L'homme est voué à la folie [100%]

par Invité Lun 26 Oct - 21:54

Sciuscià Giovanni Orglioni
18 ans Sang Pur

L'homme est voué à la folie [100%] Sbir83

NOM - Orglioni, l'orgueil à lui tout seul, rien que par son nom. Cette famille de sang pur, porte bien son nom, puisque l'orgueil semble être la vertu principale de toute la famille, et le jeune homme n'échappe pas à la règle.
PRENOMS - Sciuscià Giovanni

DATE DE NAISSANCE - 18 juin 1984, il est né à Milan, en Italie.
AGE - 18 ans
ANNEE - 5ème Année

ORIGINES - Sang pur. A moitié anglais, il fait parti de la famille Wilson de part sa mère, et la famille Orglioni est l'une des dernières familles Italienne de sang pur. Autant dire que son sang est d'une perfection absolue.

par Invité Lun 26 Oct - 21:54

« Je m’ennuie, je m’ennuie tellement que je viens de prendre la plume pour écrire. Je ne sais pas vraiment quoi écrire, mais en tout cas je suis parti. Je me disais que je pourrais raconter ma vie, mais si ce parchemin tombait entre de mauvaises mains, je ne suis pas certain d’en sortir indemne. Mais en même temps, je n’ai rien d’autre à écrire. Oh, j’ai une idée, je vais faire de ma vie un jeu, et après, je brûlerais tout dans le feu qui brûle en face de moi. L’insomnie a au moins du bon, elle permet d’avoir le meilleur siège de la salle commune, celui qui sied juste devant la magnifique cheminée, et le feu ronflant. Bien, alors mon jeu… Une lettre, un mot, une histoire…

A, comme arrogance,

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Toute l’histoire de ma vie dépend de ce trait de caractère. Je suis un sang pur, je suis un Orglioni, ainsi qu’un Wilson. Mon sang est de la plus pure engeance, je le sais, et j’en joue. Je suis tout, vous n’êtes absolument rien. Je méprise ceux qui ne sont pas de mon rang, et je n’hésite d’ailleurs pas à user de ma langue de vipère pour les rabaisser là où ils doivent être, c'est-à-dire plus bas que terre…

B, comme bestialité,

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Je suis sensé être un jeune homme plein de charme, parfait en toutes circonstances, bien élevé, et surtout apte à me comporter de la meilleure des façons. Mais je ne peux pas, ce sang qui circule dans mes veines, cette tare qui s’est emparée de moi depuis mon plus jeune âge. Je suis un lycan, je suis une bête, et je ne peux me contrôler dans ces cas là. Je suis la perfection incarnée de par mon rang, et de par mon sang, et pourtant, je suis une tare et une honte à moi tout seul…

C, comme charme,

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Un sourire, une belle parole, et toute mon arrogance, tout mon dédain, semble disparaître, pour laisser place à un charme certain. Je ne suis pas d’une beauté à faire tomber les filles d’un simple soupir, mais il suffit d’un sourire pour que toutes les barrières tombent, et que les demoiselles se pâment. Mon accent italien, mon mélange des langues, ma façon de me comporter, ainsi que mon sourire m’ouvre un grand nombre de porte, que je peux choisir de refermer aussi sec.

D, comme dettes,

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Mon père, est un joueur invétéré, il l’a toujours été, et il semblerait qu’il le soit toujours. Cette habitude ne l’a pas quitté, et à vrai dire, c’est sa plus grande erreur. Cette manie a failli coûter son magnifique mariage, lorsque sa femme, ma mère, a décidé que c’était le jeu ou elle. Mais tout s’est finalement arrangé, mon père ayant promis de ne plus rejouer. Il fait ça en secret, depuis maintenant 17 ans, et cela lui coûte maintenant sa liberté. Ses dettes toujours plus énormes lui ont amenés une malédiction. Mécontent, ses créanciers ont décidés de le punir, en le faisant mordre par un loup garou. Il a détruit sa vie, et la mienne par-dessus le marché.

