NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
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NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Nolan Blake
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PSEUDO - Av - KimCass AGE - 22 ans AVATAR - Cam Gigandet COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Quinnyyyyyy!!! PRESENCE - 4 à 5 jours dépendent du boulot! PARRAINAGE - Oui [X] Non [] Je peux avoir Quinny? COMMENTAIRES ? Les toilettes, c'est par de quel côté? |
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Dernière édition par Nolan Blake le Lun 9 Avr - 4:05, édité 7 fois
Nolan Blake- I'm tired of pretending,
but I'm terrified of it ending. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 59
♦ ARRIVÉE : 24/03/2012
♦ ANNÉE : J'ai l'air d'un étudiant?
♦ HUMEUR : Maussade
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
« La vie est comme une grande partie d’échec. On ne sait jamais quand la mort jouera son dernier coup. » Un échiquier. Le bien contre le mal. La forme la plus simple et pur de leur combat remontant aux premières lueurs de notre monde. J’ai toujours été fascinée par les échecs, les tactiques ainsi que les pièges que l’on pouvait tendre à nos adversaires. Mon père, né moldu, avait eu la même fascination que moi. Son propre père avait été un célèbre joueur d’échec de son vivant et bien que je sache à quel point il le détestait, il lui devait pourtant son talent calculateur. La première fois que j’ai touché à une pièce de ce jeu, j’avais deux ans. Je me souviens très peu de cette époque, comme presque tout le monde, mais ce moment, je ne l’ai jamais oublié. Mon père m’a posé sur ces genoux et avec la patience de seul lui pouvait faire preuve, il m’expliqua ce qu’était les échecs sous le regard attentif de ma mère. À cette époque, j’étais encore le seul enfant de la famille, mais je savais que bientôt, très bientôt j’aurais quelqu’un à protéger. Mes parents m’ont toujours dit que j’étais un enfant du soleil, sans doute parce que j’étais nez en plein mois de juillet alors qu’il y avait une canicule. Si moi j’étais le soleil, Lively, elle, était la douceur du printemps. J’avais presque trois ans de plus qu’elle. Liv aurait 22 ans aujourd’hui, c’est son anniversaire… Je me souviens encore de mon excitation qui faisait sourire autant mon oncle qui veillait sur moi que le personnel médical. Je n’arrêtais pas demandé quand je pourrais la voir, quand elle serait là. Après plusieurs heures, je pus enfin la voir. Elle était si petite, fragile dans les bras de ma mère. Mon père m’a soulevé et assit entre eux pour que je puisse la voir, la toucher. Elle avait ouvert les yeux et j’avais vu le miroir des miens dans son regard. « Maman! On a les mêmes zeux! » Ma constatation les avait bien fait rire alors que moi j’étais tout simplement totalement émerveillée par elle. « C’est normal, mon ange, elle est ta sœur. » « Tu peux lui dire bonjour. Elle t’entend, mais par contre ne peut pas encore te répondre. » Je m’étais penché vers elle en tendant ma main qu’elle attrapa de ces minuscules doigts avec une vigueur étonnante pour son âge. « Salut Zively… Moi c’est Zolan, ze suis ton frère. » Ma mère m’avait embrassée comme seule une mère pouvait le faire. Bien des années plus tard, elle m’avait raconté à quel point ce moment lui était précieux. Nous voir ainsi l’avait bouleversé et continuait de le faire par le simple souvenir. Nous étions une petite famille heureuse, peut-être commune à cause du statut de sorcière de ma mère, mais heureuse tout de même. Mon père disait toujours que t’en que l’on savait les uns et les autres, alors tout irait bien et rien de mal ne pouvait. J’étais trop jeune pour comprendre que malgré toute sa bonne volonté, il me mentait. Les choses n’étaient pas aussi belles que je le pensais sans aucun doute à cause de mon jeune âge. Je ne comprenais pas encore que le monde pouvait être aussi noir que les pièces de l’échiquier et sans pitié pour les pauvres blancs qu’ils rencontraient dans leur croisade vers le roi. J’ai juré à ma mère de protéger ma sœur, peu importe ce qui pouvait arriver, peu importe le danger, c’était mon devoir de frère ainé de le faire. Beaucoup se dirait que ce genre de promesse ne vaut rien, qu’elle ne peut être prise en compte vu l’âge, mais pourtant, pour moi elle a toujours été la promesse la plus importante de ma vie et je ne l’ai pas tenu. J’ai du affronté un ennemi bien plus fort que moi, plus fort que tous sorciers, la mort elle-même. « Tu m’as laissé gagner? » Son expression est outrée, profondément outrée ce qui me donne envie de rire malgré que je sais ne pas devoir le faire. Elle n’avait que cinq ans, mais pourtant était plus féroce que n’importe qui d’autre quand nous jouons aux échecs. Elle n’était pas mauvaise perdante, non, elle détestait tout simplement que je la laisse gagner. Elle adorait les défis et me battre en était tout un. Elle croisa les bras son regard bleu me perçant alors qu’elle attendait que je lui dise la vérité qu’elle connaissait pourtant déjà. « Pourquoi ferais-je ça? » « Pour que tu puisses arrêter de devoir jouer avec moi? » Je rigolai légèrement. « Tu sais bien que j’adore jouer avec toi. » Et c’était la pure vérité. Ma sœur savait comment m’affronter aux échecs même si elle était beaucoup plus jeune que moi. Elle était maline pour son âge et mon père lui avait montré de nombreuses techniques comme il l’avait fait avec moi par le passé. Beaucoup de mes amis de l’époque ne supportaient pas d’avoir leur jeune frère ou sœur trop près d’eux, moi, ça m’était égal que ma sœur me suive partout. Elle était bien souvent plus intéressante à faire la conversation que certains de mes amis. Notre lien était proche et je sais qu’il rendait nos parents très fiers. Mais il ne faut quand même pas s’attendre à ce qu’on ne se disputait pas une fois de temps en temps quand même! Nous étions frères et sœurs après tout! Des pas lourds se font entendre et mon père apparaissait dans le salon sourire aux lèvres alors qu’il se débarrassait de sa veste pour venir se joindre à nous quand il vit l’échiquier sur la table du salon. « Qu’avons-nous là? Les blancs ont gagné, il semblerait. » « Papa, Nolan m’a laissé gagner! » « Je ne ferais jamais ça! » Je sais que ma voix avait été trop dramatique au sourire plus large de mon père et au fait que Liv me tirait la langue avec une désinvolture unique à elle qui me fit bien rire. C’était le genre de moment commun qui n’avait sans doute rien de bien spécial pour les autres, mais pour moi, ça voulait tellement dire plus. Parce que je savais ce qu’il allait se passer. Mon père nous expliquerait plusieurs petites choses très complexes avec des mots si simples que n’importe qui pourrait comprendre. C’était un don qu’il avait. Ma sœur et moi nous nous affronterions de nouveau sous son œil vigilant, puis ma mère qui se trouvait dans la cuisine allait venir s’installer dans le cadre de porte pour nous regarder jouer tous les trois avec un sourire heureux sur son visage. Mon père se lèverait alors pour l’embrasser, lui dire comment il l’aime et lui demander comment avait été sa journée. Ils discuteraient un moment assis près de nous avant que nous ne nous regroupions autour de la table pour manger, ensemble. Ces souvenirs, je les ai gardés très précieusement, car, ils sont les derniers que j’ai réellement de ce qui était une famille normale à mes yeux. Je ne peux pas me plaindre parce qu’en faite je n’ai aucune raison de le faire. Ma famille était une famille honnête et aimante. Mais tout est futile, tout nous glisse irrémédiablement entre les doigts. La vie, le temps, les gens, il n’y a aucune exception. Je l’ai appris. Une fois que la mort dépose son voile, on ne peut plus rien faire. C’est tout simplement la fin. Cette pensée m’a si souvent frappée de plein fouet, me coupant le souffle créant une boule dans ma gorge qui ne semble ne jamais vouloir totalement disparaître, je vois ces yeux, son sourire et elle me dit que tout ira bien alors que rien ne va. La mémoire est une chose aussi étrange qu’étonnante. On se souvient parfois de souvenirs si profondément enfouis qu’on