The Time-Turner
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Collision ft Cadeyrn

Aller en bas

Collision ft Cadeyrn Empty Collision ft Cadeyrn

Message par Invité Lun 10 Mai - 22:22



Collision ft Cadeyrn Cadp Collision ft Cadeyrn Shia
Cadeyrn & Caleb




    Dimanche. Qu’elle journée merveilleuse. La seule de la semaine qui soit entièrement consacrée aux loisirs et le premier que j’ai choisi de pratiquer est la grasse matinée. Ce n’est que à l’approche de midi que les cris de mon ventre hurlant à la famine ont eux raison de mon sommeil de plomb. Je prends toujours soin de faire mes devoirs le vendredi soir ou le samedi, j’ai trop besoin de cette journée de liberté hebdomadaire. Étant enfant, je passais tout mon temps libre dehors à découvrir le monder et il faut avouer que à Poudlard les choix sont plus restreints. Si l’on veut rester dans la légalité bien sure et je ne me suis toujours pas remis de mes dernières dix heures de retenues pour avoir été trouvé a zoné dans la forêt interdite. Pour aujourd’hui, il me faut une occupation plus raisonnable. J’inspire profondément et quitte enfin mes draps encore chauds de la longue nuit que j’y ai passé.

    Le dortoir est désert, la plupart de mes camarades doivent être occupés à prendre leur déjeuner dans la grande salle. J’en profite pour prendre une longue douche avant d’enfiler un jeans et un t-shirt. Je m’assieds finalement sur mon lit et pousse un profond soupir avant de tirer une malle de sous mon lit. Mes cognards personnels ! Autant dire que j’y tiens comme à la prunelle de mes yeux, non seulement parce qu’ils me sont utiles lors de mes entraînements mais également parce que c’est le cadeau que mes parents m’ont offert peu de temps après la mort de mon meilleur ami. Je pense à lui chaque fois que je les vois mais pour cette fois ce n’est pas de la tristesse que je ressens. Je me surprends même à sourire lorsque mes pensées dérivent vers certains de nos plus beaux coups. J’inspire profondément et pointe ma baguette vers la mallette qui sous l’effet de mon sortilège rétrécit suffisamment pour tenir dans la poche arrière de mon jeans.

    J’affiche un sourire satisfait et m’empare de ma batte. Celle la, je ne prends pas la peine de la rétrécir, je préfère la portée fièrement sur mon épaule gauche afin de rappeler à tous que je fais partie de l’équipe de ma maison et surtout que je suis un très bon joueur. Je prends mon rôle très au sérieux ! Je quitte ensuite ma salle commune et prends le chemin de la grande salle. A peine arrivé, je me rue sur un plat de saucisse et j’en cale deux dans un morceau de pain. Sans attendre, je mords une large bouchée et laisse enfin mon regard parcourir les alentours. Je cherche certains visages en particuliers mais aucuns d’eux ne semblent être présent. Pas de trace de Emerson, Doon, Maaira ou Tim. Suis-je maudit ? J’aurais tellement apprécier passer un bon moment en compagnie d’une poignée de mes amis les plus proches mais cela ne veut pas dire pour autant que je vais leur courir après à travers tout le château.

    Je termine d’engloutir mon sandwich, j’avale un grand verre de jus de citrouille et m’empresse de sortir aussi rapidement que je suis apparu. Pas de temps à perdre ! Je me dirige vers le parc et inspire profondément dès que j’y arrive enfin. J’adore cette odeur d’herbe fraîche. Un sourire se dessine sur mes lèvres alors que je m’élance dans la vaste étendue verdoyante. J’ai mon endroit habituel et je me dirige donc sans hésitations vers la petite clairière que j’affectionne tant. Je contemple les lieux et sort la malle miniature de ma poche, en un coup de baguette, je lui rends sa taille initiale et m’empresse de l’ouvrir. Je caresse du bout du doigt le cognard qui s’agite sous le contact de ma peau. J’enlève la sangle qui le maintient et le voila qui file à une vitesse folle pour revenir droit vers moi après un virage des plus serré. Je me concentre et le renvoie vers le haut. Je répète l’exercice à de nombreuses reprises alors que le cognard revient toujours furieusement à la charge. Le voila ! Je me prépare et de toutes mes forces j’envoie la balle au travers d’épais buisson.

    AAAAarrhhhggg

    Oups ! Ça ne dit rien de bon ! Et mon cognard qui ne revient pas ! Si je le perdais, je ne me le pardonnerais pas mais à cet instant j’ai plus important à penser. Je me précipite au travers des buissons, les branches lassèrent mes avants bras mais je suis inexorablement le cri que j’ai entendu. Finalement j’aperçois une silhouette allongée. Je ne l’ai pas tué tout de même ? Heureusement il remue, je le reconnais même. Cadeyrn, Gryffondor, traînée, aime les filles et les garçons. Oups une fois encore. Je ne le juge absolument pas mais c’est à peut prêt ce que j’ai entendu circuler à son sujet. Sans réfléchir plus longtemps, je me jette sur lui et le saisi par le bras.

    Caleb- Je suis désolé. J’espère que tu n’as pas trop mal !

    Mon regard parcours chaque recoin de sa personne et c’est finalement à la tête que je constate que je l’ai atteints. Un léger filet de sang coule dans sa nuque. Mon dieu qu’ai-je fait ? Je me mords la lèvre et place délicatement mes mains sur les épaules de Cadeyrn.

    Caleb – Tu sais toujours comment tu t’appelles ? En qu’elle année on est ?

    Je souris mais la panique se lit dans mes yeux. Je passe une main dans son dos lorsque finalement je me rends compte de la proximité de nos corps. Et si il croyait que je lui fais des avances ? Je bondis sur mes deux pieds. Je pense toujours aux mauvaises choses aux mauvais moments. Je m’ éclairci la gorge, tente de parler mais rien ne sort, aucun son. J’ai l’air complément idiot à la fixer la bouche entre ouverte. Je suis le dernier des imbéciles ! Le temps de réaliser cela et me voila à nouveau accroupis. Je ne sais pas si je dois l’emmener à l’infirmerie ou si un simple sort suffira à refermer la plaie. Je connais les soins de base mais pour savoir si je peux l’aider, je dois l’examiner. Je ne lui laisse pas le choix et ma main glisse dans sa nuque, je réalise alors que je ne fais preuve d’aucune retenue et que je me montre probablement trop familier. Je m’ éclairci la gorge et d’un ton embarrassé, je le questionne.

    Caleb – Je peux ?





Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum