TEEL- Diabolical lion [Terminer]

Qui êtes-vous ?

NOM - TEEL
PRENOMS - ADEN
DATE DE NAISSANCE – 1 janvier 1983
AGE – 19 ans
ANNEE – 6ième
ORIGINES – Sang pur

Présentation libre


Le remord. Un mot sans plus. Beaucoup ont essayé de m’apprendre à le ressentir, m’ont expliqués à plusieurs reprises ce que c’était. Pour moi, c’est et ce sera toujours un mythe, tout au plus. Du remord, je n’en éprouve guère, et pourtant je suis un salaud de la pire espèce. J’aurais tant de choses à regretter, j’ai fait tant de mal autour de moi, mais la vérité, la seule, est que je ne ressentirai jamais de regret, et même si de bon sentiment m’habite parfois, je resterai toujours froid à la misère des autres. Inhumain? Sans doute une part de mon être ne l’est pas, ne serais-ce que pour le plaisir que j’éprouve à blesser, à contrôler et à manipuler.

Jaloux des autres? Jamais de la vie. Pourquoi voudrais-je d’un état d’âme qui m’empêcherait de dormir la nuit, qui me ferait y penser encore et encore , regrettant tous mes gestes passés. J’ai des limites, mais je ne les atteints pas, et pour tout dire, elles sont si loin que je ne sais si je les atteindrai un jour.

Oui, j’ai causé le mal. Et je dors si bien la nuit, je ne ressens qu’un sentiment d’accomplissement où le plus faible flancherait rapidement. Je dors du sommeil du juste, alors qu’en moi tout est noir. Juste son regard de dégout qu’elle posa sur moi alors que j’accomplissais ma sale besogne. Excitant, tellement. Gratifiant, je sentais cet aura de supériorité s’infiltré en moi alors qu’elle me cédait ce qu’elle avait de plus chère. Et vous savez quoi? J’ai adoré ça, et je recommencerais encore et encore si ce tordu de Clyde n’était pas toujours autant auprès d’elle. Du désir, alors qu’elle me rejetait du regard, alors que je la caressais entièrement, la possédant sans retenue. Les cris étouffés, la sueur de nos corps qui s’emmêlait, et le plaisir qu’elle refoulait. J’en voudrais encore. Tellement.

C’est dégueulasse, je le sais. Peut-être n’aurais je pas du l’obliger, mais je ne regrette rien. Après tout, les filles comme Quinn ne sont pas approchable. Des tigresses. Mais je l’ai dompté et comme j’aimerais la reprendre à nouveau. Un regard d’envie alors qu’elle me regarde dans les cours, le regard pervers et subjectif. Chaque fois qu’elle pose les yeux sur moi, je veux qu’elle se souvienne de cette nuit où la tigresse trouva plus fort qu’elle. J’adore voir dans ses yeux ce sentiment de honte furieuse. J’adore la voir me maudire intérieurement et détourné les yeux rageusement. J’avais obtenu ce que je voulais d’elle. J’obtiens toujours ce que je veux.

Il faut dire que la vie m’a toujours sourit, tel un karma inversé. Comme pour prouver à tous que la justice n’est qu’une illusion pour donner espoir au faible. Mais vous savez, la seule vérité est qu’il faut se servir dans ce que la vie t’offre de meilleur. Et voilà, ma vie, mon paradis alors que les autres souffre inutilement. La vie m’a doté d’un esprit fort, d’une moralité discutable, et d’un physique avantageux. Si plus jeune je pouvais intimider les moldus avec mes poings, à l’école seule ma présence y parvient. Bien sur… quand on n’admire pas mon talent pour le Quidditch, ma belle gueule où mon sens de la réparti.

Parce qu’il faut bien le reconnaître, j’ai su profiter de l’innocence de ces filles, m’y plongeant allègrement alors qu’elle m’idolâtrait sans gêne. Les laisser croire que je les aimais aussi, les complimenté sur leur apparence, sur leur personnalité si incroyable. Des foutaises, mais elle avalait sans comprendre ce qu’il les attendait. Si j’ai épargnée quelques unes d’entre elle parce qu’elle était des amis, les autres je les jetais comme des guenilles après avoir obtenus ce que je voulais d’elle. Cet absence de remord, toujours, qui m’apporte le meilleur de ma vie. La justice, vous ai-je dit à quel point tout n’es qu’illusion?

Et si les filles prennent tous ces mensonges sans rechercher à y déceler la moindre vérité, c’est qu’elle mérite le sort que je leur réserve, et dans mon for intérieur, je sais bien que c’est ce qu’elle cherchait vraiment. Ni les larmes, et ni les cris ne me convaincra du contraire : Les femmes aiment être blesser, aime se sentir piétiner dans leur sentiment. Combien sont revenus se rejeter dans mes bras pour se faire encore une fois jeter comme des moins que rien? Plusieurs, je l’assure.

