The Time-Turner
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Zahyra A. Edelweiss -- Play with me, my lamb-- [terminée]

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Message par Invité Mar 12 Jan - 2:06

Edelweiss; Zahyra


Zahyra A. Edelweiss -- Play with me, my lamb-- [terminée] Avdemi10 ©️Faith

    Let me begin, Honney

    NOM – Edelweiss. Nom étrange, peu familier, j’en conçois. C’est le nom d’une fleur «l’étoile des glaciers» poussant souvent à travers la neige des monts enneigés. J’aime mon patronyme, si distingué des autres, unique en son genre. Un nom qui me va comme un gant, après tout, cette jolie fleur ne doit-elle pas être tenace, pour percé les couches de glace?
    PRENOMS – Zahyra Amaryllis. Eux aussi, ils sont peu communs, mais je les adore. Enfin a part peut-être quand on me surnomme Zaza. Le premier, bien que sa signification – « Rayonnante » - soit superficielle, je crois qu’il me va plutôt bien, faisant force de caractère et sonnant légèrement sec. Quant à Amaryllis qui a une signification tout aussi superficielle (Resplendir) sonne bien plus doux, comme pour faire un doux équilibre entre dureté et douceur.
    DATE DE NAISSANCE – 31 octobre 1985. Cette date vous dit quelque chose? Trick or Treat! Oui la fête d’halloween, le Samain. La nuit où les morts reviennent, hantant les rues pendant que les enfants recueillent des friandises. Des nuits longues, fraîches, des arbres presque dépouillé de leurs feuilles, un mois bien sinistre.
    AGE - 17 ans
    ANNEE – quatrième
    ORIGINES – Née Moldu





I'm a witch


BAGUETTE - 25,6 cm, bois de séquoia et crin de sombral.
PATRONUS - Qu’est-ce que c’est, ce Chihuahua à grandes oreilles? Une erreur de la nature? Chien-lapin? Détrompez-vous très chers. Cette bestiole que je trouve si craquante est en fait un Fennec. Une sorte de petit renard des sables qui ne mesure que 35 cm. Enfin 20, si on ne compte pas les oreilles. Je dois avouer qu’il me représente assez, avec son tempérament bien trempé.
BIEN ou MAL ? Le bien, le mal…c’est une question de point de vu, tout est relatif. D’ailleurs, peut-être ce qui est bien pour vous est mal pour moi et vice versa.
QUE SERA DEVENU VOTRE PERSONNAGE 18 ANS APRES ?
Dans dix-huit ans, Zahyra sera enseignante à Poudlard. Étonnant? Disons que le parcourt fut difficile, mais elle arrivera sans trop de mal à atteindre le poste d’enseignante en Métamorphose. La carrière de la jeune femme est plutôt prometteuse contraire absolue avec sa vie privé. Elle se mariera et aura trois garçons, trop jeune pour fréquenté Poudlard. Ils seront tuer pendant la guerre, plongeant notre jeune femme dans un trou noir dont il est difficile de se sortir.


Hors Jeu


PSEUDO – Toulouse – Officiellement- simplement parce que j’aime les Aristochats ><
AGE - 16, ouaip, je me fais vieille!
AVATAR – Demi Lovato
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? – En fouillant dans les favoris de ma sœurette pendant qu’elle avait le dos tournée! (Comme toujours)
PRESENCE – Ça dépends.
COMMENTAIRES ? Joli le fo’!



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Message par Invité Mar 12 Jan - 2:06

Capitre Un


« Un enfant, qu'est-ce donc? Un morceau d'amour égaré, un miroir, une victime, un signe du temps en marche...»

At the begining


« Mes souvenirs commencent ici, dans ce parc lumineux où des enfants de tous les âges jouaient, couraient, criaient et riaient. Moi, j'étais à l'écart, les regardant, mi-intéressée, mi-indifférente. Aurais-je aimé jouer avec eux? Sans doute pas. Aurais-je aimé qu'ils me jettent un regard, qu'ils viennent vers moi? J'imagine que oui. Mais voilà, je n'étais pas le genre d'enfant que l'on venait chercher pour jouer à Chat Perché. Keavin - mon unique ami de l'époque- disait que c'était parce que j'étais trop contrôlante. Bien entendu, je niais toujours en bloc, disant que c'était lui le mauvais perdant, mais avec le temps, je dois avouer qu'effectivement, je suis contrôlante..»

« Zaza, attrape!»