s’en étonne, mais le pire c’est qu’on se souvient toujours bien mieux ce qu’on veut oublier. Je savais qu’elle n’allait pas bien, mais quelque part je me disais que rien ne pouvait lui arriver, qu’elle ne partirait pas parce qu’elle était bien trop jeune pour ça, que ce n’était tout simplement pas juste que quelqu’un laisse ce genre de chose arriver. Mais c’était les pensées d’un gamin innocent qui ne connaissait pas la réalité du monde, rien n’est juste ici. Ma famille s’est écroulée, mon monde a disparu et j’ai brisé ma promesse. Elle était si malade et personne ne pouvait rien faire pour elle. J’étais venu la voir dès que je le pouvais, parfois même sans que mes parents le sachent. La savoir seule dans cette grande pièce blanche me terrifiait plus qu’elle. Je me suis accroché bêtement trop longtemps à l’illusion qu’elle rentrerait à la maison. Je me demande encore comme elle faisait. Elle savait qu’elle allait mourir dans très peu de temps, mais elle riait avec moi, me souriait comme si de rien n’était, comme si la mort ne planait pas au dessus d’elle attendant de réclamer sa vie bien trop tôt. Elle tenait la main alors que c’est elle qui avait besoin de courage pas moi. On nous avait dit ne plus pouvoir rien faire pour elle, la fin approchait. Nous étions seuls tous les deux et j’avais du mal à retenir les larmes qui voulaient couler sur mon visage quand je réalisais que je ne la reverrais peut-être pas demain, ni après-demain, ni jamais. « Nolan…. Ça ira. Tout va bien aller, tu sais. Faut pas pleurer, faut pas être triste. » « Je ne peux pas, je ne peux pas… » J’ai baissé la tête évité son regard, évité de voir comment j’étais faible pour ne pas pouvoir me retenir devant elle alors qu’elle devait avoir peur plus que tout au monde de ce qui approchait minute après minute. « Nolan… frangin… Tu dois me promettre une chose très importante. » Je levé les yeux pour croisé le faible bleus des siens qui semblaient s’éteindre de plus en plus avant d’hocher la tête en silence prêt à tout pour pouvoir lui faire plaisir en ce moment. « Tu dois me promettre d’être heureux avec maman et papa. Tu es le cavalier blanc ne l’oublie pas. Et comme lui tu dois être fort quand ton frère tombe, tu dois soutenir le roi et la reine quoiqu’il arrive. Nolan, nous sommes les cavaliers blancs et on sera toujours ensemble même quand je serai tombée. » Ces paroles m’avaient laissée sans voix, complètement soufflée alors qu’elle me souriait faiblement. Je me demandais si c’était toutes les choses qu’on lui avait données depuis son arrivée ici qui la faisait parler ainsi, mais d’un autre côté je m’en fichais. J’ai serré sa main plus fort que jamais. « Je te le promets de faire tout mon possible. » « Je sais maintenant pourquoi papa disait que le noir ne t’allait pas. » Ce fut notre dernière conversation, quelques heures plus tard alors que la nuit s’était installée comme un monstre prêt à dévorer toutes personnes osant l’affronter, ma sœur s’éteignit, en silence un sourire sur les lèvres et sa main dans la mienne. La vie n’est pas juste, elle est dure, mais malgré tout, elle vaut la peine d’être vécue simplement pour montrer qu’on est plus fort qu’elle. Après la mort de ma sœur… je ne sais pas comment vraiment décrire ce qui s’est produit. La maison était toujours trop calme, trop silencieuse, trop pleine de souvenirs de sa présence. Je me suis éloigner de tout ce qui me la rappelait parce que toutes ces choses me faisaient profondément mal, me rendait malade. C’est dans cet état d’âme que je suis entré à Poudlard. Je me suis toujours demandé dans quelle maison aurait été ma sœur si elle avait pu avoir la chance de vivre jusque là ou plutôt si on lui avait donné la chance. J’ai appris avec le temps à ne jamais me faire t’attente et quand on me demandait dans quelle maison je voulais aller… je ne savais pas quoi répondre parce quelque part, je m’en fichais royalement t’en que je pouvais rester loin de chez moi et de mes parents qui passaient désormais plus de temps à se disputé que autre chose. J’ai rejoins les rouge et or, les