Je m’interroge parfois sur la façon dont je gère ma vie, et tout ce qui me semble normal semble pour les autres si graves que je doutes parfois de moi. Cet mort, que j’aurais du porter sur ma conscience, pourquoi je n’arrive pas à ressentir quoi que ce soit. Je l’ai vu s’effondrer. J’ai vu ce gars. Sans que rien ne me passe dans la tête autre que ces simples pensées : elle était maintenant mienne. N’aurais-je pas du avoir une dose de sympathie pour celui que j’avais honteusement utilisé? Et pourtant, je n’arrive pas à ressentir quoi que ce soit.

Et je l’ai baisé, à côté de ce cadavre sans vie sans la moindre gêne. Pas une fois cette nuit là je n’ai resongé à son regard vide posé sur nous, témoins muet de l’assaut que j’avais fait sur elle. Ne me souciant guère que lui n’aurait jamais la chance de connaître la douce chaleur d’une femme. Qu’il était mort vierge, sans avoir jamais fait de mal à personne. Mais de toute façon, il était mort si facilement. C’était si pathétique que je n’arrivais pas à avoir pitié pour lui. Un être inférieur qui avait pratiquement mérité, après mur réflexion, une mort rapide. Pourquoi s’en faisait-elle pour ce déchet du monde sorcier?

Enfin, tout ceci est tellement loin derrière moi. J’aurais aimé dire que sa mort m’a affecté d’une manière ou d’une autre. Peut-être aurais-je pu vouloir d’autre sang sur mes mains, mais je n’avais point ce désir. De l’indifférence tout au plus face à la mort. Face au corps qui s’était donné pour moi. Je continuais ma vie, comme si ce n’avais été un soir comme les autres, sans que rien de spécial n’était arrivé. Et le plus terrible, était que je ressentais cette banalité lorsque j’y repensais bien.

Cette vie qui se continuait sans que pudeur ou moral ne l’interrompe d’aucune manière. Fidèle à mes amis, pour qui j’aurais tout fait, et qui en retour me respectait et m’adorait, ouvrant ma gueule pour ne dire que ce qui me passait par la tête, sans peur de blesser… j’étais celui qui marchait sans se soucier de ceux qui s’écrasait sous mes chaussures. Non, aucun obstacle assez fort pour me retenir, et sans cette voix qui me soufflent que cette fois , j’ai dépassé cette limite. Je vous l’ai dit, elle existe, mais jamais je n’atteindrai celle-ci. Où alors, je serai devenu un monstre, incontrôlable qu’il faudra détruire à tout prix.

Et puis, si mon père savait la moitié de ce que je faisais, j'étais bon pour ramasser le coup du siècle. Mon père se croit supérieur parce qu'il pense être un homme bon. Celui qui veut tout faire pour sa famille et qui a essayer d'inculquer à son fils comment devenir un homme. « Tes amis sont ce que tu auras de plus cher mon fils» , «Dans la vie, tout ce mérite, et tu auras ce que tu désires si tu travailles réellement fort mon fils». Vieillard sénile. Il ne voit pas que dans la vie, on obtient ce que l'on prend? Jamais je n'aurais pu prendre Harper, même avec toutes les efforts du monde. La forcer était la seule options. Idiot, jamais lui n'aurais pu l'avoir avec ses bonnes intentions. Et dire qu'il était si heureux que je sois Griffondor comme lui. Il pensait que cela allait me mettre sur le bon chemin, après toute mes conneries d'adolescent. Peut-être que s'il ne s'était pas autant évertué à prendre soin des autres, comme ma pauvre mère faible et boulet, peut-être aurait-il pu remarquer ce que je devenais.

Pour l’instant, je ne veux que m’amuser. Continuer d’exploité naïveté et manipuler. Fidèle en amitié, certes, et courageux, je ne suis pas rouge pour rien. Le courage de dire ce que je pense dans toute situation. Le courage de défendre ceux qui me sont chers, avec tous les moyens que je possède. Et plus encore.


Eléments de sorcellerie

BAGUETTE – Bois de rose, 29 cm. Ventricule de dragon
PATRONUS – Grizzly
BIEN ou MAL ? Mal
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Vu la relation qu’il a établi avec Quinn, entrer dans la gang de Clyde est tout simplement inimaginable. Il croit trouver dans les forces qui s’opposent au tyran un moyen d’assouvir ses penchants noirs dans une voix qu’à emprunter la plupart de ses amis, tout en sachant qu’il serait au côté de l’ancien serdaigle si ce dernier ne le détestait pas autant. Il mit deux sorcières enceintes, les abandonnant avant les naissances, ne se souciant guère de ces bâtard illégitimes. C’est Quinn, maintenant directrice de Poudlard qui finit par le tuer lors d’un duel épique, réalisant une vengeance qui datait de si longtemps. Une grande victoire pour cette femme face a un homme qui resta toujours cet être amoral et vil.

Hors-Jeu

PSEUDO - Andy
AGE -20
AVATAR - Kellan Lutz
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? - Quinny
PRESENCE - 7/7, réponse au 4 jours (environs)
COMMENTAIRES ? Rien du tout à rajouter.