«J'avais évité le ballon coloré qui fonçait vers moi d'un pas en arrière, tournant la tête vers Keavin qui venait de m'affublé de ce surnom ridicule à en mourir. Combien de fois devrais-je lui répéter que je détestais ce surnom? Plantant mes yeux sombres dans les siens, un air austère sur mon visage. Un visage d'enfant ou il était rare de voir une trace de joie ou de bonheur. Le gamin, sans demander son reste, fila chercher son ballon. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi il s'entêtait à traîner avec moi, après qu'avais-je en commun avec lui? D'ailleurs, alors qu'il revenait sagement vers moi, un autre garçon de notre âge l'intercepta. »

« Tu viens jouer avec nous, Keavin? Ce sera plus amusant qu'avec la bizarre!»

«Sans se faire prier, mon «ami» rejoignit les enfants qui criaient et jouaient. Je dois vous avouer que je n'étais pas vraiment comme les autres gamins. Je l'ai déjà dis, mon visage ne laissait que très rarement paraître une trace de joie. Mes sourires étaient rares. Mes parents ne cessaient de répéter qu'ils auraient mieux faire de m'appeler Wednesday, en l'honneur à Wednesday de la famille Addams. Parfois, devant un reprise de la série, je me demandais si j'étais aussi sévère, aussi effrayante. Avais-je aussi un attrait si marqué pour le macabre? Je ne croyais pas. Cependant, lorsque je m'observais dans le miroir, je ne pouvais pas vraiment m'empêcher de pensé que si.

Ma peau était pâle, bien que moins que celle du personnage à lequel je m'identifiais de plus en plus, mais je semblais éviter la lumière trop vive du soleil. Mes yeux étaient aussi sombre, mes cheveux avaient une teinte semblable, mes lèvres certes plus en chair que cette actrice qui jouait cette petite fille...Mes robes favorites n'étaient-elle pas toutes aussi sombres que les siennes, dans son monde en noir et blanc? Mon visage était aussi inexpressif, mes lèvres ne s'étirant que lorsque c'était embarrassant ou triste pour les autres.

Cette identification devint rapidement maladif, au point ou je coupai les têtes des mes poupées, les vêtissent de noirs. Comme des veuves sans tête. Si mes parents laissèrent passer le fait que je rentrais des araignées dans ma chambre pour jouer avec elles, ils m'emmenèrent rapidement chez le psychologue en voyant toutes mes poupées sans tête. Leur petite fille chérie ne pouvait pas être si morbide! C'était impossible. Pas leur petite Zaza. Je me souvins à peine de la séance que je vécu. Je me souviens simplement que j'avais passé une heure et demie, assise entre mes parents, droite comme un I et muette comme une carpe.

Ce fut le lendemain que tout devint si différent...»

Cruel children's game


«Lorsque j'allai à l'école le lendemain de cette séance, les regards que posaient les enfants sur moi étaient des regards de dégoûts et de crainte. Le dégoût, j'en avais l'habitude, mais la crainte était nouvelle et je me demandais ce qui l'avait emmené dans leurs yeux. Les cours étaient néanmoins normaux, bien que la maîtresse ne cessait de me jeter des regards inquiets, comme si elle s'attendait à tout moment que je me mette à hurler ou que je coupe l'oreille d'un camarade pendant qu'elle s'acharnait à nous apprendre à écrire. Étais-je si étrange? Pourtant, ce n'était pas moi la plus cruelle, dans cette école.

Je me souviens de m'être installée à l'ombre d'un arbre, à la récréation, jouant avec une bestiole à six pattes qui essayait d'atteindre la pomme que je tenais dans ma main droite. Des enfants s'étaient approchés de moi, mais je n'en avais pas fait attention, jusqu'à ce qu'une nuée de ballons volèrent vers moi pour s'écraser sur leur cible, soit moi. Les attaques de ballons, les moqueries, les bousculades et tous autres gestes déplaisants devinrent rapidement une routine déplaisante, mais bien encré. Les surnoms de plus en plus déplaisants, des gestes de plus en plus blessants. Qui a dit que les enfants étaient innocents? Ils sont tellement méchants parfois.