courageux… les lions et dès le moment ou on annonça ma maison, je me suis demandé pourquoi on m’y envoyait. Je n’avais rien d’un Griffondor. Pourtant, je mis fis très vite une place. Je crois que c’est à ce moment là que j’ai commencé à jouer un rôle. J’ai délaissé ma passion pour les échecs durant de nombreuses années bien plus intéressé à faire des mauvais coups avec quelques autres membres de ma maison. C’est ce que je suis devenu, un farceur qui osait allé plus loin que les autres. Je ne compte pas les heures de retenus que j’ai accumulé à la vitesse éclair année après année. J’en étais presque fier, stupidement fier même. C’est aussi à cette époque que je deviens ami avec Lyle Power. Un serpentard avec qui je n’avais vraiment rien en commun et pourtant nous étions amis. Il trouvait toujours les victimes et je trouvais un moyen de leur faire une bonne blague. Quelque part, si je n’avais jamais fréquenté ce type, jamais j’en serais venu à me joindre au groupe de Clyde Andrews. Je n’avais rien de particulier contre l’école, par contre j’en voulais au monde entier pour avoir détruit ma famille quand mon père quitta ma mère pour retourné vivre en Amérique. J’étais terriblement en colère et j’ai malheureusement mal utilisé ma colère. Je ne pouvais pas me mettre dans la tête que mon père m’avait abandonné après toutes ces années, après toutes ces promesses de ne jamais partir. Il ne pouvait plus vivre avec nous. Je me souviens être resté de marbre, froid à cette annonce parce que je savais que c’était une fatalité de la vie. Ma sœur était partie, mon père aussi… il ne restait que ma mère et moi… J’avais mal, mal comme jamais avant. Je me suis enfoncé encore plus en créant un autre moi qui n’avait réellement rien en commun avec celui que j’étais. L’été après la rupture de mes parents, mon retour à Poudlard fut encore plus difficile. Je suis devenu agressif, distant et je me suis laissé entrainé encore plus profondément par Lyle dans ces magouilles. Ma vie se résumait à des mauvais coups, les retenus, les mots découragés de ma mère et les moqueries parfois peu flatteur à mon égard de la part de Lyly même si nous étions amis. Bien entendu, comme n’importe quel gamin de mon âge je suis sorti avec quelques filles, mais aucunes d’elles ne vaut vraiment la peine que j’en parle. Elles ne m’ont pas réellement marqué. Pendant plusieurs années, je n’ai pas vraiment parlé avec mon père et je l’ai encore moins vu. Je me disais que s’il était parti soudainement sans même m’envoyer une petite lettre, il méritait que je l’ignore comme je le faisais. Le jour où ma mère m’annonça avoir trouvé un nouvel homme, je peux vous dire que j’étais prêt à revoir mon propre père. Je ne me suis jamais entendu avec cet homme et ces idées. C’était un sorcier de sang-pur, tout comme ma mère, qui n’aimait vraiment pas les moldus. Pas besoin de vous dire que niveau frictions, on donnait assez des deux côtés des lignes! Durant l’été de mes 15 ans, je décidai de le passer avec mon père. Je ne me souvenais pas avoir été aussi bien depuis longtemps. Il était redevenu avec le temps un homme moins brisé, un père qui écoutait et surtout mon adversaire préféré. C’est comme ça que j’ai rencontré Sarah. Elle était la fille du voisin et la seule autre adolescente dans le quartier. Nous sommes vite devenus amis. « L’été est fini… déjà… je n’ai pas trop envie de retourner chez ma mère. » « Alors, demande à ta mère de vivre avec ton père. » « C’est plus compliqué que ça en faite… Je vais dans une école très privée et je dois finir ma dernière année absolument. » « Alors, nous nous reverrons l’été prochain. Tu reviendras voir ton père, et je serai là. » « Une année, Sarah c’est long… » « Alors, tu m’écriras et j’en ferai autant. Avant qu’on ne le réalise, l’année s’achèvera et l’été sera revenu. » Elle m’étonnait, si consciente du monde et pourtant si sensible. Sarah n’était pas naïve, elle avait vécu son lot de malheur dans sa vie. Elle aussi savait ce que s’était de voir ses parents se disputé et se séparé. Sauf qu’elle avait hérité d’un beau père