E, comme erratique,

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Je papillonne, me délectant de changer de passions constamment, tout comme de filles, ou d’addictions. Il y a peu, j’étais complètement fan des Blackbirds, maintenant je peux plus encadrer leur musique. Il y a peu, j’étais souvent défoncé en soirée, manipulant la cocaïne comme certains boivent du lait. Il y a peu aussi, je sortais avec une magnifique fille, que j’aimais beaucoup. Mais un jour, j’en ait eut marre, de tout ça, de toutes ces choses. Je déteste donc la musique des Blackbirds, je me suis sevré de la cocaïne extrêmement rapidement, et j’ai rompu avec la magnifique demoiselle. Aucuns remords, juste de nouvelles envies. Maintenant, ma cam ce sont les cigarettes, ma fille, ces sont celles que je rencontre en soirée. Et la musique ? Bah, ça ne m’intéresse plus…

F, comme fabulateur,

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Je ne le sais pas, mais je mens… Je mens depuis ma plus jeune enfance. Je suis persuadé d’être un loup garou, c’est mon plus grand secret, ma plus grande honte. Et pourtant, ce n’est pas le cas du tout. Je ne suis pas plus un loup garou, qu’une saloperie de gnome, ou même qu’un hypogryffe. Non, je suis un simple humain, avec un don magnifique pour le mensonge, et surtout, pour la mise en scène. Je suis persuadé d’être un loup garou, de me transformer lors des pleines lunes. Je me mords donc, je me griffe, je m’empêche d’assouvir mes pulsions sanguinaires. Bref, je vis dans mon monde, une fois par mois…

G, comme grivois,

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Il y a deux définitions pour ce terme, et les deux me conviennent parfaitement. Premièrement, lorsqu’on rapproche le terme de leste. Mes mouvements sont dignes de mon rang, c'est-à-dire gracieux, fluides, agréables à voir et d’une légèreté sans pareil. Je suis capable de donner une dimension aérienne à mes faits et gestes, et il paraît que mes compagnes s’en délectent. C’est là que j’en viens au second terme possible, licencieux. Certains disent que je n’ai pas de limites, en tout cas pour ce qui concerne ma capacité à choquer. Je suis incapable de faire preuve de la moindre pudeur, et mes parents me l’ont souvent reproché. Je mens cependant lorsque j’annonce n’avoir aucune limite, puisque malgré mon amour pour les scandales, il me semble inconcevable de pouvoir avoir une relation avec un homme. Ca serait complètement déplacé, et carrément inimaginable…

H, comme hallucinogène,

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Je m’en souviens comme si c’était hier, de cette consommation illégale de champignon hallucinogène. Cette sensation de vide, et de gaité, jamais il ne l’avait ressenti avec les drogues. Aucune ne l’avait touché comme les champignons avaient pu le faire. Ca avait été une expérience comme les autres, avec aucune autre vocation que l’amusement. Et pourtant, ça été l’un des meilleurs moments de ma vie. D’autant plus que je m’en souviens parfaitement, ce qui n’est pas forcément le cas de toutes mes soirées, ou même journées.

I, comme indignation,

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Avoir un lycan dans la famille, quelle honte. Mais lorsque sa femme décide tout de même de rester avec lui. Par amour… Aucun des deux côtés n’a réellement apprécié le coup qui a été fait. Ni les Orglioni, qui étaient prêt à renier l’homme, malgré qu’il fût l’un des derniers descendants mâles de la famille. Ni les Wilson, qui pensaient faire un mariage d’arrangement, mais qui était pourtant devenu amour. Wilhem Wilson ne pouvait pas comprendre sa sœur, mais respectait tout de même son choix, et son neveu, à défaut de continuer à respecter son mari. C’est lui d’ailleurs, qui fût à l’initiative de la rencontre entre mon cousin Samaël et moi. La plus belle des choses qui me soit arrivée, je dois l’avouer. Enfin, c’est terminé maintenant…

J, comme jeux,

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La vie n’est qu’un jeu perpétuel, un jeu où les conséquences ne sont que pour ceux qui ne connaissent pas les règles, ou qui n’ont pas mon nom. Je peux tout faire, rien n’aura d’importance, ce n’est qu’un jeu après tout. Ceux qui disent que la vie est sérieuse, ont tort. Si tel était le cas, je ne pourrais pas faire tout ce que je fais. Par exemple, détruire la vie d’une belle et prude demoiselle, simplement parce qu’elle a refusé de coucher avec moi. Me faire une fille qui n’est pas de mon sang ou de mon rang, au risque de semer un bâtard ? Peu importe, de toute façon, c’est facilement étouffé. Mais mon jeu préféré reste celui du : cap ou pas ? Je me lance des défis à moi-même, et je dois avouer que rien ne peux me résister.