Je me souviens encore de ce soir où la maison était plongé dans un silence sinistre. Il était tard, bien que l'heure affiché sur le petit réveille matin en forme de Blanche-Neige ne me revins pas. Mais je ne dormais pas, je n'y arrivais pas. J'étais assise sur mon lit, au lieux des poupées- elles avaient des têtes celles-là, toutes neuves- et les peluches aux yeux de boutons. J'observais mon visage dans le miroir placé derrière la porte de ma chambre, un visage que je ne voyais qu'à peine dans la noirceur. Je me souvins d'avoir sortit de mon lit, traversant ma chambre, prenant sur ma commode les ciseaux qui traînaient là - j'avais été forcé de faire du bricolage avec Keavin. Je tirai sur une de mes nattes, la coupai, sans aucun état d'âme. Je fis de même avec la seconde, entaillant ma joue par la même occasion... Au matin, ma mère avait hurlé, c'était ce qui m'avait réveillée. Des cheveux encore attachés traînaient sur le sol de ma chambre, quand je me redressai, elle prit un air horrifier. »

« Qu'as-tu fais, Zahy?»
« Moi aussi, je veux jouer maman.»

«Jouer, ce devint rapidement mon obsession. Je jouais avec le gens, jusqu'à ce qu'ils n'y voient que du feu. Oh non, je ne les manipulais pas, enfin pas vraiment. Je devins simplement, du haut de mes six ans, une gamine à deux visages. Mi-Alice, Mi Reine de Cœur. À demi Princesse, à demi Addams. Comme Alice, je deviens curieuse, adorable, courtoise, sans doute trop rêveuse, mais aussi autoritaire et avec la même manie de tout contrôler que la Reine Rouge. Adorable ou détestable? Fallait voir. Mais reste-t-il que les gens étaient mes jouets.

Peut importe ce que je devins à ce moment-là, nous y reviendrons, ce qui est important à retenir, c'est qu'à ce moment-là le jeu devint plus intéressant. Car à cette époque que cette chose étrange se produisit. Chaque fois qu'un être était triste autours de moi, je me sentais soudainement mal, ce fut le cas, graduellement pour tous les sentiments. Ressentant le plus fortement les sentiments négatifs que les autres, mais généralement je ne peux les identifier clairement. Ce n'est qu'une sorte de bourdonnement sourd, une vibration déplaisante au niveau de l'estomac. Ainsi, il était - et est toujours- difficile d'identifier l'irritation de la colère. Ce fut un atout de plus pour jouer. À ce moment-là, n'ayant aucun moyen de me protéger des sentiments autres, je m'isolai, m'approchant rarement des gens qui m’entouraient. Sans doute étais-je encore plus rejeté à ce moment-là, mais je ne m'en rendais pas compte, essayant de mettre le plus de distance possible entre moi et les autres. Il était douloureux de toujours ressentir des émotions, avoir du mal à faire la différence entre les leurs et les nôtres, c'était à vous rendre fou. Mais, ne l'étais-je pas déjà, folle? Sans doute pas assez encore.

Je réussis quand même à faire fit de ce don déplaisant. D'une part en essayant de me rapprocher de ses petites filles blondes toujours joyeuses et naïves. Bien entendu, je ne me liais pas d'amitié avec elles, elles étaient si différentes de moi avec leurs airs de poupées et leur innocence. Mais je me débrouillai pour toujours être près d'elles, derrière l'un en cours, dans la même équipe en sport, assise près de leurs jeux à la récréation. Leur présence, que j'arrivais tant bien que mal à supporter, me soulageais, sans doute parce que rien ne venait nuire à leur bonne humeur. Leur vie était donc si parfaite? C'était l'impression qu'elles me donnaient. Mes parents semblèrent heureux de me voir avec ces gamines que je trouvais de plus en plus fades. Ces gamines étaient tout ce qu’ils voulaient que je sois. Mais je ne devins jamais comme elles, enfin pas en intégralité.

J’appris rapidement que le meilleur moyen de me protéger des autres pour ne pas les laisser croire qu’ils m’affectaient était de jouer les enfants dynamique et enjouée. Je me mis donc à troquer mes vêtements sombres pour des vêtements aux couleurs vives, coiffant mes courts cheveux pour leur donner un air amusant…Mon air austère, en publique, devint un sourire éclatant. Je me mis rapidement à sautillé sur place en feignant d’être excité. M’enfin, je changeai au point que mes parents ne jugèrent plus nécessaire de me traîner de force chez le psychologue tout les lundi soirs. Au contraire, ils m’inscrivirent à des cours de gymnastique, de peinture, de patinage artistique et même de karaté, dans le but principal que je me fasse des amis.