violent qui avait passé ces nerfs sur elle de nombreuses années avant de pouvoir s’en sortir. Avant que je puisse répondre, elle m’avait embrassée et le monde s’était retourné dans tous les sens. J’avais eu des petites amies avant elle, mais c’était tellement différent, elle était différente. Je savais que lui écrire et vice-versa serait si compliqué. Mon père trouva pourtant le moyen de me faire parvenir ces lettres et de lui donner les miennes. J’avais l’impression de vivre quelque chose qui était étrange, irréelle. Mais le plus fou dans l’histoire c’est qu’elle m’attendit comme promis le jour ou je suis revenu, elle était là. Son sourire plus grand que jamais, c’est yeux sombres brillants de bonheur. Je savais à partir de ce jour que j’étais à elle pour toujours. Mon retour à Poudlard fut plus que dur, Sarah me manquait et je devais faire de mon mieux pour le garder pour moi. Je ne voulais pas qu’on sache que j’étais tombé amoureux de quelqu’un. Je n’avais pas honte d’elle, mais je voulais garder cette partie juste pour moi et moi seul comme cette photo de nous qu’elle m’avait donné avant mon départ. Tout devenait plus compliquer en cours. Le mouvement d’Andrews prenait de l’ampleur, une ampleur démesurée pour beaucoup et je me retrouvais coincé au milieu de tout ça. Je me suis retrouvé mêlé à cette histoire dans un premier temps avant de réaliser que je ne voulais pas vraiment en faire parti. Surtout après ce qui se passa au bal de Noel. Je frissonne encore d’horreur en me souvenant des élèves qui furent tué, de la bagarre à laquelle j’ai pris pars parce que je le devais. Je le regrette… et j’ai compris à quel point je faisais déshonneur au courage de ma maison. J’étais un pauvre type qui avait trop peur de se mettre sur ces pieds et de se levé contre des idées qui n’était pas les miennes. Je crois que ces après ce moment, après que la poussière soit tombé, après la fermeture et ma mère qui pleurait devant en me demandant par Merlin pourquoi je m’en étais mêlé. J’entends encore ces pleures. Je n’étais pas sorti totalement indemne de cette confrontation, mais entre s’être pris un mur et ouvert le crâne ou alors la mort… je préférais largement le mur… Cette année forte en mouvement, fut ma dernière à Poudlard et personnellement j’étais heureux de pouvoir partir même si je savais que je ne pouvais pas vraiment échapper à certaine personne. J’ai quitté Londres durant quelques mois afin de rejoindre Sarah qui m’avait attendu patiemment de l’autre côté de l’océan. Je savais pourtant que je ne pouvais pas rester avec elle en Amérique pour toujours. On attendait plus de moi… Mon beau-père m’avait trouvé un maître pour m’apprendre tout ce qu’il savait sur les potions. Il disait sans arrêt que c’était mon seul don alors autant le mettre à profit! Je savais que je ne pouvais pas lui échapper comme au groupe d’Andrews envers lequel je m’étais engagé. Je ne pouvais pas partir sans elle, alors je lui ai dis qui j’étais réellement… De toute ma vie, je n’ai jamais rencontré une personne aussi incroyable. Sarah m’a cru, après une petite démonstration, mais elle m’a cru sans hésitation, sans doute. Quelque part, je crois que je savais qu’elle était celle qui était fais pour moi. Amoureux l’un de l’autre, elle traversa la mer pour venir vivre avec moi à Londres profitant de pouvoir étudier la littérature de ce pays dont elle était folle. Petit à petit, je me suis fais plus discret au près de mes anciens amis qui ne voyait pas toujours ma petite amie comme une bonne chose. Pendant les années qui on suivit, j’ai vu beaucoup de choses dégénérés dans le monde magique, mais je savais que je ne pouvais pas partir, qu’on me retrouverait et j’avais trop peur du mal qu’on pourrait faire à ma famille. Pourtant, deux évènements me menèrent ou je suis aujourd’hui. Je fini par tué quelqu’un, une personne innocente et elle ne fut pas la dernière. Beaucoup ressent un sentiment de puissance quand ils enlèvent la vie d’une personne, et bien moi, se fut du dégoût pour moi-même, de ce que ma femme, parce que Sarah et moi étions marié, ainsi