K, comme Kilimandjaro,

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Vous allez certainement trouver ça très étrange, mais cette montagne signifie beaucoup pour moi. Il y a deux étés, j’étais en vacances dans cette région, et j’ai découvert là un sport moldu que j’ai immédiatement apprécié. Un coup de foudre comme on n’en fait plus. L’escalade… Grimper, être seul face à la montagne et ses dangers. J’aime vraiment cette sensation de vide, et cet effort constant qu’il faut maintenant pour ne pas tomber. J’ai découvert l’escalade dans cette montagne, et j’aimerais vraiment y retourner. Là, je m’entraîne un peu dans les falaises non loin de Poudlard, mais les vraies montagnes me manquent, je dois l’avouer.

L, comme lecture,

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Avec tout ce que vous avez déjà lu, j’imagine que vous vous êtes fait une image toute faite de moi. Je suis le Serpentard de base, avec tout le caractère qui va avec. Et pourtant, je suis à Serdaigle. Oui, vous avez bien lu, à Serdaigle. Cela peut s’expliquer facilement. Je suis obsédé par la réussite, et par l’envie d’apprendre plus et toujours plus. Il n’est pas rare de me trouver plonger dans un bouquin, quel qu’en soit le sujet, ou même dans mes devoirs. Ce n’est certes pas la meilleure des façons d’apprendre, mais décevoir, ne serait ce qu’en obtenant un Effort Exceptionnel me semble au dessus de mes forces. J’aime lire, et j’aime apprendre, et je dois avouer que je suis plutôt doué la dedans. J’ai des notes exceptionnelles, mais la raison est simple, je me donne simplement les moyens pour. Je ne veux pas décevoir ma mère, mon oncle, et même mon père. Alors, à défaut d’avoir été réparti à Serpentard, je ramène des Optimal à longueur de temps.

M, comme maman,

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Je sais que je devrais l’appeler Mère, mais je n’ai jamais pu m’y résoudre. Si je ne ressens que de l’indifférence pour mon géniteur, c’est de l’amour pur que je donne à ma mère. Elle a toujours été là pour moi, malgré son rang, et les problèmes de mon père. Depuis toujours, elle a été ma source de réconfort et de bonheur. Je dois avouer que je ne l’ai jamais remerciée à sa juste valeur. Je suis d’une froideur de rigueur avec elle, en permanence. Et pourtant, dès qu’elle souffre, je souffre aussi, et dès qu’elle est triste, je ne peux m’empêcher de l’être. Une sorte d’empathie me relie à elle, et c’est pour ça qu’il m’arrive parfois d’être triste, sans raisons apparentes, mais moi je sais ce qui ne va pas, même si je ne peux rien y faire. Ma mère souffre, et a toujours souffert à cause de mon père. Entre ses infidélités, et ses coups, elle prend et souffre en silence. J’ai appris à faire pareil, même si un étrange sentiment m’envahi depuis peu.

par Invité Lun 26 Oct - 21:54

N, comme naissance,

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Je vous vois venir, vous pensez que je vais vous parler de ma naissance, mon miracle ? Et bien non, ce n’est pas du tout le sujet. J’ai 18 ans, je suis un débauché, je suis père… J’ai fait un bâtard à une fille, dans un bar sorcier, il y a deux étés de cela. J’avais 17 ans à l’époque, et certainement trop bourré pour me souvenir de mes conquêtes. Mais des tests ont été faits, et c’était clair, j’étais le père de cet enfant. Bien sûr, mes parents ont immédiatement soudoyés la famille de la fille en question, et elle-même. D’ailleurs, elle est à Poudlard, enfin ça, je ne le savais pas, je ne me souviens même pas avoir couché avec elle, et j’ignore totalement que j’ai un enfant. Mes parents me l’ont caché, et lorsque je l’apprendrais, je risque de franchement mal réagir.