Dans les souvenirs les plus marquants de mon enfance, celui qui m'a causer de nombreux cauchemars, encore aujourd'hui, c'est passé à la plage, par une jolie journée d'été. Il faisait chaud, très chaud et ma famille et celle de Keavin s'étaient installées un peu en retraient des autres personnes qui populaient la plage. Keavin et moi marchions, les pieds dans l'eau, discutant un moment, écoutant le bruit des vagues un instant d'après. Nous avions huit ans à l'époque, encore innocent, enfin plus pour lui que pour moi. Il lançait son éternel ballon rouge dans les airs et le ratrappait, jusqu'à ce qu'un coup de vent entraîne le ballon l'autre côté de la corde de sécurité. Le gamin s'était avancé dans l'eau, essayant d'attraper son ballon par dessus la corde. »

« Laisse tomber, Keav'. Tes parents t'en achèterons un autre»

«Il ne m'écouta pas, passant sous la corde, il dû cesser de prendre appuie sur le sable, le courant l'entraîna plus loin, il cria pour que je vienne l'aider, mais je restai figée. Était-ce sa peur qui me pétrifiait? J'en suis de moins en moins sûr plus le temps passe. J'imagine que mon côté morbide ressortait, voulant voir le mort dans son oeuvre macabre. Lorsque les parents répliquèrent allertés par les cris, Keavin sombrait déjà sous l'eau. On le retrouva deux jours plutard, à plusieurs kilomètre de l'endroit où il s'était noyé. J'avais trouvé l'enterrement passablement intéressente. Le petit corps de mon ami dans un cercueil de bois vernis, il avait l'air de dormir. Puis, le prêtre avait récité un long discours sur la mort et Dieu, j'avais été fasciné par tout cela, au point que même la souffrance des parents de Keavin que je ressentais me parraîssait déplacé. Mes parents trouvèrent néanmoins que le fait que la mort de mon ami avait dû me traumatiser, j'eu donc le droit de quelques séance de plus chez le psy, n'était-ce pas exagéré? »

« Comment te sens-tu, Zahyra?»
« Bien»
« Tu dois être triste que ton ami soit décédé...»
« Non.»
« Tu n'es pas triste? Tu sais c'est normal d'être triste quand quelqu'un meurt»
« Je ne suis pas triste.»

« Je me gardai bien de lui dire que j'avais trouver cela amusant de le voir mourir, je n'avais pas vraiment envie de passer plus de temps dans ce bureau, mais il est vrai que je ne m'étais pas sentie triste, pas sur me moment. J'avais été trop fasciné par la mort pour cela. Mais avec le recule, ça a changer. Après quelques mois, voir années, j'ai beaucoup souffert de la disparission de mon seul ami, mais je n'en parlai jamais, me contentant de me réveiller en sueur lau milieu de la nuit, de pleurer seule dans le noir. C'est cauchemar durèrent longtemps très longtemps...»


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Message par Invité Mar 12 Jan - 2:06

Chapire Deux


Welcome to Hogwarts


« Je faisais encore des cauchemars lorsque je reçu cette lettre étrange provenant d'une école de magie. Mes parents eurent l'impression de devenir complètement cinglés, j'entends encore aujourd'hui la crise qu'avait suivit la lecture de cette lettre. Mes parents avaient d'abord cru que c'était une blague, mais après la troisième lettre, ils finirent par capituler. Nous suivîmes alors les instructions données dans la lettre. Néanmoins, Mr et Mrs Edelweiss semblaient un peu contrariés. Eux qui s'étaient toujours battus contre mon anormalité, ils venaient de voir que jamais je ne serai normale. J'avais pourtant apprit. J'étais devenu une enfant énergique, sautillante, rieuse et amusante. Fini les étrangetés et les airs boudeurs perpétuels. Mais ça, ce n'était que lorsqu'il n'y avait personne dans les parages, je n'avais pas tant changé qu'on le pensait finalement. Je cherchai encore la présence de gens de nature joyeuse, c'était devenu une routine pour moi.

Je me rendis donc à la plateforme 9 3/4, comme prédit dans la lettre avec mes parents qui semblaient plutôt mal à l'aise entourer de sorcier. Je ressentais sans mal le stress des élèves, la joie des autres, la tristesse des parents de devoir quitter leur enfant pour une si longue période... Rapidement, je me sentis très mal ,comme si on venait de me piétiner. J'en eu presque la nausée. Cela resta longtemps après être monter dans le train, jusqu'à ce que la portière de mon compartiment s'ouvre sur une petite brunette qui devait avoir mon âge. Son excitation était palpable, même pour une personne qui ne fut pas empathe.