que de ma fille qui viendrait au monde allaient bien pouvoir pensé de moi. Les morts s’accumulaient et je ne pouvais plus le supporté… Quand se fut ma propre femme qui fut tué par ceux même avec qui je me battais… J’ai compris, j’ai compris que je ne voulais pas vivre dans ce monde, que ma fille y vive non plus. L’ironie du sort, c’est que je serais mort ce jour là si je n’avais pas été sauvé par un membre de la résistance alors que je tentais de rejoindre le corps de ma femme. Bien entendu, j’ai déclaré le contraire en disant qu’elle avait été tuée par un membre de la résistance. Je ne pouvais pas dire autre chose. J’étais un des leurs. Après sa mort, j’en voulais au monde entier, encore plus qu’avant, mais différemment. Je voulais qu’ils payent pour m’avoir privé de celle que j’aimais, mais aussi de la mère incroyable qu’elle était pour Evelyn. Pendant des jours, j’ai tenu mon enfant contre mon cœur chérissant ces yeux bruns clairs qui me rappelait tellement sa mère. Je savais que rien ne serait facile. Je l’ai confié à mon père dans l’espoir de la revoir un jour sans vraiment y croire. Puis je suis revenu avec pour but de pouvoir enfin prouver que je n’étais pas un lâche. Me faire engagé par Meyer au sein du personnel de Poudlard ne fut pas trop difficile. J’avais eu la chance d’avoir eu l’un des meilleurs maîtres de potions de l’époque actuel. Je ne sais pas ce qui m’attend, mais je suis près à lutter avec tourner ma cape quand le moment sera venu pour moi. |
Dernière édition par Nolan Blake le Mer 4 Avr - 23:50, édité 20 fois
Nolan Blake- I'm tired of pretending,
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
+2 au cas ou ^^
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
TOII
Je suis tellement contente de te traîner partout comme ça *-*
Bienvenue sur T3, trésoooor!!
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Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
A aouis tu me traines littéralement partout XD
Content de te rendre heureuse par ma simple présence *je suis trop avoue!*
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Nolan Blake- I'm tired of pretending,
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Ohh fait gaffe à la grosse tête, ma chère! Tu n'as aucune idée dans quel enfer tu viens de te fourrer
Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Avec toi c'est toujours le pire avant le meilleur XD
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Je te tuerais bien, mais Garden me tuerait pour avoir salie le forum tous neufs, donc je vais me contenter de te bouder pour avoir dit une tel stupidité
Aller, suffit les conneries! hop hop hop, plus de flood!
Aller, suffit les conneries! hop hop hop, plus de flood!
Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Mais avec toi le pire est meilleur qu'avec les autres donc sa se compense ^^
Tu salis mon topic vilaine fille!! Viens que Nolan te donne la fessée!
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Nolan Blake- I'm tired of pretending,
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Bienvenue!! Les amis de Quiny sont mes amis! Donc je me réserve le droit de te donner la fessée si tu continues à flooder comme ça! Muahaha
Adam Meyer- Good boy get bad
Garden, cruel love. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1488
♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Tsss t'es pas crédible Meyer ! *sbaf*
Bienvenue !!!
Bienvenue !!!
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
Sorry boys... » - ♦ HIBOUX POSTÉS : 526
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Un problème nez cassé?
Adam Meyer- Good boy get bad
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♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
*Maiiiis euh Cri ! C'pas juste Ian il est grave plus sexy que Ed.... >< Dédé boude !*
C'est toi qui va avoir le nez cassé !!
C'est toi qui va avoir le nez cassé !!
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
Sorry boys... » - ♦ HIBOUX POSTÉS : 526
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Hey lui faites pas peur hein!