O, comme opacité,

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Des secrets, toujours des secrets. Vous en connaissez un, celui de la naissance de mon fils. Mais ce n’est pas le seul qui vit dans ma famille. Comme par exemple la lycanthropie de mon père, mais comme c’est un sorcier éminent, personne ne doit être au courant. Ou encore, les penchants de ma mère pour la boisson. Bref, les secrets enserrent la famille Orglioni, depuis des années, et cela durera encore longtemps j’imagine. Nous sommes loin d’un modèle de vertu, et c’est bien connu, les riches, les sang pur, ont toujours des secrets.

P, comme professeur,

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J’aime pas franchement mes professeurs, sauf un. Je détestais pourtant la matière avant d’y arriver, la Défense contre les forces du mal. J’avais toujours trouvé ça inutile, jusqu’à ce que je le rencontre. Passionné et intéressant, il m’a de suite donné l’envie d’aller à ses cours, et surtout, il a réussi à me donner une passion pour sa matière. J’y vais avec une envie non-dissimulée, et j’apprécie mes propres recherches personnelles.

Q, comme queue-de-pie,

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Je suis d’une élégance naturelle, qui est rehaussé par mon charme naturel d’Italien. Je possède une garde-robe assez garnie, et magnifique. Des costumes en queue-de-pie, des costumes trois pièces, et d’autres costumes encore. N’importe quel vêtement semble porté parfaitement par le jeune homme, et à vrai dire, il se donne du mal pour que son corps puisse porter de tout avec une élégance parfaite.

R, comme risques,

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Les limites, je n’en connais pas beaucoup, les principales étant celle du rang, du corps, et de la mort. Les risques, j’en prends en permanence, et surtout lorsqu’ils ne sont pas calculés. C’est ce que je préfère. Je crois que c’est pour cette raison que j’aime autant l’escalade, et que j’aime défier mon père, ou défendre ma mère. C’est aussi pour cette raison que je teste un peu tout, si l’on exclut bien sûr les garçons. Je ne suis pas homophobe, seulement, depuis que j’ai découvert mon père dans les bras d’un homme, j’ai été si profondément choqué que je me suis immédiatement dit : Pas pour moi !

S, comme souffrance,

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J’ai mon lot de souffrance, comme tout le monde j’imagine. Outre la mort de ma meilleure amie, il faut rajouter les coups de mon père contre ma mère, et mon empathie envers elle. Ou même encore, la souffrance des mots. Mon cousin, Ettan, je l’aimais tellement, non plutôt, je l’aime tellement. Je le considérais comme mon petit frère, celui que je n’ai jamais eut, et que je n’aurais probablement jamais. Mais les mots qu’il m’a dit. Il m’a traité de monstre. Dans le fond, il a raison, mais très sincèrement, venant de lui, ça m’a choqué, tout autant que ça m’a blessé. J’ai souffert, tellement souffert, de découvrir que mon cousin était si superficiel, qu’il ne me considérait plus que comme un monstre, et non plus comme son cousin. Ses mots ont ouverts une brèche en moi, et maintenant, je crois que je serais bien incapable d’entendre le mot monstre sans avoir de réactions violentes. Je ne suis pas un monstre, enfin, j’essaye de ne pas l’être. Je suis certes un lycan, et pourtant, je ne suis pas un monstre. Je n’ai jamais tué personne…

T, comme tombe,

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Je ne la quitte pas, elle m’obnubile depuis des années. Dans mes rêves elle me suit, et dès que je reviens en Italie, je ne peux pas m’empêcher de passer quasiment tout mon temps dessus. Je l’aimais tellement, mais je n’ai pas du la sauver. Ne vous méprenez pas, il ne s’agissait ni d’une sœur, ni d’une fiancé… C’était simplement une amie, ma meilleure amie. Je savais qu’elle risquait quelque chose en jouant au Quidditch avec un vieux balai, mais je n’ai rien dit. Après tout, ce n’est pas de ma faute, moi je n’ai rien fait. Ce n’est pas à cause d’une pseudo-culpabilité que je passe mon temps sur sa tombe, mais seulement parce qu’elle me manque, parce que je ne peux pas m’empêcher de penser à elle, n’importe quand. Elle avait cette faculté, celle de me calmer en toute circonstance. Je ne suis pas foncièrement violent, ni même rageur, et pourtant, elle m’aidait, souvent. Je l’aimais, et elle est parie, point barre. Certes, elle me manque, mais cela ne doit pas m’empêcher de vivre.