Pendant tout le trajet, nous discutâmes, de tout et de rien. Sa présence me faisait un bien fou, elle était si joyeuse, de bonne humeur qu'elle était comme un baume pour moi. Elle semblait chasser les sentiments négatifs qui m'assaillaient, me rendant irritable et agressive. Emerson – car tel était son nom- devint rapidement mon amie, nous passâmes beaucoup de temps ensemble, chaque fois que l’occasion se présentait. Elle m’était plus que chère, je dois l’avouer. Bien que je ne lui ai jamais dit. Elle aperçu même mon côté sombre, celui aimant le macabre, toujours maussade et sombre, mais jamais je ne lui parlai de ce « don » comme je ne le dis à personne.

Pendant longtemps, elle fut ma meilleure amie, jusqu’à ce qu’elle commence à sortir avec Dayton. Je supportais de la partager avec quelqu’un d’autre, je n’étais pas égoïste. Ce que je ne supportai pas ce fut le trop plein d’émotion émanant d’elle. C’était tellement douloureux qu’à chaque fois, j’avais envie de mourir, de me rouler en boule, m’éloigner d’elle. Je fis donc le nécessaire pour les séparer, ce qui ne fonctionna pas vraiment. En fait, pas du tout, ils s'aimaient trop, malheureusement pour moi. À chaque seconde, je voyais mon amie me glisser entre les doigts et je ne le supportais pas. J'aime contrôler les choses autours de moi, je suis autoritaire, caractérielle. Ce fût avec doute la douleur du monde que nous nous disputâmes violement, depuis, nous ne nous adressons plus la parole. Je me souviens encore de cette journée, de la douleur excessive que sa colère avait ouvert en moi, comme une brûlure sévère. Encore aujourd'hui ça me blesse durement, mais je fais avec, hésitant à aller lui parler chaque fois que je la croise dans les couloirs.

Depuis, je cherche la présence de gens comme elle, mais je ne trouve jamais. Comme si elle était unique en son genre. Pour oublier, je commençai donc à m’amuser avec les garçons, jouant avec eux, sans jamais franchir le pas. Je ne suis pas une allumeuse, mais pendant ce cours laps de temps ou l’homme croit pouvoir m’avoir, je me sens bien, parfait miroir de ce que lui ressent, mais ce n’est pas sain, je le sais pertinemment, donc plus le temps passe, plus j’essaie de relier avec mon ancienne amie, avant de devenir complètement folle. Surtout depuis le soir du bal, j’en suis à me replier plus que jamais sur moi, les sentiments de plus en plus négatif des gens me faisant sombrer dans un mal être pire que pire.


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Message par Invité Mar 12 Jan - 2:06

finalement, je vais m'en passer!


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Message par Demetri Raynolds Mar 12 Jan - 11:38

Bienvenue cherry
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« Ne touchez pas à Zane. »

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Message par Sinéad A. Dubthaigh Mar 12 Jan - 16:17

Zahy! cyclops
Zahyra A. Edelweiss a écrit:

PSEUDO – Toulouse – Officiellement- simplement parce que j’aime les Aristochats ><
AGE - 16, ouaip, je me fais vieille!
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Rohh toi! je devrais peut-être mettre mes favoris sous clés!
Et puis comment ça ça dépends? Papa a un ordinateur maintenant?
Bref, toute façon je parie un mois de vaisselle qu'après 1 mois, j'hérite, encore, de Zaza scratch
Sinéad A. Dubthaigh
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Message par Invité Mar 12 Jan - 16:22

Non, P'pa a pas d'ordinateur. Tu le serais si tu venais plus souvent pirat
Ça dépends de combien de jour par semaine je passe chez mon copain, tu vois?
Et puis, parie tenu!

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Message par Samaël E. Wilson Mar 12 Jan - 22:21

AGE - 16, ouaip, je me fais vieille!
J'en connais qui ont plus à se plaindre que toi mrgreen M'étonnerait pas qu'elles râlent, d'ailleurs...

Bienvenue!
Samaël E. Wilson
Samaël E. Wilson
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(Je m'aime ♥)

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Message par Invité Lun 18 Jan - 4:55

Je crois avoir terminé,
je tiens néanmoins à m'excuser pour le baclage de la fin de l'histoire Like a Star @ heaven

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Message par Bonnie Becker Dim 24 Jan - 14:36

Genre 16 ans c'est vieux... >< T'es ptet la plus jeune ici avec Sam tiens x)

Vraiment désolée pour le retard, je valide et t'envoie à Serpentard !
Bonnie Becker
Bonnie Becker
Garce fouineuse.
Back in town...

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♦ ARRIVÉE : 08/10/2009

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