Avec un nez pareil, le pauvre petit Nolan va fuir très loin, nah mais Paris! Cache-moi ça!
Avec un nez pareil, le pauvre petit Nolan va fuir très loin, nah mais Paris! Cache-moi ça!
Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
But the sun also shines on the wicked - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1774
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
C'est pas le même style; Ed est grave sex aussi, t'inquiète ma Dédé! Je te sauterais bien dessus en rp, mais il y a incompatibilité familiale! xD
Hou Quiny sort les griffes!
Hou Quiny sort les griffes!
Adam Meyer- Good boy get bad
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♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Nah Ed est pas sex, ce n'est qu'un nez ambulant! * je t'aime Dédé!*
Ouais fait gaffe Adam, je mords aussi!
Ouais fait gaffe Adam, je mords aussi!
Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
But the sun also shines on the wicked - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1774
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Évite les promesses que tu ne peux pas tenir, ma Quiny
Adam Meyer- Good boy get bad
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♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Ça va trop loin Cri ! xD
Et Montgomery va finir par montrer les crocs si vous continuez de l'embêter avec son nez !!!!
Et Montgomery va finir par montrer les crocs si vous continuez de l'embêter avec son nez !!!!
Paris Montgomery- « I'm NOT GAY !
Sorry boys... » - ♦ HIBOUX POSTÉS : 526
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
La preuve que Ed est Sexy, Garden est avec (a) *coule un regard vers Cri qui a un gif trop sex de la mord*
Bienvenue Nolan !
On peut être amis ? Dis, dis ? xD Quoi j'aime bien foutre ma merde xD Ca peut faire chier Quinny <3
Bienvenue Nolan !
On peut être amis ? Dis, dis ? xD Quoi j'aime bien foutre ma merde xD Ca peut faire chier Quinny <3
Garden Fear- Fantasme pour les garçons,
cauchemar pour les filles. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 641
♦ ARRIVÉE : 08/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Et après on dit que je flood XD Ayez au moins l'obligeance de me laisser participer si vous polluez ma présentation XD
Garden, biensur qu'on sera amis! Nolan aura besoin de ton aide de toute façon alors pas le choix ^^
Merci en passant pour les bienvenues! Et... je viens de réalisé que j'étais déjà passé plusieurs fois sur le forum sans m'inscrire quand je me cherchais un forum HP ... bizarre non *out* XD
Garden, biensur qu'on sera amis! Nolan aura besoin de ton aide de toute façon alors pas le choix ^^
Merci en passant pour les bienvenues! Et... je viens de réalisé que j'étais déjà passé plusieurs fois sur le forum sans m'inscrire quand je me cherchais un forum HP ... bizarre non *out* XD
Nolan Blake- I'm tired of pretending,
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Tu mérites le fouet!
Adam Meyer- Good boy get bad
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Si tu savais tu me donnerais sans doute beaucoup plus!!!
Nolan Blake- I'm tired of pretending,
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Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Ah mais je veux savoir alors!!
Adam Meyer- Good boy get bad
Garden, cruel love. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1488
♦ ARRIVÉE : 16/10/2009
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Vas-y Adam, Massacre-le comme il le faut que je puisse profité de lui en paix ensuite *out*
Garden....tu touche, tu meurs (a)
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Quinn Harper- ✗ I Feel Wicked;
But the sun also shines on the wicked - ♦ HIBOUX POSTÉS : 1774
♦ ARRIVÉE : 17/02/2010
♦ HUMEUR : Impassible
Re: NOLAN ► Nobody is perfect TERMINER
Mon cher Adam... tu ne sauras pas ... enfin pas tout de suite voyons! Faut avoir un peu le sens du spectacle!!!
Quinny, je suis déjà tout à toi alors pas besoin de me faire massacré ^^
Quinny, je suis déjà tout à toi alors pas besoin de me faire massacré ^^
Nolan Blake- I'm tired of pretending,
but I'm terrified of it ending. - ♦ HIBOUX POSTÉS : 59
♦ ARRIVÉE : 24/03/2012
♦ ANNÉE : J'ai l'air d'un étudiant?
♦ HUMEUR : Maussade
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