U, comme union,

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On pourrait croire que je suis contre les mariages, voyant comment celui de mes parents à tourner. Un amour à sens unique. Et pourtant non, je ne peux m’empêcher de croire au grand amour. Bon, pour l’instant, je ne suis pas vraiment des plus fidèles, et je suis même complètement inconstant, mais je sais que quand je la rencontrerais, je le saurais, et je deviendrais fidèle. Je la reconnaîtrais, et je tomberais amoureux. Mais ce jour là n’est pas encore arrivé, et pour le moment j’en profite.

V, comme vengeance,

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J’ai eut une vie facile, personne n’en disconviendra. Le sang parfait, les parents parfaits, l’argent, les serviteurs, les elfes… Bref, j’ai toujours eut tout cuit, mais il y a une chose que je n’ai jamais eut, c’est le bonheur. Surtout lorsque je vois ma mère se courber sous les coups de mon père, et sous ses insultes. Lorsque je vois ses bleus le lendemain, et ses yeux rougis par les larmes. Je sais que je n’y peux rien, mais un jour je pourrais, et ce jour là, ma vengeance sera parfaite. Avec un esprit tel que le mien, j’aurais un plan parfait, et mon père mourra, ou tout du moins, souffrira tellement qu’il regrettera d’avoir un jour frappé ma mère…

W, comme western,

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La vie au far west m’aurait tellement plu. Oui je sais, je suis un sorcier de sang pur, mais il n’en ait pas moins que ma curiosité m’a fait découvrir les western, et Clint Eastwood. J’en suis devenu fan, même si ça reste mon pêché mignon.

X, comme xérès,

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Je sais que je suis un Italien, pourtant, j’ai un faible pour ce vin blanc espagnole, que mon père garde en grande quantité dans sa cave.

Y, comme yoga,

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Un esprit sain, dans un corps qui l’est bien moins. Mais pour limiter les dégâts, j’essaye de tout bien remettre en place, avec le yoga, un sport intéressant, bien qu’un peu ennuyeux parfois.

Z, comme zizanie,

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Je suis un fauteur de trouble, c’est évident. Toujours dans la pénombre, je fais mes coups en douce, et ça fait souvent mouche. Je ne fais pas de blagues, je suis beaucoup plus cruel. En tout cas, j’aime les dégâts, plus encore lors qu’en suis l’investigateur.

par Invité Lun 26 Oct - 21:55

Eléments de sorcellerie

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BAGUETTE – La baguette est une composition unique, qui a coûté une fortune, et faite sur mesure. Elle est composée de bois de lilas, d’un nerf de cœur d’hipogryffe, associé à un pétale de lilas. La baguette, très souple, lui permet de puissants sorts de guérison. Mais c’est surtout sa toute petite taille qui est étrange, puisqu’elle ne mesure que 19 centimètres. D’ailleurs, cela lui a fallut quelques associations grivoises, qui l’amusent beaucoup.
PATRONUS – Un loup, il ne peut pas se défaire de cette image.
BIEN ou MAL ? De part sa famille, Sciuscià serait plutôt tourné vers le mal, et dans ses actes aussi. Cependant, il est plutôt neutre dans sa façon d’être et de faire. Personne ne peux vraiment dire de quel côté penche la balance et lui encore moins.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ? Dans 18 ans, Sciuscià sera dans un hôpital psychiatrique. Son fils ne veut plus le voir après qu’il ait tué sa mère dans un accès de rage, et une pseudo transformation. Il n’a évité Azkaban que parce que la folie a été plaidée, et il est donc enfermé dans l’hôpital.

Hors-Jeu

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PSEUDO –Wilou again
AGE – 20 ans
AVATAR – Dave Annable
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? – Toujours pareil
PRESENCE – Quand on aura besoin Wink

COMMENTAIRES ? Nop

par Invité Jeu 29 Oct - 22:06

Voilà, ma fiche est enfiiiin terminée Razz

par **Bonnie Becker** Jeu 29 Oct - 22:36

Validé et envoyé à Serdaigle <3

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