les bottes d'Andrews... »
« Et moi je préférais quand tu étais moins protecteur »
« Lyle?»
Profitant de l'intervention du jumeau trop sympathique de Lyle, je me faufilai pour lui échapper. J'aimais bien Lyle, mais il n'était pas de ceux à qui j'avais envie de me confier, surtout sur des trucs si personnels. Nos conversations tournaient généralement sur la politique ou sur des points de vue neutres, jamais sur des choses qui nous touchaient directement, et je n'avais pas envie de commencer à jouer à ça avec lui. Me sauver dans la foule avait donc été la solution la plus logique, je m’excuserais plus tard. Ou pas. Qu’importait au final? Reste-t-il que j’avais besoin de parler à quelqu’un, que j’avais besoin de me défouler, mais je n’avais aucunement envie de jouer la méchante encore une fois. Je commençais vraiment en avoir mare de ce petit jeu. Je me mis donc à la recherche de Montana ou de Nuallan dans les couloirs de ce château damné. Si j’avais d’abord détesté la première, pour des raisons injustes, mais présentes, elle était devenue en quelque sorte une confidente qui ne me jugeait pas faible ou qui n’était pas camper sur ces positions. Je commençai, étrangement, à l’appréciée réellement. Je savais qu’elle prendrait certainement le temps de m’écouter, ou du moins, ça présence me changerait les idées. Certes, ce n’était pas l’amour fou entre nous, et alors? Les personnes les plus proches de moi étaient celles qui m’avaient causé le plus de douleur depuis quelques jours, me tourner vers Jones n’était pas l’idée du siècle mais c’était mieux que rien, non?
Quant à Nuallan, jamais je ne lui confierais quoi que ce soit. Notre relation n’en était pas là. Sans doute ce ficherait-il de mes problèmes et je n’avais pas envie de lui en parler non plus. Alors pourquoi espérais-je le croiser? Simplement parce qu’étrangement, la présence du Serpentard m’apaisait comme nul autre ne le faisait. Même Clyde n’avait pas cet effet sur ma personne. Je n’essayais pas de comprendre le pourquoi de la chose, je ne voulais pas le comprendre. Tout ce que je savais, c’était que j’étais si bien avec lui, que je n’avais généralement pas besoin de parler. Depuis ma dispute avec Clyde, j’avais un peu trop tendance à chercher sa compagnie, à l’observer à la dérobée, ce n’était pas dans mes habitude, mais je ne me questionnais même plus sur mes motivations à le faire. Tout ce que je savais, c’était que la présence de son étrange personne, sa nature des plus sociopathe, son côté sombre me réconfortaient étrangement. Que j’étais bien quand j’étais avec lui, que j’avais presque besoin de lui. N’était-ce pas malsain? Peut-être bien, mais qu’importait. Visiblement, j’avais trop tendance à être dépende de certaine personnes, à mon plus grand damne.
Je tournai le coin d’un couloir lorsque la voix d’une personne que je connaissais que trop bien me parvint. Je jetai un coup d’œil au couloir. Il ne me fallu pas trop de temps pour reconnaître la silhouette de Clyde, mais bien davantage pour reconnaître Leslie Jeffers. Je fronçais les sourcils, faisant un pas sur le côté pour qu’ils ne puissent me voir. Je ne pouvais pas entendre les paroles qu’ils s’échangeaient, mais ils étaient visiblement gênés et mal à l’aise. J’arquai un sourcil alors que quelques images me parvenait, faisant naître en moi un sentiment que je peinais à identifié, mais qui ne me plaisait pas. J’attendis que Clyde s’éloigne avant de suivre tranquillement Leslie dans les couloirs j’au qu’au cinquième ou je l’interceptais, me plantant devant elle, poings sur les hanches, la juchant d’un regard froid
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Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
But the sun also shines on the wicked - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1774
♦ ARRIVÉE : 17/02/2010
♦ HUMEUR : Impassible
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